Felletin
commune française du département de la Creuse De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Felletin est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Felletin | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Creuse Grand Sud | ||||
Maire Mandat |
Vacant 2024-2026 |
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Code postal | 23500 | ||||
Code commune | 23079 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Felletinois | ||||
Population municipale |
1 536 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 112 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 53′ 04″ nord, 2° 10′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 459 m Max. 685 m |
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Superficie | 13,74 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Felletin (bureau centralisateur) |
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Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | felletin.fr | ||||
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La commune de Felletin est située dans la haute vallée de la Creuse au pied du plateau de Millevaches. Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse. Felletin est la porte d'entrée creusoise du parc naturel régional de Millevaches en Limousin.
Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 049 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,2 | −0,1 | 2 | 4,2 | 7,5 | 10,8 | 12,2 | 12,3 | 9,2 | 7,3 | 3,1 | 0,9 | 5,8 |
Température moyenne (°C) | 3,3 | 3,6 | 6,6 | 9,2 | 12,7 | 16,4 | 18,1 | 18,2 | 14,8 | 11,7 | 6,6 | 4 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,4 | 7,2 | 11,2 | 14,3 | 17,9 | 22 | 24 | 24,2 | 20,3 | 16,2 | 10,1 | 7,2 | 15,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,7 26.01.07 |
−16,4 07.02.12 |
−16,9 01.03.05 |
−5,2 08.04.03 |
−2 06.05.02 |
1,7 04.06.01 |
3,7 17.07.00 |
2,7 29.08.1998 |
0,5 14.09.1996 |
−7,2 29.10.1997 |
−11,5 22.11.1998 |
−13,3 15.12.01 |
−16,9 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,1 01.01.22 |
23,7 20.02.1998 |
24,3 30.03.21 |
27,7 30.04.05 |
31,1 22.05.22 |
36,2 30.06.15 |
38,9 23.07.19 |
39,1 18.08.12 |
35,1 04.09.23 |
33,5 08.10.23 |
24,7 08.11.15 |
19,5 31.12.21 |
39,1 2012 |
Précipitations (mm) | 81,7 | 69,7 | 73 | 93,3 | 92,1 | 81,1 | 79,2 | 72,3 | 79 | 70,5 | 90,4 | 86,7 | 969 |
Au , Felletin est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,3 %), forêts (29 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones urbanisées (10,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), eaux continentales[Note 1] (1,7 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Ligne | Caractéristiques | ||||||||
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L25 | Felletin/Montluçon > Guéret > Limoges | ||||||||
Felletin/Montluçon ⥋ Limoges | |||||||||
Ouverture / Fermeture — / — |
Longueur — |
Durée — |
Nb. d’arrêts 18 |
Matériel TER / Car |
Jours de fonctionnement L, Ma, Me, J, V, S, D |
Jour / Soir / Nuit / Fêtes O / O / N / O |
Voy. / an — |
Dépôt SNCF | |
Desserte :
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Autre : Circule toute l'année, même les jours fériés. |
Le territoire de la commune de Felletin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[14],[12].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 23 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 780 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 90 sont en aléa moyen ou fort, soit 12 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[12].
La commune est en outre située en aval du barrage de Confolent, un ouvrage sur la Creuse de classe A[Note 2] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 4,7 millions de mètres cubes[18]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Felletin est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].
La ville se nomme Falatin en occitan[21]. À partir des formes anciennes Filitin (attestée entre 1096 et 1108), Phylitini (1157), Feletin et Felleti (XIIe siècle), Marcel Villoutreix propose un dérivé du nom d'homme germanique Filisteus, avec le suffixe latin -inum[22].
L'origine de la ville est peut-être un domaine agricole ayant appartenu aux vicomtes d'Aubusson[23].
La ville de Felletin est construite autour de deux bourgs qui se sont soudés. Le premier s'était élevé autour du château construit par les vicomtes d'Aubusson sur le piton ouest de la colline de Beaumont. Le second s'était établi autour du prieuré ou moutier fondé par les moines bénédictins de l'abbaye Sainte-Valérie de Chambon-sur-Voueize. Il y a alors deux paroisses: celle de Beaumont, la plus ancienne, avec l'église Saint-Blaise, et celle du Moutier, avec l'église Sainte-Valérie construite vers 1121-1125. Les fouilles faites à côté de l'église Sainte-Valérie ont fait apparaître des structures plus anciennes. L'église Saint-Blaise est desservie par une communauté de prêtres-filleuls depuis la fin du Moyen Âge.
Felletin est alors une ville commerciale importante sur la route de Lyon à Limoges, qui passait par la Grande Rue[24]. Deux ponts, le pont Roby et le pont des Malades, y permettent le franchissement de la Creuse. La ville, marchande et artisanale, assure la transformation des productions de la montagne et est dotée d'institutions communales placées sous l'autorité de 4 consuls élus chaque année parmi les bourgeois et notables de la ville.
En 1228 et 1248, des incendies ravageurs se produisent. En 1278, Felletin est le siège d'une châtellenie. En 1300, Alengarde, la fille de Guy II, dernier vicomte d'Aubusson, confirme les privilèges de la ville.
En 1356, la ville est occupée par les Anglais.
Le château de Beaumont est détruit au début du XVe siècle. Un nouveau château est construit qui est lui aussi démantelé à la fin du XVe siècle. La ville est enserrée par une enceinte avec des tours rondes, ouverte vers l'extérieur par quatre portes : au nord, la porte du Château ; à l'est, la porte de la Pelleterie ; au sud, la porte de la Font-Anel ; à l'ouest, la porte Pisseloche. Devant ces portes — sauf devant la porte du Château — se développent des faubourgs où habite la main-d'œuvre ouvrière[25].
Entre 1454 et 1480, le prieur du Moutier entreprend la reconstruction de l'église Sainte-Valérie et, vers 1478, la communauté de Beaumont obtient de Pierre de Bourbon, comte de la Marche, de faire construire l'église Notre-Dame-du-Château.
En 1456 apparaît la première mention de la tapisserie dans le comté de la Marche avec un tapissier de Felletin nommé Jacques Bonnyn. On trouve une deuxième mention en 1473 quand les consuls de Riom reçoivent le tapissier de Felletin Jehan Beranhe. Les historiens donnent pour origine de la tapisserie dans le comté de la Marche, à Felletin, Bellegarde-en-Marche et Aubusson, le mariage en 1310 de Marie d'Avesnes, fille de Jean de Hainaut, avec Louis de Bourbon, comte de la Marche en 1322. À cette époque où, pour des raisons politiques, les Anglais ne livrent plus de laine dans les ports flamands, des tapissiers flamands sont probablement attirés vers le comté de la Marche par Marie d'Avesnes et sa cousine Marie de Flandre, mariée en 1312 à Robert VII d'Auvergne, devenue à la mort de celui-ci, en 1325, dame de Bellegarde-en-Marche. On trouve une nouvelle mention de la tapisserie de Felletin en 1514 dans l'inventaire après décès des biens de Charlotte d'Albret, veuve de César Borgia, dans lequel sont cités 75 pièces de Felletin « à champ doré, à feuillages et bêtes [...] à menus feuillages sur bandes rouges, blanches et vertes ».
En 1479, les consuls font construire l'Hôtel-Dieu (fin du XVe siècle). Il en reste sa chapelle, qui devient en 1674 la chapelle des pénitents bleus de l'Assomption-de-la-Vierge.
De 1576 à 1580, la ville est occupée par des troupes protestantes.
En 1581, les moines du Chambon quittent le prieuré pour retourner à l'abbaye. Le 22 novembre de la même année, Montaigne passe par Felletin en revenant d'Italie pour aller prendre ses fonctions de maire de Bordeaux[26].
En 1584, le prieuré devient un simple bénéfice. Le 15 février 1589, un collège est fondé pour améliorer l'enseignement catholique[27].
Au début du XVIIe siècle, sous l'influence de la Contre-Réforme, pour favoriser la vie spirituelle et communautaire, sont créés des confréries de pénitents à Felletin :
Felletin devient une manufacture royale en 1689. Elle est en concurrence avec la manufacture royale d'Aubusson. Mais au XVIIIe siècle, les tapisseries d’Aubusson détournent le flux commercial ce qui provoque l’abandon de l’itinéraire ancien, et donc un recul du passage et des commerces à Felletin[24].
Les fortifications de la ville sont arasées au XVIIIe siècle. Il n'en subsiste que deux tours en 1817.
En 1771, Felletin accueille Michel-Etienne Lepeletier de Saint-Fargeau (père du futur conventionnel), président à mortier au parlement de Paris, exilé par Louis XV pour s'être opposé à la réforme judiciaire lancée par le chancelier Maupeou. S'adonnant à la mode nouvelle de l'archéologie, c'est lui qui aurait donné le nom de "cabane de César" au dolmen de la Croix blanche situé sur les hauteurs de la ville[29].
Entre 1790 et 1800, Felletin est chef-lieu de district.
En 1795, l'église Saint-Blaise est détruite par un incendie. L'église Sainte-Valérie devient l'église principale de Felletin.
Depuis le Moyen Âge, comme dans toutes les communes de la Marche, chaque année durant la période de faible activité agricole, beaucoup d'hommes se rendent dans les grandes villes et les ports afin d'y être embauchés sur les chantiers du bâtiment ou de la construction navale comme maçons, charpentiers de marine, couvreurs… C'est ainsi que les maçons de la Creuse deviennent bâtisseurs de cathédrales. En 1624, ils construisent la digue de La Rochelle ; au XIXe siècle, ils participent à la reconstruction du Paris du baron Haussmann. Initialement saisonnière de novembre à mars, l'émigration devient définitive : ainsi, entre 1850 et 1950, la Creuse perd la moitié de sa population. On trouve dans le livre de Martin Nadaud Mémoires de Léonard la description de cet exode qui marqua si fortement les modes de vie.
En 1877, le cimetière de Beaumont ainsi que la lanterne des morts qui s'y trouvait sont déplacés[30].
En 1889-1890, c'est à l'initiative d'un Creusois de Paris, Claude Blaise Vennat[31], né à Felletin, qu'est créé un atelier de taille du diamant à Felletin. À Paris, Claude Blaise Vennat avait appris le métier de la taille des diamants chez Louis Gruet, appartenant à une dynastie de lapidaires originaires de Saint-Claude et installé lui-même à Paris en 1883. Il s'était associé avec Edouard Willingstorfer, lapidaire et diamantaire né à Paris. Pour l'attirer dans son projet, Claude Blaise Vennat lui vante la disponibilité de la force motrice de la Creuse toute l'année. Ils s'installent dans le moulin de Chissat, rue de la Maison-Rouge. Le nombre d'ouvriers employés à la taille du diamant augmente progressivement. Vers 1905-1906 est créée la Société coopérative des ouvriers diamantaires de Felletin, la Felletinoise. La déclaration de fondation est publiée dans le Journal officiel du 9 décembre 1906. En 1911-1912, quinze coopérateurs décident de créer un atelier moderne à l'image de ceux qu'ils ont visités à Saint-Claude. C'est l'origine de la diamanterie de Pont-Roby[32]. Elle va travailler avec la Fédération des coopératives diamantaires de France et de Suisse, installée à Saint-Claude. En 1927, il y a 25 coopérateurs, puis 21 en 1932. L'activité diamantaire commence à décliner à partir de 1930. En 1950 apparaissent les diamants synthétiques. La Felletinoise ferme en 1982.
En 1889, après la démolition d'un îlot de maisons insalubres, la municipalité fait construire une halle à côté de la fontaine Courtaud.
En 1902, la ville se dote d'un nouvel abattoir.
En 1906, la Caisse d'Épargne de Felletin est construite face au portail de l'église Sainte-Valérie.
En 1911 est fondée l'école des métiers du bâtiment, remplacée en 1947 par l'École nationale du bâtiment, puis, en 1998, par le lycée des métiers du bâtiment[33].
En 1959, la halle est démolie pour créer la place Courtaud[34].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1956 | Jean Mazet | Rad. puis DVD | Entrepreneur de bâtiment et travaux publics Conseiller municipal (1953 → 1956) Conseiller général de Felletin (1958 → 1982) Suppléant du député Olivier de Pierrebourg (1962 → 1967 et 1968 → 1973) | |
Michel Pinton | UDF-AD | Éleveur Ancien député européen (1993 → 1994) | ||
Renée Nicoux | PS | Enseignante et proviseure adjointe de lycée Sénatrice de la Creuse (2009 → 2014) Conseillère régionale du Limousin (2004 → 2010) Vice-présidente de la CC Aubusson-Felletin | ||
Jeanine Perruchet | DVD | Retraitée 2e adjointe au maire (1995 → 2008) Conseillère municipale (2008 → 2014) | ||
[35] (démission) |
Renée Nicoux | PS | Retraitée de l'enseignement Conseillère départementale de Felletin (2021 → ) |
Ville | Pays | Période | ||
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Schladming[36] | Autriche | depuis |
Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[37].
Au dernier recensement, la commune comptait 1536 habitants.
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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1 554 | 1 536 | - | - | - | - | - | - | - |
La petite ville industrielle de Felletin doit son activité à la tapisserie dont elle fut le berceau ainsi qu'à la taille du diamant.
Une filière laine active :
Blason | D'argent, à une croix ancrée de gueules[51].
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Détails | D'après le sceau des consuls du lieu au XVIe siècle. Utilisé par la commune. |
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Alias |
D'or, à trois fasces de gueules, celle du milieu chargée de trois feuilles de laurier d'argent. Attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle. |
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