Grève étudiante pour le climat

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Grève étudiante pour le climat

La grève étudiante pour le climat ou grève scolaire pour le climat  dénommée « école buissonnière pour le climat » par certains médias[2],[3],[4]  est un mouvement international de jeunes quittant leur établissement scolaire, généralement le vendredi ou parfois le jeudi, pour participer à des manifestations en faveur de l’action contre le réchauffement climatique.

Faits en bref Date, Localisation ...
Grève étudiante pour le climat
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Nombre maximal de participants :
  • <1 000
  • 1 000-10 000
  • 10 000-100 000
  • 100 000+
  • 1 000 000+
Informations
Date Depuis le
(6 ans, 6 mois et 3 jours)
Localisation Monde
Caractéristiques
Organisateurs Fridays for Future
Youth for Climate
Student for Climate
Youth Strike for Climate
Youth Climate Strike US
[réf. nécessaire]
Participants Écoliers et étudiants
Revendications Sortir des énergies fossiles
Cesser les émissions de gaz à effet de serre
Proclamer un état d'urgence climatique
Changer le système[1]
Nombre de participants 1 400 000 (le 15 mars 2019)
4 000 000 (le 20 septembre 2019)
2 000 000 (le 27 septembre 2019)
Types de manifestations Grève de l'école et manifestation
Fermer

La première grève scolaire pour le climat a été lancée par Greta Thunberg, le devant le Riksdag (Parlement suédois). L'adolescente suédoise explique aux journalistes conviés qu'elle n'ira pas à l'école jusqu'aux élections générales du . Elle continue, après les élections et jusqu'en 2023, à faire grève chaque vendredi, attirant ainsi l'attention du monde entier sur le mouvement baptisé Fridays for Future (Youth for Climate en France, Chypre, Belgique et au Luxembourg ; Grève du climat en Suisse).

Objectifs

L’objectif des grèves pour le climat est d’attirer l’attention sur l'inadéquation de la politique climatique, de faire prendre des mesures pour la protection du climat et d'exiger le respect de l'Accord de Paris sur le climat.

Les manifestations ont des revendications plus spécifiques :

Historique

Résumé
Contexte
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Greta Thunberg, initiatrice des grèves scolaires pour le climat (en ).

L'idée d'une grève scolaire pour le climat naît au sein du mouvement « Fossil Free Sweden » mené par Bo Thorén et auquel Greta Thunberg participe dès l'été 2018. Le concept s'inspire de la mobilisation scolaire qui s'était mise en place aux États-Unis à la suite de la fusillade de Parkland en Floride, et qui a vu les élèves américains quitter leurs établissements pour dénoncer la prolifération des armes à feu et pousser à la mise en place d'une législation plus restrictive[6].

Après les vagues de chaleur et les feux de forêt qui ont sévi en Suède durant l'été 2018, Greta Thunberg décide dès le de ne pas aller à l'école jusqu'aux élections législatives suédoises du . Elle demande que le gouvernement suédois réduise les émissions de carbone conformément à l'accord de Paris. Tous les jours, l'adolescente proteste en s'asseyant devant le Riksdag pendant les heures de classe avec un panneau « Skolstrejk för klimatet » (grève scolaire pour le climat)[7].

Après les élections générales, Greta Thunberg continue à faire grève chaque vendredi, attirant ainsi l'attention du monde entier. Elle inspire des élèves du monde entier, qui à leur tour participent à des grèves d’étudiants[8]. En , plus de 20 000 étudiants participent à des grèves dans au moins 270 villes[8] dans plusieurs pays dont l'Australie, l'Autriche[9], la Belgique, le Canada[10], les Pays-Bas, l'Allemagne, la Finlande, le Danemark, le Japon, la Suisse[11],[12], le Royaume-Uni et les États-Unis[8],[13]. En Australie, des milliers d’élèves sont incités par Greta Thunberg à faire la grève les vendredis, ignorant les propos du Premier ministre Scott Morrison sur « plus d’apprentissage dans les écoles et moins de militantisme »[14].

En , aux Pays-Bas ainsi qu'au Royaume-Uni, des centaines de scientifiques publient des lettres ouvertes pour confirmer l'urgence d'agir et pour soutenir publiquement les grèves scolaires pour le climat. Le , plus de 260 chercheurs suisses, français et belges publient à leur tour une lettre ouverte[15]. Ils appellent à « encourager cette mobilisation de la jeunesse » et annoncent qu'ils « feront [eux] aussi la grève scolaire pour le climat le  »[15],[16],[17].

En France, les enseignants créent un site de soutien aux grèves étudiantes et d'action enseignante[18], afin de sortir du cadre convenu par les programmes sur le développement durable[19].

Le , selon The Guardian il y aurait eu environ deux millions de participants à la grève pour le climat dans le monde entier et un total de six millions depuis le début du mouvement[20].

Mobilisation internationale du

Le groupe international de coordination du mouvement des grèves des jeunes pour le climat publie une lettre ouverte appelant à manifester le [21],[22]. Traduite en 19 langues et publiée dans des journaux tels que The Guardian (Royaume-Uni) et Le Temps (Suisse), elle déclare :

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Grève scolaire le à San Francisco.
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Grève scolaire pour le climat à Wellington, le .
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Grève des lycéens contre le dérèglement climatique, discours de fin de manifestation dans le Jardin Darcy à Dijon (France)

« Nous, la jeunesse, sommes profondément préoccupés par notre avenir. [...] Nous sommes l’avenir sans voix de l’humanité. Nous n’accepterons plus cette injustice. [...] Nous devons enfin traiter la crise climatique comme une crise. C’est la plus grande menace de l’histoire de l’humanité et nous n’accepterons pas votre inaction qui menace toute notre civilisation. [...] Le changement climatique est déjà une réalité. Des gens sont morts, meurent et mourront à cause de cela, mais nous pouvons arrêter cette folie et nous le ferons. [...] Unis, nous nous lèverons le 15 mars et bien d’autres fois après, jusqu’à ce que la justice climatique soit rendue. Nous demandons aux dirigeants du monde entier qu’ils assument leurs responsabilités et résolvent cette crise, ou qu’ils se retirent. Vous avez échoué dans le passé. Si vous continuez à nous décevoir à l’avenir, nous, les jeunes, ferons changer les choses par nous-mêmes. La jeunesse de ce monde s’est mise en mouvement et elle ne s’arrêtera plus. »

Le , 12 000 scientifiques d'Allemagne, d'Autriche et de Suisse (1 700) publient une déclaration de soutien au mouvement des grèves scolaires pour le climat[23],[24] :

« [...] Ce n'est qu'en agissant rapidement et de manière cohérente que nous pourrons limiter le réchauffement climatique, mettre un terme à l'extinction massive des espèces animales et végétales, préserver les bases naturelles de la vie et créer un avenir digne d'être vécu pour les générations présentes et futures. C'est exactement ce que les jeunes des grèves du climat (« Fridays for Future ») veulent réaliser. Ils méritent notre respect et notre plein appui[25]. »

Des grèves scolaires pour le climat auront lieu dans de nombreux pays : le site internet Fridaysforfuture.org recense 2 052 événements dans 123 pays, sur tous les continents, y compris l'Antarctique[26],[27].

Mobilisation internationale du

Le , The Guardian relaie les prévisions pour le de 1 594 manifestations dans 118 pays[28]. La mobilisation est plus forte que la précédente et des évènements sont organisés dans 1 600 villes dans 125 pays.

Mobilisation internationale à Aix-la-Chapelle en Allemagne le

La première manifestation de masse internationale organisée par Fridays for Future a rassemblé des jeunes de 15 pays venus en particulier d'Allemagne, des Pays-Bas, de Belgique, de France, d'Italie, d'Espagne, du Royaume-Uni, de Suisse et du Luxembourg. Sont aussi présents des scientifiques, des artistes, des enseignants et des séniors de la région, ce qui porte le nombre des manifestants à 40 000[29][source insuffisante].

Le lendemain, entre 800 et 1 300 manifestants occupent la mine à ciel ouvert de lignite de Garzweiler[30] tout près de là.

Rencontre européenne du 5 au

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Participants à la rencontre européenne de Lausanne,

Du 5 au , l'Université de Lausanne a accueilli 450 jeunes participants européens des grèves pour le climat pour la conférence SMILE for Future (Summer Meeting in Lausanne Europe) ; Lausanne est considérée comme « capitale européenne des grèves du climat » et une grève y fut organisée pour clore la conférence, le vendredi (c'est la quatrième grève pour le climat organisée à Lausanne)[31],[32].

La conférence a réuni des personnalités telles que la Suédoise Greta Thunberg, le prix Nobel Jacques Dubochet, le cofondateur d'Extinction Rebellion Roger Hallam, le président d’honneur du Club de Rome Ernst Ulrich von Weizsäcker, l'ancien vice-président de l’Assemblée des Nations unies pour l'environnement Kaveh Madani et le climatologue du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat Jean-Pascal van Ypersele.

La conférence a permis aux militants de se rencontrer, de débattre et de s'accorder sur une « Déclaration de Lausanne sur le climat » précisant les valeurs, les objectifs et les mesures proposées par le mouvement[33].

Mobilisation internationale du

Le Guardian publie un texte de Greta Thunberg et de 46 jeunes militants, qui est un appel aux adultes pour une grève mondiale le [34].

L’ONG internationale 350.org recense « 5 800 actions dans 163 pays, 73 syndicats, 820 associations de la société civile ou encore 3 024 entreprises »[35]. 56 organisations et associations écologistes mais aussi de défense des droits sociaux en France appellent à manifester les 20 et [36].

Dans le monde, des entreprises incitent leurs salariés à manifester ou bien arrêtent les ventes ce jour-là. Une coalition australienne compte plus de 200 entreprises. 1 000 salariés d'Amazon demandent à leur entreprise de soutenir la grève du et de prendre des engagements en faveur de la protection du climat[37][source insuffisante].

Certaines écoles et universités comme à New York autoriseront les élèves à faire grève s'ils ont l'accord de leurs parents[38].

Manifestation à Montréal,

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Départ de la marche pour le climat à Montréal

La manifestation, rassemblant un demi-million de participants selon les organisateurs, est « du jamais vu au Québec et l’une des plus grosses manifestations jamais organisées au Canada. » La manifestation est  qualifiée d'« historique » par la police. À la fin de la marche, Greta Thunberg déclare « Nous sommes en train de changer le monde »[39]. Les clés de la Ville lui sont symboliquement remises par la mairesse Valérie Plante[40],[41]. De 450 000 à 500 000 manifestants se réunissent selon les organisateurs (la police ne donne pas de chiffre mais parle d'une « mobilisation historique »)[42]. Si ces chiffres sont avérés, cela en ferait probablement « la plus importante manifestation de l’histoire du Québec »[43]. Les transports collectifs sont gratuits lors de cette journée[44]. La Commission scolaire de Montréal avait annoncé l’instauration d’une journée pédagogique et de nombreux cégeps et universités annulent les cours pour l'occasion[45],[46]. Fait rare dans le domaine de l'entreprise, des patrons encouragent leurs employés à participer a la manifestation et certaines entreprises ferment pour permettre à leurs employés de participer[47].

De nombreuses personnalités politiques y prennent part, dont Benoit Charette (ministre québécois de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques)[48], Justin Trudeau (premier ministre du Canada et chef du parti libéral du Canada)[49], Elizabeth May (cheffe du Parti vert du Canada)[50], Yves-François Blanchet (chef du Bloc québécois)[50] ainsi qu'Alexandre Boulerice (chef adjoint du Nouveau Parti démocratique).

Mobilisation internationale du

Des milliers de jeunes manifestent dans 2 300 villes de 153 pays en particulier en Australie où les feux de forêts incontrôlés mettent en évidence l'inadéquation des mesures prises par le gouvernement contre le réchauffement climatique, au Royaume-Uni, à Madrid dans l'attente du début de la COP 25, à Lisbonne dans l'attente de l'arrivée en voilier de Greta Thunberg, à Bombay, Tel Aviv, Vienne, Francfort, Varsovie, Berlin et Bangkok[51],[52],[53].

En France, « Block Friday » contre le Black Friday

Des blocages des entrepôts d'Amazon sont organisés à travers la France en particulier par Youth for Climate en collaboration avec Extinction Rebellion le jour des soldes du Black Friday comme à Lyon[54]. Les militants veulent dénoncer le modèle de surconsommation destructeur pour l'environnement[55].

À Marseille, le centre commercial Les Terrasses du Port ferme ses portes à l'arrivée des manifestants[56],[57].

Le groupe local de Paris organise le blocage du centre commercial de La Défense « Westfield Les Quatre Temps ». Tout au long de la journée, des centaines de jeunes bloquent l'entrée aux magasins afin de sensibiliser les consommatrices et consommateurs[58].

, en Australie

SchoolStrike4Climate lance une campagne de boycott des bus Greyhound du fait de l'implication de la société dans le mégaprojet de mine de charbon Carmichael Adani. Greyhound renonce alors à ce contrat. Siemens qui était également la cible des activistes du climat confirme, lui, son contrat avec Adani[59].

2023

En octobre 2023, les déclarations jugées trop propalestiniennes de Greta Thunberg provoquent des dissensions au sein du mouvement Fridays for Future. Selon Le Monde, le mouvement pour le climat serait partagé entre ceux qui défendent ses prises de position propalestiniennes et les autres, qui lui reprochent son manque de solidarité avec Israël et son « aveuglement »[60].

Reconnaissance

Le , Amnesty International décerne son prestigieux prix Ambassadeur de la conscience à Greta Thunberg ainsi qu'au mouvement qu'elle a inspiré « Fridays for Future »[61]. Kumi Naidoo, secrétaire général d'Amnesty, déclare :

« La détermination des jeunes militants du monde entier face aux réalités de la crise climatique nous rend humbles et nous inspire. Chaque jeune participant incarne ce que signifie agir d'après sa conscience. Ils nous rappellent que nous avons plus de pouvoir que nous ne le croyons et que nous avons tous un rôle à jouer dans la protection des droits de l'homme contre les catastrophes climatiques[61]. »

Par pays

Résumé
Contexte

Allemagne

Le Fridays for Future Deutschland publie lors d'une conférence de presse sa liste des demandes avec des objectifs à court et à long terme. Ces demandes ont été soulevées par Fridays for Future et développées en coopération avec des scientifiques (la HTW Berlin (de) et la Fraunhofer-Institut für Energiewirtschaft und Energiesystemtechnik). Ce sont les suivantes :

En outre, les objectifs suivants doivent être mis en œuvre d'ici la fin de 2019 :

Belgique et France

Deux jeunes étudiantes belges appellent leurs camarades à manifester chaque jeudi[62], donnant naissance au mouvement Youth for Climate qui se développe également en France dans une optique plus ouvertement anticapitaliste[63].

Suisse

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Greta Thunberg lors d'une grève pour le climat à Lausanne le .

En Suisse, le mouvement de la « Grève du climat » (en allemand Klimastreik, en italien Sciopero per il Clima) a organisé de très nombreuses[64] manifestations et grèves étudiantes depuis en Suisse alémanique et depuis en Suisse romande et au Tessin (voir tableau ci-dessous). Il a également soutenu et participé à une manifestation de l'Alliance climatique ayant réuni entre 60 000 et 100 000 personnes à Berne le [65]. Des conférences[66] ou encore des gratiferias[67] sont parfois organisées par les grévistes, à la place des cours.

Dans le canton de Vaud, dans le cadre de l'élection complémentaire au Conseil d'État (gouvernement cantonal) du , le collectif de la Grève du climat a lancé une candidate tirée au sort de 19 ans (face à la favorite, Christelle Luisier) ; non élue, elle a toutefois obtenu 23 % des voix, résultat élevé décrit comme un important signal politique en faveur d'actions climatiques et écologiques fortes[68],[69].

Dans plusieurs cantons, dont celui de Fribourg[70] et de Neuchâtel[71], des motions populaires ont été déposées. Les motions ayant été traitées par le Grand Conseil neuchâtelois[72],[73],[74] et par le Conseil général de la Ville de La Chaux-de-Fonds[75] ont été acceptées.

Des assemblées populaires ont été organisées par le mouvement, notamment le [76]. Le mouvement propose en outre diverses mesures, proposées par des groupes cantonaux ou par l'ensemble du mouvement, pour faire face à la crise écologique et sociale[77], mesures jugées radicales[78].

Avec le soutien de diverses associations[79] et syndicats[80], la Grève du climat a lancé le projet de la « Grève pour l'avenir »[81], mouvement visant a organiser des grèves de salariés en vue d'une grève générale. La grande grève prévue le a été reportée à cause de la pandémie de Covid-19[81]. La première grève étudiante après le début de la pandémie a eu lieu le dans 18 villes suisses[82].

Semaine « Debout pour le changement »

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En , des militants pour le climat ont campé devant le Palais fédéral la semaine où la loi sur le CO2 a été adoptée[83].

Le mouvement mène par ailleurs des actions de désobéissance civile[84], en particulier en à Berne[82]. La semaine « Debout pour le changement » (Rise up for change) a été organisée par le collectif Grève du climat, avec Extinction Rebellion, Collective Climate Justice, le collectif Break Free et Greenpeace. Par hasard, c'était aussi la même semaine que le deuxième procès des activistes de Lausanne action climat[85].

Plusieurs centaines de manifestants non violents ont occupé la place Fédérale (devant le Palais fédéral) dès le au matin, avant d'être évacué par la police mercredi matin[85]. Plus de 2 000 personnes ont ensuite participé à une marche pour le climat le [85]. Les grévistes du climat veulent notamment une loi sur le CO2 plus efficace et la neutralité carbone en 2030[83].

Liste

Résumé
Contexte
Davantage d’informations Pays, Villes ...
Pays Villes Date Nombre de participants Commentaires
Suède Stockholm 1 Tous les jours jusqu'au , puis tous les vendredis, initié par Greta Thunberg[86]
Pays-Bas La Haye Tous les jours jusqu'au , devant la Chambre des représentants[87]
Allemagne[87] Berlin En face du Bundestag, chaque vendredi depuis cette date, initié à l'origine par la responsable culturelle et militante Barbara Fischer[88]
Pays-Bas Zeist 1 Début des grèves de Lilly Platt[89]
Canada Grand Sudbury 1 Début des grèves de Sophia Mathur (première jeune connue en Amérique du Nord à faire la grève)[90]
Belgique Bruxelles 300+ En face de la Commission européenne[91]
Australie Canberra Centaines[92],[93] Le Sénat australien a approuvé une motion pour soutenir l'action des étudiants[92]
Australie 30 villes 15 000[14],[93] Nommée Strike for Climate Action[94]
Suisse Zurich 500[1]
Royaume-Uni Londres 12[95]
Canada Vancouver 50[10]
États-Unis New York 1 Alexandria Villaseñor s'installe tous les vendredis sur un banc face à l'entrée des visiteurs du siège des Nations unies à New York. Elle est toujours accompagnée de ses deux pancartes : « Écoles en grève pour le climat » et « La COP24 nous a bernés »[96]
Allemagne Berlin, Cologne, Göttingen, Hambourg et Kiel Nommée Fridays for Future: Klimastreik[97]
Suède Malmö Avec Greta Thunberg[98]
Suisse Bâle, Berne, Saint-Gall et Zurich 4 000[1],[11] Nommée Klimastreik en allemand et Grève du climat en français[12]
Angleterre Corsham 4[99]
États-Unis Denver et New York 3 Haven Coleman commence ces manifestations du vendredi à Denver; Zayne Cowie continue à l'hôtel de ville de New York ; Alexandria Villaseñor continue au siège de l'ONU[100],[101].
Belgique Bruxelles 3 000[102],[103] Nommée Youth for Climate à la suite de l'initiative des étudiants Anuna De Wever et Kyra Gantois qui mobilisent les étudiants néerlandophones du pays[103],[104]
Canada Waterloo 30[105]
Écosse Fort William 1[106] Holly Gillibrand, 13 ans, est également une militante d’Extinction Rebellion[106],[107],[108]
Finlande Helsinki 200[109] Nommée Ilmastolakko / Klimatstrejk
Irlande Cork 1 Première grève de Saoi O'Connor a l'extérieur de la mairie de Cork[110]
Belgique Anvers et Bruxelles 13 000[111],[112] Youth for Climate, lancé par Anuna De Wever, est rejoint par Adélaïde Charlier pour la mobilisation et coordination du côté francophone[104]
Suisse 15 villes 22 000[113],[114] Le prix Nobel Jacques Dubochet s'est joint à la manifestation à Lausanne[114],[115] et le Grand Conseil vaudois a apporté « son plein soutien » au mouvement[116],[117]
Allemagne 50 villes 25 000[118]
Belgique Bruxelles 35 000[119],[120],[121] Youth for Climate : Les jeunes se sont rassemblés autour du Parlement européen[121]
Suisse Davos 50[122],[123],[124] Avec Greta Thunberg, invitée au Forum économique mondial[122],[123],[124]
Allemagne Berlin 5 000[125],[126]
Belgique 6 villes 33 000[127] Youth for Climate : 15 000 étudiants à Liège[128],[129], 12 500 à Bruxelles[128], 3 500 à Louvain[130], 1000 à Charleroi[131], 600 à Chimay[132] et 350 à Tournai[133]
Allemagne 25 villes 12 000[134] Fridays for Future Germany
États-Unis Washington 1 Jerome Foster II (en) commence ces piquet de grève du vendredi aux portes d'entrée de la Maison-Blanche[135],[136]
Suisse 13 villes 40 000[137],[138] Manifestation organisée un samedi par le mouvement « Grève du climat » ; diverses personnalités ont manifesté, notamment Ruth Dreifuss, Daniel Brélaz, Henri Dès et Jacques Dubochet[137]
Pays-Bas La Haye 10 000[139]
Belgique Louvain, Bruxelles, Arlon, Anvers, Courtrai, Hasselt, Herve, Mons et Liège 20 000[140] 10 000 à Louvain, 5 000 à Bruxelles, 600 à Anvers, 250 à Liège, 1 000 à Courtrai, 500-600 à Hasselt, 2.000 à Arlon.
Allemagne 50 villes 20 000[141] 1000 a à Flensburg (organiser par Jakob Blasel)[142], 1000 à Regensburg, 1500 à Passau, 200 à Landau, 1300 à Garmisch-Partenkirchen[143], 130 à Halle[144], etc.[145],[146]
France Nantes 150[147],[148] Première grève scolaire pour le climat en France.
Autriche Salzbourg 100[149]
Irlande Dublin Centaines[150] Organiser par une clase de sixième de Donabate Portrane Educate Together (en)[151]
Belgique Bruxelles 11 000[152]
Pays-Bas Amsterdam et Nimègue Centaines[153] Une centaine à Nimègue[154]
Royaume-Uni 60 villes[155] 15 000[155] Coordonné par Youth Strike 4 Climate[156]
Italie Bolzano 3 000 1 300 selon la police, entre 3 et 4 000 selon le Conseil des étudiants[157]
France Paris Centaines[158],[159],[160] Première grève scolaire pour le climat à Paris
Canada Montréal 800[161] Première grève scolaire pour le climat à Montréal et au Québec.
Allemagne 35 villes 26 000[162]
États-Unis Denver; Tisbury; New York 9 À DC, Foster continue les grèves en solo ; OC Coleman continue les grèves en solo ; Y, Villaseñor rejoint par d'autres étudiants pour la première fois[100],[163] À Tisbury, les frères Runar Finn (11) et Odin Robinson (9)[164].
Belgique 6 villes 15 000[165] Coordonnées par Youth for Climate, les marches se sont déroulées à Bruxelles (7 500 personnes, dont Greta Thunberg[166]), Genk (4 100 personnes), Gand (3 000 personnes), Turnhout (800 personnes), Nivelles et Arlon[165],[167]
France Paris Milliers[168] Entre 5000 et 8000 selon Greta Thunberg présente sur place[169], plusieurs milliers selon un tweet[170] d'Audrey Garric avant qu'elle n'écrive un millier dans Le Monde
Irlande Dublin, Cork, Maynooth 100+ Les grèves hebdomadaires se poursuivent, avec une action d’une centaine personnes au Dáil Éireann[171].
Islande Reykjavík Centaines Des centaines de personnes se sont rassemblées à Reykjavík lors de la première grève climatique en Islande[172].
Belgique Gand 600[173]
Belgique 9 villes 12 000[174] 5000 à Huy, 3000 à Anvers, 1500 à Bruxelles, un millier à Malines, Liège et Dinant, une centaine à Louvain et Nivelles et une trentaine à Hasselt
Norvège plusieurs villes Centaines Première grève de masse en Norvège[175]
Canada Sudbury 12 Les grévistes reçoivent une lettre de soutien de 80 membres du personnel et du corps professoral de l'Université Laurentienne
Islande Reykjavík 200 La deuxième grève en Islande[176].
Belgique Louvain-la-Neuve, Anvers 3 900 à 4 200 à Louvain-la-Neuve et 250 à Anvers[177],[178]
Islande et États-Unis Reykjavík et Washington 400 Troisième grève en Islande[179],[180]. À Washington, Jerome Foster est rejoint par d'autres étudiants pour la première fois.
Pays-Bas Amsterdam 5000-6000[181],[182]
Norvège Bergen 3000+[183]
Afrique du Sud Le Cap 2 000[184]
Allemagne 230 villes 300 000 25 000 à Berlin, 10 000 à Cologne, 8000 à Munich, 7000 à Hambourg et Düsseldorf, 6000 à Francfort-sur-le-Main, 5000 à Brême, 5000 à Dresde, 4500 à Fribourg-en-Brisgau, 2500 à Bonn et encore des centaines dans d’autres villes[185],[186]
Antarctique Base antarctique Neumayer 5 Membres de l'Institut Alfred-Wegener pour la recherche polaire et marine[187]
Argentine Buenos Aires 200[188]
Australie 60 villes 150 000 20 000 à Sydney[189]
Autriche 4 villes 30 000 10 500 à Vienne, 4000 à Innsbruck, 3000 à Linz et 1500 à Brégence[190]
Belgique 34 villes 50 000 30 000 à Bruxelles[191], 3 300 à Gand, 3 000 à Louvain-la-Neuve[192], 2 800 à Anvers, 2000 à Mons[193], 2500 à Liège, 1000 à Wavre[194], 600 à Namur et quelques centaines dans d'autres villes[195]
Canada +70 villes +150 000 à Montréal[196], 2000 à Vancouver[197],[198], 1000 à Ottawa[199], centaines à Toronto[200], 350 à Kelowna[201], 300 à Edmonton, 150 à Calgary[202]
Chili Santiago 2 000+[203]
Colombie Bogotá 2 500[184]
Chine Hong Kong 1000 Une marche jusqu’au bureau du gouvernement central[204]
Corée du Sud Séoul 100+[205]
Chypre Nicosie Centaines[206]
Danemark Copenhague 10 000[207],[208]
États-Unis +100 villes +17 000 2500-3000 à Ann Arbor[209] 2000 à New York[210], 1500-2000 à Portland[211],[212], 1500 à Washington, DC[213], 1000 à San Francisco[214],[215],1000 à St. Paul[214], a "few hundred" in Los Angeles[216], "several hundred" à Chicago[217], "hundreds" à Seattle[218], "hundreds" à Boston[219], 200+ à Sacramento[220]
Espagne +50 villes[221] 20 000 10 000 à Madrid[222],[223]
Finlande Helsinki 3 000[224]
France 221 villes 195 000 45 000 à Paris, 12 000 à Lyon, 10 500 à Nantes, 6200 à Lille, 5700 à Rennes, 5500 à Montpellier, 5000 à Toulouse, 5000 à Strasbourg, 4500 à Bordeaux, 3000 à Angers, 1300 à Marseille et des centaines dans d’autres villes[225],[226]
Grèce Athènes et Thessalonique 500+ à Athènes[227],[228] et 50 à Thessaloniki[229].
Islande Reykjavík 1 000[230] Quatrième grève depuis le 22 février.
Inde Hyderabad, Delhi, Gurgaon 1 200+ 300-700 au Parc national Kasu Brahmananda Reddy, 500 à Delhi et 400 à Gurgaon[231],[232],[233]
Irlande 37 villes 16 000[234],[235],[236] 11 000 à Dublin et 5000 à Cork
Italie 235 villes 200 000 100 000 à Milan, 25 000 à Rome, 15 000 à Padoue, 10 000 à Florence, Turin et Brescia, 5000 à Venise, 3000 à Bologne et Palerme, 2000 à Cagliari et des centaines dans d’autres villes[237]
Japon Tokyo 130[238] Les manifestants ont défilé dans les quartiers Aoyama, Harajuku et Shibuya de Tokyo[239]
Luxembourg Luxembourg-Ville 15 000[240]
Malte Valletta Centaines[241]
Mexique Mexico 800[242]
Macédoine du Nord Skopje 30 à 40
Nouvelle-Zélande Auckland, Wellington, Christchurch et d'autres villes[243],[244] Milliers 2 000 devant le Parlement de Nouvelle-Zélande[245] Grève de Christchurch marquée par les attentats de Christchurch[246]
Pologne 2 500+ 2 000 à Warsaw[247],[248], 350 à Kraków[249] et 200 à Katowice[250]
Portugal Lisbonne, Faro Centaines[251] 400 à Faro[252].
Québec 10 villes 160 000+ 150 000 manifestants à Montréal[253], 4000-5000 à Québec, 1000-1500 à Sherbrooke, Trois-Rivières, Saguenay, 500 à Rimouski[254] plusieurs centaines à Val-David, Carleton et Gaspé, plusieurs dizaines à Magog, Warwick, Sept-Îles et d'autres villes. 148 500 étudiants post secondaire officiellement en grève à travers le Québec[255]
Tchéquie Prague, Brno, Liberec 1 000+ Première grève scolaire pour le climat en République Tchèque[256].
Royaume-Uni 120 villes 50 000+ 15 000 manifestants à Londres[257] 4000 à Brighton[258], 3000 à Edinburgh[259], 2000[259] à Glasgow[260] 1500 à Leeds[261], 500-1000 à Birmingham[262],[261], 500 à Liverpool[261], centaines à Cardiff[263]
Russie Moscou 40 Environ 40 personnes rassemblées au parc Sokolniki[264]. D'autres manifestations étaient également prévues à Saint-Pétersbourg, Novossibirsk, Sourgout et Krasnoïarsk, mais elles n'ont pas été autorisées par le gouvernement. Au lieu de faire la grève, des étudiants russes et d'autres sympathisants ont manifesté leur solidarité via les réseaux sociaux[265]. Depuis lors, chaque vendredi, l'étudiant local Arshak Makichyan fait grève seul sur la place Pushkinskaya[266].
Suède 144 locations 16 000 7 000 étudiants à Stockholm avec Greta Thunberg[267], 500 Uppsala[268]
Suisse 25 villes 66 000 15 000 manifestants à Genève, 15 000 à Lausanne, 13 000 à Zurich, 8000 à Berne, 4000 à Bellinzone, 2000 à Bâle, 2000 à Fribourg, 2000 à Neuchâtel, 1500 à Lucerne, 800 à Thoune, 600 à Baden, 500 à Bienne, 500 à Aarau, 400 à Delémont, 300 à Frauenfeld, 250 à Zoug, 200 à Olten, 150 à Soleure, 100 à Glaris, 100 à Rapperswil, 50 à Brigue, selon les organisateurs.
Philippines 9 villes Centaines Environ 150 à Bukidnon[269].
Thaïlande Bangkok 30-60[270] Lily[271]
Tunisie Tunis Centaines Manifestations au sein des lycées et sur l'avenue Habib-Bourguiba[272]. De nombreuses actions de nettoyage de la ville ont été entreprises par des étudiants.
Ukraine Kiev, Kharkiv, Dnipro 100+[273],[274] [275],[276],[277],[278],[279],[280]
Uruguay Montevideo Centaines Devant le Palais législatif[281]
Latvia Riga 200 A couple of hundred people marching from Vērmane Garden to Riga City Council and then to Saeima[282],[283],[284].
Slovaquie Bratislava, Košice, Žilina et Liptovský Mikuláš 1 000[285]
Croatie Zagreb et Split 2 000 1 000 à Zagreb et 1 000 à Split[286]
Slovénie Ljubljana & 6 other locations 11 000 9 000 à Ljubljana[287],[288]
Pays-Bas Maastricht 2 000 [289]
France Paris 350 000[290] "Saturdays for Future" / "Marche du siècle"[290],[291]
Belgique Liège, Wavre, Saint-Georges-sur-Meuse, Anvers et Bruxelles 3 400 1 000 manifestants à Liège[292], 1000 à Wavre[49], 700 à Saint-Georges-sur-Meuse[293], 500 à Bruxelles[49],[294] et 200 à Anvers[49],[294],
Norvège 52 villes 40 000[295],[296] 15 000 au parlement à Oslo[297]
France Rennes Centaines[298]
Belgique Bruxelles 400 Organisé par Greenpeace Belgique, Klimaatcoalitie et le mouvement Youth for Climate, qui organise également les grèves pour le climat en Belgique[299],[300],[301].
Allemagne 40 000 25 000 manifestants à Berlin et 15 000 ailleurs en Allemagne[302],[303],[304].
Belgique Bruxelles 1 200 500 selon la police et 1200 selon les organisateurs[305],[306].
Allemagne Neubrandenburg, Greifswald, Schwerin 300+ 250 à Schwerin, 25 à Neubrandenburg et 30 à Greifswald[307].
Serbie Belgrade Douzaines[308]
Canada Toronto 100+[309]
Suisse Multiple locations 26 000+ 15 000 à Zürich, 8 000 à Lausanne et 3 000 à Genève[310].
Belgique Bruxelles 1 000[311]
Allemagne Augsbourg 1 000+[312],[313]
Royaume-Uni Milliers[314] Plus de 400 à Oxford et des centaines à Liverpool[315],[316].
Chypre du Nord Famagouste 600+ La deuxième grève à Chypre. Plus grosse que la première[317].
Belgique Ostende, Anvers 350 200 à Ostende et 150 à Anvers[318].
Italie Rome 25 000 Avec Greta Thunberg[319],[320]
Suisse Berne 1 500 Environ 1 500 manifestants ont participé à une « masse critique »[321].
Québec Québec Centaines [322]
Belgique Namur, Anvers 500 400 à Namur et 100 à Anvers[323],[324]. La manifestation à Tournai a été annulée[325].
Slovaquie Bratislava Centaines Des centaines de lycéens et d'étudiants universitaires ont manifesté à Bratislava[326],[327],[328],[329].
Canada Montréal, Alma, Gaspé, Sherbrooke, Rouyn-Noranda, Mont-Laurier Milliers Des étudiants de la province de Québec ont organisé des manifestations dans différents villes[322]. 10 000 à Montréal, selon les organisateurs[330]
Belgique Bruxelles 530 Les manifestants marche de la Gare du Nord à la Gare Centrale[331],[332],[333].
Canada 85 villes[334] Des centaines d'étudiants à la fois à Victoria et Vancouver[335],[336]. Environ 100 à Truro et 30 à Corner Brook[337],[338]. 200 personnes ont manifesté à Sunshine Coast[339] et plus de 100 personnes ont demandé à la ville de Peterborough de déclarer l'état d'urgence[340]. 250 personnees ont manifesté à Regina[341]. 300 personnes ont manifesté à Greater Sudbury[342].
États-Unis Milliers Des étudiants de centaines d'écoles à travers les États-Unis ont organisé des rassemblements et des marches dans différents villes notamment Boston, Chicago, Houston, New York, Philadelphie, Phoenix et Seattle[343].
Suisse Seeland 300 300 personnes ont participé à ce que l'on pense être la première grève climatique dans la campagne suisse[344].
Pakistan 6 villes 300 Huitième manifestation au Pakistan[345].
Belgique Anvers, Mons 1 200 200 à Anvers et 1000 à Mons[346].
Suisse et Allemagne Kreuzlingen et Constance 500+ Entre 500 et 600 étudiants grévistes se sont rassemblés dans la ville suisse de Kreuzlingen et ont marché vers la ville allemande de Constance[347].
Belgique Bruxelles 650 650 grévistes ont marché avec Raoni Metuktire à travers Bruxelles[348].
Grèce Athene 1 300
Australie Sydney, Melbourne 1 000+ Selon Extinction Rebellion Australie, plus de 1 000 étudiants ont organisé un die-in à Melbourne. Il y a également eu des grèves à Sydney[349].
Finlande 150+ Entre 100 et 150 étudiants à Tampere[350]. D'autres grèves ont eu lieu ailleurs, notamment à Helsinki, Seinäjoki et Kuopio[351].
Suède Stockholm 6 000 Environ 6 000 personnes ont manifester à Stockholm, dont plus de 4 000 étudiants. Les grévistes ont défilé de Humlegården à Kungsträdgården. Avec Greta Thunberg[352].
Autriche 5 500 Au moins 5 500 étudiants ont fait grève, dont 1000 à Graz, 700 à Bregenz, 2000 à Linz, 300 à Klagenfurt et 1500 à Vienne[353].
Allemagne 320 000[354]
Netherlands Utrecht 1 500 Environ 1 500 étudiants ont manifesté à Utrecht. Un groupe de 200 professeurs appelé « Teachers for Climate » ont soutenu la manifestation dans une lettre ouverte[355],[356].
Belgique Bruxelles 7 500 7 500 personnes ont manifesté à Bruxelles[357].
France Paris 21 400+ 15 000 personnes ont manifesté à Paris selon le cabinet Occurrence et 27 000 personnes selon les organisateurs[358],[359]. Il y avait 3 000 manifestants à Lyon et Montpellier, 2 600 à Nantes et environ 1000 à Tours[359].
Grèce Nationwide 2 000+ Strikers marched in Athens[360] along with the candidate MEP Petros Kokkalis. A march took place in Thessaloniki[361].
Nouvelle-Zélande Auckland, Wellington, Christchurch and other locations Tens of thousands New Zealand's second school strike for climate[362]
Espagne Nationwide, about 50 cities 1000+ 500 à Madrid, hundreds à Barcelone et hundreds elsewhere in Spain[358],[363].
Portugal Lisbonne 12 000[358]
Royaume Uni + de 125 lieux[364] Milliers Concentré sur la réforme éducationnelle[365]
États-Unis Charlottesville 100 About 100 students from Charlottesville and Albemarle County schools gathered at the Freedom of Speech Wall, where several of them spoke, followed by candidates for the Charlottesville City Council. The crowd then walked along the Downtown Mall and back, cheered by onlookers[366].
Serbie Belgrade 50 Second strike for climate in Belgrade organised by Petkom za budućnost (Fridays for Future in Serbian) and supported by Educational system Kreativno pero. About 50 strikers attended[367].
France Rennes Milliers Collégiens, lycéens et étudiants se sont rendus devant l'hôtel de la métropole pour faire entendre leurs doléances sur certains aménagements de l'agglomération[368]
Autriche Vienne 10 000[369] Avec Greta Thunberg[370].
Allemagne Aix-la-Chapelle 40 000 Selon les organisateurs, la plus grande grève climatique dans une ville allemande à ce jour
Allemagne Berlin 500[371] Le Parlement allemand est bloqué par des manifestants
France Paris La police et les manifestants se sont affrontés[372].
Allemagne Cologne 500[373]
Allemagne Berlin Avec Greta Thunberg[374]
Suisse Lausanne 2 500[375] Manifestation clôturant la conférence SMILE for Future (Summer Meeting in Lausanne Europe)[31] qui a réuni 450 jeunes militants européens du 5 au et qui a abouti à la « Déclaration de Lausanne sur le climat »[33],[375]
États-Unis New York Centaines En présence de Greta Thunberg, dirigé par Xiye Bastida et Alexandria Villaseñor devant le siège des Nations unies[376].
États-Unis New York Centaines En présence de Greta Thunberg, dirigé par Xiye Bastida et Alexandria Villaseñor devant le Siège des Nations Unies[377],[378].
États-Unis Washington Milliers En présence de Greta Thunberg, White House[379] climate strike led by Jerome Foster II is held.
185 pays 5,800+ 4 000 000[380] « La plus grande mobilisation jamais enregistrée » selon 350.org : 15 000 manifestants à Bruxelles[381], 40 000 manifestants en France, 100 000 manifestants à Londres, 400 000 manifestants en Australie, 1 400 000 marcheurs en Allemagne[382]
170 pays 6,400+[383] 6 000 000[384] Last day of the third global strike[385]. Appearance by Greta Thunberg in Montreal, where 300,000–500,000 people gathered. Figures of 1 million protesters in Italy and 170,000 in New Zealand. See September 2019 climate strikes for a list of actions by country[386],[387],[388].
Québec Montréal 500 000[389] Greta Thunberg participe a la manifestation[49]
Québec 50 villes[390] Dizaine de milliers 25 000 à Québec[391], 10 000 à Sherbrooke[392] et Gatineau-Ottawa, 4000 à Trois-Rivières[393], 3000 à Saguenay, Alma et Joliette, 2500 à Rimouski, 1500 à Rouyn-Noranda et Granby, 1000 à Gaspé, 550 à New Richmond[394] et à Val-d'Or,400 à Rivière-du-loup[395], 300 à Salaberry-de-Valleyfield[396]
Canada Toronto, Vancouver, Victoria, et ailleurs au Canada 150 000-200 000[397] Sans le Québec
États-Unis Iowa City Centaines Avec Greta Thunberg[398]
Pays-Bas Leeuwarden 100 Manifestation devant la "Provinsjehûs" (maison provinciale)[399]
États-Unis Denver Milliers Avec Greta Thunberg[400]
Canada Edmonton Milliers Avec Greta Thunberg[401]
Canada Vancouver 15 000 Avec Greta Thunberg, David Suzuki et Severn Cullis-Suzuki[402]
États-Unis Los Angeles 1 000 Avec Greta Thunberg[403]
+50 pays +300 villes 1 million+[404],[405]
Espagne Madrid Milliers Manifestation a l'occasion du COP25 avec Greta Thunberg[406]
Suisse Lausanne 10 000[407] Premier anniversaire des grèves pour le climat à Lausanne, en présence de Greta Thunberg ; même semaine que le jugement du procès des activistes de Lausanne action climat[407]
Suisse Davos Douzaines Avec Greta Thunberg, invitée au Forum économique mondial (pour la deuxième année consécutive)[408]
Pays-Bas La Haye 1 000 Grève organisée par youth for climate exactement un an après la première grève au même endroit[409]
Belgique Bruxelles 1 000 Malgré les objections du vice-ministre-président flamand Ben Weyts, un millier de jeunes sont descendus dans la rue pour la première grève climatique belge en 2020[410]
Royaume-Uni Bristol 30 000[411] Avec Greta Thunberg. Organisée par Bristol Youth Strike 4 Climate[412]
Belgique Bruxelles Centaines Des milliers de personnes défilent à Bruxelles pour la grève européenne du climat alors que l'hiver le plus chaud jamais enregistré touche à sa fin[413].
Suisse 18 villes 10 000 Première grève depuis le début de la pandémie de Covid-19 en Suisse[82]
+150 pays +3 500[414]
+50 pays +800 Septième grève mondiale pour le climat, en partie en ligne sous la bannière #NoMoreEmptyPromises, mais aussi sous forme de manifestations comme en Belgique ou en Suisse[415],[416].
Suisse Nombreuses villes 30 000 « Grève pour l'avenir » organisée par « Grève pour le climat », des associations et des syndicats (cortège de 8 000 personnes à Lausanne)[417]
Pays-Bas La Haye Centaines[418]
80 pays
Québec Montréal 10 000 à 15 000 112 000 étudiants post secondaire officiellement en grève à travers le Québec[419]
Suisse Plusieurs villes Milliers[420]
Québec Montréal, Sherbrooke, Joliette, Québec et autres 87 000 étudiants post secondaire officiellement en grève à travers le Québec[421]
Allemagne Berlin 22 000 à 36 000[422]
Québec douzaine de villes 15 000 à Montréal[423], vingtaine aux Îles-de-la-Madeleine[424], centaines à sherbrooke[425] et quebec[426] 130 000 étudiants post secondaire et 14 000 travailleurs officiellement en grève à travers le Québec[427].
France Lyon, Rennes, Strasbourg, Grenoble, Marseille, Montpellier et Paris[422]
Inde New Delhi[422]
Indonésie Jakarta[422]
Suisse Baden, Berne, Bâle, Lucerne, Saint-Gall, Winterthour, Zurich[422]
Italie +60 villes[428] 10 000 à Milan
Belgique Bruxelles 25.000 [429]
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Notes et références

Voir aussi

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