Cette chronologie de Caen recense les grands événements qui ont marqué l'histoire de la ville française de Caen, en Normandie, et de sa proche couronne.
Noms de lieux, notamment Catumagos («champs de bataille») qui est à l'origine du nom de Caen et cambo («courbe» ou «virage») qui a donné Cambes-en-Plaine
D'autres villages d'origine gauloise se développent dans la vallée marécageuse de l'Orne et de l'Odon: Calix, Villers, Vaucelles, Darnetal, Calibourg…
VIIesiècle: développement de plusieurs lieux de culte chrétiens (sépultures, fondations d'églises et d'oratoires) le long de l'ancienne voie romaine: Saint-Martin[N 4] (à proximité de l'ancien vicus), Saint-Julien (Calibourg), Saint-Pierre (Darnetal) et Saint-Jean
IXe-Xe: raids vikings; interruption de l'essor urbain.
«La ville qui s'appelle Cathim (Caen), sur la rivière Orne, de part et d'autre, avec ses églises, ses vignes, ses prés, ses moulins, avec le marché, le tonlieu et le port, et toutes ses dépendances»
Vers 1050: établissement des premiers éléments d’une vaste forteresse de 5ha sur l’éperon rocheux dominant la vallée de l’Orne et de l’Odon; la ville se développe au pied du château de Caen.
1185-1188: construction, exclusivement afin d'accueillir des malades, de l'Hôpital Saint-Thomas et Saint-Antoine, appelé Hôtel-Dieu de Caen, à la place de la maison charitable fondée par Guillaume le Conquérant
Début du XIIIesiècle: Philippe Auguste remanie profondément le Château en faisant construire une chemise autour du Donjon, supprimant ainsi l'entrée traditionnelle par le nord au profit d'un nouvel accès, la Porte des Champs
1356 et 1372: installation des Croisiers dans le Couvent des Béguines (actuelle rue des Croisiers); début de la construction de l'église du couvent des Croisiers.
1361: construction du Moulin Saint-Pierre (emplacement de la fontaine du boulevard Leclerc)
1417: début occupation de la ville par les Anglais (jusqu'en 1449)
14 décembre: l'abbaye d'Ardenne est pillée et les moines doivent se réfugier à Caen.
De 1417 à 1418, Henri V d'Angleterre fait de Caen son quartier général et le siège de son gouvernement. Il loge dans le "manoir du roi" (ancien Palais Ducal) dans le château.
1562: la collégiale du Saint-Sépulcre est investi par les Protestants; le Duc de Bouillon, gouverneur du Château mais partisan des Calvinistes, la fait détruire à coup de canon sous prétexte que sa position élevée pouvait inquiéter la forteresse[N 14]
1620: La ville de Caen étant disposée à recevoir le Roi, le Grand Prieur de Vendôme, Gouverneur de Caen et du Château, fidèle à Marie de Médicis, s'étant retiré à Angers avant l'arrivée des troupes royales, envoie le Capitaine Prudent pour garder le château. Celui-ci fait braquer les canons sur la ville fidèle à Louis XIII.
Fin août: tentative de retour au calme menée par le Lieutenant de Matignon
Novembre: le Maréchal de camp Grasson, à la tête d'une troupe de 5 000 hommes, et le ChancelierSéguier mènent tour à tour la répression
Octobre 1642: le CardinalRichelieu reconnaît l'établissement des religieuses de Notre Dame du Refuge (Notre Dame de la Charité depuis 1646) fondé par Jean Eudes l'année précédente
1671-1682: fondation du Couvent des Nouvelles Catholiques en 1671 par l'Évêque de Bayeux pour accueillir les jeunes filles désirant abjurer la foi protestante; en 1682, les Nouveaux Catholiques s'installe rue de l'Odon (actuelle rue Vauquelin)
1675-1691: construction de l'Hôpital général de la Charité, appelé plus communément hospice Saint-Louis, à côté de l'Hôtel-Dieu
1679: inauguration de la Place Royale, ancienne place de la Chaussée
1679: redressement de l'Orne entre les carrières de Ranville et Clopée à Mondeville[6]
Juin 1685: interdiction de l'exercice du culte protestant; le Godiveau, le temple protestant est détruit au son des tambours et des trompettes et ses matériaux utilisés pour la construction de l'Hôpital Saint-Louis
1er mars 1780: arrêt du parlement de normandie confirmant un arrêt du bailliage de Caen imposant le transfert hors la ville de la plupart des cimetières et l'agrandissement de ceux de Saint-Michel-de-Vaucelles et Saint-Ouen; un terrain est proposé dans le clos de Beuvrelu, situé dans la paroisse Saint-Martin
Mai 1783: le parlement de Normandie exige que la ville suive l'arrêt de 1780 (mais le projet de cimetière unique est abandonné); transfert des cimetières extramuros
11 août: échauffourée entre le régiment des Bourbons, commandé par Henri de Belzunce, et les miliciens bourgeois; les émeutiers prennent d'assaut les casernes
12 août: Henri de Belzunce, qui s'est livré la veille, est mené au Château; il est massacré par la foule sur la place Saint-Pierre
1er juillet 1790: grande fête des fédérés dans la plaine d'Ifs[13]
5 novembre 1791: rixe entre des gardes nationaux et des aristocrates venus assister à la messe du curé insermenté de Saint-Jean; au même moment, des échauffourées éclatent place Saint-Sauveur entre les gardes nationaux et des gentilshommes
1792: les bâtiments conventuels du Couvent de la Visitation, construits à partir de 1636, sont transformés en caserne pour le 73e Brigade de cuirassiers, puis pour le 8e Régiment de dragons et la municipalité s'installe dans l'ancien séminaire des Eudistes
5 septembre 1792: enfermé au Château de Caen Georges Bayeux, ancien secrétaire de Necker, doit passer devant le directoire, situé à l'Abbaye aux Hommes, pour plaider sa libération; il est massacré sur la place Fontette par la foule inquiète de la défaite de Longwy et exhortée par les massacres des prisons de Paris
5 avril 1793: le curé de Saint-Gilles est guillotiné; le peuple, aidé par les Gardes nationaux, s'empare de condamnés enfermés dans les prisons et les guillotinent
31 mai: Création d'une armée départementale et envoi d'une députation, menée par le chef des Carabots, devant la Convention
7 juin: retour de la députation; le Calvados est déclaré «en état d'insurrection et de résistance à l'oppression»
9 juillet: devant la faiblesse de la mobilisation des Caennais dans l'armée fédéraliste, Charlotte Corday se rend à Paris où elle tue Marat
13 juillet: l'armée fédéraliste est défaite à Vernon; les Girondins quittent la ville
2 août: Entrée de "l'armée de pacification" qui mène une répression modérée; la Convention ordonne la destruction du Château de Caen, seul le Donjon sera rasé
Les églises sont désaffectées (certaines ne furent jamais rouvertes au culte); l'église Saint-Martin est détruite
31 décembre 1796: rentrée solennelle de l'école centrale de Caen dans l'ancien palais de l'Université[14]; les écoles centrales sont supprimées en 1802
21 septembre 1804: une des douze écoles de Droit, instituées par la loi du 22 ventôse an XII (12 mars 1804), est établie à Caen[16].
1805: les Filles du Bon Sauveur se réunissent à nouveau et s'installent dans l'ancien couvent des Capucins; développement rapide de l'asile qui devient un des principales établissement de France
1806: le PréfetCaffarelli installe sa résidence dans l'Hôtel de Mannerville et ses services dans l'ancien Collège du Mont
2 mars: bousculade à la halle au grain (ancienne église Saint-Sauveur), le préfet Méchin et le maire de Caen, Lentaigne de Logivière, sont conspués; le soir, une foule d'environ 200 personnes met à sac le moulin de Montaigu à Vaucelles
3 mars: arrivée du 200 fantassins; plusieurs dizaines de personnes sont arrêtées
6 mars: entrée solennelle du comte Antoine Durosnel, général de brigade et aide de camp de l'Empereur
14 mars: jugement des 61 prévenus par une commission militaire siégeant au Château; ils sont condamnés à mort, aux travaux forcés ou à la réclusion à la Prison de Beaulieu
1813-1857: construction de l'Hôtel de la Préfecture à la place de l'Hôtel de Mannerville
1835-1841: de vastes écuries, aménagées pour héberger jusqu'à 700 chevaux, sont construites dans la Caserne de la Visitation qui devient alors Caserne de la Remonte (Quartier Lorge aujourd'hui)
1er avril 1836: ouverture du passage Bellivet, première galerie marchande de la ville
1842: fondation par l’abbé Le Veneur à Saint-Gilles d'une "colonie agricole et industrielle" pour orphelins; l'orphelinat Saint-Gilles, jugé insalubre, est fermé en 1880. Il est remplacé par une école industrielle fermée en 1924, les locaux étant repris par l'actuel institut Lemonnier en 1926 (détruits en 1944)[31]
1843: aménagement de la Place d'Armes (ancien terrain de manœuvre pour la garnison) en marché aux chevaux
2 avril 1846: les corps des religieuses du Bon-Sauveur sont transférés du cimetière Saint-Ouen vers le nouveau cimetière du Bon-Sauveur
À partir de 1860: suppression du quartier insalubre de la foire; des équipements publics le remplace (bains-douches, gendarmerie construit de 1857 à 1862, école)
1860: ouverture du premier grand magasin de Caen, la Maison de Magron (actuel Monoprix)
1862-1864: la Noë et une grande partie des Odon sont couvertes; destruction du pont Saint-Pierre; création du boulevard Saint-Pierre (actuels boulevards Maréchal Leclerc et des Alliés)
28 août 1862: décret autorisant la création de magasins généraux et d'une salle des ventes[38]
1864: l'église Saint-Gilles, dont le chœur a été démoli en 1863, perd son statut d'église paroissiale au profit de l'abbatiale de la Trinité; La Trinité prend alors le nom de Saint-Gilles
2 novembre 1866: bénédiction du cimetière de Vaucelles (premières inhumations dans ce cimetière dès 1862)
1866: épidémie de choléra du 26 décembre 1865 au 31 janvier 1866, 178 décès[26]
30 juin 1875: inauguration de la ligne de Caen à la mer et ouverture de l'avenue de Courseulles (actuelle avenue du Canada) pour accéder à l'embarcadère (Caen-Saint-Martin)
2 avril 1875: la ville décide d'acheter «la propriété Fleury, adjointe au château de la Guérinière»[40] - un terrain de 27 Ha, plat, nu et de faible valeur agricole - pour servir de champ de manœuvres à la garnison de Caen
12 septembre 1877: ouverture du raccordement entre la ligne de Caen à la mer et le réseau d'intérêt général de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest
4 octobre 1903: pose de la première pierre de la bibliothèque du palais des facultés, rue Saint-Sauveur et de l'hôpital Clemenceau par le ministre Joseph Chaumié[53]
10 décembre 1903: création de la bourse du travail sise au 26 rue Frémentel[54]
20 décembre1904: raccordement des deux gares caennaises des chemins de fer du Calvados (construction d'un nouveau pont sur l'Orne)
1909: ouverture de la première salle de cinéma sédentaire, le cirque-cinéma Omnia, avenue Albert Sorel (emplacement actuel du Stade Hélitas)[57],[N 23]
27 juillet 1910: premier meeting d'aviation (jusqu'au 2 août) sur le terrain d'aviation de Cormelles
12 décembre 1914: fin des travaux de la caserne d’artillerie (ancien quartier Claude Decaen); elle sert de caserne aux soldats belges pendant la guerre
1917: création des Chantiers navals de Blainville, remplaçant ceux de Caen fondés en 1826
Des quartiers périphériques (80ha du territoire caennais sont construits de 1927 à 1939); bordure de la rue d'Authie (1932), quartier Saint Jean Eudes, rue Hastings (1937), rue de Formigny (1939)
25 septembre 1931: inauguration de la Grande Brasserie Chandivert, construite dans le jardin de l'hôtel de Than, par les Établissements Chandivert, installé dans l'hôtel Renaissance depuis 1852, et le cinéma Majestic; le grand bâtiment Art déco comprend une brasserie et une salle de cinéma (actuel Pathé Lumière)
1935: reconstruction totale de la Gare de l'État par Henri Pacon; démolition des grandes halles et création des verrières sur les façades du bâtiment des voyageurs
8-11 juin 1936: importantes manifestations ouvrières dans l'agglomération (Caen, Mondeville, Colombelles, Blainville)[63]
10 février 1943: important bombardement de la gare; les bords de l'Orne, Vaucelles et la Demi-Lune sont touchés (10 morts, 39 blessés et plus de 100 maisons sinistrées)
avril-mai 1943: intensification de la fréquence des bombardements sur le quartier de la gare (13, 17, 20 avril; 30 mai)
avril 1944: quatre bombardements sur le quartier de la gare (11, 13, 17, 30 avril)
Juin-juillet 1944: bombardements et libération progressive de la ville
7 juin: incapables de prendre la ville comme il était prévu, les Alliés bombardent une première fois la cité; les quartiers Saint-Jean, Saint-Gilles, du Vaugueux et les alentours du boulevard des Alliés sont gravement touchés; les Caennais trouvent refugent dans les anciennes carrières ou dans l'Abbaye aux Hommes
15 juin: le théâtre est entièrement détruit par un incendie
7 juillet: nouveau bombardement; destruction de l'église Saint-Julien, du couvent des Bénédictines, du Temple Protestant, de l'Université et de ce qu'il restait de l'Hôtel de ville
Octobre 1944-septembre 1946: la moitié de la surface de la ville de Caen a été touchée par les bombardements (68% du volume bâti); déblaiement des ruines (environ 2 300 000 m3 de déblais)
14 décembre 1944: rentrée solennelle de l'Université malgré l'absence de locaux
Janvier 1945: premiers baraquements provisoires; les réfugiés sont relogés à la périphérie du centre ancien
1945-1959: aménagement d'un centre commercial provisoire sur la place de la République, surnommé le «village nègre», les fossés Saint-Julien, ainsi que sur les places Saint-Martin, Saint-Pierre, Guillouard et de la Gare
22 mai 1946: approbation du plan de reconstruction conçu par Marc Brillaud de Laujardière; la principale innovation est le percement de l'avenue triomphale (actuelle avenue du Six-Juin) doublant la rue Saint-Jean
14 septembre 1948: début de la reconstruction du quartier de Vaucelles
7 avril 1949: constitution de la coopération de reconstruction du quartier Saint-Jean
22 avril 1949: début de l'implantation des voies principales du quartier Saint-Jean (élargissement des rues de Bernières et Saint-Jean, percement de la future avenue du Six-juin)
Années 1950: construction d'immeubles reconnaissables par leur style Reconstruction (certains ont depuis été protégés au titre des monuments historiques)
24 avril 1956: ouverture de la nouvelle clinique de la Miséricorde à l'emplacement du couvent des Cordeliers dont seule la chapelle, aujourd'hui utilisée pour le culte anglican, subsiste
Novembre 1966: heurts entre la police et un cortège syndical réclamant des hausses de salaire
Novembre 1967: création de l'association des maires de l'agglomération caennaise, préfiguration du district de Caen[76]
26 janvier 1968: à la suite de la grève des ouvriers de la Saviem, qui occupent leur usine, rejoints par ceux de la SONORMEL, entre 7 000 et 10 000 personnes descendent dans la rue. De violents affrontements entre les gendarmes mobiles et les ouvriers, font 300 blessés[77].
Mai 1968: manifestations et grèves paralysent l'agglomération.
Le 6 mai, les étudiants manifestent en solidarité avec le mouvement parisien. Partie de la faculté des lettres, la grève s'étend à toute l'Université.
Le 13, les ouvriers rejoignent la contestation dans la grève générale.
Le 24 mai, c'est la «longue marche». À la suite de l'annonce des accords de Grenelle, entre 60 et 70 000 salariés sont en grève dans le département.
Le 29 mai, la CFDT (alors majoritaire dans le département et la région), la CGT et les syndicats étudiants organisent l'opération «Caen ville fermée».
Le lendemain, en réponse à l'allocution de De Gaulle, 4 000gaullistes manifestent aux cris de «non à l'anarchie, oui à la liberté du travail».
La réponse des syndicats le 31 mènent 20 000 personnes dans les rues, la plus importante manifestation depuis le début des événements à Caen, et unique en France à cette date.
Les manifestations se poursuivent, mais la reprise s'engage une semaine après[77]. À la suite de cela, et profitant du désengagement de l'État, la Mairie reprend les locaux de la Maison de la culture, et renvoie Jo Tréhard.
1990: création du district du Grand Caen, communauté d'agglomération Caen la Mer depuis 2002, et du réseau de coopération Normandie Métropole entre Caen-Rouen-Le Havre
Le culte de Saint-Martinl fut très vivace tout au long du Moyen Âge. L'évêque de Tours fut l'un des principales évangélisateurs de l'Ouest de la France où il créa un premier réseau de paroisses rurales.
Cette église, dévastée en 1562 par les Protestants et laissée à l'abandon à partir 1793 fut en grande partie détruite en 1838 pour construire une usine à gaz, puis en 1944 pendant la bataille de Caen; seul le chœur subsiste aujourd'hui
Les chanoines s'installèrent alors dans la chapelle Sainte-Anne voisine, dont il reste une porte du XIIesiècle à décor de frettes crénelées. L'église, agrandie au XVIIIesiècle, est désaffectée depuis la Révolution française.
Ce prieuré était situé dans la paroisse Saint-Ouen de Villers, d'où le nom de la place Villers; une portion de la rue Caponière actuelle s'appelait jusqu'en 1889 rue des Capucins.
Les canadiens s'y installèrent dans le château, le 19 juillet 1944. Le 10 août, à la suite d'une erreur de l'aviation américaine, le château fut entièrement détruit.
Le cimetière des Quatre Nations doit son nom au fait que l’on y inhumait des personnes ayant vécu sur les quatre paroisses environnantes (Notre-Dame, Saint-Sauveur, Saint-Martin et Saint-Julien).
Ce barrage-passerelle fut remplacé par une passerelle sans barrage réservée à la circulation piétonne en 1926; cette passerelle fut elle-même détruite en 1944.
Amable-Guillaume-Prosper Brugière Barante, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477, Furne et Cie, Paris, 1843, 6e ed. [(fr)texte intégral(page consultée le 29 mai 2008)]
Pierre Carel, Histoire de la ville de Caen depuis Philippe-Auguste jusqu'à Charles IX, Paris, Champion, 1886, p.227 [lire en ligne(page consultée le 23 septembre 2010)]
Solange Guilleminot, «La justice d'Ancien Régime au XVIIesiècle: 11 000 cas dans le Présidial de Caen» dans Histoire, économie et société, 1988, vol.7, no7-2, p.203 [lire en ligne(page consultée le 24 septembre 2010)]
Alfred Campion, «Note sur l’école de dressage et d’équitation de Caen», L'Annuaire des cinq départements de l'ancienne Normandie, Caen, Le Blanc-Hardel, vol.41,
Octave Lignier, «Essai sur l'histoire du jardin des plantes de Caen», Bulletin de la société linnéenne de Normandie, Caen, E. Lanier, 5e série, vol.8, , p.56
Pascal Liévaux et Hélène Rousteau-Chambon (dir.), Jacques V Gabriel et les architectes de la façade atlantique: Actes du colloque de Nantes du 26-28 septembre 2002, Paris, Éditions Picard, , «Les architectes du roi et l'architecture communale des villes atlantiques», p.179-181
Charles-Hippolyte Pouthas, «L'École centrale du Calvados – Organisation et fonctionnement depuis l'ouverture de l'École jusqu'à la fin de l'an X (1796-1802)», dans les Mémoires de l'Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen, Caen, Henri Delesques, 1912, p.269 [lire en ligne]
Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens et avis du Conseil d'État de 1788 à 1824, Paris A. Guyot, Bousquet, 1834-1845, Tome 15, 2eédition, p.87[lire en ligne]
Victor Amand Toussaint, Indicateur complet de la ville de Caen, guide des étrangers, contenant les adresses de tous les habitans, et précédé d'une notice historique sur Caen et ses monumens, Caen, A. Avonde, 1836 p.84[lire en ligne]
Pierre Coftier, «La colonie agricole et industrielle Saint-Gilles de Caen» dans le catalogue de l'exposition Enfances normandes 1760 – 1960, Conseil général du Calvados, 23 juin – 30 septembre 2007, pp.24–26
Guillaume-Stanislas Trébutien, Caen, son histoire, ses monuments, son commerce et ses environs, guide du touriste, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1870; Brionne, le Portulan, Manoir de Saint-Pierre-de-Salerne, 1970, pp.303–304