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Tournées d'Alan Stivell

Liste des concerts donnés par Alan Stivell De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Tournées d'Alan Stivell
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Depuis ses débuts sur scène, Alan Stivell a enchaîné les tournées de concerts aussi bien en Bretagne, en France, en Europe qu'à l'international. Sa pratique des langues bretonne, française et anglaise, son niveau musical et sa diversité d'approches lui permettent d'accéder à une reconnaissance à la fois locale et mondiale. En effet, ses racines bretonnes et celtiques et la modernité de sa musique, assez proche de celle des anglo-celtes, lui permettent de toucher le public étranger plus facilement que la plupart des chanteurs ou groupes francophones[1].

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Alan Stivell et les musiciens qui l'accompagnent en 2016.

Dès 1966, il chante à l'étranger et, invité par les Moody Blues, il se produit en au Queen Elizabeth Hall de Londres. Dès 1973, après une tournée française sous de grands chapiteaux, il part à la « conquête » des pays anglophones et de l'Europe : Allemagne, Scandinavie, Italie, Espagne[2]… Connu dans le monde anglo-saxon en tant que « celtic harpist », il a effectué de nombreuses tournées en Amérique du Nord et deux grandes tournées en Australie : la première en 1977 (la plus importante pour un artiste de citoyenneté française)[3], la seconde en 1981. Avec des spectacles toujours renouvelés, il s'est produit sur tous les continents et dans les plus grandes salles, en particulier en Italie (tournée 1980 des stades et des parcs).

« Ma fierté, faire taper des mains les jeunes Romains, et constater l'impact sur des gens très éloignés culturellement, comme des émigrés indonésiens en Hollande ou des Amérindiens, qui se mettent à danser sur un de mes morceaux. L'humanité entière est ouverte à tout ça. On n'est pas morts. On se dit que la Bretagne peut survivre. »

Alan Stivell en 2006[4]

Ces tournées à l'étranger, rendues possibles par le réinvestissement de la quasi-totalité de ses gains, ont plusieurs buts pour la Bretagne selon l'artiste : que les Bretons prennent conscience de la valeur originale de leur culture, qui peut être appréciée dans tous les pays, que sa reconnaissance suscite l'intérêt et qu'elle marque un début de liberté afin que l'ouverture au monde permette « un début de décolonisation », une « conquête pacifique », une communication « de pays à pays, de peuple à peuple, sans passer par Paris » : « Lorsque la musique bretonne sera connue sous toutes les latitudes, la Bretagne sera sauvée : elle ne pourra plus disparaître parce que le monde entier lui apportera son soutien après avoir pris conscience de notre problème. »[5]

Depuis la publication de son livre Telenn, la harpe bretonne en 2004, Alan effectue épisodiquement des tournées de dédicaces pour promouvoir la parution d'un nouveau livre. Il a donné sa dernière dédicace en date en juillet 2024.

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Années 1950

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À Paris se tenaient tous les ans la Saint-Yves aux Arènes de Lutèce et le spectacle Musicorama à l'Olympia.

Le , à l'âge de neuf ans, Alan Stivell se produit à la Maison de la Bretagne à Paris.

En , il se produit à Paris lors de la Journée de l'Unesco et le « Noël des Petits Bretons » organisé par Bleimor dans le quartier du Ranelagh[6]. Cette même année, durant l'été, il se produit successivement à Vannes (Cathédrale Saint-Pierre et Lycée François-Xavier, avec 2 chanteurs de Sainte-Anne-d'Auray), Pontivy et Paris (Grand amphithéâtre de la Sorbonne, au meeting de l'UFCS).

En , Alan Stivell se produit à Paris, à nouveau au Noël des Petits Bretons, puis à Ker-Vreizh (Maison de la Bretagne), au Pardon de la Saint-Yves (Arènes de Lutèce) et à la Journée Kendalc'h (Mission bretonne)[7].

En 1956, Alan Stivell se produit à Paris pour l'Association philomathique, l'Académie Raymond Duncan (Irlandais de Paris), au Salon de Bagatelle, au Cabaret Le Pichet, à la Salle de Géographie, à Paramé (Fête des Œillets), à Brest (Festival des Cornemuses)[8], Morlaix (Fêtes du Léon-Trégor) et à l'automne 1956 à Paris, probablement à la Maison de la Radio, lors du Concours national du Royaume de la musique de Sylvie Raynaud-Zurfluh diffusé sur la RTF[8].

Le , il se produit à L'Olympia de Paris, en première partie de Line Renaud à l'âge de 13 ans, sous le nom d'Alain Cochevelou. Durant l'émission Musicorama diffusée par la radio Europe 1, sont également programmés : Arman Gordon et son ragtime jazz band, Les Trois Ménestrels, Jacques Fabbri, Renato Rachel, Jacques Verrière, Francis Claude, John William, Jean Piat et Jacques Charron[9].

Les 21 et , il participe à « La Grande Herquelée » à Saint-Malo[7].

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Années 1960

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Le bâtiment historique de l'American Center (Paris) et le Queen Elizabeth Hall (Londres).

En , Alan Stivell se rend à Graz en Autriche avec la chanteuse Andrea Ar Gouilh et le cercle celtique Dalc'h-Mat de Savigny[10] et effectue une prestation privée à l'église Saint-Martin de Brest pour le mariage de son frère Jean[11].

Le , il est invité au Congrès Celtique International qui a lieu à Tréguier (Côtes-d'Armor), avec Andréa Ar Gouil[11].

En , il se présente pour la première fois sur la scène ouverte Hootenany au Centre américain, boulevard Raspail à Paris. L'été, il se produit aux Fêtes de Cornouaille à Quimper et au Festival des Filets bleus à Concarneau dans le Finistère. Il se produit également dans les bars-cabarets, Chez Michou à Quimper[12], Chez Ti-Jos à Paris[13], dans un cabaret à Santa Margherita Ligure en Italie... Portofino et Gênes représentent également les premiers concerts qu'il réalise au-delà des frontières françaises[14],[15].

En , il se produit au centre Élysée-Bretagne à Paris dans le cadre des Soirées de Folk Song Celtique. Durant la période de mai 1968, il réalise plusieurs concerts de soutien, à Orly pour les grévistes de l’aéroport, au cinéma Omnia de Brest... Il se produit également au Arts Lab de Drury Lane à Londres (Royaume-Uni) et au Queen Elizabeth Hall en première partie des Moody Blues[16]. En , il est de retour au Centre américain à Paris, avec Steve Waring et notamment en première partie de Tom Paxton.

Le , il joue à Lannion en Bretagne, lors d'un récital partagé avec le chanteur breton François Budet et le 1er mars, il est à Nantes pour un « Grand Gala Breton » dans la salle Colbert[17]. Dans le Finistère, il joue à Commana avec le guitariste Dan Ar Braz[18].

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Années 1970

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Tournée Renaissance de la Harpe Celtique

Cette tournée d'Alan Stivell est basée sur des prestations la plupart du temps en solo, autour de la harpe celtique. Bien que son album Reflets soit sorti avant, en , c'est l'album Renaissance de la harpe celtique sorti fin 1971 qui est mis en avant lors des prestations de l'artiste, afin de promouvoir le répertoire traditionnel arrangé tout comme l'instrument renouvelé.

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  • A noter que dans cette décennie, Alan Stivell a été l'invité de l'émission sur Radio France Limoges de Jean-Marie Masse, du Hot-Club, qui fit de Limoges l'une des capitales européennes du jazz.

Tournée À l'Olympia

Cette tournée, en Bretagne puis en France, avec des excursions en Angleterre et au Québec, fait suite au concert dans la salle de l'Olympia, diffusé sur Europe 1 et à sa parution en septembre 1972 sous la forme d'un disque 33 tours, À l'Olympia. Alan Stivell est accompagné d'un orchestre de base, Dan Ar Braz (guitare électrique), Gabriel Yacoub (guitare, dulcimer et banjo), Gérard Levasseur (basse), Pascal Stive (orgue), René Werneer (fiddle), Michel Santangeli (batterie) auquel s'ajoutent lors de concerts Michael Klec'h (bombarde et flûte), Henri Delagarde (violoncelle, flûte et bombarde) et Serj Parayre (percussions)[25]. Ils effectuent plusieurs passages lors d'émissions télévisées sur l'ORTF à Paris : Tour de Chants le (Alan Stivell interprète Tri Martolod), Midi Trente présenté par Danièle Gilbert le (il interprète la Suite irlandaise)...

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Tournée Chemins de Terre

Entre le 16 et le , Alan Stivell se produit 3 jours à Bruxelles (Belgique)[31]. En , il est trois semaines d'affilée à l'affiche de la salle parisienne Bobino, enchaînant ensuite, du au , avec une tournée au Canada[31]. Jacques Attali était présent à Bobino : « Vers la fin du show, tout le monde danse à la bretonne dans les allées en se tenant le petit doigt. C'est très marrant et tous les gens s'éclatent de bon cœur. Stivell sera rappelé trois fois et toute la nuit s'il avait voulu... Après le spectacle, on se sent bien, drôlement bien et on cherche à savoir pourquoi cette musique a provoqué un tel phénomène. D'abord cette joie, cette envie de communiquer avec son public, cette proche distance avec son public. Ensuite, cette ambiance sympathique. Bien sûr, cela doit être beaucoup plus ressenti quand on est breton, mais la barrière n'est, somme toute, pas si infranchissable. […] Du point de vue orchestration, rien à dire : tout est en place. […] D'ailleurs, après le spectacle, vous ferez comme moi la différence entre Bretons et Français. Cependant, je me suis aperçu que les Français perçoivent bien le folk à Stivell. À cela une raison simple : nous sommes beaucoup plus proches du folk celtique à la base de notre civilisation que du folklore anglo-saxon. […] Alan s'en sert en arpèges majestueux et le son de l'instrument est vraiment merveilleux et original. […] L'autre soir, j'ai découvert Stivell, j'en suis très heureux, faites comme moi. Vive la Bretagne ! »[32]. Son passage à Bobino était initialement prévu du 1er au et c'est sa tournée au Canada qui a fait qu'il ne puisse pas prolonger d'une semaine en mars[31].

L'album Chemins de terre sort en . Quelques changements s'effectuent au niveau des musiciens : Jean-Luc Hallereau remplace Gérard Levasseur à la basse avant d'être lui-même doublé par Jacky Thomas, Alain Carbonare remplace Pascal Stive aux claviers avant que celui-ci ne reprenne sa place. Du 3 au , l'album est présenté en Bretagne lors d'une grande tournée, l'équipe ayant loué un chapiteau de 3 000 places assises, trop petit dans des villes comme Quimper[33]. Une tournée au Royaume-Uni, initialement prévue du 19 au , a vraisembablement été annulée (ou repoussée), les dates se chevauchant sur d'autres dates certifiées en France. Les lieux étaient les suivants : Londres (Théâtre royal de Drury Lane), Bristol (Hippodrome), Birmingham (Town Hall), Newcastle (City Hall), Leeds (Town Hall), Liverpool (Empire), Manchester (Free Trade Hall), Norwich (St-Andrew's Hall). Cependant, début juin, il se rend à plusieurs émissions en Grande-Bretagne : le pour une émission en gallois sur la BBC, le lendemain à The Old Grey Whistle Test et à nouveau sur la radio BBC à Londres après son passage au pub The Marquis[34].

Il se produit également au printemps 1973 au Creusot (à la Maison des Arts et des Loisirs « L.A.R.C. ») et dans le pays basque en Espagne (Bilbao - Pabellón municipal, Saint-Sébastien - Polideportivo Anoeta ; dates indéterminées)[35].

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Tournée E Langonned et E Dulenn

Cette période s'illustre par sa dualité entre le local et le global, des concerts à l'échelle de la Bretagne ou à travers des grandes salles et stades. Ainsi sort à la fois E Langonned fin 1974 et E Dulenn début 1975, l'un étant enraciné au plus près de ses origines paternelles, l'autre étant ouvert aux « frères » des pays celtiques et plus largement à toutes les cultures et tous les opprimés (chanson Délivrance). Parmi les musiciens, Gabriel Yacoub choisit de quitter le groupe pour créer le groupe Malicorne. Patrick et Dominique Molard sont présents à cette époque. Hervé Renault joue de la cornemuse en 1974 et le sonneur Bruno Le Rouzic, issu du Bagad Bleimor, joue sur la tournée de 1975[42], accompagné parfois des membres du bagad[43].

Fin 1974, le très engagé Alan Stivell organise la tournée de son nouvel album E Langonned sous le patronage des deux magazines de l'UDB, Le Peuple breton et Pobl Vreizh. Concrètement, à l'achat du billet ou à l'entrée de la salle de concert, le spectateur a la possibilité de remettre par écrit une question sur tous les sujets de société, de politique, de culture qu'il désire. À l'entracte, l'artiste breton présente deux ou trois militants de l'UDB pour répondre aux questions et entamer chaque soir un dialogue avec le public[44]. En deux mois, il assure même 50 spectacles, de Dublin à Stockholm en passant par Barcelone et Milan[45],[note 1].

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Tournée Trema'n Inis

Trema'n Inis : Vers l'île est un album intimiste dédié aux poètes breton, enregistré seulement avec Dan ar Braz. En effet, au niveau des musiciens, René Werneer, Pascal Stive, Jacky Thomas et Michel Santangeli forment le groupe Ys, Alain Carbonare forme le groupe folk Machin. C'est donc la formation mythique qui est dissoute, Dan ar Braz étant le seul musicien restant. Ce nouveau projet plus folk acoustique l'amène à s'expatrier en Europe.

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Tournée Raok Dilestra

'Raok dilestra : Avant d'accoster est la tournée de l'album tourné vers le rock progressif. Ainsi il s'entoure de quelques musiciens du groupe Magma (André Hervé, Maria Popkiewicz). Il entame sa collaboration avec le violoniste Patrick Kerre.

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Tournée Un dewezh 'barzh 'gêr

Un dewezh 'barzh 'gêr : Journée à la maison est un album dans lequel le chant en breton est très important. Ainsi, une grande tournée bretonne est organisée par l'Union démocratique bretonne. Mais cela ne l’empêche pas de tourner en Europe et en Amérique du Nord. Lors du festival interceltique de Lorient en août 1978, il initie la chanteuse folk américaine Joan Baez à la danse bretonne[63].

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Tournée International Tour

Pour cette tournée à nouveau en grande partie à l'étranger, Alan Stivell s'entoure de musiciens internationaux : le flûtiste virtuose Chris Hayward, le bassiste Michel Valy, le guitariste Mark Perru, le violoniste Patrick Kerre. Elle fait suite à l'enregistrement live de International Tour: Tro Ar Bed.

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Années 1980

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Symphonie celtique : Tír na nÓg le au stade de Lorient sous la pluie

En 1980, Alan Stivell donne sur scène sa Symphonie celtique : Tír na nÓg, orchestrée avec Christopher Hayward et Michel Prezman. L'unique représentation publique a lieu le à Lorient, Stade du Moustoir, dans le cadre du Festival interceltique de Lorient 1980, devant 8 000 spectateurs[64],[65]. L'été, est également organisé une tournée en Italie dans les stades et les parcs, dont celui de Milan qui accueille 14 000 personnes et le à la Villa Torlonia de Rome avec la présence de 11 000 spectateurs[66].

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Tournée Terre des vivants

Cette tournée, qui démarre après la sortie de Terre des vivants, est passée par l'Espagne en , l'Italie en mai et l'Allemagne en juin avec comme musiciens Laurent Cokelaere, Georges Gasquy, Bernard Coutelan, François Laizeau, . Ensuite, Alan Stivell passe plusieurs fois par les États-Unis, jusqu'en Australie fin 1981 ; ainsi, Yves Thézé, proviseur breton, évoque dans les colonnes du Télégramme son passage sur scène lors d'un concert d'Alan au théâtre de Canberra en Australie[68].

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Tournée Légende

C'est à l'étranger qu'Alan Stivell va surtout devoir se produire car hors de l'Hexagone la passion pour la musique celtique brûle toujours. Son univers onirique trouve donc des résonances Outre-Manche et Outre-Atlantique, en proposant les enregistrements de l'album Légende (ou Legend en anglais, Mojenn en breton). Se produisant en formation très réduite, cette tournée est à nouveau très confidentielle[73]. Il se produit quelquefois en Bretagne, dont deux années au Festival interceltique de Lorient mais de façon différente de celle de son dernier passage de 1980[74] et dans des endroits propices au mythologique tels que les églises bretonnes, la cathédrale de Barcelone[75].

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Tournée Harpes du Nouvel Âge

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Jean-Claude Normant

Alan Stivell réalise plusieurs prestations en solo durant cette tournée, accompagné de sa harpe et de flûtes irlandaises. Ainsi, il interprète des titres de son album Harpes du Nouvel Âge (enregistré en solo) et divers morceaux extraits de ses albums précédents, en particulier Renaissance de la harpe celtique, Chemins de Terre, Trema'n Inis : Vers l'île et Légende. L'été 1985, il se produit dans plusieurs églises de Bretagne pour des concerts intimistes. Il voyage dans le Sud de l'Europe et jusqu'aux États-Unis, recevant en 1986 un Indie Award de la part des producteurs et des distributeurs américains[76]. Son nouveau guitariste Yvon Landoas[77] et Jean-Claude Normant aux claviers[78] l'accompagnent en Europe et probablement Bernard Coutelan (guitare) aux États-Unis.

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Tournée Delirium

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Sylvère Morisson

Delirium est le dernier disque d'Alan Stivell paru en format vinyle, un "deux titres" enregistré au studio Arthea à Grasse (45 tours WEA). Les musiciens qui participent à l'enregistrement mais aussi aux concerts sont : Yves Ribis (guitares, Glaz), Thierry Gillet (batterie, CC Parker), Sylvère Morisson (claviers, Michel Tonnerre), Patrick Goyat (basse, Red Cardell)[81].

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Années 1990

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Tournée The Mist of Avalon

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Alan Stivell au festival de Dolceacqua (Italie) en 1991.

The Mist of Avalon est le nom de l'album sorti en 1991, sur lequel enregistrent des musiciens de Kate Bush et son frère qui signe deux textes (la chanteuse participe à l'enregistrement de Kimiad sur l'album Again en 1993). La tournée, dédiée à l'univers des légendes arthuriennes, prolongement de l'album, permet des rencontres avec des figures majeures de la musique celtique comme Paddy Moloney et son groupe The Chieftains, Loreena McKennitt, qui déclare en 1991 avoir découvert la musique celtique dans les années 1970 en écoutant l'album Renaissance de la harpe celtique[85]. Parmi les musiciens, Gérard Macé occupe le poste de batteur.

En 1993, après la sortie de l'album d'Idir Les Chasseurs de lumière auquel participe Alan Stivell en duo sur Isaltiyen Les Celtes »), il l'accompagne pour la promotion de l'album sur des plateaux télévisés, notamment sur France 3 Bretagne et sur France 2 en concert au théâtre de l'Empire pour l'émission en direct Le Cercle de minuit[86].

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Tournée Again

Sorti en , l'album Again marque un nouvel engouement pour la musique celtique, Alan Stivell réarrangeant les morceaux qui ont marqué le début des années 1970 avec l'aide de célèbres musiciens des pays celtiques notamment. La tournée rencontre ainsi un large public avec une forte demande en Bretagne et en France. Il choisit d'interpréter des titres qui représentent un panorama de la musique celtique pour montrer les points communs, sa diversité et sa singularité[88]. Le début de la tournée est marqué par l'incendie du Parlement de Bretagne le , ce qui amène l'artiste à écrire la chanson Parlament Lament pour le concert au profit de la reconstruction du Parlement le à Rennes[89]. Les musiciens qui prennent part aux concerts sont : les tchèques Michal Senbauer (guitares, chœurs) et Karel Holas (violon électrique) du groupe České Srdce (Bohemian Heart), le contrebassiste d'origine malgache Dina Rakotomanga (basse, chant, percussions), Guillaume Saint-James (claviers, saxophone ténor, chœurs), Hervé Batteux (batterie, percussions), Pierrick Lemou (violon, bouzouki).

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Tournée Brian Boru

Sorti le , l'album Brian Boru est axé sur l'Irlande et l'Écosse, n'oubliant pas des thèmes forts pour la Bretagne : Let the Plinn, une dañs plinn qui s'inscrit dans la mouvance hip-hop, l'enregistrement de Parlament Lament et la modernisation de l'hymne breton qui retrouve ses origines galloises. La « vague » Again se poursuit et Ouest-France parle donc de « l'incontournable Alan Stivell ». La tournée démarre par le Zénith de Paris et se termine deux ans après par des concerts à l'Ouest des États-Unis et au Québec.

L'été 1995, il est à l'affiche de plusieurs festivals bretons et Le Télégramme titre : « Alan Stivell l'éternel magicien / On the road again ». Au Festival interceltique 1995, il est exceptionnellement accompagné d'invités des pays Celtes : le St Andrew's Pipe Band, les chanteuses écossaises de Tannas, le chœur gallois Cor y Brythoniaid et des danseuses. Le fondateur du festival, Pierrot Guergadic, monte sur scène pour un hommage[97]. L'été suivant, il se produit devant 60 000 personnes à la Fête de l'Humanité. Aux États-Unis, Alan Stivell rencontre un public nombreux, plusieurs fois au Lincoln Center, le principal centre culturel de New York, dans l'île de Manhattan, proche de Central Park, à Atlanta (« The return of the Bard of Brittany in Atlanta »), Washington et Boston[98].

Les musiciens qui l’accompagne sont : Pascale Le Berre-Pascal (claviers), Klifa Rachedi ou Ahmed Djemai (percussions), Robert Le Gall (guitares, violon, direction musicale) et un guitariste acoustique. En 1995, la section rythmique est assurée par Félix Sabal-Lecco à la batterie (Peter Gabriel, Manu Dibango) et Dina Rakotomanga, un bassiste qui a joué avec Salif Keïta. À partir de l'été 1996, ils sont remplacés par Pascal Sarton (basse) du groupe Gwendal et Christophe Gallizio (batterie)[59].


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Tournée Eunn Douar

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Festival interceltique de Lorient 1998

L'album 1 Douar sorti en , s'ouvre au monde, notamment à l'Afrique, avec les chanteurs Youssou N'Dour et Khaled et des instruments comme la darbouka, la kora, le djembe. Ainsi, Klifa Rachedi poursuit sa route aux côtés de l'artiste aux percussions. On retrouve également Pascale Le Berre-Pascal (claviers), Robert Le Gall (guitares, violon, direction musicale), Pascal Sarton (basse), Christophe Gallizio (batterie). Lors du festival interceltique de Lorient 1998, devant 4 000 spectateurs à l'Espace Kergroise, il est accompagné par l'orchestre de chambre du festival, le bagad de Lorient et les chœurs de Bretagne notamment pour le Bro gozh ma zadoù[104]. D'autres invités sont exceptionnellement présents parmi les musiciens : des sonneurs de pipeband écossais, Emer Mayock (flûtes, uillean pipes, chant), Breda Mayock (chant, violon).

Alan Stivell se produit à nouveau à l'Olympia, avec en invité Youssou N'Dour, et également à Paris-Bercy lors du spectacle Bretagnes à Bercy, avec l'Héritage des Celtes notamment, devant 16 000 fervents. À chaque concert, il descend dans la foule danser un plinn[105].

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Années 2000

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Tournée Back to Breizh

À son lancement, la tournée de l'album Back to Breizh dénombrait près d'une centaine de concerts, dans différents pays, dont plusieurs passages sur le continent Nord-Américain (Mexique, États-Unis, Canada) et de grands concerts filmés en Bretagne, les Vieilles Charrues à Carhaix et l'Interceltique de Lorient sur France 3[107]. La structure rock est assurée par les musiciens Xavier Géronimi (guitares, chœurs), Marcel Aubé (basse, violon chinois) et Hubert Motteau (batterie) qui remplace Mourad Aït Abdelmalek, avec des invités suivant les dates (Frères Guichen, Gwennyn, bagadoù)[108].

Un concert anniversaire, 30 ans après celui donné à L'Olympia le aurait eu lieu en 2002 dans la même salle selon son ancien musicien Gabriel Yacoub[109].

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Tournée Au-delà des mots : 50e anniversaire de la harpe celtique

En amont de la nouvelle tournée, il se produit au Stade de France devant près de 70 000 spectateurs à l'occasion de la Saint-Patrick, interprétant des titres d'Au-delà des mots en solo, Eliz Iza, ses standards (Suite sudarmoricaine et Tri martolod) et conclut par le final de la Symphonie celtique, accompagné par les nombreux musiciens de cette Nuit Celtique (bagadoù, pipe bands) et les danseurs en costumes[115].

Cette tournée célèbre les 50 ans de la renaissance de la harpe celtique et du premier prototype construit par son père Georges Cochevelou de 1952 à 1953. Elle fait suite à l'album Au-delà des mots, sorti le , et aboutie à la sortie du livre Telenn, la harpe bretonne, co-écrit avec Jean-Noël Verdier. Publié en 2004, l'ouvrage est présenté lors de séances de dédicaces.

Autour des harpes du harpiste, les musiciens expérimentés se font, suivant les morceaux, discrets ou très présents : Johan Dalgaard (claviers), Latabi Diouani (remplacé par Klifa Rachedi, puis Philippe Monrose ou David Donatien en 2005 aux percussions), Arnaud Ciapolino (flûtes, bodhran, caisse claire), Cyril Poirier (guitares) en 2005.

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Tournée Explore

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Pat O'May et Alan Stivell sur l'avant-scène du Festival des Terre-Neuvas à Bobital.

Tournée qui suit la sortie de l'album Explore, le , avec les musiciens suivants : Guillaume Saint-James (claviers et saxo électrique), Marcus Camus (batterie, percussions, basse), Sébastien Guérive (claviers, synthé, sample, effets), Arnaud Ciapolino (flûte traversière, batterie écossaise)[120], rejoints fin 2007 par Anthony Masselin (cornemuse écossaise, pib-uilleann), Gaëtan Grandjean (guitares) et Loumi Seveno (violon)[121].

Durant cette tournée, le guitariste Pat O'May, présent pour l'enregistrement, est invité sur quelques dates, comme à Guingamp en 2007 en compagnie du Bagad Gwengamp[122]. Alan Stivell est quant à lui invité à la carte blanche de Pat O'May, au chant et à la harpe, pour le Festival des Terre-Neuvas dans les Côtes d'Armor[123]. Le , Alan Stivell « parraine » Laurent Voulzy pour qu'il soit programmé à l'espace Marine du Festival interceltique de Lorient : il le rejoint sur scène pour interpréter Tri Martolod, en présence de Dan ar Braz, et Alain Souchon se mêle à eux pour le final du concert, Belle-Île-en-Mer, Marie-Galante[124]. Après s'être rendu dans plusieurs pays européens et en Afrique du nord, la tournée se conclut dans les festivals bretons de l'été 2008[125].

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Tournée "pré-Emerald"

De mars à a lieu une tournée de transition entre la précédente de promotion de l'album Explore et la suivante de promotion de l'album Emerald, sorti le . Les musiciens de la tournée sont : Marcus Camus (batterie, percussions), Gaëtan Grandjean (guitare), Loumi Séveno (violon), Nicolas Méheust (basse, claviers)[130]. Son passage au festival Le Petit Village de Lanfains, initialement prévu le , est annulé et a finalement lieu en 2011.

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Années 2010

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Tournée Emerald

Emerad est un album folk-rock sorti en . Célébrant à cette occasion les 40 ans (les "noces d'emeraude") de la sortie de son premier album professionnel, il reprend sur scène les grands titres folk-rock qui ont marqué sa carrière, s'ajoutant à la dizaine de nouvelles chansons. D'ailleurs, une des premières dates de la tournée se situe en côte d'Émeraude, à la station balnéaire de Sables-d'Or-les-Pins (Cap Fréhel, Côtes-d'Armor).

Marcus Camus et Gaëtan Grandjean restent fidèles tout au long de la tournée alors qu'en 2011, Loumi Séveno est remplacé par Raphaël Chevalier au violon et le bassiste Nicolas Méheust laisse sa place au pianiste Edouard Leys. Les artistes invités pour l'enregistrement de l'album rejoignent également à l'occasion Alan Stivell sur scène : Dom DufF au festival Yaouank (), l'ensemble choral du Bout du Monde aux festivals de Landerneau et de Lorient[132], le Bagad Gwengamp à la Saint-Loup de Guingamp...

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Tournée Ar Pep Gwellañ

Ar Pep Gwellañ est un album compilation qui contient l'album À l'Olympia de 1972 remasterisé. Les musiciens du concert anniversaire à L'Olympia et de la tournée best of Ar Pep Gwellañ sont : Marcus Camus (batterie, percussions, machines), Gaëtan Grandjean (guitare), Raphaël Chevalier (violon, alto et mandoline) et Édouard Leys (claviers). Les invités du concert anniversaire, sorti sous forme de coffret CD/DVD 40th Anniversary Olympia 2012, sont : Dan Ar Braz et René Werneer (tous deux déjà présents à ses côtés en 1972), Nolwenn Leroy, le Bagad Quic-en-Groigne de Saint-Malo, le sonneur Kevin Camus (flûte, uilleann pipes), la chanteuse et musicienne écossaise Joanne McIver (flûte, small pipe et chant), le guitariste Pat O'May et le violoniste Robert Le Gall (ancien musicien d'Alan et ex-membre du groupe Gwendal).

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Rencontres littéraires

Au cours de cette tournée en Bretagne, Alan Stivell et Yvon Boëlle dédicacent ensemble Sur la route des plus belles légendes celtes, le livre cosigné Alan Stivell et Thierry Jolif dont Yvon Boëlle a signé les photographies (Édition Arthaud).

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Tournée de transition

Avant la sortie de son 24e album, Alan Stivell effectue une tournée remodelée, avec l'arrivée en février d'un nouveau musicien, pour l'aspect "électroïde", Dan (machines et percussions)[161]. Pour la plupart des dates qui suivent, ce sont ses anciens musiciens qui l'accompagnent (avec le retour de Loumi Seveno au violon électrique, alto et bodhràn).

Alan chante l'hymne breton lors des manifestations pour la réunification de la Bretagne à Nantes les , et . Le , après avoir proposé le jour avant sur Internet son adaptation intitulée Hep 'Naoned, Breizh ebet, enregistrée seul, il chante sur la scène du rassemblement sa chanson, puis le accompagné par Gaëtan Grandjean[162].

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AMzer Tour

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Premier concert à Saint-Brieuc

En 2015-2016, la tournée AMzer marque les 50 ans depuis les débuts professionnels du chanteur. Mais ce n'est pas un anniversaire tourné vers le passé car la tournée concerne les nouvelles chansons, en projet depuis quelques années. La première partie du spectacle conte un voyage poétique au travers des saisons et d'une musique transversale, contemplative et électronique[165]. Après quatre jours de résidence et un concert à Saint-Brieuc, Alan Stivell multiplie les représentations avec ses nouveaux compagnons de route, également présents sur l'album : Anne Gwenn Brodu, David Millemann, Nicolas Hild et Cédrick Alexandre. La flûtiste Véronique Piron ainsi que les chanteuses Maliko Oka et Gráinne O'Malley sont présentes à certaines dates, comme à La Cigale (Paris)[166].

À partir de , la Bretagne et l'Irlande sont à la fête dans le cadre des dix ans de la tournée « Fête de la Saint Patrick »[167]. Mise à part la participation « exceptionnelle » d'Alan Stivell, la programmation du spectacle comporte le Bagad de Lann-Bihoué, le groupe irlandais Celtic Dances, les danseurs du Cercle du Croisty et d'autres groupes en fonction des dates[168]. Le CD et DVD du spectacle, enregistré à Lyon, sort le chez Naïve-Believe[169].
Le jour avant son concert au Festival interceltique de Lorient 2016, il est l'invité surprise du concert de Joan Baez[170]. Ils interprètent Tri Martolod en duo, 38 ans après avoir dansé ensemble en fest-noz place de l'hôtel de ville[171].

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Tournée des 50 ans de carrière 2017 / tournée Human~Kelt 2018–2019

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Affiche pour l'Olympia (St Patrick 2018)

En , un spectacle remodelé, avec une nouvelle équipe et de nouveaux concepts (harpe laser...), est présenté après une résidence et un concert au centre culturel Jovence de Louvigné-du-Désert (Ille-et-Vilaine)[174]. Le répertoire est large, de Reflets, premier morceau de son premier album professionnel Reflets à NEw' AMser, premier titre du dernier album AMzer. Pour mettre en valeur ses compositions, il fait appel à des musiciens originaux : Fabien Tabuteau aux machines et guitares, Konan Mevel, de Tri Yann, qui utilise une cornemuse électronique, des flûtes ou expérimente un prototype de guitare sans corde, le percussionniste Jean-Bernard Mondoloni joue des bodhráns, boîte à rythmes ainsi qu'un didgeridoo à coulisse, et, sur scène, un designer sonore arrange l'ensemble.

Début , une résidence artistique lui permet d'effectuer des changements au niveau du répertoire, des instruments qu'il utilise, de quelques nouveaux musiciens : Pierre Patinec, du groupe de reggae City Kay, à la basse, claviers, machines, Emmanuel Devorst, du groupe Skilda, aux guitares et bouzouki et Marc "Poncallec" Hazon, de groupe Stone Age, à la batterie. L'année 2018 est marquée par un nouveau concert à L'Olympia, le soir de la Saint-Patrick, puis par la sortie le de l'album studio rétrospectif Human~Kelt.

Alan Stivell se produit à l'étranger (Allemagne, Italie, Suisse...)[175], ainsi qu'avec Carlos Núñez à plusieurs reprises : à Selb en septembre, en en Espagne (La Corogne, Vigo, Barcelone Palais de la musique catalane)[176] et le au théâtre Circo Price de Madrid. Pour l'année de la Galice du festival interceltique de Lorient, la création de Carlos Núñez invite Alan Stivell en compagnie du Bagad Cap Caval et la Banda de Ávila[177].

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Années 2020

Résumé
Contexte

Dates de concert annulées à cause de la Covid-19

Un concert unique est programmé le samedi à Paris La Défense Arena (40 000 places), pour lequel Alan Stivell prévoit d'être accompagné de nouveaux et d'anciens musiciens, mais aussi du bagad de Lann-Bihoué, avec la participation de l'Orchestre National de Bretagne et la présence de Dan Ar Braz et Gilles Servat[180]. Cette « Nuit de la Bretagne » est finalement annulée quelques jours avant pour cause de pandémie de Covid-19 en France[181].

Une tournée en Italie prévue en est également annulée, puis des concerts à l'automne 2020 avec l'Orchestre symphonique de Bretagne[182].

Projet de réécriture de la Symphonie celtique

Outre « l'écriture de quelques bouquins », Alan Stivell annonce un projet qu'il estime incontournable : vouloir revisiter sa Symphonie celtique sortie 40 ans plus tôt, en souhaitant « aller encore plus loin. » Il la présente comme une œuvre « celtique » mais aussi « à l'ambition universelle [...] rassembl[ant] symboliquement presque toutes les cultures, notamment minoritaires. » Il dit « souhait[er] aller encore plus loin en réécrivant toutes les parties de A à Z. »[182],[183].

Spectacle « Lid » (« Célébration »)

L'avant-première du spectacle « Lid » (« Célébration » en breton) programmée en à l'occasion de la 50e édition du Festival interceltique de Lorient 2020 et de l'année de la Bretagne[note 1] est reportée au [184]. Alan est accompagné sur scène des 50 musiciens de l'ONB, un chœur, des sonneurs (bombardes, cornemuses, whistles, pib-ilin, small-pipe), la pianiste Elisa Bellanger, la chanteuse Véronique Bourjot et ses musiciens "rock".

Tournée Human~Kelt 2021–2023: concerts "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene") et "Célébration"

Après l'annulation des concerts prévus en 2020, la tournée Human~Kelt reprend le 11 août 2021 avec un concert au festival interceltique de Lorient. Elle se poursuit sous le nom de "Célébration 50 ans – une vie pour la Bretagne et la musique. Tournée Celtique Symphonique"[185],[186], le temps seulement de 2 concerts où Stivell joue accompagné de l'Orchestre National de Bretagne, respectivement les 7 et 8 avril 2022 au Liberté à Rennes et salle Pleyel à Paris (50 ans après l'enregistrement de l'album À l'Olympia)[187].

Alan Stivell poursuit ensuite la tournée "Célébration" avec son groupe dans une formule plus électrique.

Le 24 juin 2022, Alan participe à un concert en hommage au chanteur Philippe Pascal, en chantant notamment avec le groupe Marc Seberg dont la pianiste Pascale Le Berre fut également sa musicienne dans les années 1990[188].

  • Tournée "Célébration" :
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  • Mini tournée estivale 2023 "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene") dans les églises et cathédrales :
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Tournée Human~Kelt 2024 : concerts "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene") et "Célébration", rencontres-dédicaces

Sources[193],[194]

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Musiciens accompagnant Alan Stivell (harpe, chant) lors des concerts "Célébration"[206] :

  • Gaetan Grandjean (guitares)
  • Ronan Després (batterie et percussions)
  • Cédric Motte (basse, claviers)
  • Antoine Roze (violon)

À l'issue de la tournée, Alan dit "arrêter la scène pour un moment" mais assurer à la television la promotion de son nouvel album live à paraître le 8 novembre 2024[207].

Tournées 2025 : Liberté Tour et "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene")

En mai 2025, Alan Stivell reprendra sa tournée intimiste "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene") de concerts en églises. En attendant de pouvoir donner l'intégrale de sa Symphonie celtique n°2, il se lancera en juin 2025 dans une autre tournée beaucoup moins intimiste - à dix musiciens sur scène - intitulée Liberté Tour de promotion du double album live Roazhon - Liberté qui permettra d'en entendre une "déclinaison"[208], une "réduction" des arrangements symphoniques[209].

  • Tournée estivale 2025 "Liberté Tour" (avec une équipe élargie à 10 musiciens sur scène)[210] :
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  • Tournée estivale 2025 "Cœur & Âme" ("Kalon Hag Ene") dans les églises et cathédrales :
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Notes et références

Voir aussi

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