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liste les principaux architectes du Touquet-Paris-Plage De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Cet article liste les principaux architectes du Touquet-Paris-Plage appelés pour dessiner les plans des constructions réalisées lors des premiers lotissements de Paris-Plage (1888-1912) puis du Touquet-Paris-Plage, commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
L'architecture du Touquet-Paris-Plage est particulièrement diversifiée et inventive. Anglo-normandes, rococo, baroques, les villas reflètent l'immense créativité des architectes, ainsi de 1888 à 1910 : Billoré, Guillemin, Lesueur, Ridoux, Bienaimé, Holt, Cordonnier… puis de 1920 à 1936 : Jourde, Hoyez, Martinet, Bluysen, Quételart, Debrouwer, Drobecq, Dufossé, Pouthier, Boissel, Bérard, Bloch, Bical[PH 1]….
Sans objet.
Il est l'architecte de la villa Bois Dormant, avenue des Ombrages, construite en 1932[VBT1 1].
André Bérard est l'architecte qui a conçu la piscine du Touquet-Paris-Plage, construite en 1930 et inaugurée le , la « plus grande piscine d'Europe »[PH 2].
Étienne Maurice Bergounioux est né le dans le 6e arrondissement de Paris et mort le à Vert (Yvelines). Il épouse en premières noces Anna Joséphine Alexandrine Viteman le en la mairie du 6e arrondissement de Paris, puis en secondes noces Augustine Clémentine Exmelin le en la mairie du 5e arrondissement de Paris et en troisième noces avec Odette Marguerite Bertran le à Mantes-Gassicourt[AD 1],[AD 2],[AD 3].
Il est l'architecte qui, à la demande de John Whitley, transforme, en 1903, le château Daloz en hôtel de la Forêt[ÉL 1].
Il dessine également le plan du futur « parc central » (jardin d'Ypres, aujourd'hui) se trouvant dans le prolongement de la rue Jean Monnet entre l'église Sainte-Jeanne-d'Arc et l'hôtel de ville.
Il est fait officier d'Académie en 1898[1].
Paul Bertrand (1870-1945) est un architecte français originaire de Rouen.
Il est l'architecte de l'îlot dit le Village Suisse, construit en 1906, à Paris-Plage[Mé 1].
En 1911, il demeure, avec son épouse et ses trois filles, dans le quartier Quentovic à Paris-Plage[AD 4].
Arsène Bical (1884-1925) est un ancien associé d'Albert Pouthier. Il s'installe au Touquet en 1907.
Il est l'architecte des villas L'Arcachonnaise (avec Albert Pouthier)[2], Le Canter (anciennement Prébois (avenue des Pyroles)[PC 1],[2], La Chamade (avenue de la Reine-May) anciennement La Pochade[PC 2],[2], La Closerie (177 avenue des Oyats)[PC 3], Les Géraniums Pourpres anciennement Tante Bob (avenue de la Reine Victoria)[PC 4],[2], Good Luck (18, avenue des Oyats)[PC 5],[2], L'Heure bleue[2], La Hutte (avenue Louis Aboudaram)[PC 6],[2] pour Léon Soucaret[3], La Marivole[2], Ma Mie[2], La Musardière[2], Le Nid (118, avenue de la Reine Victoria)[PC 7],[2], Pelléas (rue de Metz)[PC 8] avec Albert Pouthier[2], Le Petit Trianon (277, avenue John Whitley)[PC 9],[JM 1], Rogeleine[2], La Sablière[2] et des deux villas jumelles et mitoyennes Le Sphinx et Les Pyramides[2].
Il est également l'architecte des bureaux de la Société générale immobilière, place de l'Hermitage[3].
Une avenue porte le nom d'Arsène Bical.
Anatole Bienaimé (1848-1911)[JM 2] est l'architecte de plus de 100 villas : Armand[JM 3], Concordia Junior, Cottage Fleuri[2], Giroflée-Girofla (72, rue de Moscou)[PC 10], Le Goéland, Les Lucioles[2], Lydéric et Phinaert (6-8, rue Jean Monnet), Mars-Vénus-Saturne (62-66, rue Léon Garet)[JM 4], Pierrette[2]Rayon Vert, Le Roi d'Ys (45bis, boulevard Daloz)[PC 1], Rose des Alpes, Rose-Mousse, La Royana (86, rue de Moscou), Saint-Maurice[2], La Sapinière, Les Sapins (26, rue de Moscou), Les Sarcelles, Suzette, Monejan[2], Touquette[2], Zermatt[2]…
Il est également l'architecte d'un groupe de chalets situés rue d’Étaples, pour M. Vibert, président du syndicat des propriétaires : de gauche à droite, lorsqu'on regarde le groupe, Yvonne et Maurice, Louis XV, Richelieu, Charles IX, Claire-Auguste[ÉY 1]; du groupe de trois villas mitoyennes Pierrette-Lisette-Micheline[2] et du groupe Néréides-Dryades-Naïades (boulevard du Docteur Jules Pouget (anciennement boulevard de la Mer)[PC 11],[2].
Charles Billoré (1851-1900) est un architecte d'Amiens, conservateur de la cathédrale d'Amiens, inspecteur des travaux diocésains, officier d'Académie et membre titulaire résidant de la société des antiquaires de Picardie. Il est l'architecte du Grand-Hôtel d'Alphonse Legendre, de la chapelle Saint-André, remplacée par l'hôtel des postes du Touquet-Paris-Plage : son petit clocher rappelant la chapelle est un clin d’œil de l'architecte de la Poste, Jean Boissel.
Il est également l'architecte de plusieurs villas, dont Marthe et Marie, construites en 1887. Elles représentent le « type accompli des chalets en bois ». Situées entre la rue Saint-Amand et la rue de la Paix, elles appartiennent à Charles Herbert, artiste peintre qui en décore l'intérieur. Dans la première, les peintures murales représentent des études de cigognes et des pies sur cretonne rouge ; dans la seconde, ce sont des interprétations à l'huile, genre plein air, sur des sujets locaux[ÉY 2].
Henri-Léon Bloch, est un architecte municipal. Il est l'architecte :
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Enfant |
Mary Susannah Jackson (d) |
Arthur Blomfield Jackson (1868-1951), Fellow of Royal Institute of British Architects (FRIBA), est l'architecte britannique qui a réalisé les plans, en 1909, du temple protestant situé avenue du Général-de-Gaulle, à côté du lycée hôtelier aujourd'hui. Ce temple est détruit par les bombardements alliés lors de la Seconde Guerre mondiale, il est reconstruit et inauguré au printemps 1964. Aujourd'hui, il a été transformé en salle de sports communale.
Auguste Bluysen (1868-1952) est l'auteur du casino de la Forêt et de l'hôtel Westminster.
Charles Boidin et Albert Baert sont les auteurs, en 1907, de la Villa Saint-Firmin, à l'angle sud-est, du boulevard Thierry-Sabine (anciennement Digue Ridoux) et de l'avenue Duguay-Trouin. Cette villa est restaurée, dans les années 1950, par l'architecte Léon Saxer[4].
Jean Boissel (1891-1951) est l'auteur :
Gustave Ernest Maurice Boistel naît le dans le 9e arrondissement de Paris du mariage de Pierre Désiré Alphonse Boistel, entrepreneur de peinture, et de Jeanne Eugènie Barbier. Il épouse Berthe Nicolas le à Colombes[AD 5].
Il est l'architecte des villas, La Normande et La Picarde, au no 8 et au no 10, rue Léon Garet, réalisées par l'entreprise Charbonnier.
En 1903, il a ses bureaux au 8 bis, rue Jouffroy-d'Abbans, dans le 17e arrondissement de Paris[5].
Il est fait officier d'Académie, parution au journal officiel du [6].
Il meurt le , en son domicile, au 8 bis de la rue Jouffroy-d'Abbans, dans le 17e arrondissement de Paris[AD 6].
Bruno Borrione est, en 2020, l'architecte de la rénovation de l'hôtel Westminster[7].
Naissance | |
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Nationalité | |
Activité |
Jacques Annet Hippolyte Bouchardy naît le dans le 10e arrondissement de Paris, fils d'Henry Jules Edgard Bouchardy, négociant, et de Maria Blanche Pierrette Léonarde Bouligaud. Il rédige sa thèse en 1935, en deux volumes, sur l'Évolution et aménagement de la région du Touquet-Berck[8]. Il est prisonnier de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale[9]. Il épouse Marie-Louise Jabain (1910-1983)[10] le à Guéret dans la Creuse.
Il est architecte de la Reconstruction[11] et architecte au Touquet-Paris-Plage de plusieurs immeubles du front de mer, Dolce Vita (1961), La Caravelle (1962), Arcadia (1966), Pacific (1971), Grand Large (1973), Nevada (1975), Marie-Antoinette (1975)[12].
il est l'architecte, en 1975, de la chaumière Woodley à Neufchâtel-Hardelot pour M. Joseph Lesur[13].
Il meurt le à Berck dans le département du Pas-de-Calais[AD 7].
Architecte à Grenay (Pas-de-Calais), il est l'auteur de la villa Dolce Nido avenue de l’Atlantique, de la villa Sagama avenue de la Paix et de la villa Carte Blanche, 38, rue des Oyats.
Albert Alphonse Boursier naît le , à Bruay-en-Artois, du mariage de Charles Alphonse Christophe Boursier, ajusteur, et de Jeanne Marie Ghislaine Leblan. Il épouse Delphine Beugnet le à Liévin[AD 8].
En 1931, ils sont domiciliés rue des Brebis à Grenay et ont une fille, Charline[AD 9].
Il meurt le à Ablain-Saint-Nazaire[AD 10].
La famille Bouvy représente trois générations d'architectes :
Naissance | |
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Nom de naissance |
Eugène Pol Briaux |
Nationalité | |
Activité |
Pol Briaux est l'auteur au Touquet-Paris-Plage :
Eugène Pol Briaux, naît le à Bar-le-Duc du mariage de Gabriel Émile Briaux, marchand de cuirs et de Marie Joséphine Auger. Il épouse Germaine Irma Dobigeon le à Nantes[AD 13].
Il habite, en 1926, au no 23 rue Saint-Jean au Touquet-Paris-Plage[AD 14].
Fernand Buisset[16], successeur d'Henri-Léon Bloch, est un architecte municipal depuis 1909. Il est également architecte agréé du département du Pas-de-Calais en 1908.
Il est élu membre de la Société académique de Paris-Plage, le [17].
Jacques Bully est l'architecte du « Domaine de Whitley » construit en 1995 et sis avenue François-Godin dans les dunes. C'est un lotissement golfique à l’américaine, composé d’habitations unifamiliales et de grandes villas découpées en appartements[18].
Charles Cailliez est l'architecte de la villa Thala Dan à l'angle des allées des Rossignols et des Fauvettes[VBT4 1].
Marcel Canar est l'architecte de la villa Killucru sise au no 10 boulevard d'Artois et de la villa Les Rocailles au no 952, avenue du Golf.
Il naît le à Halluin, dans le Nord, et meurt le à Saint-Michel dans l’Aisne[19]. Son cabinet était situé au no 37, rue des Bouchers à Lille[20]. Il en possédait également un, au Touquet-Paris-Plage, au no 2 rue Léon Garet, au début des années 1960[21].
Pierre-Louis Carlier, architecte à Roubaix, réalise son premier projet au Touquet-Paris-Plage avec la villa TARA sise avenue Fernand-Recoussine. Elle est construite, en 2003, sur un terrain extrait du domaine de la villa Banco[VBT4 2].
André Chevalier et Armand Picard sont les architectes de l'hôtel Bristol[22], rue Jean-Monnet (anciennement Grande-Rue), de l'Harrys bar à l'angle nord-est de la rue Saint-Jean et de la rue de Londres[3], de la villa La Buissonnière sise avenue John-Whitley et de la villa L'Oxer (anciennement Loin des flots) sise avenue du Général-de-Gaulle[VBT2 1].
Architecte à Berck-Plage, sa plaque est visible sur les villas jumelles Romulus et Rémus sises 41 et 43, rue de Moscou, réalisées par l'entreprise Goffaux.
Raoul Emmanuel Choppin d'Arnouville naît le , à Neuilly-sur-Seine, du mariage de Jacques Ernest Choppin d'Arnouville, ancien officier et de Julie Marie Blondeau. Il épouse Marcelle Désirée Cordier (1889-1958) le à Isques dans le Pas-de-Calais.
Lors de la naissance de leur fille Denise, ils sont domiciliés au 6 rue Jeanne à Berck[AD 15].
Il meurt le à Eaubonne[AD 16],[AD 17].
Il est un descendant direct de René Choppin (1537-1606), jurisconsulte français, avocat à la Cour au parlement de Paris, érudit et poète[23].
Élie Chorein est l'architecte de l'hôtel Alexandra situé à l'angle nord-est du boulevard Daloz et de l'avenue Saint-Louis[24].
Jean Elie Marie Louis Joseph Claude Clément Chorein naît le à Saint-Étienne du mariage de Louis François Marie Chorein, comptable, et de Marie Antoinette Barberet.
Il épouse Henriette Herminie Scholer le à Pomponne.
Anne Choteau est l'architecte de la villa Pixley construite en 2005 allée des Aubépines[VBT4 3].
L'architecte anglais Thomas Edward Collcutt est l'auteur de la villa Golf Cottage, avenue des Amazones[PC 15],[Mé 2] et de la villa Les Bouleaux, construite en 1904, allée des Amazones[VBT1 1].
Il s'est associé, à partir de 1906, avec le britannique Stanley Hinge Hamp (1877-1968), au sein du cabinet « Collcutt and Hamp », et ils réaliseront les plans de quelques villas au Touquet-Paris-Plage[25],[26].
Clément Coquenpot est l'architecte de la villa Dolce Vita, construite en 1926, au no 223, allée des Fauvettes[Mé 3] et de l'hôtel White-Star, en 1929, à l'angle nord-ouest de la rue de Metz et de la rue Saint-Jean[27].
Clément Henri Victor Coquenpot naît le à Saint-Germain-en-Laye du mariage de Clément Valentin Henri Joseph Coquenpot, médecin vétérinaire, et de Lucie Marguerite Louise Desestre. Il épouse, en premières noces, Lucie Florence Andrée Desvilles, le dans le 8e arrondissement de Paris, et, en secondes noces, Modesta Caroline Maria Alberta Schwarzenberg, le dans le 16e arrondissement de Paris dont il divorce le .
Son nom est cité dans la presse, en 1922, dans une histoire de fraudes aux dommages de guerre incriminant Léon Armand, constructeur spécialiste de Valenciennes. Clément Coquenpot y a dénoncé des pratiques frauduleuses de majoration de dommages de guerre, de présentations de faux mémoires et factures fictives relatives à la construction d'une usine non existante[28].
En 1937, ses bureaux[29] sont situés au 6, rue des Eaux dans le 16e arrondissement de Paris et il dispose d'une agence, villa Rayon de Soleil, au 77, rue de Londres au Touquet-Paris-Plage[30].
Il meurt le à Cagnes-sur-Mer[AD 19],[AD 20].
Louis Marie Cordonnier (1854-1940) est l'architecte de l’agrandissement de la chapelle Saint-André, des villas : L'Ermitage 'à l'angle sud-ouest de l'avenue Louis-Hubert et de la rue de Londres)[PC 16],[Mé 4], La Rafale (rue des Dunes)[PC 17],[Mé 5], quelque temps sa villa personnelle[ÉY 3], Les Genêts angle sud-ouest de la rue de Paris et de la rue de la Lune (aujourd’hui rue Joseph Duboc)[2].
Il est également l'architecte de la villa Quentovic à l'angle du boulevard de la Mer (Docteur Jules Pouget aujourd'hui) et de (avenue de Quentovic)[2] (habitée par John Whitley et détruite en 1944)[ÉY 3] et de la villa La Canche construite en 1893 à l'entrée de la rue Léon Garet (anciennement rue Saint-Alphonse) depuis le boulevard de la Mer (Docteur Jules Pouget aujourd'hui)[ÉY 4].
Louis Joachim (P. ?) Darroquy né en 1896 à Bilbao et Pierre Léon Krick né le à Bourg-la-Reine et mort le à Nice[31], il se marie au Touquet-Paris-Plage le avec Lucile Suzanne Viéville. Tous les deux travaillent chez Louis Quételart en 1926[AD 21].
Ils sont les architectes de la maison au no 16 rue de Bruxelles, de la double villa, la première, Maria-Villa au 232, avenue de la Reine-Victoria et la seconde, Claire-Villa au 75, avenue de Montreuil, de celle sise au 22, boulevard Daloz et de deux villas, La Bérangère et The Far Side, différentes mais de même style, situées au 225 et 269 avenue du Maréchal-Joffre.
En 1975, Pierre Krick a comme successeur Patrick Vanhems[VBT4 4].
Aimé Delarue (1857-1914) architecte à Amiens est le concepteur de :
Paul Decaux et Édouard Crevel sont les architectes de la villa La Belote sise au 96, Boulevard Daloz[VBT2 1].
Alain Demarquette est l'architecte de la villa Aloa sise au 156, avenue Saint-Louis[VBT4 5], de la villa L'Arokaria dans le quartier du Paradis-Thérèse[VBT4 6] et de l'extension de la villa Le Petit Paddock, ancien logement du gardien de la villa Le Paddock[VBT4 7].
Jean-Pierre Denglos est l'architecte d'une villa sise avenue des Phares.
Il naît le à Arras.
Il est admis à l’école régionale d’architecture de Lille où il est l'élève de Robert Clément et André Lys et en sort diplômé le . Il est architecte à Arras[32].
Il est domicilié villa La Seiglière avenue François-Godin au Touquet-Paris-Plage.
Pierre Drobecq (de Boulogne-sur-Mer) et Louis Debrouwer (de Dunkerque) sont les architectes de l'Hôtel des Anglais, du Royal Picardy, puis de l'hôtel de ville du Touquet-Paris-Plage et des villas : Low Wood Manor (avenue du Golf)[PC 18] et villa de M. V de B.
Pierre-André Dufétel est l'architecte en 1969 et 1970 du lycée hôtelier du Touquet[34].
Sans objet.
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Maître | |
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Partenaire |
Jean Pers (d) |
Jean Léon Ferlié naît le dans le 3e arrondissement de Paris du mariage d'Alphonse Cyrille Édouard Ferlié, négociant, et de Thérèse Eugénie Alice Bergès. Il épouse Jeanne Marie Perrey[35] le dans le 15e arrondissement de Paris.
Il est l'élève de Jean-Paul Guichard et Robert Lesage à l'École du bâtiment à Paris puis l'élève d'Alphonse Defrasse à l'école des Beaux-Arts de Paris. Il est diplômé le . Il est architecte à Alger ; en 1923, il est associé à Jean Pers, René Perrey et Henri Jacobi ; en 1928, associé à Jean Pers, le duo a mis au point un type de villa régionaliste suivant deux variantes[36].
De 1934 à 1951, il est architecte du gouvernement général de l'Algérie où il réalise, en association avec le lauréat du concours, l'agence d'architecture « Les Frères Niermans », l'hôtel de ville d'Alger.
Il meurt le dans le 16e arrondissement de Paris[37],[AD 22],[38].
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Henri-Marie Frey né le à Saint-Max en Meurthe-et-Moselle.
De 1920 à 1925, il fait l'école des Beaux-Arts de Nancy et travaille comme dessinateur chez l'architecte Criqui.
De 1926 à 1927, il est dessinateur-projeteur au cabinet d'architecte Ventre et chef d'agence au cabinet H. Vial de Nancy.
En 1937, il s'installe comme architecte à Nancy.
De 1942 à 1944, il mène une enquête pour le musée national des Arts et Traditions populaires sur le mobilier traditionnel et les objets domestiques du Lot-et-Garonne et de la Dordogne.
De 1945 à 1949, il participe de la cité des cheminots de Lens-Méricourt, et s'établit définitivement à Saint-Pol-sur-Ternoise.
En collaboration avec les architectes Daniel Gilot et Jean Bureau, il contribue à la reconstruction de la ville.
Il meurt le .
Au Touquet-Paris-Plage, il est l'architecte, en 1959 et 1960, de la villa La Dune avenue de Verdun ainsi que d'une maison, en 1962, rue Joseph-Duboc[39].
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Distinctions |
Paul Furiet (1898-1930) est l'associé de Georges-Henri Pingusson (1894-1978), avec qui il est l'auteur de l'hippodrome de la Canche et de ses tribunes, construits en 1925[40].
Julien Galopin (1860-1914), architecte à Paris, est l'auteur de la villa Les Genêts d'Or sise 10, rue de Montreuil.
Naissance | |
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française (à partir du ) |
Activité |
Distinctions |
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Ladislas Henri Emanuel Gasiorowski (1857-1927) est l'architecte de la villa Saint-Augustin, Thalassa, Phébus et Borée[ÉL 2],[PC 19]. Les façades et toitures de ce bâtiment font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le .
Ladislas Gasiorowski est né le à Odessa en Russie, fils de Félix, gentilhomme et de Louise Bielawska[41].
Le à Paris, il épouse Antoinette Mélanie Richert[AD 23].
D'origine polonaise, il est naturalisé français le [41].
Architecte adjoint au château de Rambouillet.
Il est fait officier d'Académie le , puis est nommé chevalier de la Légion d'honneur le et meurt à Rambouillet le [AD 24].
Paul Gaté (1863-1938) est un architecte parisien[42].
Il est l'architecte des villas Tempête et Bon vent, sises, respectivement, au 157 et 159, boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui).
Louis Gobert est l'architecte de la ville et des hospices de Montreuil qui réalise les plans du premier bien collectif des habitants du hameau Paris-Plage, il s'agit de la première école mixte, située rue de Londres, qui ouvre ses portes en [43].
Louis Jules Alfred Gobert naît le à Montreuil dans le département du Pas-de-Calais, fils de Charles Alfred Gobert, marchand faïencier, et d'Aimable Honorine Émilie Protin. Il épouse en premières noces, Louise Marie Cailleux, le à Montreuil, ils ont deux garçons, Alfred et Émile, et, il épouse en secondes noces, Renée Marie Leguy, le à Berck[AD 25],[AD 26].
En 1899, lors de la naissance de son fils Émile, il est architecte départemental adjoint du Pas-de-Calais, architecte de la ville et des établissements de bienfaisance de Montreuil[AD 27].
Il est nommé officier d'Académie en [44].
Il meurt le à Berck[AD 28].
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Activité |
Ferdinand Gombeau est l'architecte de la rénovation, vers 1911, de la villa Alexandre.
Ferdinand Raphaël Gombeau naît le , dans le 11e arrondissement de Paris, du mariage de Marie Adrien Gombeau, menuisier, et de Marie Zoé Rudel. Il épouse Adèle Louise Hélène Prignot le dans le 11e arrondissement de Paris. Il exerce, le jour de son mariage, la profession de dessinateur et est domicilié au 3, avenue du Garde-Chasse aux Lilas[AD 29].
En 1907, il a ses bureaux au 49, boulevard Richard-Lenoir dans le 11e arrondissement de Paris.
Maurice Gridaine, né le dans le 18e arrondissement de Paris et mort le à Cannes, a réalisé les motels du golf du Touquet-Paris-Plage, inaugurés le par Bernard Chochoy, secrétaire d'État à la reconstruction et au logement[i 1].
Jules Guillemin (1860-1944), est un architecte français.
Il épouse Andrée Daloz (1873-1962), fille d'Eugène Daloz, lui-même fils d'Alphonse Daloz[AD 31],[AD 32].
En 1888 à Paris-Plage, il a le poste d'architecte officiel du château d'Alphonse Daloz[ÉL 3], il réalise quelques constructions toutes sises sur le boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui), Villa Sainte Barbe, La Cigale et la Fourmi, le Saint-Raphaël, la villa Colibri, construite en 1890 à l'entrée de la rue Saint-Alphonse (devenue rue Léon-Garet) depuis le boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui). Elle est agrandie pour le bijoutier parisien Piel par l'architecte Anatole Bienaimé[ÉY 4]. Il réalise également la villa au no 6 rue de Bruxelles.
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Maître |
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Robert Hideux est l'auteur de la villa située 10, avenue de l'Atlantique.
Robert Julien Auguste Armand Hideux est un architecte de Stella-Plage, né le à Montville et mort dans la même ville le . Il épouse, le dans le 18e arrondissement de Paris, Hélène Rachel Léopoldine Rillaert[AD 33],[AD 34].
Il est élevé de l'école régionale d'architecture de Rouen, admis en deuxième classe le et diplômé de l'École des Beaux-Arts (EDBA)[45].
En 1931, lui et sa famille sont domiciliés, place des États-Unis, à Stella-Plage[AD 35].
Alice et Jacques Hoffman, maîtres d'œuvre, venant de Béthune, installent leur bureau, en 1967, dans la station balnéaire. Jacques Hoffman, en 1981, est agrémenté par le ministère de la Culture pour son inscription à l'ordre des architectes. Le couple réalise, jusqu'en 2013, une quarantaine de villas dans la commune[VBT3 1].
Louis Holt est l'architecte de la villa Alexandre à l'angle sud-est des rues de Paris et Joseph-Duboc (anciennement rue de la Lune), de la villa Les Orchidées (1900)[ÉL 4].
La villa Les Orchidées est alors « la plus élégante villa du boulevard de la Mer (boulevard du Docteur-Jules-Pouget aujourd'hui) ». Elle est construite par l'Entreprise Dieuset, pour un industriel lyonnais. L'intérieur est habillé de pitchpin par Verdier. La flèche au-dessus de la tourelle culmine à près de 30 m. Cette tourelle abrite le minuscule cabinet de travail de l'hôte et, au-dessus, le cabinet de toilette desservant les deux grandes chambres du premier étage[ÉY 5].
Philippe Hornoy est l'architecte de la villa Tempo construite en 2017 dans le quartier de l'Atlantic et de l'immeuble du 12, rue de la Paix[VBT4 8].
Léon Hoyez (1886-1963) est un architecte français d'Arras qui a exercé au Touquet-Paris-Plage.
Il est l'architecte :
Sans objet.
Raoul Jourde, né le à Viviez dans l'Aveyron[AD 36] et mort à Bordeaux Caudéran le [AD 37], est un architecte bordelais[46].
Il est l'architecte du restaurant de la Forêt au casino de la Forêt (1926) et du Grand-Hôtel (1928).
Michel Kamenka est l'architecte de la villa Anamaris située, avenue de Deauville, sur la dune Sanguet.
Michel Kamenka naît le à Rostov-sur-le-Don en Russie. Il est naturalisé français le , ainsi que son épouse, Hilda Edith Victorine Hann née le à Maribor. Par decret du du régime de Vichy, ils se voient retirer la nationalité française, cette procédure est annulée par l’ordonnance du . Ils habitaient au no 14 rue de la Vaneau[47],[48],[49].
Jacques Labro, né le [50], marié avec Monique Gridaine, fille de l'architecte Maurice Gridaine, est l'architecte, assisté par ses confrères Philippe Sicardon et Christian Auvrignon, en 1976, du hameau de Mayvillage[18], avenue François-Godin. Jacques Labro est le frère de Philippe Labro.
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Père |
Armand Ernest Lemay (d) |
Maître |
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Armand Lemay[51] est l'architecte de la résidence du Phare sise au no 109 avenue des Phares et de l'immeuble, construit en 1953, sis au no 14, rue de Bruxelles.
Il naît le à Lille, fils d'Armand Lemay (1901-1957), architecte, lui-même fils d'Armand Lemay (1873-1963) architecte à Lille[52].
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Maîtres | |
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Distinctions |
Xavier Lenfant est l'architecte de la villa Saint-Georges, au 158, rue de Paris.
Il naît le à Chaumont du mariage de Louis Marie Gabriel Lenfant, colonel en retraite, commandeur de l'ordre national de la Légion d'honneur et croix de guerre 1914-1918, et de Jeanne Henriette Marie Thérèse Raudot. Le , il épouse Aimée Dauchin dans le 17e arrondissement de Paris[AD 38].
À l'école des Beaux-Arts de Paris, il est élève de Charles Lemaresquier et de Victor Laloux.
Il est membre de la Société des architectes diplômés du gouvernement, car titulaire du diplôme d'architecture reconnu par l'État, délivré par les Beaux-Arts de Paris. Ses bureaux sont situés n° 55, rue des Saints-Pères dans le 6e arrondissement de Paris. Il est architecte attaché au gouvernement général de Madagascar, médaillé de la Société des artistes français[53].
Il est nommé chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur et décoré de la croix de guerre 1914-1918[AD 38].
Il meurt le dans le 18e arrondissement de Paris[AD 39],[54].
Achille Pierre Joseph Évrard Lesueur (1853-), natif de Rosières (Somme)[55], marié dans le 9e arrondissement de Paris avec Marie Louise Esther Coquelin, et ayant son cabinet 129 rue de Beauvais à Amiens[56], est l'architecte de la villa Les Fauvettes (1890)[ÉL 5], construite pour M. Deneux d'Amiens (famille d'industriels qui possède une usine de tissage dans la commune d'Hallencourt où l'architecte a aussi laissé une villa remarquable), située à l'angle nord-est du boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui) et de la rue d'Étaples, et du Grand-Hôtel des Bains, rue de Paris.
En 1893, il obtient les deux premiers prix, avec Jacques Eugène Édouard Laillet[57],[58], ingénieur civil, du concours ouvert par la ville de Médéa pour les projets d'un marché couvert et d'un groupe scolaire[59].
Charles Mac Corkell est l'architecte de la villa Les Marguerites, sise au 337 allée des Rossignols, réalisée en 1924. Cette villa connaît une extension, en 2004, réalisée par l'architecte touquettois Frédéric Quételard[60].
Charles Edwards Mac Corkell naît le à Annœullin dans le département du Nord. Lors de la Première Guerre mondiale, il est blessé à deux reprises. Officier, il obtient cinq citations et reçoit la croix de guerre 1914-1918 avec deux étoiles d'argent, la médaille de la victoire, la médaille commémorative française de la Grande Guerre, la Military Cross et est nommé chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur le puis officier du même ordre le .
En 1937, il est domicilié au no 5 rue Georges-Delavenne dans le 7e arrondissement de Paris[61].
Il est vice-président général de la fédération départementale des anciens combattants du Pas-de-Calais, président de la mutuelle retraite du combattant du Pas-de-Calais, président de la section cantonale des pupilles de la Nation du canton de Carvin
Il meurt le au 277 bis rue Saint-Jacques dans le 5e arrondissement de Paris et est domicilié au 7, rue Ernest-Psichari dans le même arrondissement[62].
Joseph Magnin (1871-) est un architecte français de Paris-Plage. Il est l'architecte de nombreuses villas au Touquet-Paris-Plage. En 1911, il a ses bureaux et son domicile à la villa Les Perles, 89, rue de Paris à Paris-Plage[63].
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Georges Marcelin et Jacques Joannon-Navier sont les architectes de la villa sise à l'angle nord-ouest de l'allée des Fauvettes et de l'allée des Mésanges. La plaque est située sur le pilastre droit de la barrière d'entrée.
Henry Eugène Martinet (1867-1859) est un architecte paysagiste français[64].
À Paris-Plage, il dessine les plans en 1904 de l'Atlantic Hôtel, situé à l'extrémité sud de la plage[ÉY 6] et de l'Hermitage-Hôtel. C'est également lui qui dessine le « parc central », actuel jardin d'Ypres, dans le prolongement de la rue Jean Monnet[ÉL 6].
Amédée Denis Milvoy (1860-1929) est un architecte d'Amiens, il est président de la société des architectes de la Somme, vice-président de l'union syndicale des architectes français, architecte honoraire des monuments historiques et ancien président de la société des antiquaires de Picardie[AD 40].
La villa Printania, sise 34, rue Joseph-Duboc (anciennement rue de la Lune) est signée par Amédée Milvoy.
Les architectes associés Émile Molinié, Charles Nicod et Albert Pouthier réalisent la villa Sous les pins (anciennement Gi-Gi) sise à l'angle nord-est des avenues du Château et des Roses[VBT2 1], la villa Dorothée, Les Diabotins avenue Charles-Guyot et la villa Sunny Wood et Le Paddock avenue du Golf, la villa Vieille Maison avenue des Roses et la villa Isgrev avenue des Troènes[VBT1 1].
Élie Morel d'Abbeville est l'architecte de la villa, sise 70, rue de Moscou.
Les architectes associés Charles Nicod, Émile Molinié et Albert Pouthier réalisent plusieurs villas au Touquet-Paris-Plage, voir Molinié - Nicod - Pouthier.
Sans objet.
Les architectes Pers, Ferlié et Bouvy ont réalisé la villa Les Violettes, sise au no 24 rue Léon-Garet (anciennement rue Saint-Alphonse), la villa Les Sapinettes, avenue du Château[VBT1 1].
Les bureaux de Jean Pers, Jean Ferlié et Albert Bouvy (fils) sont situés au 66, rue de Moscou en 1927[14].
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Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Pers (d) |
Nationalité | |
Formation | |
Activité |
Maître | |
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Jean Ferlié (d) |
Jean Pers naît le dans le 6e arrondissement de Paris du mariage d'Honoré Lucien Pers, architecte, et d'Henriette Nelly Emmel. Il épouse, en premières noces, Cécile Marie Malvina Amalos le dans le 14e arrondissement de Paris, puis en secondes noces, Yvonne Élisa Antoine Barrière, le dans le 5e arrondissement de Paris.
Au milieu des années 1930, il est associé à Jean Ferlié, leurs bureaux sont au no 93, rue du Bac dans le 7e arrondissement de Paris[37],[38].
Georges-Henri Pingusson (1894-1978) est l'auteur de l'hippodrome de la Canche et ses tribunes, construits en 1925 - Paul Furiet (1898-1930) associé.
Horace Pouillet[JM 5] (1878-1946) fait preuve d'une très grande inventivité architecturale (associé à Émile Molinié et Charles Nicod).
Il est l'architecte :
Les deux villas jumelles et mitoyennes Glenwood et Karidja, sises avenue de la Reine Victoria, ont été construites pour deux sœurs en 1927[2].
Albert Pouthier (1878-1948) est l'auteur :
Il est l'architecte des deux villas jumelles et mitoyennes Marienthal et Rosatis[2] et l'architecte de la transformation de la villa Le Courlis : l'ancien chalet fait de silex et de robages, par l'application d'un enduit de ciment qui reproduit des lignes d'un genre gothique simplifié[2].
Il est également l'architecte en 1910 de la villa Nirvana (avenue du Château)[PH 1] et de la Graziella qui devient en 1927 l'hôtel Bristol, après plusieurs agrandissements et surélévation, dus aux architectes Chevalier et Picard[PH 3],[3].
Les architectes associés Charles Nicod, Émile Molinié et Albert Pouthier réalisent plusieurs villas au Touquet-Paris-Plage, voir Molinié - Nicod - Pouthier.
En 1913, Albert Pouthier habite villa Tanagra avenue Saint-Louis[ann1913 1].
Frédéric Quételard, petit-fils de l'architecte Louis Quételart, est l'architecte de la villa La Guérinière sise avenue de Picardie, proche de l'aéroport[VBT4 9].
Louis-Michel Quételard (1927-2006)[65], architecte, fils de Louis Quételart. Il conçoit, avec son frère Pierre, le projet de la nouvelle digue avec ses parkings, ses trois patios et ses 761 cabines, inaugurée en 1960[VBT3 1].
Il est l'architecte de la Thalassothérapie construite en 1974 et de la chaumière Le Boucarou, construite dans les années 1960, sise avenue des Mille-Agréments[VBT3 1].
Pierre Louis Robert Quételard (1924-2005)[66], architecte, fils de Louis Quételart. Il conçoit, avec son frère Louis-Michel, le projet de la nouvelle digue avec ses parkings, ses trois patios et ses 761 cabines, inaugurée en 1960[VBT3 1].
Il est l'architecte de sa propre villa sise à l'angle des avenues de l'Atlantique et du Maréchal-Leclerc-de-Hautecloque[VBT3 1].
Louis Quételart (1888-1950), invente le « style touquettois moderne » caractérisé par de vastes toitures, des doubles pignons, des retombées d'arcs sans piedroits, des oculi…
Il est l'auteur des fameux bancs verts et blancs, dans lesquels sont intégrées des jardinières de chaque côté, bancs que l'on retrouve sur la digue et dans toutes les avenues en forêt[JM 6],[2].
Il est l'architecte :
50° Latitude Nord (avenue de l’Atlantique)[PC 10],[2], Accueillante 10 rue du Sémaphore[2], Bécassine (avenue de l’Atlantique)[3], Bernique (avenue de Montreuil)[PC 25],[2], Bic en coin (avenue des Phares)[PC 11],[2], Cendrillon* (boulevard Daloz)[3], Chat perché (avenue des Genêts)[3],[2], Clairoix 1 rue de Desvres (à Quentovic)[2],[3],[67], Clos fleuri (Foch (anciennement Alexandra))[3], Côte d'Opale (avenue de l'Atlantique)[2],[3], Datcha avenue des Troènes[2], Fadette rue du Sémaphore[2], Ferme d'Amour, Flabeau Ninove (boulevard Thierry Sabine (anciennement Digue Ridoux))[3], la Floride (avenue Fernand Recoussine)[3], la Grange, Lou Cigalou 11 avenue de Quentovic[2], Mon Chaume 144 (boulevard Daloz)[3],[2], Mon Pignon (boulevard Daloz)[3], La Mouche allée des Rossignols[2], Les Mutins 78 (boulevard Daloz)[3],[2], Le Nain Jaune 53 rue Jean Monnet, Narcisse Bleu rue Léon Garet[3], Nine 146 (boulevard Daloz)[3],[2], Ma Ouik, Peggy avenue du Nord[2], Phébé (avenue du Paradis Thérèse)[3], Pige-vent (avenue de l’Atlantique)[3], La Pigeonne 23 rue du Sémaphore, Pomme d'Api 65 rue de Moscou[2], Les Pommiers avenue de l'Hippodrome[3], La Prairie avenue du Golf[3], Le Rallye (aux Iris) avenue du Golf[3],[2], Ric et Rac (avenue de Montreuil)[3],[2], The Sandhill (anciennement Fair Way), Sauvageonne (Foch (anciennement Alexandra))[3], Sunny Beach, Sunshine[3], Sylvana avenue du Château[2], Touquaz avenue Léon Soucaret, Tournebride (avenue du Paradis Thérèse)[3], Week-end[3],[2] et des trois villas de l'avenue du Paradis Thérèse : Pretty Cottage (anciennement Le Scarabée)- Venvole- L'Heure espagnole[3],[2].
Louis-Richard Quételart, petit-fils de l'architecte Louis Quételart, est l'architecte de la villa Pergola sise au 100 avenue Louis-Aboudaram, construite en 2005[VBT4 10] et de la villa Le Havre au Vent, construite en 2001, sise au 51 avenue Louis-Quételart[VBT4 11].
Stéphane Rafray, architecte touquettois, est l'architecte de l'extension de la villa Francis avenue Léon-Soucaret[VBT4 12].
Léopold Raquet est l'architecte de la villa Butterfly, 49 boulevard Daloz[2],[68].
Léopold Joseph Raquet naît le à Amiens du mariage de François Léonard, menuisier, et de Marie Flore Cornette. Il se marie, le à Amiens, avec Mathilde Julie Marie Violette[AD 42],[AD 43].
Il est l'élève de Léon Delambre[69].
En 1897, il remporte, pour la section d'Amiens, le premier prix au concours des élèves architectes organisé par la société des architectes du Nord de la France[70].
Louis Rey est l'architecte de la villa Pretty Corner, 52, rue de Bruxelles.
Jean-Michel Rouveau, architecte provinois, est l'auteur de la villa Beau Soleil, construite dans les années 1980, sise avenue des Canadiens[VBT4 13].
Paul Ridoux est l'architecte de quelques villas : L'Ouragan (1898) sise 85, boulevard de la Mer (Docteur Jules-Pouget aujourd'hui), Le Corail (1901) 149 rue de Paris[ÉL 7] et Saint-Rémy (1912), angle nord-est de l'avenue Duguay-Trouin et du boulevard Thierry-Sabine (anciennement Digue Ridoux).
Waclaw Jacek Sawicki (1919 à Rejowiec-1995 au Touquet-Paris-Plage)[71], architecte de plusieurs villas du Touquet-Paris-Plage[VBT3 1].
Léon Saxer est l'architecte des villas :
Gaston Charles Franck Scaténa[72] naît le dans le 18e arrondissement de Paris, du mariage de Louis Charles Ali Scaténa et de Jeanne Virginie Marguerite Blanche Berthe Rosselloty, marchands merciers au Tréport. Il se marie avec Adrienne Didiot le dans le 12e arrondissement de Paris. Il meurt le à Portiragnes[AD 44],[AD 45].
Il est l'architecte de la transformation, vers 1920, de l'Hôtel Excelsior à l'angle nord-est des rues de Moscou et Saint-Jean.
Juliette Stolz, du cabinet Stolz Architecture, touquettoise d'origine, est l'architecte de la villa Les Tchanquées, construite en 2019 et de la villa Lumière, toutes deux sises côte à côte allée des Chèvrefeuilles[VBT4 14].
Sans objet.
Sans objet.
Henri Valette de Berck (Pas-de-Calais), est l'architecte de :
Patrick Vanhems (né en 1947 à Nouzonville et mort en 2008 à Boulogne-sur-Mer[73]) succède en 1975 à Pierre Krick et s'installe au 35, boulevard Daloz. Il achève les projets de Pierre Krick que sont le centre social et culturel de l'avenue de Villemessant et la recette perception de la rue Andreï-Sakharov.
Il est l'architecte des résidences Cap Sud et Alauda, avenue de Quentovic entre les avenues du Docteur-Jues-Pouget et Thierry-Sabine. Il est également l'architecte de la Maison du Temps libre à l'angle de l'avenue de Quentovic et de la rue de Calais (inaugurée le 28 avril 1990), de plusieurs villas comme Contemporaine allée des Coquelicots, Parenthèse allée de Picardie et Pégaze allée des Anémones, au Touquet-Paris-Plage et de résidences à Stella-Plage[VBT4 4].
Roland de Villario architecte (EAD), 90, rue d'Amsterdam dans le 9e arrondissement de Paris[74].
Il est l'architecte de l'hôtel Côte d'Opale, construit en 1929, situé boulevard de la Mer (Docteur Jules Pouget aujourd'hui) entre la rue Saint-Amand et la rue de la Paix.
Avec son confrère Albert Mignot, ils réalisent les plans de la villa Little H[75],[76].
Lucien Viraut est l'architecte de l'église Sainte-Jeanne-d'Arc du Touquet-Paris-Plage en 1911.
Il est élu membre titulaire de la Société académique de Paris-Plage le [77].
Jean-Michel Wilmotte est l'architecte du nouveau palais des congrès, au casino de la Forêt, inauguré le .
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Les architectes listés ci-dessous figurent dans les différents annuaires et journaux du Touquet-Paris-Plage édités avant la Seconde Guerre mondiale.
A. Brière, en 1905, est installé au chalet Le Bijou, rue de Paris au Touquet-Paris-Plage, et à Boulogne-sur-Mer, au no 55 du Boulevard Daunou[78],[79].
Louis Félix Joseph Danhier est né le dans le 17e arrondissement de Paris et mort le à Berck.
À la fin des années 1920, il a une agence, rue de Paris au Touquet-Paris-Plage, chez Touquet extensions, dirigé par Jean Ruat[AD 46].
Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Activité |
E. et Georges d'Avrange du Kermont. Georges Florentin Ernest d'Avrange du Kermont naît le à Douai, fils de Joseph Auguste Ernest d'Avrange du Kermont, négociant, et de Joséphine Victorine Sylvestre.
Lors de sa période militaire, en 1898, où il a pour profession sculpteur sur bois, il est domicilié chez ses parents, au no 17 rue Séguier dans le 6e arrondissement de Paris[AD 47].
Il épouse Léontine Juliette Anjouis le dans le 17e arrondissement de Paris. Il est architecte domicilié au no 19 rue de l'Odéon[AD 48],[AD 49].
Il meurt le à La Frette-sur-Seine[AD 48].
Quant au E., figurant dans l'encart publicitaire en référence, il peut s'agir du père, Joseph Auguste Ernest.
En 1905, ils sont installés chalet Paulette, rue Saint-Alphonse (aujourd'hui rue Léon-Garet) à Paris-Plage, et, au no 17 rue Séguier à Paris[78].
François d'Avrange d'Haugéranville et Jean François d'Avrange du Kermont, tous les deux frères, font partie des ancêtres de ces deux architectes, cette famille est originaire du duché de Lorraine aujourd'hui le département de la Moselle.
Fernand Louis Édouard Devillers, architecte à Amiens, né le à Amiens et mort le dans la même ville.
Il épouse Marie Thérèse Berthe Chauffeton le à Orléans[AD 50].
Il est fait officier d'Académie en [80].
À la fin des années 1920, il a une agence, au Touquet-Paris-Plage, en association avec Maxe Guillou, architecte, située no 79, rue de Metz.
Louis Fleurant est né le à Compiègne et mort le à Montpellier.
À la fin des années 1920, il a une agence, en association avec Jean Stra, son beau-frère, au no 83, rue Saint-Jean au Touquet-Paris-Plage.
Max Guillou, architecte à Amiens, né le à Amiens et mort le dans la même ville.
Il épouse Hélène Yvonne Marie Bonnard le à Amiens.
À la fin des années 1920, il a une agence au Touquet-Paris-Plage en association avec Fernand Devillers, architecte, située no 79, rue de Metz[AD 51].
René William Maeder, architecte DPLG et DPLTB, né le à Delémont en Suisse, fils de William Ernest Maeder et de Corinne Elwire Thièche. Il épouse, le à Bruay-en-Artois, Suzanne Eugènie Marie Joseph Hoguet, né le à Bruay-en-Artois[AD 52],[AD 53],[81].
Après avoir travaillé, au cours des années 1920, au cabinet d'architecte Louis Quételart[AD 54], dans les années 1930, il a son agence située au no 64, rue de Metz puis au no 78 rue Saint-Louis.
Jean Louis Eugène Stra, architecte, né le dans le 16e arrondissement de Paris d'un père architecte, et mort le à Compiègne.
Il épouse Gabrielle Élisabeth Louise Fleurant, sœur de son associé, le à Compiègne[AD 55].
Il est architecte à Compiègne[AD 56],[AD 57].
Il est fait officier d'Académie paru au JO du et officier de l'Instruction publique paru au JO du [82],[83].
À la fin des années 1920, il a une agence, en association avec Louis Fleurant, son beau-frère, au no 83, rue Saint-Jean au Touquet-Paris-Plage.
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