Liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française
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La liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française comprend des familles françaises toujours représentées de nos jours et qui, avant la Révolution française de 1789, appartenaient sous l'Ancien régime à la bourgeoisie, définie par les historiens comme étant alors un groupe social de familles notables appartenant au Tiers état, c'est-à-dire jouissant du privilège du profit contrairement à la noblesse[1], et assurant leur aisance financière en occupant notamment des offices moyens ou supérieurs de magistrature (bourgeoisie administrative ou bourgeoisie de robe), des offices de finance (bourgeoisie financière), des activités de commerce (bourgeoisie marchande) ou exploitant un patrimoine foncier immobilier ou industriel (bourgeoisie propriétaire)[2],[3].
On peut noter que dans une autre acception que celle définissant sous l’Ancien Régime une élite selon des critères de réussite sociale et financière, la bourgeoisie est aussi sous l’Ancien Régime un statut juridique donnant à certains citadins, en plus de leur privilège de profit[1], des droits distincts de ceux des autres habitants et des privilèges variables selon les villes. Ces droits de bourgeoisie disparaissent peu à peu aux XVIIesiècle et XVIIIesiècle[4].
Cette liste ne préjuge pas de l'appartenance ou non de ces familles à la bourgeoisie actuelle.
Cette liste exclut les familles d'ancienne bourgeoisie s'étant agrégées à la noblesse, ayant bénéficié d'un anoblissement ou ayant reçu un titre nobiliaire français, régulier et héréditaire (avant ou après la Révolution française), mais non les familles subsistantes issues d'une branche non anoblie ou non titrée.
Cette liste n'est pas exhaustive car elle ne retient que les familles (ou l'un de ses membres) qui font l'objet d'un article sur Wikipédia.
Les critères d'éligibilité pour figurer sur cette liste figurent ci-dessous.
Pour figurer sur cette liste, les familles doivent remplir les critères suivants:
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La présence d'un membre de la famille dont les armes sont enregistrées dans l' Armorial général de France de 1696 est un indice de bourgeoisie sous l'Ancien Régime ainsi que mention d'un aïeul dans l' État de la France ou l' Almanach royal ou la présence d'un membre au sein d'une académie royale ou célèbre.
Les «familles d'ancienne bourgeoisie française», ou «familles françaises notables anciennes», se reconnaissent principalement par les charges ou fonctions occupées par leurs ascendants agnatiques avant 1789. Une étude de l'ouvrage d'André Delavenne Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne publié en 1954, permet un approche non exhaustive des professions et activités des chefs de famille[122]. On peut notamment y trouver les professions, charges ou activités suivantes:
Propriétaire foncier
Patron d'une chapelle ou d'une chapellenie, ou tombeau notable, dans une église urbaine
Bâtisseur ou propriétaire d'un hôtel urbain important
Propriétaire d'une terre noble (seigneurie) ou d'un château notable
Propriétaire terrien rentier outre-mer d'un domaine ou plantation
Propriétaire important d'un ou de plusieurs hauts fourneaux, de mines, de moulins à martinet ou de presse à papier, à huile, à foulon, de filatures, ou de manufactures notables.
Charges de judicature royales
Avocat, procureur du roi,
Bailli de robe longue, sénéchal,
Notaire royal, notaire au Châtelet
Avocat, procureur, conseiller, président, lieutenant au Bailliage, Sénéchal, Siège présidial ou au Parlement,
Conseiller à la Cour des aides, des monnaies, à la Chambre des comptes
Charges de judicature seigneuriales ou municipales
Procureur fiscal
Notaire seigneurial
Viguier
Capitaine d'un château, colonel des milices d'un bourg
Fermier des recettes ou intendant d'une terre titrée, d'une abbaye
Charges fiscales et financières royales
Fermier général
Receveur général des tailles, des capitations
Receveur général des dimes, des décimes
Receveur, officier au grenier à sel
Receveur, contrôleur des traites foraines, et autres droits de douane
Trésorier-payeur des rentes, des gages
Contrôleur, commissaire ordinaire des guerres
Fonctions militaires
Officier dans l'armée, la marine, des Maréchaux
Commissaire aux revues
Autres charges et fonctions royales
Intendant, subdélégué de l'intendant
Officier (serviteur) du roi, de la reine, des princes
Marchand suivant la cour
Architecte, ingénieur du roi, des bâtiments du roi
Libraire, imprimeur, géographe, historiographe du roi, garde de la bibliothèque du roi
Médecin du roi, des princes, des Pages ou des Gardes du corps du roi, ou plusieurs générations de médecins
Charges électives
Député du Tiers-état aux États généraux de 1789
Maire d'une ville grande ou moyenne (équivalent d'une actuelle sous-préfecture)
Premiers échevins ou consuls d'une ville grande ou moyenne (idem)
Fonctions commerciales et industrielles
Armateur de navires de commerce océanique
Banquier
Négociant (d'une surface significative)
Maitre verrier, de forges, directeur de manufacture royale
Fonctions relevant du Clergé
Évêque (avoir eu un frère qui a été)
Abbé d'une abbaye, supérieure d'un couvent (avoir eu un frère qui a été)
Chanoine d'un chapitre notable (avoir eu un frère qui a été)
Notaire apostolique
Recteur d'université (avoir eu un frère qui a été)
Professeur agrégé dans une faculté de médecine ou des droits, docteur en Sorbonne
Dans un Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne[123] publié en 1954, André Delavenne a constitué une liste de familles de la bourgeoisie de son époque, qu'il jugeait suffisamment anciennes pour figurer dans son ouvrage. Contrairement à ce que peut laisser supposer le titre, il ne s'agit pas d'un inventaire à prétention exhaustive, mais d'un choix de quelques dizaines d'exemples, avec certaines familles dont l'ascension sociale ne remonte qu'au XIXesiècle.
En étudiant ces familles dans La Bourgeoisie selon le dictionnaire généalogique d'André Delavenne, Jacques Houdaille a remarqué qu'elles occupaient souvent avant la Révolution des professions et des positions similaires[124]: «À la période ancienne, les maires et échevins sont nombreux ainsi que les officiers du roi. Les gens de loi (avocats, juges, huissier) maintiennent leur importance au cours des deux siècles et plus. Les industriels apparaissent au début du XIXesiècle et prennent de l'importance dans la seconde moitié.»
Dans son essai L'Ancienne bourgeoisie en France: Émergence et permanence d'un groupe social du XVIesiècle au XXesiècle, publié en 2013, Xavier Pérouse de Montclos fait l'hypothèse qu'un grand nombre des familles bourgeoises du XXesiècle ont une position établie depuis fort longtemps — et souvent maintenue depuis le XVIesiècle[125]. Cet auteur ne propose cependant pas de liste des familles notables anciennes. Dans la préface, l'historien René Rémond définit ainsi cette ancienne bourgeoisie:
«Un groupe intermédiaire entre la noblesse d'origine et ce qu'on appellerait les classes moyennes, qui est constitué au XVesiècle ou au XVIesiècle. (...) Ces familles sont presque toutes des dynasties provinciales dont l'ascension s'est tout entière accomplie dans leur région d'origine à laquelle elles sont généralement restées fidèles: aujourd'hui encore leurs descendants y sont présents. (...) Ces familles plongent leurs racines dans l'Ancien Régime. (...) Elles ont su assurer sur quatre ou cinq cents ans la transmission de leur héritage matériel comme de leur patrimoine de conviction et de valeur.(...) Ces familles sont toujours restées fidèles à la religion et se sont adaptées à la modernisation sans renier leurs valeurs.»
Selon Xavier de Montclos, ces familles appartenaient sous l'Ancien Régime à la notabilité des villes et des campagnes[125]. Elles acquirent à partir du XVIIesiècle des offices et des charges de judicature ou de finances puis des seigneuries, et certaines parvinrent à la noblesse, soit avant, soit après la Révolution au cours de laquelle beaucoup jouèrent un rôle majeur.
L'Armorial général de France a recensé la plupart des individus nobles ou notables de France vers 1696; il existe des index pour l'ensemble et des éditions critiques des armoriaux régionaux.
Plusieurs ouvrages de sociologie familiale ont été publiés au milieu du XXesiècle, notamment le Dictionnaire des dynasties bourgeoises et du monde des affaires en 1975 par Henry Coston.
Quant aux ouvrages généraux, on mentionnera le Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXesiècle de Gustave Chaix d'Est-Ange, suivi d'une riche bibliographie citant de nombreux ouvrages régionaux ou spécialisés.
Aux XXesiècle et XXIesiècle on retrouve le nom de certaines familles de l'ancienne bourgeoisie dans des annuaires comme le Bottin mondain et dans les listes des membres de cercles à vocation élitiste[126].
Gustave Chaix d'Est-Ange, «Abel de Libran», dans Dictionnaire des familles françaises, anciennes ou notables à la fin du XIXesiècle, t.XXI, Évreux, FAB-FEI, (lire en ligne), p.314-.
Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXesiècle. t.2, Aub-Bar, Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p.46-47.
Charondas, Le Cahier noir, édition Patrice du Puy, 2015, sans pagination. Famille issue de Pierre Courcol et qui donna des bourgeois et des échevins à la ville d'Arras. La famille actuelle est issue de Pasquier Courcol, fermier de l'abbaye d'Estrien. Les Courcol ont acheté la terre de Bailliencourt au XVIesiècle et ne se rattachent pas à l'ancienne famille noble de Bailliencourt.
Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXesiècle, t. 4, Evreux, Charles Hérissay impr., (lire en ligne)
Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXesiècle, tome 4, page 155 Bès de Berc et d'Albaret de Saint-Just.
Branche aînée des Bourrée, marquis de Corberon éteinte au XXe siècle, un rameau anobli en 1670 par la charge de secrétaire du Roi, maintenu dans sa noblesse en 1697, éteint au XVIIIe siècle. La famille s'appelle désormais Bourée à l'état-civil.
Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], 1903-1929 (lire en ligne)
Émile Ruben et Louis Guibert, Registres consulaires de la ville de Limoges, Limoges, Imprimerie Chapoulaud frères, 1884, t. III, p.113 et 190 Consuls de Limoges.
«Claude Cointreau, né à Baugé en 1623, Maître Particulier des Eaux et Forêts de Baugé, receveur général des Finances de Limoges, [...] fut un grand bienfaiteur de la ville et [...] l'ancêtre de la famille des distillateurs si renommés d'Angers» (Edmond Riehl, Dix siècles de l'histoire de Baugé, impr. E. Cingla, 1960, p.67.
C. d'E.-A. (Gustave Chaix d'Est-Ange), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux, (lire en ligne), tome cinquième BLO-BOU, p. 61
C. d'E.-A. (Gustave Chaix d'Est-Ange), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, Évreux (lire en ligne), tome cinquième BLO-BOU, p. 58-61
Lalive, La Live, Lalive d'Epinay - Site généalogique et héraldique du Canton de Fribourg [les actuels porteurs du nom, de nationalité française et suisse, descendent de Rosalie Lalive d'Épinay (1781-1860) et de Jean-Joseph Folly (1787-1867)].
Descendance agnatique de Jean Le Proux, seigneur des Varennes (1654-1738), in Jacques Le Proux de La Rivière et François Bonnard, La famille Le Proux de La Rivière. Origine, rapport avec les Antilles, postérité., Généalogie et Histoire de la Caraïbe, bulletin no 131, p.3232 à 3235, juillet-août 2001, révision du 24 août 2011
Jean-Joseph L'Hotte (1752-1798), grand-père paternel du Général L'Hotte (1825-1904), fut avocat au Parlement de Lorraine (in André Monteilhet, Les maîtres de l'oeuvre équestre, Actes Sud Nature, 2018), avant d'acquérir la charge de maître particulier de la Maîtrise des Eaux et Forêts de Phalsbourg (in Jean-Charles Poncelin de La Roche-Tilhac, Etat des Cours de l'Europe et des Provinces de France, Mérigot, le jeune, 1784, p.193).
Archives personnelles et militaires du Général Alexis-François L'Hotte (1825-1904), léguées par son descendant Louis L'Hotte, mandataire de la famille L'Hotte, en 2004 au Service historique de la Défense, consultables sous la cote GR 1K 939
Henri Frotier de La Messelière, Filiations bretonnes. 1650-1912, recueil des filiations directes des représentants actuels de familles nobles, de bourgeoisie armoriée ou le plus fréquemment alliées à la noblesse, d’origine bretonne ou résidant actuellement en Bretagne, depuis leur plus ancien auteur vivant en 1650. Volume 6, J. Floch, (lire en ligne), p.318
Jean Grosdidier de Maton, Armorial Haut-Alpin: Subdélégations de Gap, d'Embrun et de Briançon, vallées cédées, mandements hauts-alpins des Baronnies, du Beaumont, de l'Oisans et de la Provence, Versailles, Mémoire et Documents, , 681p.
Descendance de Philibert Pelletier (1673-1738), procureur en la ville de Lignières, et d'Anne Bijotat (1686-1722). Une branche porte le nom Pelletier-Doisy depuis le mariage d'Edme-Charles Pelletier (1812-1875), colonel de cavalerie et maire d'Auch, et de Caroline Doisy de Villergennes (1825-1903)
Henry de Laguérenne, Ainay-le-Chateau en Bourbonnais: histoire de la ville et de la Chatellenie, des origines a nos jours, H. Champion, 1912, pp. 432-433.
Les descendants d'André Ploix (1865-1914), capitaine d'infanterie, mort pour la France, et de Berthe de Rotrou (1872-1955), ont relevé au XXesiècle le nom de Rotrou, en voie d'extinction
Descendance d'Etienne Saclier (v.1589-1673), conseiller du Roi et grenetier du Grenier à Sel de Charolles, dont les fils Denis (1625-1685) et Léonard (1643-v.1705) sont notaires royaux à Toulon-sur-Arroux, in Jean-Louis Beaucarnot, L'Odyssée des familles: entre Arroux et Bourbince, 1978 et Pierre Cannat, «Les familles Saclier de la châtellenie de Glenne et de Toulon», Nos ancêtres et nous, revue du Cercle généalogique de Saône-et-Loire, no 141, pp. 7 sq.
Gérard Saclier de La Bâtie (1925-2006), fils d'André Saclier (1888-1953) et de Marcelle de Bayle de La Bâtie (1886-1957), généalogiste et militant royaliste français, relève le nom de La Bâtie pour lui et sa descendance.
André Delavenne, Recueil généalogique de la bourgeoisie ancienne, Paris, 1954
Recueils régionaux
Anjou
Bernard Mayaud, Recueils de généalogies angevines, 16 volumes, Nantes, 1981-1996
Artois
André Borel d'Hauterive, Armorial d'Artois et de Picardie: généralité d'Amiens, Paris, Dentu Libraire, 1866
Auvergne
Ambroise Tardieu, Dictionnaire des Anciennes Familles de l'Auvergne, comprenant toute la noblesse qui a résidé ou qui réside dans cette province et la plupart des vieilles maisons de bourgeoisie qui ont possédé des fiefs ou qui ont droit d'armoiries, avec les noms des représentants actuels, Moulins, Impr. Desrosiers, 1884.
J. Brun-Durand, Dictionnaire biographique et biblio-iconographique de la Drôme, contenant des notices sur toutes les personnes de ce département qui se sont fait remarquer par leurs actions ou leurs travaux avec l'indication de leurs ouvrages et de leurs portraits. Tome I - A à G. Tome II - H à Z., Grenoble, Librairie Dauphinoise, 1900, 1901. 2 volumes in-4.
Jules Villain (ill. Gaston de Jourda de Vaux), La France moderne: dictionnaire généalogique, historique et biographique, (Drôme et Ardèche), Saint-Étienne, J. Thomas & Cie, 1908.
Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné, contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard. Lyon, Brun (Imprimerie Louis Perrin), 1867. in-4° (réimpr. 1969 (Allier, Grenoble)).
Jean Grosdidier de Maton, Armorial Haut-Alpin: Subdélégation de Gap, d'Embrun et de Briançon, vallées cédées, mandements hauts-alpins des baronnies, du Beaumont, de l'Oisans et de la Provence, Paris, Mémoire et Document, , 650p. (lire en ligne)
Gascogne et Guyenne
Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Guienne et de Gascogne. Revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogie et leurs armes, suivie d'un Traité héraldique sous forme de dictionnaire, Bordeaux, Paris, 1856-1883, 4 vol.
Languedoc
Hubert de Vergnette de Lamotte, Filiations languedociennes, 3 volumes, Mémodoc, Versailles, 2006
Limousin
Jean-Louis Ruchaud (dir.), Généalogies limousines et marchoises, 21 volumes, Editions Régionales de l'Ouest, 1982-2019
Lyonnais & Forez
André Steyert, Armorial général de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes, Lyon, Librairie Ancienne de Louis Brun, 1892-1893. In-4°
Ferdinand Frécon, Fonds Frecon, Dossiers bleu, XIII, Archives Départementales du Rhône, , 138p. (lire en ligne)
Normandie
Édouard de Magny (dir.), Nobiliaire de Normandie, Caen, Librairie héraldique d'A. Aubry, 1863-1864
Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Normandie, Londres, 1864.
Périgord
Gilles Le Barbier de Blignières (dir.), Généalogies périgourdines, 3 volumes, Patrice du Puy éditeur, Paris, 2014-2019
Aymar d'Arlot de Saint-Saud, Généalogies périgourdines, 4 volumes, Bergerac, 1898-1942.
Poitou
Henri Beauchet-Filleau et Charles de Chergé, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou (de A à L), Poitiers, 1909
Provence
René Borricand, Nobiliaire de Provence, armorial général de la Provence, du Comtat Venaissin et de la Principauté d'Orange, 3 volumes, Aix en Provence, Editions Borricand, 1974-1976.
Frédéric Mireur, Le tiers État à Draguignan, Draguignan, impr. de Latil frères, 1910.
Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Armorial général de la Touraine; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Tours, Société archéologique de Touraine, coll. «Mémoires», 1866-1867.
Velay
Gaston de Jourda de Vaux, Le nobiliaire du Velay et de l'ancien diocèse du Puy, Le Puy, 1925
Yves Durand, Les fermiers généraux au XVIIIesiècle, 1971
Xavier de Montclos, L'ancienne bourgeoisie en France, éditions A&J Picard, 2013
Mathieu Marraud, De la Ville à l'État. La bourgeoisie parisienne XVIIe – XVIIIesiècle, Paris: Albin Michel, 2009
Jean Duma (dir.), Histoires de nobles et de bourgeois. Individus, groupes, réseaux en France, XVIe – XVIIIesiècles, Paris: Presses Universitaires de Paris Ouest, 2011
Nicole Brondel, «L’Almanach royal, national, impérial: quelle vérité, quelle transparence? (1699-1840)», dans Bibliothèque de l'École des chartes, 166/1, 2008