Famille Gueydon de Dives
page d'homonymie de Wikimédia De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La famille Gueydon de Dives est une famille subsistante d'ancienne bourgeoisie française.
La famille Gueydon de Dives est une famille d'ancienne bourgeoisie du Périgord qui donna des consuls de Périgueux sous l'Ancien Régime. Elle a gardé le nom de son manoir de Dives à Manzac[1], (Dordogne)[2]. Jean Gueydon (1551-1645), était bourgeois et consul de Périgueux.
- Amédée Gueydon de Dives (1800-1875) épouse Julia Bérard de Verzel.
- Joseph Marie Gueydon de Dives (9 février 1825 - 3 janvier 1875), chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur[3]. Joseph Marie Gueydon de Dives épousa Marie Madeleine de Scorailles (née le 1er mars 1839) le 20 janvier 1863 à Coursac en Dordogne.
- Henri Gueydon de Dives (1832-1919), épouse en 1863 Marie Louise de Villars.
- Jean Baptiste Amédée Gueydon de Dives (1 mai 1865 - 11 septembre 1934), directeur financier à la Banque de Madagascar, chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur[4]. Jean Baptiste Amédée Gueydon de Dives épouse Marguerite Marie Solange De Preaux (née le 28 avril 1883) le 7 janvier 1908 à Préaux.
- Bernard Gueydon de Dives (7 mars 1869 - mort pour la France le 25 septembre 1915), chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur[5].
- Louis Gueydon de Dives (1875-1956) épouse en 1907 Marthe Rémanjon.
- Jean Gueydon de Dives (1909-1991 ) ingénieur des Ponts et Chaussées,marié à Marguerite Bonchalmas (1915-1999).
- Chantal Gueydon de Dives.
- Jean-Paul Gueydon de Dives.
- Hélène Gueydon de Dives.
- Henri Gueydon de Dives (5 juillet 1910 - 29 mars 2007), capitaine de corvette, écrivain. Il épouse Jacqueline Egger (1918-2006), directrice du quotidien Les Échos de 1966 à 1989.
- Jean-Louis Gueydon de Dives (1942), traducteur en français de l'ouvrage d'Eliot Cowan Soigner avec l'esprit des plantes. Une voie de guérison spirituelle[6] A réalisé plusieurs court-métrages sur la relation avec les plantes [7]. Il a épousé Victoria von Kirchbach, Caroline de Gasquet et Anana Terramorsi en troisiemes noces.
- Bernard Gueydon de Dives (1916-2014), ancien élève de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (promotion 1937-1939). Il épouse Suzanne Bonnetête (1926-2019), dite Suzanne Gueydon de Dives[11],[12]. Elle est officier de l'ordre national de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945 avec 3 citations, médaille de vermeil de la Croix-Rouge française, chevalier de l'ordre du Mérite congolais, médaille de la Ville de Toulon. Responsable d'associations consacrées à la formation de la femme africaine, elle est également présidente du « Comité français ONG/ONU » (comité de liaison des Organisations non gouvernementales et de l'Organisation des Nations unies)[13], et membre de l'Académie des sciences d'outre-mer, élue le [14],[15]. Elle a publié l'ouvrage Un humanisme à la française : Témoignage d'une combattante de la paix.
- Christian Gueydon de Dives épouse Alix de Cerval.
- Elsa Gueydon de Dives.
- Lorraine Gueydon de Dives.
- Charles Gueydon de Dives.
- Christian Gueydon de Dives épouse Alix de Cerval.
- Jean Gueydon de Dives (1909-1991 ) ingénieur des Ponts et Chaussées,marié à Marguerite Bonchalmas (1915-1999).
- Philippe Gueydon de Dives épouse Félicité Julie Chapel.
- Amédée Lucien Félix Fernand Gueydon de Dives (4 avril 1860 - 14 janvier 1919), ancien élève de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr promotion (1881-1883), général de brigade commandant en chef au Maroc. Commandeur de l'ordre national de la Légion d'honneur, il s'est illustré pendant la campagne du Maroc (1907-1914) et la bataille d'Elhri. Il est mort pour la France à l'hôpital d'évacuation de Oujda au Maroc[16],[17]. Il épouse Thérèse Pélissier.
- Aimé Lucien André Fernand Gueydon de Dives (1887-1958), épouse le 6 mars 1920, à Castiglione (Algérie), Yvonne Anna Le Gentil.
- Amédée Lucien Félix Fernand Gueydon de Dives (4 avril 1860 - 14 janvier 1919), ancien élève de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr promotion (1881-1883), général de brigade commandant en chef au Maroc. Commandeur de l'ordre national de la Légion d'honneur, il s'est illustré pendant la campagne du Maroc (1907-1914) et la bataille d'Elhri. Il est mort pour la France à l'hôpital d'évacuation de Oujda au Maroc[16],[17]. Il épouse Thérèse Pélissier.
Bibliographie
- Gontran du Mas des Bourboux, L'ancienne noblesse du Périgord subsistant en Dordogne, pages 15 et 16 (pages concernant des anciennes familles bourgeoises possédant des fiefs), Périgueux, Pilote 24 édition, 2001
Articles connexes
Wikiwand in your browser!
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.
