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Plouaret (/plu.a.ʁɛt/ Écouter ; en breton : Plouared) est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France. Ancien chef-lieu du canton de Plouaret, elle se situe dans le Trégor (Bro-Dreger), en Basse-Bretagne (Breizh-Izel).
Plouaret | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Lannion | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté | ||||
Maire Mandat |
Annie Bras-Denis 2020-2026 |
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Code postal | 22420 | ||||
Code commune | 22207 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plouarétais, Plouarétaise | ||||
Population municipale |
2 206 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 74 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 36′ 45″ nord, 3° 28′ 16″ ouest | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 190 m |
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Superficie | 29,98 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Plouaret (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Lannion (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Plestin-les-Grèves | ||||
Législatives | 4e circonscription des Côtes-d'Armor | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | plouaret.fr | ||||
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Plouaret se situe dans le pays traditionnel du Trégor. La ville est située sur la ligne de TGV Paris-Brest et sa gare est dénommée Plouaret-Trégor. La ligne de chemin de fer Paris-Brest comporte un embranchement, en direction de Lannion. Un peu plus loin, en direction de Brest, elle passe dans un tunnel appelé communément « les voûtes ».
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Le plus proche voisin de Plouaret est Le Vieux-Marché (Ar C'houerc'had en breton), les deux communes étant séparées par le Saint-Ethurien.
Plouaret est localisée à l'extrémité occidentale du domaine nord armoricain, dans le Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Plouaret se situe plus précisément au sud d'un bassin sédimentaire essentiellement briovérien et d'un important massif granitique cadomien, le batholite nord-trégorrois. Ce pluton fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[2],[3].
L'histoire géologique de la région est marquée par la chaîne cadomienne. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par le cycle cadomien, formant essentiellement des schistes[4]. Cette chaîne montagneuse, qui devait culminer à environ 4 000 m, donne naissance à des massifs granitiques (dont le batholite côtier nord-trégorrois associé à un volcanisme d'arc insulaire et daté à 615 Ma)[5],[6].
Dans le domaine continental, l'épaississement consécutif à l'orogenèse cadomienne, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo à l'est de Plouaret) qui est datée entre 560 et 540 Ma[7].
L'orogenèse hercynienne s'accompagne d'un métamorphisme et d'un magmatisme qui se manifeste par un important plutonisme : le chapelet nord de granites rouges tardifs (ceinture batholitique de granites individualisée pour la première fois par le géologue Charles Barrois en 1909[8], formant de Flamanville à Ouessant un alignement de direction cadomienne, contrôlé par les grands accidents directionnels WSW-ENE, datés de 300 Ma, correspond à un magmatisme permien[9]. Le massif granitique de Plouaret, lié au fonctionnement du cisaillement nord-armoricain, fait partie de ce chapelet[10],[11].
Le relief de la commune est ainsi caractérisé par les plateaux accidentés de cuvettes humides qui dérivent de la surface d'érosion éocène qui se retrouve sur ce massif granitique et tout le long de la côte bretonne[12].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 °C), fraîches en été et des vents forts[14]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 948 mm, avec 15,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lannion à 14 km à vol d'oiseau[16], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 929,5 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].
Au , Plouaret est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Plouaret, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[21],[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[22]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,5 %), terres arables (25,5 %), forêts (7 %), zones urbanisées (5,9 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Plouaret est cité comme paroisse du diocèse de Tréguier dès 1330 dans l'enquête du procès de canonisation de Saint Yves, sous le nom de « parrochia Plebis Barbate ». une charte de Jean V, datée de 1441, parle du « bourch du vuilz Merché, en la paroisse de Ploearmet ou diocèse de Treguer ». Cependant, en 1444, dans le « Raoulin » on trouve encore la forme Plebs Barbata. la paroisse est appelée Ploearneth, dans un compte du chapitre de Tréguier de 1505, puis Ploearet dans un rôle des décimes de 1554, enfin Plouaret dans celui de 1596, copié en 1600.
Plouaret dérive du breton Plou et de saint Barvet (barbu en breton). Le nom de la commune en breton est Plouared.
L'occupation humaine à Plouaret est attestée depuis la fin de l'Âge du fer (-550 av JC)[26],[27], bien qu'il soit fort probable que le site soit occupé dès le Néolithique.
Des bornes milliaires, une voie romaine (près de Saint Mathieu)[28],[29],[30], quelques villas, artefacts et nécropoles gallo-romaines furent exhumés dès la fin du XIXe siècle. Un anguipède granitique du IIIe siècle après J.-C.fut déterré à Saint Mathieu près de la voie romaine. C'est le quatrième retrouvé en Bretagne sur dix en France, et soixante dix en Allemagne. Il trônait probablement en haut d'une colonne près d'un carrefour. Il avait à la fois une fonction spirituelle et pratique, pour susciter et la chance et la crainte, et aussi pour rappeler que le territoire était sous domination romaine. Représentant le syncrétisme gallo-romain Jupiter-Taranis, ces icônes furent mutilées sensiblement par les premiers évangélisateurs chrétiens de la région[31].
Le nom de Plouaret, sous la forme Ploervet, est cité pour la première fois en 1270[32].
Trois chevaliers plouarétais sont cités au fameux combat des Trente, qui eut lieu à mi-voie entre Josselin et Ploërmel le , pendant la guerre de succession du duché de Bretagne. Il s'agit d'Alain de Keranrais, Olivier de Keranrais et Guyon de Pont Blanc[33].
« Le troisième et septième jours de fut brûlée et ravagée la paroisse de Plestin par ceux du parti du roi. Et au réciproque le 21 du même mois de fut pareillement brûlée et ravagée la paroisse de Plouaret, Ploubezre et la ville de Lannion par ceux qui tenaient le parti du duc de Mercœur » a écrit le curé de Lanvellec[34].
Le éclata une insurrection contre-révolutionnaire à l'occasion d'une levée d'hommes pour marcher contre les rebelles de la Vendée actuelle[35]. L'insurrection s'étendit les jours suivants aux communes voisines. Six meneurs, dont Jean Lejeune[36], Yves Pitot, Pierre Le Roy, Geffroy François[37] et Barbe Jean, furent condamnés à mort par le tribunal criminel du département le (23 floréal an II)[38].
Le , à Crec'h-an-Hu, le chouan Le Pape dit Bel-amour fit fusiller le juge de paix, Pierre Huon, du canton de Vieux-Marché. Ensuite, au bourg de Plouaret, sa bande pilla la maison du curé et fit une autre victime, Jean Beuschet, sans que l'administration ni les habitants n'interviennent[39],[40].
Le est décidé, dans la cadre de la liaison Perros-Lorient, la construction de la départementale 11 reliant Plouaret à Callac[41].
1857, 27 Plouarétais sont déclarés titulaire de la Médaille de Sainte-Hélène[42], dont Jean-Marie Thomas, qui fut à Austerlitz, en Espagne, en Russie, à Waterloo, le Maréchal Ney lui remettra la légion d'honneur après le passage de la Bérézina. Il devint par la suite instituteur à Plouaret[43].
, le conseil municipal de Plouaret demande la séparation avec Le Vieux-Marché[44], celle ci sera actée par une loi du [45], le hameau du Vieux-Marché est détaché de Plouaret et devient une commune autonome[46].
Citation : "J'attends à Plouaret les nouvelles instructions ou les ordres du ministre."; En 1870 Léon Gambetta envoie un Capitaine en retraite M.Luyer dans les Côtes-du-Nord pour former une brigade. Il écrira plusieurs lettres depuis Plouaret, son rôle sera analysé par A. de la Borderie dans son rapport sur le camp de Conlie[47].
Dès 1865[48], en plein essor du Réseau breton, la ville de Lannion projetait de se raccorder à la ligne Guingamp-Morlaix. Deux projets se firent jour : le premier reliait Lannion à la gare de Belle-Isle - Bégard via Tonquédec et Pluzunet, le second plus court reliait Lannion à Plouaret via la gare de Kerauzern. Le fut inaugurée la ligne de Plouaret à Lannion.
Le monument aux morts porte les noms de 177 soldats morts pour la Patrie[49] :
Le , le Président des États-Unis Woodrow Wilson débarque à Brest puis monte avec le ministre des Affaires étrangères Stephen Pichont, le ministre de la Marine, Georges Leygues et d'une multitude de diplomates dans un train affrété pour Paris. Le train s'arrête en gare de Plouaret pour qu'il y soit servi tout un dîner diplomatique[50].
Un groupe de soldats allemands de la Feldgendarmerie, stationné à la Pépinière en Plouaret entre le et le , commît de nombreuses atrocités et crimes dans la région de Plouaret. Le , ils organisèrent une rafle à Plouaret, Le Vieux-Marché et Trégrom, laquelle entraîna l'arrestation de 7 jeunes résistants FTP (Auguste Pastol, Pierre Menou, Léon Le Guerson, Auguste Le Pape, Eugène Daniel, Faujouron et Joseph Hénaff), tous originaires de Plouaret. Ils furent affreusement torturés avant d'être exécutés tous les sept à Saint-Brieuc. D'autres arrestations, suivies de tortures et d'exécutions eurent lieu, notamment celles de René Guilaugard et Marcel Quéré, tous deux de Trémel. Après le départ des Allemands, des patriotes trouvèrent le dans les jardins de la villa « La Pépinière » les corps de Pierre et Eugène Quéniat, tous deux de Trémel, et celui d'Yves Floury[51],[52].
Le , sept résistants furent arrêtés par les Allemands au cours d'une rafle. Ils furent condamnés à mort par le tribunal militaire de Belle-Isle-en-Terre et furent exécutés le . Ces sept résistants membres du groupe FTP « La Marseillaise », de Plouaret, arrêtés le , furent exécutés au camp de manœuvre des Croix en Ploufragan. Le journal L'Ouest-Éclair, alors journal collaborationniste, écrit le sous le titre Sept terroristes sont exécutés à Saint-Brieuc : « Sept terroristes habitant les Côtes-du-Nord ont été jugés par une cour martiale allemande et condamnés à mort. La sentence a été exécutée. Les accusés étaient des auteurs de sabotages sur les voies ferrées, d'incendies volontaires et de plusieurs autres méfaits. Ils étaient en outre détenteurs d'armes, de munitions et d'explosifs »[53],[54],[55],[56],[57].
Le , un train fut mitraillé et bombardé par l'aviation alliée en gare de Plouaret[58].
Dans la nuit du 24 au , trois résistants furent arrêtés par les Allemands et exécutés peu après. Trois autres furent aussi exécutés à la Pépinière le .
La commune se trouve dans l'arrondissement de Lannion du département des Côtes-d'Armor.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Plouaret[46]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Plestin-les-Grèves
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription des Côtes-du-Nord.
Plestin-les-Grèves est membre de la communauté d'agglomération dénommée Lannion-Trégor Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Liste des maires avant 1945
:
Source | ||||
1945 | ? | F. Behan | SFIO | Cheminot |
octobre 1947 | mai 1953 | Yves Le Parquer (1900-1976) | ||
mai 1953 | mars 1959 | Jean Berthelot | Ancien directeur de cours complémentaire | |
mars 1959[80] | mars 1971 | Louis Prigent | MRP | Huissier de justice |
mars 1971 | mars 1977 | Jean Denis | PCF | Professeur au collège Luzel |
mars 1977 | 1986 | Norbert Le Jeune[81] | PCF | Ouvrier puis secrétaire de mairie, résistant Conseiller général de Plouaret (1951 → 1976) Président du SIVOM de Plouaret - Le Vieux-Marché |
1986 | mars 2001[82] | Robert Le Hec'h (1934-2023) | PCF | Retraité de l'enseignement Conseiller général de Plouaret (1992 → 2001) |
mars 2001 | mars 2014 | Christian Le Fustec[83] | PCF | Agriculteur |
mars 2014 | En cours (au 19 janvier 2021) |
Annie Bras-Denis | PS | Cadre du logement social Vice-présidente de la CA Lannion-Trégor Communauté (2020 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[84],[85] |
En 2005, la commune a obtenu le label « Communes du Patrimoine Rural de Bretagne » pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager.
Le Vieux-Marché et Plouaret sont jumelées avec la ville Irlandaise de Charleville (Irlande) dans le comté de Cork[86].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[88].
En 2021, la commune comptait 2 206 habitants[Note 2], en évolution de +3,28 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2015 | 2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
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2 136 | 2 195 | 2 206 | - | - | - | - | - | - |
La baisse démographique observée en 1866 correspond à la perte du hameau du Vieux-Marché, devenu une commune autonome[46].
La commune dispose[90] :
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .
Le niveau 3 de la charte Ya d'ar brezhoneg (oui au breton) de l'Office de la langue bretonne a été signé par la commune en .
Le label de niveau 1 de la charte Ya d'ar brezhoneg a été décerné à Plouaret le .
Liste du patrimoine de Plouaret[91].
On peut également signaler :
Il existe de nombreux manoirs sur la commune de Plouaret :
Yvonne Kerdudo[101]. Née en 1878 à Ploumilliau, elle s'installe à Plouaret comme accoucheuse à domicile, parallèlement à son activité de photographe dans le canton de Plouaret ; surnommée « Madame Yvonne », elle a laissé 13 400 négatifs photographiques sur plaques de verre, contenant plus de 20 000 photos. Restaurées à l'initiative de Pascale Laronze par la compagnie « Théâtre Papier », elles sont désormais la propriété de Lannion-Trégor Communauté ; malheureusement sans légendes, elles constituent toutefois un témoignage muet du Trégor rural entre 1905 et 1950[102].
À Plouaret est lié le nom du célèbre folkloriste François-Marie Luzel, dont un buste figure devant la mairie.
L'écrivaine Anjela Duval, poétesse en langue bretonne, est également enterrée à Plouaret.
Eugène Allanic[103],[104], résistant déporté mort à Ravensbrück le .
La comédienne Jacqueline Jefford est décédée dans la commune.
Yves Le Gac (1889-1958), député[105].
Yves Hernot, sculpteur de calvaires.
Blasonnement :
Bandé d'or et de sable de six pièces, à un franc-quartier vairé d'argent et de gueules. |
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