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Cet article présente et décrit les armoiries des barons militaires sous le Premier Empire de F à Z.
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Jean Louis François Fauconnet (24 décembre 1750 - Revigny (Meuse) † 22 octobre 1819 - Lille), général de division (7 janvier 1807), 1er baron Fauconnet et de l'Empire (2 juillet 1808), Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis,
De gueules, à un faucon d'or, perché sur une branche du même, accompagné en chef de deux étoiles aussi d'or ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[1],[2] | |
Simon de Faultrier (22 août 1763 - Metz † 24 novembre 1832), chef de brigade (13 mars 1800) général de brigade (22 novembre 1806), baron de Faultrier et de l'Empire, Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis,
D'argent, au lion rampant de gueules, à la fasce de sable brochant sur le lion, chargée à senestre d'une étoile du champ ; à la bordure componnée de vingt-quatre pièces de gueules et d'or ; au franc-quartier des Barons militaires de l'Empire brochant. Supports: deux lions. (Le titre fut confirmé le 4 mai 1816 avec maintien de la bordure d'or et de gueules, sans le franc-quartier).[1],[3] | |
Florentin Ficatier (9 février 1765 - Bar-le-Duc † 28 novembre 1817 - Saint-Nicolas-de-Port), chef de bataillon (5 août 1799), chef de brigade (3 août 1800), Légionnaire (11 décembre 1803), puis Officier de la Légion d'honneur (14 juin 1804), baron de l'Empire (19 mars 1808), général de brigade (22 octobre 1808), commandeur de la Légion d'honneur (16 mai 1809), Chevalier de Saint-Louis (1er novembre 1814).
D'or ; au trois chevrons d'azur ; quartier des barons militaires brochant sur le tout.[4] | |
Charles de Flahaut ( - Paris ✝ - Paris), général de division (), Baron de Flahaut de La Billardrie et de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Fontainebleau), Comte de Flahaut de La Billardrie et de l'Empire () (décret du , lettres patentes du , Palais des Tuileries)
D'argent à trois merlettes de sable, surmontées d'un comble d'azur chargé d'une croix d'or : franc-quartier des Barons tirés de l'armée brochant sur le tout.[5] | |
Louis François Joseph Flayelle ( - Vendegies-au-Bois, près du Quesnoy † ), chef de bataillon (4 fructidor an II), chef de brigade (19 brumaire an III), baron de Bourdonchamp et de l'Empire (lettres patentes du 24 juin 1808, donataire en Wesphalie (4000 fr)), Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandeur de la Légion d'honneur (31 juillet 1809), Chevalier de Saint-Louis (1er novembre 1814), chevalier de l'ordre de Sainte-Anne de Russie (2e classe), en novembre 1818,
D'or, à un casque de sable, la visière baissée ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[1],[6] | |
Flosse, chef de brigade du 4e Régiment de Hussards (1794)[7], Lieutenant en second, Adjudant-Major du 1er Bataillon (Dépôt de Metz)[8], (Colonel),
Coupé: au 1, parti d'or, à un pélican et sa piété de sable, surmonté d'une rose au naturel et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 2, d'azur, à un canot de sable, voguant à dextre sur une mer orageuse de sinople et surmonté d'une étoile d'argent hérissée d'or.[9] | |
François Louis Forestier ( - Aix, Savoie) † - des suites de ses blessures reçues à la bataille de Brienne le ), chef d'escadron (19 août 1803), général de brigade (19 novembre 1813), baron de l'Empire (15 août 1809, lettres patentes du 29 août 1810), Légionnaire (25 prairial an XII, puis Officier de la Légion d'honneur (22 août 1809),
Coupé : au I, parti d'or à trois tourteaux d'azur et du quartier des barons tirés de l'armée ; au II, d'azur, au lion bandé de gueules et d'argent de huit pièces.[1],[10] | |
Joseph Augustin Fournier ( - Valréas † ), général de brigade (16 nivôse an VIII), général de division (31 octobre 1806), baron de l'Empire (2 juillet 1808), marquis d'Aultane, Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Commandeur (25 prairial an XII), puis grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (13 août 1814),
Coupé : au I, parti d'azur au lion naissant d'or soutenant une étoile du même et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II, d'argent à deux bandes de gueules chargées de trois étoiles d'or posées en bande.[4],[1],[11],[12] | |
François Louis Fournier-Sarlovèse (6 septembre 1773 - Sarlat † 18 janvier 1827 - Paris), général de brigade (25 juin 1807), général de division (11 novembre 1812, destitué le 26 octobre 1813 à la suite d'une altercation verbale avec Napoléon Ier), baron Fournier-Sarlovèze et de l'Empire (1808), comte Fournier-Sarlovèse (1819),
Écartelé : au 1, d'argent, à une salamandre au naturel dans des flammes du mesme ; au 2, du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, d'argent, à un dolman ou pelisse de hussard au naturel ; au 4, d'azur, à un étendard d'or déployé. Devise: HINC VITA, LUX ET HONOR[9]. | |
Maximilien Sébastien Foy ( - Ham (Somme) ✝ - Paris), général de brigade (), général de division (), baron Foy et de l'Empire (), 1er comte Foy et de l'Empire (), Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
D'azur semé d'étoiles d'argent, à une barre brochante chargée de trois tourteaux de sable ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant sur le tout.[13] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Étienne Maurice Gérard (° - Damvillers † ), général de brigade (), général de division (), Maréchal de France (), baron Gérard et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Ebersberg)), puis comte Gérard et de l'Empire (décret impérial du ), grand-croix de la Légion d'honneur (), grand-croix de l'ordre de la Réunion (), chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière (autorisé le ), chevalier de l'ordre de Dannebrog de Danemark (autorisé le ), grand-croix de l'ordre de l'Épée de Suède (), grand-croix de l’ordre royal de Léopold de Belgique (), commandeur de l'ordre des Séraphins de Suède (autorisé le ), pair de France ( (Cent-Jours), ),
Écartelé ; au premier d'azur à la tête de cheval d'or bridée de gueules ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de pourpre au chevron d'or sur lequel broche un sabre d'argent, surmonté de trois étoiles une et deux aussi d'argent ; au quatrième d'azur au lion rampant d'or.[14] | |
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Jean-Baptiste Girard (° - Aups † - Paris, des suites de ses blessures reçues le 16 juin 1815 à la bataille de Ligny), général de brigade (), général de division (à titre provisoire le , confirmé le 17 décembre de la même année), baron Girard et de l'Empire (26 octobre 1808), duc de Ligny et de l'Empire (décret impérial du 21 juin 1815), grand officier de la Légion d'honneur (), grand officier de la Légion d'honneur (), grand-croix de l'ordre de la Réunion (3 avril 1813), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, chevalier de Saint-Louis (19 juillet 1814), pair de France (2 juin 1815 : Cent-Jours),
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Jean Pierre Girard-dit-Vieux (° - Genève † - Arras), grand-officier de la Légion d'honneur (),
Écartelé: de sable au casque d'or, accompagné de trois étoiles du même deux et une, et de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; le deuxième, d'or à deux fasces superposées d'azur, accompagnées de trois molettes, une en chef, deux en pointe du même. Livrées : noir, jaune, rouge, bleu.[16] | |
François Girault (° - Châlons-sur-Saône (Saône-et-Loire) † - Ocaña (Espagne) des suites de ses blessures reçues le ), colonel du 12e régiment de dragons, baron de Martigny et de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Bayonne), Officier de la Légion d'honneur
D'or : à l'écusson d'azur, chargé d'un casque d'argent, quartier des barons militaires brochant sur le tout. Livrées : jaune, bleu, blanc et rouge[17]. | |
Jacques Nicolas Gobert (° - Basse-Terre, Guadeloupe † - Guaraman, Espagne), adjudant-général chef de bataillon (), général de brigade (15 mai 1793), général de division (9 fructidor an XI), baron de l'Empire (1808), Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Commandeur de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Écartelé: au 1, d'argent, à la fasce d'azur, ch. de trois étoiles d'or et acc. de trois têtes de More, tortillées d'argent ; au 2 du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au 3, d'argent, au lion de gueules ; au 4, d'or, à trois fasces de gueules[1],[13]. | |
Martin Charles Gobrecht (° - Cassel (Nord) † - Saint-Omer (Pas-de-Calais)), général de brigade (décret du ), baron de l'Empire (19 août 1812), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (6 août 1814),
Parti ; le premier d'azur à deux lances polonaises, en sautoir, d'argent ; le deuxième coupé au premier des barons tirés de l'armée, au second de pourpre à la tête de cheval coupée d'argent ; à la vergette d'or brochant sur le tout ; pour livrées les couleurs de l'écu. [14] | |
Roch Godart (° - Arras † - Rennes), Colonel du 79e régiment d'infanterie de ligne (23 novembre 1803), Général de brigade (11 septembre 1809), Baron de l'Empire (lettres patentes du 31 décembre 1809), Légionnaire (décret du Premier Consul du 25 prairial an XII), puis Commandeur de la Légion d'honneur (ordonnance royale du ), Chevalier de Saint-Louis (),
Coupé : au I, parti d’argent au palmier de sinople et du quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II, d’azur au vaisseau d’or soutenu d’une mer d’argent, chargée d’un banc de sable, mouvant du flanc destre.[18] | |
Gaspard Gourgaud (° 14 novembre 1783 à Versailles, † 25 juillet 1852 à Paris), premier officier d'ordonnance de Napoléon Ier (1813-1815), maréchal de camp (1835), pair de France (25 décembre 1841), baron Gourgaud et de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Paris)[14], légionnaire (), puis, officier (), puis commandant (), puis, grand officier (), puis, grand-croix de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis () ; grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Georges de la Réunion (it) (royaume des Deux-Siciles, 1836) ; grand cordon de l’ordre de Léopold de Belgique () ; Décoré de l’ordre du Nichan Iftikhar de Tunis ()
Coupé, le premier parti à dextre d'azur à la fortune sur sa « roüe » d'or, adextrée en chef d'une étoile du même, à sénestre des barons tirés de l'armée ; au deuxième d'argent au Saint-Michel à cheval terrassant un dragon, le tout de gueules soutenu de deux torches de sable, en sautoir, allumées de gueules.[14],[2],[1],[13] | |
Charles Louis Dieudonné Grandjean (° - Nancy † - Nancy), général de brigade (promu sur le champ de bataille de Postringo (26 mai 1799), confirmé le 4 juin 1799), général de division (8 février 1805), 1er baron d'Alteville et de l'Empire (lettres patentes du 31 janvier 1810), Commandeur de la Légion d'honneur (décret du Premier Consul du 25 prairial an XII), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance du 13 août 1814),
Écartelé : au 1, d'azur, à trois têtes de lion arrachées d'or (armes anciennes); au 2, du quartier des barons militaires ; au 3, d'argent, au chevron de gueules, chargé de trois étoiles du champ et acc. en pointe d'un coq de sable; au 4, de gueules, à un mouton heurtant d'argent (Mouton de Lobau).[1],[19] | |
François Joseph Fidèle Gressot (° - Delémont, Confédération des XIII cantons † - Saint-Germain-en-Laye), chef de brigade (1812), inspecteur général de l'infanterie (1816), major général de la garde royale (1823), baron de l'Empire (1808), chevalier de la Légion d'honneur (1804),
Coupé : au 1 parti, d'or à un annelet de sable et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2, de gueules, au chevron d'or, acc. de trois losanges d'argent.[2],[1] | |
Louis Sébastien Grundler (° 30 juillet 1774 - Paris † 27 septembre 1833 - château du Plessis, Fresnoy-le-Château), baron de l'Empire (1813), chef de bataillon à l'état-major de la Grande armée (1805), adjudant-commandant (1807), général de brigade (10 septembre 1812), gouverneur militaire de Paris (1814-1815), lieutenant général (23 juillet 1823), 1er baron Grundler et de l'Empire (11 mai 1813, lettres patentes du 9 octobre 1813), 1er comte Grundler (17 décembre 1818), légionnaire (17 janvier 1805), puis officier (1808), puis commandant (7 novembre 1813), puis grand officier de la Légion d'honneur (seconde Restauration), commandeur de l'ordre du Faucon blanc (1806), chevalier (1814), puis commandeur de Saint-Louis (seconde Restauration), chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière, commandeur de l'ordre de Saint-Joseph de Toscane,
Note : Blason pas clair... | |
Charles Louis Joseph Olivier Guéhéneuc (° † ), général de brigade (), lieutenant général (), Baron de Guéhéneuc et de l'Empire (), Comte Guéhéneuc (, à la mort de son père), Légionnaire (1807), puis, Officier (1812), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (1835), Chevalier de Saint-Louis (1815), Chevalier de l'ordre de Saint-Henri de Saxe, Grand-commandeur de l'Ordre du Sauveur.
Coupé, au 1, parti de sinople, à une épée d'or, la garde liée d'un ruban de gueules, flottant à dextre et à senestre et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2, d'azur, semé d'étoiles d'argent, et un bouclier ovale d'or, brochant sur le tout, ledit bouclier ch. d'une croix florencée ayant entre ses bras quatre étoiles, le tout aussi d'or.[1],[6] | |
Armand Charles Guilleminot (° - Dunkerque † - Baden), général de brigade (), général de division (), baron Guillemot et de l'Empire (), 1er comte Guilleminot et de l'Empire (), Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), puis, Commandeur (), puis, Grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière, Commandeur de l'ordre de la Couronne de fer, Pair de France (comte-pair le , lettres patentes du ), ambassadeur de France à Constantinople (1823-1832),
Parti, au I, d'azur, à l'étoile rayonnante d'or ; au II, coupé du quartier des barons militaires de l'Empire et de pourpre au chevron d'or, accompagné de trois roses d'argent[14]. |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Pierre Joseph Habert ( - Avallon † - Montréal (Yonne)), général de brigade (18 février 1808), général de division (25 juin 1811), Baron de l’Empire (décret décret impérial et par lettres patentes du 18 juillet 1811), Légionnaire (20 frimaire an XII : 22 décembre 1803), puis Officier (25 prairial an XII : 14 juin 1804), puis Commandant (décret impérial du 11 juillet 1807), puis Grand officier de la Légion d'honneur (ordonnance du 29 juillet 1814), Commandeur de l'ordre de la Réunion (décret impérial du 25 novembre 1813), Chevalier de Saint-Louis (ordonnance du 13 août 1814),
Coupé au I, d’azur à trois pyramides soutenues d’argent, ouvertes et maçonnées de sable, surmontées de deux étoiles à six rais d’or ; au II, de gueules chargé à dextre d’une tour donjonnée de trois tourelles d’argent, battue en brèche à senestre et senestrée d’un lion d’or, contre-rampant, armé d’une épée haute d’argent, la tour chargée d’un écu : de gueules à cinq pals d’argent à la plante de chanvre brochante du même ; au franc-quartier des barons militaires brochant.[19],[4] | |
Jacques Félix Emmanuel Hamelin ( - Honfleur † - Paris), capitaine de vaisseau (1803), contre-amiral (1811), Baron de l'Empire (lettres Patentes du 13 août 1811), Commandant (1811), puis Grand officier de la Légion d'honneur (1823), Chevalier de Saint-Louis,
Écartelé : aux 1 et 4, d'argent, à un cygne de sable ; au 2 du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 3, d'azur, à une ancre d'or.[2],[3] | |
Jean Isidore Harispe ( - Saint-Étienne-de-Baïgorry † - Lacarre), général de brigade (), général de division (), Maréchal de France (), Baron de l'Empire () puis Comte de l'Empire (), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (), Médaille militaire (), Grand-croix de l'ordre de la Réunion (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (), pair de France ( (monarchie de Juillet)), sénateur inamovible ( - ),
D'azur, au cheval d'or, terrassé de sable, accompagné en chef de trois étoiles d'argent ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[13] | |
Louis Harlet ( - Broyes † 1er mars 1853 - Sézanne), Chef de bataillon aux grenadiers à pied de la Garde impériale (30 août 1805), Chef de bataillon au régiment des fusiliers-grenadiers de la Garde impériale (16 février 1807), Major du 2e régiment de grenadiers à pied de la vieille Garde impériale (24 juin 1811), Général de brigade dans la ligne (13 avril 1813), baron de l'Empire (décret impérial du 15 mars 1810 et par lettres patentes du 4 juin 1810), Légionnaire (décret du Premier Consul du 6 août 1804), puis Officier (décret impérial du 4 septembre 1808), puis Commandant (décret impérial du 28 décembre 1813), puis Grand officier de la Légion d'honneur (décret du 9 janvier 1833), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance du 20 août 1814), Commandeur de l'ordre de Léopold de Belgique (1832),
Écartelé : au I, d’azur au lion assis d’or, la patte dextre appuyée sur une ruche d’argent ; au II, du quartier des barons militaires ; au III, de gueules à trois lances en pal d’argent, sommées chacune d’un casque de profil d’or, soutenues d’une champagne de sinople chargée d’une lance contournée en fasce d’argent, senestré d’un casque versé d’or ; au IV, d’azur au volcan d’or, enflammé de gueules, fumant de sable et lançant des pierre d’argent.[1],[19] | |
François Nicolas Benoît Haxo - Lunéville † - Paris, colonel (1809), général de brigade (23 juin 1810), général de division (5 décembre 1812), 1er baron Haxo et de l'Empire (1811), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier (18 juillet 1809), puis Commandeur de l'ordre royal de la Légion d'honneur (29 juillet 1814), puis Grand officier (25 avril 1821), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (9 janvier 1833), Chevalier (25 juin 1814), puis Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (29 octobre 1828), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (2 octobre 1812), Chevalier de l'ordre ottoman du Croissant (8 novembre 1807), Grand-croix de l'ordre de Léopold de Belgique, Pair de France (),
D'azur à la tour crénelée de cinq pièces d'or, la porte et une brèche de sable, accostée d'un serpent de sinople, lampassé de gueules, surmontée d'un lys d'argent, adextrée d'une grenade d'or, et sénestrée d'un compas ouvert du même ; au chef parti de deux traits; au 1 de gueules à l'anneau ovale d'or, fixé aux flancs par deux portions de fasces d'argent ; au 2 d'azur au croissant surmonté d'une étoile à six rais d'argent ; au 3 de gueules à l'épée haute en pal d'argent.[21] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Pierre Ismert ( - Teting-sur-Nied † - Arengosse), colonel (), général de brigade (), baron de l’Empire (lettres patentes du 24 octobre 1808), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, chevalier de Saint-Louis (),
D'azur, à un trophée composé d'une cotte d'armes à la romaine d'argent, sommée d'un casque d'or, taré de front, panaché de trois plumes d'autruche du même, le tout brochant sur deux drapeaux d'or, les hampes du même, passées en sautoir, le bout des hampes brochant sur deux branches de chêne d'or, les pieds passés en sautoir, le tout accompagné en chef d'un soleil d'or[1] ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[4] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Nicolas Jacquemard ( - Arc-sur-Tille (Côte-d'Or) † - Dijon), colonel du 43e régiment d'infanterie de ligne (), colonel-major du 5e régiment de voltigeurs de la Jeune Garde (8 avril 1813), général de brigade (), baron de l'Empire (6 août 1813), Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Officier (19 avril 1807), puis Commandant de la Légion d'honneur (14 septembre 1813), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (19 juillet 1814),
Écartelé : au I, d’azur à une Forture d'or portant sa roue du second ; au II, du quartier des barons tirés de l'armée ; au III, de gueules à une main d'argent tenant un sabre du même ; au IV d'azur à trois ponts à trois arches d'argent mouvant des flancs.[4] | |
Charles Claude Jacquinot ( - Melun † Metz), colonel du 11e chasseurs (1806), général de brigade (1809), général de division (26 octobre 1813), 1er baron Jacquinot et de l'Empire (26 octobre 1808), Officier (14 mai 1807), puis Grand officier de l'ordre royal de la Légion d'honneur (1814), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier (1814), puis Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, Pair de France (),
Écartelé : aux 1 et 4, d'or, à la croix alésée de gueules ; au 2 du quartier des barons militaires ; au 3, d'azur, à une rose d'argent.[9],[2],[4] | |
Jean-Baptiste Jamin ( - Villécloye † - Paris), général de brigade (décret impérial, daté d'Erfurth, du ), lieutenant-général (), baron de l'Empire (, avec une dotation), vicomte (), Pair de France (), Légionnaire (4 germinal an XII), puis officier (1807), puis Commandant (), puis grand officier de la Légion d'honneur (), chevalier de Saint-Louis (), chevalier de 4e classe de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (),
Écartelé : au I, d'argent, à trois sapins de sinople, terrassés du même ; au II, du quartier des barons militaires de l'Empire ; au III, de gueules, à une montagne sommée d'une tour à deux étages portant un drapeau, le tout d'argent ; au 4, d'or, à un cheval galopant de sable, accompagné au canton dextre du chef d'une étoile de gueules.[1],[22] | |
Claude Marie Joseph Jeannot de Moncey ( - Besançon † - Boulancourt (Seine-et-Marne)), Chef d'escadron de gendarmerie, Député du Doubs au Corps législatif (1810-1815), Baron de Moncey et de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de Saint-Louis,
Coupé : au I parti, a, de sable à deux écots, passés en sautoir, accompagnés en chef de trois étoiles, le tout d'or, et en pointe d'un croissant d'argent, b, du franc-quartier des Barons militaires de l'Empire ; au II d'azur, à une main d'or, ailée d'argent, tenant une épée du même en pal. | |
Jean-Baptiste Jeanin ( - Lanéria † - Saulieu (Côte-d'Or)), chef de bataillon (10 pluviôse an XII), colonel du 12e régiment d'infanterie légère (3 fructidor an XIII), général de brigade (19 novembre 1808), lieutenant-général (20 janvier 1815), 1er baron Jeanin et de l'Empire (15 août 1811), Officier (25 prairial an XII), puis Commandant (16 novembre 1808), chevalier de Saint-Louis (ordonnance du 13 août 1814),
D'hermine, au lion couché d'or, soutenu d'une champagne d'azur, chargé de deux épées d'argent, passées en sautoir ; au cantons des barons militaires brochant.[2],[1] | |
Antoine Alexandre Julienne de Bélair ( - Paris ✝ - Saint-Mandé), Colonel du 8e régiment d'infanterie légère (), Colonel du 24e régiment d'infanterie légère (), Général de brigade (), Chevalier de l'Empire, Baron de l'Empire (lettres patentes du [4]), Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),
Armes parlantes (La « julienne des dames » rappelle « Julienne »). |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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François Joseph Kirgener ( - Paris † 22 mai 1813 - Combat de Reichenbach), chef de brigade (29 vendémiaire an IX ()), général de brigade (4 nivôse an XIV ()), général de division (), colonel du génie de la Garde impériale (1er janvier 1810), 1er baron de Planta et de l'Empire (26 octobre 1808), Légionnaire (19 frimaire an XII, puis Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (),
Coupé : au I, tiercé en pal : a. de sinople à un dextrochère armé, tenant une massue en pal d'argent ; b. d'azur à un casque grillé d'or, taré de front, surmonté d'une main appaumée, aussi d'or ; c. du canton des barons militaires ; au 2, d'or, à un château-fort flanqué de deux bastions, sommé d'une tour crénelée de sable, ouvert et ajouré du champ, maçonné d'argent, terrassé de sinople.[1],[2],[23] | |
Stanislas Klicki (19 novembre 1775 - Ostrolenka † 21 avril 1841 - Rome) baron de l'Empire (lettres patentes du ), Officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'Ordre de la Couronne de fer, Chevalier de l'Ordre militaire de Virtuti Militari.
Coupé, au premier parti, à dextre d'or à la croix patriarcale de sable, la traverse du bas manquant à dextre, sénestré d'un dextrochère armé posé en pal, tenant un sabre renversé, le tout aussi de sable, à sénestre des barons tirés de l'armée ; au deuxième d'azur au cheval galopant d'argent chargé d'une lance en barre d'or, au pennon d'argent coupé de gueules.[4] | |
Michel Kosiński (3 novembre 1776 - Cracovie, Pologne - ?), major au 3e régiment de la Légion de la Vistule, baron de l'Empire (décret du 31 mars 1812, lettres patentes du , Saint-Cloud), Membre de la Légion d'honneur, Chevalier de l'ordre militaire de Pologne,
Ecartelé ; au premier d'azur à trois grenades d'argent, éclatantes et enflammées, de gueules ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de sable au tube de canon en pal, d'or ; au quatrième d'azur à la forteresse donjonnée de trois tourelles d'or ; sur le tout parti de gueules et d'argent, le gueules à la corne de cerf en pal, d'argent ; l'argent à la corne de buffle en pal, de sable ; pour livrées les couleurs de l'écu.[24],[25] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Louis Joseph Lahure ( - Mons (Pays-Bas autrichiens) † – Château de Wavrechain-sous-Faulx), , général de brigade (nommé provisoirement le , confirmé le ), député du département de Jemmapes au Corps législatif ( (6 germinal an X)), lieutenant-général (), lieutenant-général titulaire en Belgique (), chevalier de l'Empire (lettres patentes de l'Empereur du ), puis baron de l'Empire (, avec une dotation qu'il ne toucha jamais, lettres patentes de l'Empereur du ), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Grand officier de l'ordre de Léopold (),
Armes parlantes. Hure⇔Lahure | |
Jean Maximilien Lamarque ( Saint-Sever † 1er juin 1832 Paris), général de brigade (février 1801), général de division (6 décembre 1807), 1er baron Lamarque et de l'Empire (1810), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), grand cordon de l'ordre des Deux-Siciles,
Coupé : au 1, parti d'or, à une tête de cheval de sable, à la bordure dentelée d'azur et du quartier des barons militaires ; au 2, d'or, à un arc couché, bandé avec sa flèche, de sable.[2] | |
Jean Ernest Lannes[27] (1803 ✝ 1882), Baron d'Empire, puis Baron de Montebello,
De sinople, à l'épée haute d'or ; au canton des Barons Militaires de l'Empire brochant. | |
Gustave Olivier Lannes[28] (1804 ✝ 1875), baron de Montebello et de l'Empire (lettres patentes du ), général de division (1855), sénateur du Second Empire,
De sinople à l'épée haute en pal d'or, brisée d'un chevron alaisé d'argent, placé au-dessus de l'épée ; au deuxième point en chef ; franc-quartier de baron tiré de l'armée.[29],[30] | |
Louis-François-Bertrand du Pont d'Aubevoye de Lauberdière (1759 ✝ 1837), baron de l'Empire (décret du 19 mars 1808, confirmé par lettres patentes du ), général de brigade (1807), membre du Corps législatif, général de division (1814), commandeur de la Légion d’honneur, chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière
D’argent aux deux chevrons abaissés et superposés de gueule, quartier de baron tiré de l'armée[31]. | |
Gaëtan Joseph Prosper César de Laville de Villa-Stellone (° - Turin † - Toulouse), colonel, écuyer de S. M. la reine de Hollande, aide de camp du maréchal duc d'Istrie, général de brigade (), baron de la Ville de Villa Stellone et de l'Empire (décret impérial du , lettres patentes du , Paris)[29], légionnaire (14 floréal an XIII : ), puis, officier de la Légion d'honneur (), chevalier de l'ordre de la Réunion,
Écartelé au premier de gueules à trois barres d'or, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'argent, au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'argent à la croix de sable cantonnée de quatre losanges du même, au quatrième d'azur au cigne nageant d'argent.[14],[29] | |
Armand Lebrun (Paris, – ), général de division, Baron de La Houssaye et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées à Burgos le ), légionnaire (19 frimaire an XII), puis, commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII)
D'azur; au chevron d'or, surmonté de deux têtes de cheval d'or, et en pointe d'un sabre de hussard d'argent à poignée d'or, accompagné de trois étoiles d'argent une et deux; quartier des barons militaires, brochant sur le tout.[14] | |
Alexandre Lebrun de Plaisance (1780 ✝ 1812), chef d'escadron, aide de camp du prince, vice-connétable, baron Lejeune et de l'Empire (accordé par décret du et lettres patentes signées à Anvers le ), Légionnaire (25 prairial an XII)
De sable, à la louve arrêtée d'or la tête en rencontre soutenue du même et surmontée de deux billettes d'argent ; à la bordure dentelée du même : franc quartiers des barons tirés de même[14],[29] | |
Jean Lecamus (° - Aubusson † - Andlau, Bas-Rhin), général de brigade (), Baron de Moulignon et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres du , signées à Bayonne), officier (25 prairial an XII : ), puis, commandant de la Légion d'honneur (5 nivôse an XIV : ), chevalier de l'Ordre du Mérite militaire (Wurtemberg),
Parti d'or et de sable ; au chevron de l'un en l'autre, accompagné, sur l'or, d'un anneau d'azur, sur le sable, d'un anneau d'or ; au comble d'azur chargé de deux étoiles à cinq raiz d'argent; quartier des barons militaires brochant sur le tout.[14],[3],[29] | |
Jacques Lecapitaine (Lapenty (auj. dans la Manche), – bataille de Ligny, ), général de brigade, baron Lecapitaine et de l'Empire (décret du : les lettres patentes (), autorisées pendant les Cent-Jours, ne furent pas retirées[29]), légionnaire (1er vendémiaire an XII) puis officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
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Jean-Baptiste Lecat de Bazancourt (19 mars 1767 - La Neuville-d'Aumont † 17 janvier 1830 - Paris), colonel du 4e régiment d’infanterie légère (an X), général de brigade (6 mars 1808), 1er baron Le Cat de Bazancourt et de l'Empire (10 février 1809), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (11 nivôse an XIV (25 décembre 1805), chevalier de Saint-Louis (1814),
Coupé : au 1, parti d'azur à trois besants d'or et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 2, d'or à un sphinx de sable, soutenu de gueules, brochant sur un palmier de sinople, accosté de deux croissants aussi de gueules, chaque croissant surmonté d'une étoile du même.[4],[3] | |
Teodoro Lechi (° - Brescia † - Milan), général de brigade, colonel du régiment d'infanterie de ligne de la garde italienne de l'Empereur, Baron Lecchi et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées à Compiègne), officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre de la Couronne-de-Fer,
Écartélé au premier d'argent au casque de profil de sable, orné d'or, et panaché de gueules : au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à l'arbre d'or, accompagné de deux tours carrées d'argent, le tout soutenu du même et surmonté de trois étoiles en face d'or, au quatrième d'argent à trois bandes ondées de gueules.[14],[29] | |
Louis Leclerc des Essarts (° - Pontoise † - Paris), adjudant-commandant (1803), général de brigade (1808), baron Leclerc et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées au Camp impérial d'Aranda de Duero), comte Leclerc Desessarts et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées à Paris), légionnaire (15 pluviôse an XII : ), puis, officier (25 prairial an XII : ), puis, commandant de la Légion d'honneur (),
Écartelé, le premier d'azur à la pensée d'or en pointe aussi d'or et au soleil naissant en chef à dextre ; le deuxième des barons militaires ; le troisième d'argent à la tête de maure de sable, tortillée et colletée d'or ; le quatrième d'azur aux trois têtes de cheval d'argent posées deux et une.[14],[29] | |
François Roch Ledru des Essarts ( - Chantenay † - Champrosay, Draveil), chef de brigade (1er messidor an VII), général de brigade (3 nivose an XIV (24 décembre 1805)), général de division (juillet 1811), 1er baron Ledru des Essarts et de l'Empire (août 1810), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant (), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (2 juin 1814), Pair de France ()
Coupé : au I parti d’azur à trois étoiles d’argent posées en barre et du quartier des barons militaires ; au II d’argent au chevron de gueules accompagné en chef à dextre d’une tête de lévrier contournée de sable et à senestre d’un cor du même et en pointe d’une grenade de gueules. | |
François-Joseph Leguay (18 mars 1764 - Châteaugiron † - retraite de Russie), chef de brigade (12 thermidor an VII), général de brigade (15 ventôse an IX), 1er baron Le Guay et de l'Empire (1808), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Coupé au premier parti à dextre gironné d'argent et d'azur à sénestre des barons tirés de l'armée, au deuxième d'or à la forteresse de sable[14] | |
Louis-François Lejeune ( - Strasbourg † - Toulouse), , colonel au corps impérial du génie, aide de camp du prince vice-connétable, général de brigade (1812), 1er baron Lejeune et de l'Empire (accordé par décret du et lettres patentes signées à Fontainebleau le ), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier (autorisé le ), puis, Commandeur de l'Ordre impérial de Léopold, Commandeur de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière (1823), Grand'croix de l'ordre de l'Épée de Suède (1824)
Coupé, au premier parti à dextre d'or au dextrochère gantelé de sable, mouvant à sénestre, tenant un compas ouvert du même ; à sénestre de gueules au signe des barons tirés de l'armée, au deuxième d'azur à la tête de Minerve en profil d'or[14],[29]. | |
Adelaïde Blaise François Le Lièvre de La Grange ( - Paris † - Paris), Général de brigade (décret impérial du ), Général de division (), Marquis héréditaire de La Grange et de Fourilles, puis, Baron de l'Empire (lettres patentes du ), puis, Comte de La Grange de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (19 frimaire an XII : ), puis, Officier (décret du Premier Consul du 25 prairial an XII : ), puis, Commandeur de l'ordre royal de la Légion d'honneur (ordonnance du , Chevalier (ordonnance du ), puis, Commandeur (ordonnance du ), puis, Grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du ),
Écartelé : au I, d’azur ; aux II et III, de sable au griffon d’or, armé et lampassé de gueules, celui du III contourné ; au IV, d’azur au senestrochère brassardé d’argent, surmonté de la lettre E du même ; sur-le-tout, d’azur au chevron d’or, accompagné en chef de deux roses, et en pointe d’un alérion, le tout d’argent ; au canton des barons militaires de l'Empire brochant.[19] | |
Louis Lepic ( – Montpellier † – Andrésy), Colonel-major du 1er Régiment de grenadiers à cheval de la Garde impériale, général de brigade (décret du 13 février 1807), Général de division (9 février 1813), 1er baron Lepic et de l'Empire (19 mai 1809), 1er comte Lepic (17 janvier 1815), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière (29 mars 1806),
Coupé : au 1, parti d'or à trois grenades enflammées de gueules et du quartier des barons militaires ; au 2, d'azur, à un faisceau des licteurs d'argent, accosté de deux lions affrontés d'or, surmontés chacun d'une étoile d'argent, celui de dextre armé d'un badelaire du même, le tout soutenu d'une terrasse de sable[2],[1],[19],[9]. Ou Coupé, le premier parti d'or à trois grenades de sable enflammées de gueules et de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; le deuxième d'azur au faisceau à l'antique d'argent, accosté à dextre et à sénestre d'un lion d'or, chacun surmonté d'une étoile d'argent, celui de sénestre armé d'un badelaire d'argent ; le tout soutenu de sinople ; pour livrées : bleu, blanc, et jaune[14],[32]. | |
Joachim Hippolyte Lepic (29 mars 1768 – Montpellier † 27 mars 1835 – Paris), maréchal de camp au 17ème régiment de dragons, nommé chevalier de l’Empire le 18 février 1808, légataire de deux mille francs de rente annuelle sur la Westphalie. Promu officier de la Légion d’honneur le 15 juillet 1810 et chevalier de l'Ordre de la Couronne de Fer le 28 novembre 1813, l’Empereur le fait baron Lepic et de l'Empire par décret impérial et lettres patentes du 2 avril 1814. Il est nommé chevalier de Saint-Louis le 17 mars 1815 par le roi Louis XVIII.
Conservation des mêmes armes après avoir été fait baron Lepic et de l'Empire. Coupé, au I, d'or au dextrochère de sinople tenant une trompe de sable, surmonté d'un pic de sable accosté à l'arbre tronqué de sinople ; au II, d'azur à la tour d'argent au sommet d'un mont d'or, surmonté au coin dextre d'un soleil d'or, à la champagne de l'écu de gueules au signe des chevaliers légionnaires. | |
Joseph Mathurin Fidèle Lesuire ( - Rennes † 19 avril 1824), général de brigade (4 fructidor an III), Baron de Bizy et de l’Empire (1808), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Coupé : au I, parti d'azur à deux drapeaux d'argent montés d'or passés en sautoir surmontés de deux molettes du même et du quartiers des barons militaires de l'empire ; au II d'or à trois chevrons de gueules accompagnés en chef de deux étoiles d'azur et en pointe d'une ancre de sable.[2] Ou Coupé : au I, parti d'azur à deux drapeaux d'argent montés d'or passés en sautoir surmontés d'une molette du même et du quartiers des barons militaires de l'empire ; au II d'or à trois chevrons de gueules accompagnés en chef de deux étoiles d'azur et en pointe d'une ancre de sable.[14],[32] | |
Jean-Marthe-Adrien Lhermitte ( - Coutances † - Plessis-Picquet), capitaine de vaisseau (1801), contre-amiral (6 janvier 1807), préfecture maritime de Toulon (1811-1814), baron de l'Empire (lettres patentes du ), Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (1814), Chevalier de Saint-Louis (1814),
Écartelé : au 1er, d'or au palmier terrassé au naturel ; au 2e, des barons militaires ; au 3e, de gueules à une poupe de vaisseau avec ses mâts et un pavillon à celui de l'arrière, le tout d'argent ; au 4e, d'azur à une tête d'ours blanc au naturel, posée en barre et mouvante du canton senestre.>[33] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Jacques-Barthélémy Marin ( - Ville (Oise) † - Ville (Oise)), major du 16e régiment d'infanterie de ligne (arrêté du Premier Consul du 30 frimaire an XII (22 décembre 1803)), colonel du 16e régiment d'infanterie de ligne (décret impérial du ), général de brigade (décret impérial du ), sous-gouverneur des Pages de l’Empereur (30 septembre 1809), Baron de l’Empire (décret impérial du 3 décembre 1809 et par lettres patentes du 15 juillet 1810), Légionnaire (décret du Premier Consul du 15 germinal an XII (5 avril 1804)), puis Officier (décret impérial du 6 mai 1809), puis Commandant de la Légion d'honneur (Ordonnance royale du ), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 19 juillet 1814),
Coupé : au I, parti : a) d’argent à la jambe coupée de sable –b) de gueules à l’épée haute d’argent (signe des barons militaires) ; au II, d’azur à la montagne d’or, surmontée d’un sautoir d’argent, adextré d’un poignard du même, montée d’or, et senestré d’un palmier du même.[19] | |
Charles Stanislas Marion ( - Charmes (Vosges) † - Bataille de la Moskowa), colonel du 24e régiment d'infanterie légère (an XII), général de brigade (2 fructidor an XIII), membre du collège électoral des Vosges, 1er Baron Marion et de l'Empire (accordé par décret du et lettres patentes signées à Saint-Cloud le ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (),
Écartelé au premier d'azur à quatre chevrons superposés d'or, au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'argent à la fasce de gueules chargée de deux étoiles du champ et surmontée d'une grenade de sable, allumée de gueules au second point ; au quatrième d'azur au lion d'or tenant de la dextre un sabre et de la sénestre un bouclier d'argent[14],[29]. | |
Jacques David Martin de Campredon ( - Montpellier † - Montpellier), sous-lieutenant à l'École du Génie (1er janvier 1780), lieutenant ingénieur (1er janvier 1782), capitaine ingénieur (1er avril 1791), professeur à Polytechnique (31 octobre 1794), général de brigade, artillerie (4 novembre 1799), Directeur des Fortifications (mars 1800), général de division (14 août 1806), ministre de la guerre à Naples (1809), 1er baron de Campredon et de l'Empire (confirmé par lettres patentes du 24 septembre 1814), Légionnaire (décret impérial du 12 décembre 1803), puis Commandant (décret impérial du 14 juin 1804), puis Grand officier de la Légion d'honneur (ordonnance royale du 29 juillet 1814), Commandeur (ordonnance royale du 24 août 1823), puis Grand Croix du Mérite Militaire (ordonnance royale de novembre 1827),
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Henri-Jacques Martin de Lagarde ( - Lodève † - Lodève), colonel du 21e régiment d'infanterie légère (4 mars 1807), général de brigade (30 mai 1813, affecté à la 4e division de la jeune Garde impériale, du 4 juin 1813 au 20 juillet 1813), baron Lagarde et de l'Empire (lettres patentes du 26 octobre 1808, confirmé en 1816 comme baron de Lagarde avec pour état civil « Martin de Lagarde »), Légionnaire (décret du Premier Consul du 16 février 1804), puis Officier (décret impérial du 20 mai 1811), puis Commandant de la Légion d'honneur (ordonnance royale du 17 janvier 1815), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 11 octobre 1814),
Écartelé : 1, de sinople à la sphère d'argent, terrassée du même, accosté à dextre d'un livre ouvert du même posé sur un rouleau de papier d'argent et à senestre d'un compas entrouvert du même en fasce ; 2, du quartier des barons militaires de l'Empire ; 3, de sable au chevron d'or, acc. en pointe de deux tours crénelées d'or ; 4, d'azur au sauvage au naturel, couché dans l'eau au naturel, parmi les roseaux du même et appuyé sur une urne renversée d'or (on trouve aussi : "au quatrième d'azur au (allégorie d'un) fleuve de carnation appuyé à senestre sur une urne renversée d'or et soutenu d'une rivière et de roseaux au naturel").[2],[19],[1],[22] | |
Louis Joseph Maupoint ( - Lille † - Marseille), colonel du 16e régiment de chasseurs à cheval (13 janvier 1806), général de brigade (6 avril 1811), commandant de l'École de cavalerie de Saint-Germain (20 août 1812 - 31 août 1814), Baron Vandeul et de l'Empire (19 mars 1808, lettres patentes du 24 février 1809), Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (23 août 1814), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (29 janvier 1814),
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Jean-Baptiste-Gabriel Merlin ( - Thionville † - Versailles), colonel du 8e régiment de cuirassiers (20 novembre 1799), général de brigade (5 juin 1809), Baron de l'Empire (décret impérial et lettres patentes du 28 janvier 1809), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (décret du Premier Consul du 25 prairial an XII (14 juin 1804)), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (ordonnance royale du 5 octobre 1814),
Coupé : au 1, parti de sable, à un cheval d'argent, gravissant un rocher d'or mouvant de l'angle dextre de la pointe et du quartiers des barons militaires ; au 2, d'azur, à une cuirasse antique d'argent, chargé d'un château donjonné de trois tours du champ ouvert et maçonné de sable.[2],[1],[13],[19] | |
Julien Auguste Joseph Mermet ( - Le Quesnoy † - Paris), colonel du 10e régiment de hussards (an II), général de brigade (28 brumaire an III), général de division (12 pluviôse an XIII), Baron de l'Empire (1809, lettres patentes du 2 août 1811), vicomte (12 février 1817, confirmé par lettres patentes du 3 mars 1818), Officier (23 vendémiaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (août 1823),
Ecartelé au premier d'azur au chevron d'or accompagné de trois étoiles du même deux en chef une en pointe au deuxième des Barons tirés de l'armée, au troisième de gueules à deux tentes tendues d'argent soutenues de sinople, au quatrième d'azur à la salamandre d'argent entourée de flammes d'or : sur le tout d'argent au cheval cabré de sable.[14]
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Théodore François Millet ( - Sourdeval † - Sourdeval), Colonel du 40e régiment d'infanterie de ligne (1809), Colonel du 121e régiment d'infanterie de ligne (), général de brigade (), Chevalier de l'Empire puis 1er baron Millet et de l'Empire, Légionnaire (1805), puis, Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (),
D'azur à la bande cousue de gueules, chargée en cœur de l'insigne des chevaliers légionnaires ; accompagnée en pointe d'un lion léopardé d'or et en chef de trois grenades d'argent posées en orle ; au canton des Barons militaires brochant[35]. | |
Pierre André Miquel (20 janvier 1762 - Béziers † 5 mars 1819 - Béziers), général de brigade (11 fructidor an XI), Baron Miquel et de l'Empire (6 septembre 1811), Officier (23 vendémiaire an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
D'or, au volcan de sable enflammé de gueules, adextré d'une tête de Borée de carnation, soufflant de sinople, sénestré de deux clefs en sautoir d'azur au comble du même, chargé d'un lion couché et coutourné d'argent; franc quartier des barons tirés de l'armée, brochant au neuvième de l'écu. Pour livrées, jaune, bleu, noir, rouge[36]. | |
Pierre Mourier (°9 novembre 1766 Limoges - † 31 août 1845 Limoges), Général de Brigade (6 août 1811), Baron de l'Empire (19 janvier 1810), Officier (15 juin 1804) puis Commandeur de la Légion d'honneur (2 septembre 1812), Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis le 19 juillet 1814.
Coupé le premier parti de sable au lévrier passant, soutenu d'or ; et de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; au deuxième de sinople à cinq chevrons d'argent superposés [37] | |
Régis Barthélemy Mouton-Duvernet ( - Le Puy-en-Velay † Fusillé le - Lyon), colonel du 63e régiment d'infanterie de ligne (), général de brigade (), général de division (), Baron Mouton-Duvernet et de l'Empire (1809), Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de Saint-Louis (1814),
D'azur, à un mouton couché d'argent, sous un oranger au naturel, fruité d'or, terrassé de sinople ; au canton des barons militaires de l'Empire brochant.[1],[13] | |
Jean-Charles Musquinet de Beaupré (Pontoise, – Berlin, ), général de brigade (), Baron Musquinet de Beaupré (décret du , lettres patentes signées à Paris le ), Légionnaire (28 ventôse an XII), puis Officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII),
Écartelé : le premier d'or à la tête de nègre de sable allumée d'argent ; le deuxième des barons tirés de l'armée ; le troisième d'azur au tube de canon d'or posé en pal, chargé de la lettre L de sable et accompagné de quatre étoiles d'argent deux à dextre deux à sénestre ; le quatrième d'or aux deux têtes de cheval de sable allumées du champ et posées en bande.[14],[29] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Thomas-Patrice Nagle ( - Cambrai † 9 novembre 1822 - La Rochelle), major du 17e régiment d'infanterie de ligne (11 brumaire an XII), colonel du 92e régiment d'infanterie de ligne (), major du 4e régiment de voltigeurs de la Jeune Garde (6 août 1812), général de brigade (), Baron de l'Empire (1810), Légionnaire (4 germinal an XII), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
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Jean Nicolas ( - Apremont-la-Forêt † 10 septembre 1833 - Paris), capitaine (), chef de bataillon (), colonel (), général de brigade (), Baron de l'Empire (1811), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
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Jean Baptiste Nicolas, ( - Rémonville † 4 mai 1854 - Rémonville), sous-lieutenant (), lieutenant (), capitaine (), Légionnaire (), chef d'escadron (), Officier (), Baron de l'Empire (), colonel (), Baron de l'Empire (), Commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), maréchal de camp (), Grand officier de la Légion d'honneur ()
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Figure | Nom du baron et blasonnement |
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François Joseph d'Offenstein ( - Erstein † - Mouzay (Meuse)), général de brigade (30 juillet 1793), général de division (22 septembre 1793, destitué en 1794), colonel (23 septembre 1805), général de brigade (25 juin 1807), Baron de l'Empire (26 juin 1809), Légionnaire (11 décembre 1803[39]) puis Officier de la Légion d'honneur (14 juin 1804[39], remis le aux Invalides),
Écartelé : au 1, d'azur, au lion d'or; au 2 du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 3, de gueules, à un renard passant et terrassé d'argent ; au 4, d'azur, à un coq hardi d'or.[4],[1] | |
Jean-Baptiste Olivier ( - Strasbourg † - Witternesse), général de brigade (19 septembre 1793), général de division (à titre provisoire le 22 mai 1799, confirmé le 27 avril 1802), Baron de l'Empire (lettres patentes du 19 janvier 1811), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), Chevalier de l’ordre de la Couronne de fer
D'or à un olivier terrassé de sinople brochant sur un buisson de bruyère du même ; au canton des barons militaires brochant.[4] Armes parlantes (L'Olivier). |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Michel Marie Pacthod - Saint-Julien-en-Genevois † - Paris), général de brigade (7 prairial an III), général de division (16 novembre 1808), baron de l'Empire[4] (lettres patentes du 15 juin 1808), comte de l'Empire (1813), Officier (19 frimaire an XII), puis, Commandant (25 prairial an XII), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (22 juillet 1813), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Coupé : au 1, d'or, à une tour de sable, maçonnée et ouverte du champ; au 2, d'azur, à trois croissants d'or ; au canton des barons militaires brochant.[4] | |
Pierre Claude Pajol ( - Besançon † - Paris), général de brigade sur le champ de bataille d'Eylau (, confirmé par décret impérial du ), général de division sur le champ de bataille de Friedland (, confirmé le ), baron de l'Empire (décret impérial du , lettres patentes du ), 1er Comte Pajol et de l'Empire (décret impérial du , confirmé le ), Légionnaire (), puis, Officier (26 prairial an XII : ), puis, Commandant (sur le champ de bataille d'Eckmühl, ), puis, Grand officier (sur le champ de bataille de Montereau, ), puis, Grand aigle de la Légion d'honneur (sur le champ de bataille de Ligny, ; confirmé Grand cordon de la Légion d'honneur le ), Chevalier de Saint-Louis (1er juin 1814), ordre du Lion de Bavière (1808), Chevalier de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière, Chevalier de l'ordre de l'Aigle blanc, Pair des Cent-Jours (), Membre de la Chambre des pairs ( : monarchie de Juillet),
Écartelé : au I, d'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux molettes et en pointe d'une épée haute, le tout d'argent ; au 2, du quartier des Barons militaires ; au 3, de pourpre, au lion d'or, la tête contournée, tenant un drapeau du même ; au 4, de sinople, à un senestrochère, mouvant du canton senestre de la pointe, la manche d'argent, le parement d'azur chargé de trois chevrons d'argent, la main de carnation tenant un foudre d'or.[1],[13],[19],[4] | |
Pierre Louis François Paultre de Lamotte (Saint-Sauveur-en-Puisaye, – Meaux (Seine-et-Marne), colonel au 9e cuirassiers, général de brigade (1811), baron Paultre de Lamotte et de l'Empire (décret du , lettres patentes signées au quartier général impérial de Schœnbrunn le , Légionnaire (19 frimaire an XII : ), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur () ;
Coupé le premier parti de sable au lion rampant d'argent, armé et lampassé de gueules, la [patte] sénestre appuyée sur une cuirasse aussi d'argent, et de gueules au signe des barons tirés de l'armée ; le deuxième d'azur à la licorne effrayée d'or.[14] | |
Pierre Pelleport ( - Montréjeau † - Bordeaux), colonel (1809), général de brigade (1813), lieutenant-général (1823), Baron Pelleport et de l'Empire (4 janvier 1811, confirmé baron héréditaire par lettres patentes du ), 1er vicomte Pelleport (vicomte héréditaire par lettres patentes du ), Légionnaire (an XII), puis, Officier (1809), puis, Commandant (1812), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (1823), Chevalier (1814), puis Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (1823), Chevalier de l’ordre de la Réunion, Chevalier de l’ordre de la Couronne de fer (1812), Chevalier de 4e classe de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (1823), Pair de France (25 décembre 1841),
Coupé : au I, parti de sinople à trois bandes d'argent et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au II, d'azur à un sphinx d'or contourné et assis sur une terrasse isolée du même.[40],[1] | |
Raymond Pierre Penne (18 novembre 1770 - Coarraze † 19 juin 1815 - à l'attaque dirigée par lui sur les hauteurs du village de Bierge), major du 106e régiment (30 frimaire an XII), colonel du 112e régiment (), général de brigade (), baron de l'Empire (), Légionnaire (4 germinal an XII), puis, Officier (), puis, Commandant de la Légion d'honneur (, Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), puis Commandeur (1823),
Écartelé : au 1, d'azur, à une gerbe d'or; au 2 du quartier des barons militaires ; au 3, de gueules, à un coq hardi d'argent ; au 4, d'azur, à un croissant d'or.[2],[1] | |
Joseph Marie de Pernety (19 mai 1766 - Lyon † 29 avril 1856 - Paris), colonel (2 octobre 1802), général de brigade (12 pluviôse an XIII : 1er février 1805), général de division (11 juillet 1807), Baron Pernety et de l'Empire (), puis Vicomte Pernety (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant (, puis Grand-croix de la Légion d'honneur (1er mai 1821), Grand-croix de l'ordre de la Réunion (), Commandeur puis Grand-croix de l'ordre militaire de Maximilien-Joseph de Bavière (1810), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Pair de France (),
Écartelé : au 1, d'azur, à une tortue d'or; au 2 du quartier des barons militaires de l'Empire ; au 3 de gueules, à un canon d'or, mouvant du flanc dextre et senestré en pointe d'une pile de boulets d'argent ; au 4, d'azur, à une tour d'argent, ouverte et maçonnée de sable, sommée à dextre d'un pavillon d'argent.D'après le règlement d'armoiries [1],[13],[2],[4]: ou Écartelé au premier et quatrième d'azur à la tour crénelée de quatre pièces d'argent, ouverte et maçonnée de sable, sommée à dextre d'un pavillon d'argent ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au canon d'or mouvant à demi du flanc dextre, sénestré en pointe d'une pile de boulets d'argent et en chef de trois étoiles deux et une du même.[14] ou Écartelé au premier et quatrième d'or à la tour d'argent, ouverte et maçonnée de sable, sommée à dextre d'un pavillon d'argent ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au canon d'or mouvant à demi du flanc dextre, sénestré en pointe d'une pile de boulets d'argent et en chef de trois étoiles du même en fasce.[4] | |
Jean-Pierre Pierrat de Clermont-Tonnerre ( - Paris † ), colonel (1809), général de brigade (5 avril 1813), baron de l'Empire (lettres patentes du 16 décembre 1810), Commandant (15 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (1850), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (27 novembre 1814),
D'azur, à une bannière d'or, frangée du même, en pal, la hampe sommée d'une aigle de l'Empire français et tenue par une main d'argent, en fasce, le tout acc. d'une étoile d'argent, posée au canton dextre du chef ; au canton des barons militaires brochant.[4] | |
Pierre-Armand Pinoteau (6 septembre 1769 - Ruffec (Charente) † 24 mars 1834 - Ruffec (Charente)), chef de brigade (15 juin 1801), général de brigade (6 août 1811), 1er baron Pinoteau et de l'Empire ( sans lettres patentes, titre confirmé par lettres patentes en 1869), Légionnaire (1811), puis, Officier de la Légion d'honneur (12 mars 1814), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (24 septembre 1814),
Écartelé : au 1, d'azur, à un sabre d'or, en bande, et une carabine d'or, en barre, passés en sautoir, au 2, d'argent à trois molettes à six rays de sable ; au 3, d'argent, au chevron d'azur, acc. de trois lapins courants de sable, au 4 d'azur au lion d'or armé et lampassé de gueules ; au canton des barons militaires brochant.[2],[1] | |
Joseph Piston ( - Lyon † - Lyon), général de brigade (2 vendémiaire an II), général de division (30 frimaire XIV), Baron de l'Empire (1808), Officier (19 frimaire an XII), puis, Commandant (25 prairial an XII),
De gueules au filet cousu d'azur brochant en fasce, accompagné en chef de trois étoiles d'argent ordonnées 2 et 1 ; et en pointe de deux chevrons entrelacés d'or, celui en chef renversé ; au canton des barons militaires brochant.[2],[1] | |
Ythier Sylvain Pryvé ( - Vannes-sur-Cosson † - Passy), chef de brigade du 21e régiment de cavalerie (17 fructidor an VII (3 septembre 1799)), colonel du 5e régiment de dragons (24 mars 1803), général de brigade (), Baron de l'Empire (décret du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis, Officier (25 prairial an XII), puis, Commandant de la Légion d'honneur (4 nivôse an XIV), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
D'argent au lion d'azur ; au canton des barons militaires brochant.[1],[19] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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François Jean Baptiste Quesnel du Torpt ( - Saint-Germain-en-Laye † avril 1819 - Paris), général de brigade le 6 nivôse an II, général de division (12 pluviôse an XIII), Baron de l'Empire (lettres patentes du 16 décembre 1810), Officier (19 frimaire an XII), puis, Commandant (25 prairial an XII), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (1814), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (1814), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer,
Coupé : au I, parti d'or à douze billettes de gueules, ordonnées 3, 4, 3, 2 et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au II, d'azur à trois tours d'argent ordonnées 2 et 1.[4] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Gabriel Pierre de Rambourgt (8 novembre 1773 - Fontaine-Saint-Georges ✝ 1848), colonel (13 janvier 1809), général de brigade (1813), baron de l'Empire (avec dotation, le 15 août 1809, lettres patentes du 17 mai 1810), vicomte (15 juin 1824), Légionnaire (15 juin 1804), puis Officier (31 octobre 1809), Chevalier (18 juillet 1814), puis Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, Chevalier (23 août 1808), puis Commandeur de l'ordre de la Couronne de fer (1813),
Coupé : au I, parti de sinople à chevron surmonté d'une étoile et soutenu d'une gerbe de blé, le tout d'argent et du quartier des barons militaires ; au II, d'azur à un centaure tenant de sa dextre une épée haute le tout d'or. [4] | |
Marie-Antoine de Reiset ( - Colmar ✝ - Rouen), général de brigade, colonel le , général de brigade le , lieutenant général des Armées du Roi le , Chevalier de l'Empire (décret impérial du ), Baron de l'Empire (lettres patentes du et décret impérial du ), Vicomte (lettres patentes du ), Grand officier de la Légion d'honneur (), Commandeur de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Grand-croix de l'ordre de Charles III d'Espagne (1823),
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Antoine Rémy ( - Thilleux (Haute-Marne) ✝ - Chaumont), Chef d'escadron aux grenadiers à cheval de la garde impériale (an VIII), Lieutenant-colonel (1807), Chevalier de l'Empire (), Baron de l'Empire (), Chevalier de la Légion d'honneur (1804), Chevalier de l'ordre de la couronne de fer, Chevalier de Saint-Louis,
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Jean Pierre Antoine Rey ( - Puylaurens ✝ ), colonel du 57e régiment d'infanterie de ligne (), général de brigade (), 1er baron Rey et de l'Empire (), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (14 novembre 1814), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (10 juillet 1808),
Coupé : au 1, d'azur, à la barre d'or, acc. de deux étoiles du même; au 2, de sable, à un château composé d'un corps de logis relié à deux tours à dextre et à senestre au moyen de courtines crénelées, le tout d'or, entouré de bastions du même et surmonté d'un L d'argent ; au franc-quartier senestre de gueules chargé d'une épée d'argent brochant sur le tout.[2],[1],[22] | |
Étienne Pierre Sylvestre Ricard ( - Castres ✝ - château de Varès, Recoules), général de brigade (1806), général de division (10 septembre 1812), Baron de l'Empire (1808), comte de l'Empire (1812), Officier (1804), puis Commandant (1807), puis Grand officier (1813), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (2 octobre 1823), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (1er juin 1814), Grand-croix de l'ordre de Saint-Ferdinand d'Espagne (1823), Pair de France (, baron-pair le , lettres patentes du , maintenu sous la monarchie de Juillet),
Coupé : au I, parti d'or, au lion rampant d'azur, adextré en chef d'une étoile du même, et du quartier des barons militaires de l'Empire ; au II, d'azur, à un trophée de sept étendards d'argent, de gueules, et de sable.[1] | |
Eugène Charles François Richepanse ( - Stolberg (près d'Aix-la-Chapelle) ✝ Tué le - au siège de Constantine), baron Richepanse et de l'Empire (créé baron à onze ans, en récompense des services rendus par le général Richepanse, son père : décret du , lettres patentes du (Paris)), chef d'escadrons de cavalerie,
D'argent à la tête de maure de sable tortillée d'or ; coupé d'or à la croix ancrée de gueules (de Damas) ; franc-quartier des barons tirés de l'armée. [14] | |
Antoine Rigaux ( - Agen ✝ - La Nouvelle-Orléans), général de brigade (), baron Rigaux et de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant de la Légion d'honneur (4 nivôse an XIV),
Coupé : au I, parti de sable à deux étoiles rangées en face d'argent et du quartier des barons militaires ; au II, d'azur à la foi d'or posé en face.[42] | |
Victor Marie Joseph Louis de Riquet (1786 ✝ 1872), Baron de l'Empire,
Ecartelé : aux I et IV, d'azur, à la bande d'or, accompagnée en chef d'une demi fleur de lys épanouie et en pied de trois roses, le tout d'argent (de Riquetti) ; aux II et III, de gueules, à la bande d'or, (d'Alsace de Hénin-Liétard) ; au franc-canton sénestre des Barons militaires de l'Empire brochant.[43] | |
Casimir de Rochechouart de Mortemart (Paris, – Neauphle-le-Vieux, ), capitaine, officier d'ordonnance de l'Empereur, baron de Rochechouart de Mortemart et de l'Empire (décret du et lettres patentes signées à Saint-Cloud le ), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandeur (), puis, Grand officier (), puis, Grand-croix de la Légion d'honneur (),
Fascé nébulé d'argent et de gueules de six pièces franc-quartier des barons tirés de l'armée brochant au 9e de l'écu.[14] | |
Jean Louis Romeuf ( - Lavoûte-Chilhac ✝ - des suites de ses blessures reçues à la Bataille de la Moskowa), Chef d'escadron (), général de brigade ([16 janvier] 1811), 1er Baron Romeuf et de l'Empire (, lettres patentes du ), Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de Saint-Henri de Saxe,
D'azur, à deux épées d'argent montées d'or en sautoir, cantonnées de quatre coquilles renversées de même ; à l'orle d'or, au quartier senestre de gueules ; au franc-quartier des barons militaires (de gueules à l'épée haute d'argent, montée en pal).[14],[44],[45] | |
Hippolyte Marie Guillaume de Rosnyvinen (31 mars 1778 - Rennes ✝ 21 juillet 1850 - Paris), colonel du 7e Chasseurs (), général de brigade (mars 1809), général de division (), marquis de Piré, 1er baron de Rosnyvinen et de l'Empire (lettres patentes du 2 août 1808), Comte de l'Empire (sans qualification par décret impérial du ), Légionnaire (1807), puis Officier (sur le champ de bataille d'Ostrowno, juillet 1812), puis Grand officier de la Légion d'honneur (janvier 1834), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (1820), chevalier du l'ordre du mérite militaire du Wurtemberg (1807),
D'argent à la hure de sanglier arrachée de gueules, défendue d'argent ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[19] | |
Henri Rottembourg ( à Phalsbourg ✝ 8 février 1857), Colonel du 108e régiment d'infanterie de ligne (1806), général de brigade (), général de division (1813), Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Comte sans qualification (), Légionnaire (4 germinal an XII), puis Officier (), puis Commandant (), puis Grand officier (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier (), puis Commandeur de Saint-Louis (), chevalier de l'ordre de la Couronne de fer,
D'argent au griffon de gueules tenant une bannière d'azur ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[13],[4] | |
Albert-Joseph de Rouvroy ( - Lille ✝ - Lille), colonel, chef la 1re légion des gardes nationales du Nord, Baron de Fournes et de l'Empire (institution de majorat accordée par lettres patentes du , à Saint-Cloud), Légionnaire[46],
De sable à la croix d'argent chargée de cinq coquilles de gueules, franc-quartier des barons tirés de l'armée.[14],[47] | |
Marie François Rouyer (1765-1824), général de division, Baron Rouyer et de l'Empire (décret impérial du (lettres patentes du , non retirées)[48], Commandeur de la Légion d'honneur, Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer ; Les lettres patentes qui furent autorisées mais non retirées, portaient comme règlement d'armoiries : D'azur au lévrier passant d'or; au comble d'argent chargé de trois étoiles de sable ; au franc-quartier brochant des barons militaires. |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Louis Joseph Auguste de Saint-Laurent ( - Dunkerque ✝ 1er septembre 1832 - Paris), général de brigade (11 fructidor an XI), général de division (), baron de l'Empire (1810, avec une dotation de 10 000 francs sur un domaine situé en Westphalie), Officier (19 frimaire an XII), puis Commandant (25 prairial an XII), puis Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (1813),
Parti: au 1, burelé d'argent et de gueules de douze pièces; au 2, d'azur, à une étoile (6) d'argent en chef, et trois dents molaires du même, 2 et 1, en pointe ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[1],[6] | |
Jean-Jacques Salmon ( - Caen ✝ - Paris), colonel d'infanterie, (), baron de l'Empire (1810, avec une dotation de 2 000 francs sur un domaine situé en Westphalie), Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de Saint-Louis (1819),
Parti: de sable à la bande componée d'or et de gueules, et de gueules au signe des barons tirés de l'armée, coupé d'or à la tête de lion arrachée de sable, lampassée de gueule.[1], | |
Nicolas Joseph Scalfort ( - Douai ✝ - Lallaing), général de brigade (11 fructidor an XI), baron de l'Empire (), Officier de la Légion d'honneur (19 frimaire an XII), puis commandant de l'ordre (25 prairial an XII), chevalier de Saint-Louis (),
D'argent à la tour bréchée et maçonnée de sable, ajourée, fermée et terrassée d'or, accostée à senestre d'un lion grimpant de gueules ; au canton des barons militaires brochant.[49],[6] | |
Nicolas Schmitz ( - Guessling-Hémering, mort le - Paris), colonel au régiment d'Illyrie (), général de brigade (1813), général de brigade (), Baron de l'Empire (décret du ), Légionnaire) (, puis Officier (), puis Commandeur de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de la couronne de fer (décret du ),
D'azur au lion d'argent ; au canton des barons militaires brochant.[50] | |
Pierre Henry Schneit ( - Versailles ✝ - Paris), baron de l'Empire (1814), Officier (), puis commandeur de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
Coupé ; au I, parti, a) d'azur à trois étoiles d'or; b) des barons militaires; au II, d'argent à un cheval libre de sable surmonté d'un comble de sinople, chargé de trois cors de chasse d'argent.[51] | |
Pierre-Benoît Soult ( - Saint-Amans-La-Bastide ✝ - Tarbes), général de brigade (), général de division (), baron Soult et de l'Empire (), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis Officier (25 prairial an XII), puis Commandant (), puis Grand officier (), puis Grand-croix de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (),
D'or, à l'écusson de gueules, chargé de trois têtes de léopards du premier, au chef du second chargé de trois étoiles d'argent ; au canton des Barons militaires de l'Empire brochant.[13] | |
Jacques Gervais Subervie (1er septembre 1776 - Lectoure ✝ - Château de Parenchère, Ligueux (Gironde)), colonel du 10e régiment de chasseurs à cheval (1805), général de brigade (), lieutenant-général des armées du roi (, avec effet rétroactif à compter du , nomination annulée par l’ordonnance royale du ), Baron de l'Empire (lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier (décret impérial du ), puis commandant de la Légion d'honneur (décret impérial rendu à Moscou le ), puis Grand chancelier de la Légion d'honneur (décret du , écarté et remplacé par Molitor dès l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte, à la présidence de la République), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (décret impérial du ),
Écartelé : au I, d’azur à la tour d’argent adextrée d’un avant-mur crénelé du même, soutenu de sinople ; au II, du quartier des barons militaires ; au III, d’azur au cheval ruant d’or ; au IV, d’azur au chevron d’or.[1],[19] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Auguste-Frédéric de Talhouët (° - Luzeret, Berry † Rennes (province de Bretagne) - Paris), officier d'ordonnance de l'Empereur, Baron de Talhouet et de l'Empire (décret du , lettres patentes du , Palais de Trianon), Légionnaire (), puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l’ordre de la Réunion (), Chevalier de l'Ordre du Mérite militaire du Wurtemberg,
Écartelé, au premier et quatrième d'argent à trois pommes de pin au naturel, au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'argent à trois têtes de loups arrachées d'azur.[14] | |
Étienne Tardif de Pommeroux de Bordesoulle (° - Luzeret, Berry † - Fontaine-les-Corps-Nuds, Oise), général de brigade (), général de division (), baron Tardif Bordesoulle et de l'Empire (titre accordé par décret du et lettres patentes du , signées à Gand), Légionnaire « de droit[52] » (1er vendémiaire an XII), puis, Officier (19 frimaire an XII), puis, Commandant (), puis, Grand officier (), puis, Grand cordon de la Légion d'honneur (),
Écartelé au premier d'azur à l'étoile d'or en abyme, au deuxième des barons tirés de l'armée, au troisième de sinople au sabre haut en pal d'argent, monté d'or ; au quatrième d'argent à la toque burelée d'or et sable surmontée d'une étoile du second.[14] | |
Jean Guillaume Barthélemy Thomières ( - Sérignan ✝ - bataille des Arapiles), chef de bataillon (), adjudant-commandant (), général de brigade (), Baron de l'Empire (), Légionnaire (), puis officier de la Légion d'honneur (1er avril 1807), chevalier de l’ordre de Saint-Henri de Saxe (1809),
Coupé : au I parti, d'azur au chevron d'argent accompagné de trois étoiles du même et du quartier des barons militaires ; au II, d'or au pal de sinople chargé d'une épée haute d'or et accompagné de deux grenades de sable allumées de gueules.[4] | |
Charles Trelliard (, Parme – , Charonne), général de brigade, baron de l'Empire (lettres patentes du ), légionnaire (), puis commandant de la Légion d'honneur ().
D'azur au sautoir d'argent chargé en abîme d'une tête de lion arrachée de sable, allumée et lampassée de gueules ; au franc-quartier brochant des barons militaires. |
Aucun baron dans cette catégorie.
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Louis Vallin (° - Dormans † - Paris), colonel du 6e régiment de hussards (), général de brigade (), Légionnaire (, puis, Officier (), puis, Commandant (), puis, Grand officier de la Légion d'honneur ()
Écartelé au premier d'or au bonnet de hussard de sable, cordonné d'or pannaché d'argent, au deuxième des barons tirés de l'armée, au troisième de gueules à deux sabres d'argent en sautoir les pointes basses ; au quatrième d'or au cheval cabré de sable.[14] | |
Louis Vasserot ( - Champlay ✝ - Paris), major du 17e de ligne (1810), général de brigade (décret impérial du ), Lieutenant-général (ordonnance du ), Baron de l'Empire (lettres patentes du , confirmé baron héréditaire par lettres patentes du ), puis vicomte héréditaire (lettres patentes du ), Légionnaire (25 prairial an XII), puis Officier (décret impérial du ), puis Commandant (1er mai 1821), puis Grand officier de la Légion d'honneur (ordonnance du ),
Coupé : au I, parti a) d’azur au globe terrestre sommé à senestre d’une pointe de lance du même et entouré de six étoiles rangées en orle, le tout d’argent, b) du quartier des barons militaires ; au II, d’argent à l’arbre au naturel terrassé de sinople[1],[19]. | |
Michel Veilande ( - Manre (Ardennes) † - Brières (Ardennes)), colonel du 88e régiment d'infanterie de ligne (), général de brigade (), Baron de l'Empire (décret du , lettres patentes du ), Légionnaire (), puis Officier (), puis Commandant de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (),
De sable ; à la tour crénelée d'argent, maçonnée de sable, surmontée à dextre d'une étoile d'or et accompagnée d'un cor d'or et d'une grenade de même allumée de gueules, quartier des barons militaires ; et pour livrées : les couleurs de l'écu[53],[4]. | |
Honoré Vial ( - Antibes ✝ - bataille de Leipzig), général de brigade (16 frimaire an V : à titre provisoire le , confirmé le ), général de division (9 fructidor an XI : ), Baron de l'Empire (décret impérial du ), Légionnaire (19 frimaire an XII), puis commandant de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer,
Coupé : au I, parti d'azur à une ancre d'or tortillée d'un câble d'argent, et des barons militaires ; au II d'or à une colonne de granit sommée d'une lion de sable et accostée de deux pyramides aussi de granit.[11] | |
Raymond Viviès ( - Sainte-Colombe-sur-l'Hers ✝ - Vilnius, Lituanie), général de brigade (), Baron de Laprade et de l'Empire (), Légionnaire (), puis Officier de la Légion d'honneur (), Chevalier de l'ordre de la Couronne de fer (1805),
Coupé ; le premier parti d'argent à une foi de sable et des Barons militaires ; le deuxième, d'azur chapé d'or et chargé d'un fer de lance d'argent.[14] |
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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Félix Victor Charles Emmanuel de Wimpffen[54],[55] ( - château de Bornburg (grand-duché de Francfort) ✝ ) - Paris, général de brigade (), colonel du 2e régiment de ligne, 1er baron de Wimpffen et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Paris))
Écartelé ; au premier d'azur au bélier grimpant, tenant une croix d'argent, soutenu du même ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième de gueules au faisceau, casque, bouclier et épée d'or, en trophée ; au quatrième de sinople au coq d'argent barbé, crêté et armé de gueules becquetant sur une terrasse d'or.[14] |
Aucun baron dans cette catégorie.
Aucun baron dans cette catégorie.
Figure | Nom du baron et blasonnement |
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François Louis Zaepffel ( à Strasbourg - ), officier d'ordonnance de Napoléon Ier, chef de bataillon au 23e de ligne, baron Zaepffel et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)), Officier de la Légion d'honneur (31 janvier 1813), Commandeur de la Légion d'honneur (9 janvier 1833), Commandeur de l'ordre de Léopold de Belgique,
D'azur, au chevron brisé d'hermines, soutenu d'une croix haussée d'or et accompagné de trois pommes de pin du même, deux en chef et une en pointe, cette dernière issant d'un rocher aussi d'or, mouvant de la pointe ; au comble d'argent semé de billettes de gueules ; franc-quartier des barons tirés de l'armée.[14] | |
Carlo Zucchi ( - Reggio d'Émilie ✝ ) - Reggio d'Émilie, général de brigade (), général de division (), inspecteur général de l'infanterie du royaume d'Italie, officier de la Légion d'honneur, chevalier de l'ordre de la Couronne de fer, baron Zucchi et de l'Empire (décret du , lettres patentes du (Saint-Cloud)),
Écartelé, au premier d'argent à deux coings d'or tigés et feuillés de sinople ; au deuxième des barons tirés de l'armée ; au troisième d'azur à la montagne d'or alaisée ; au quatrième d'argent plein.[14] |
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