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famille noble française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La Deuxième Maison de Polignac, anciennement de Chalencon, est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction féodale, originaire du Velay (Haute-Loire) au XIIe siècle. Une de ses branches, la seconde a accédé en 1949 au trône de Monaco, sous le nom de Grimaldi, pendant que la branche ainée a été faite duc de Polignac en 1780 par le roi Louis XVI.
Maison de Polignac | |
Armes | |
Blasonnement | Fascé d'argent et de gueules de six pièces |
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Pays ou province d’origine | Velay |
Fiefs tenus | Chalencon, la Voulte, Craponne, Tauriac, Boissez, Tirange, Randon, Rochebaron |
Demeures | Château de Polignac Château de Lavoûte-Polignac Château de la Jumellière Château de Mercastel |
Charges | Ambassadeur de France, président du Conseil des ministres Maires |
Fonctions militaires | Maréchal de camp |
Fonctions ecclésiastiques | Cardinal, archevêque, évêque |
Preuves de noblesse | |
Admis aux honneurs de la Cour | de 1739 à 1782 |
Autres | Duc (1780) Prince romain (1820) Prince de Monaco (1949) |
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Cette famille a hérité du nom de la Première Maison de Polignac, anciennement de Velay, qui a subsisté du Xe au XIVe siècle.
La première maison de Polignac est une très ancienne famille remontant aux vicomtes du/en Velay et de Brioude (donc vicomtes en Auvergne). Elle s'est vu confier dès la fin du IXe siècle la charge vicomtale sur le Velay par les comtes d'Auvergne, probablement en réaction à la nomination par le roi de Norbert (évêque en c. 880-c. 915) à la tête du diocèse du Puy[1].
Le château de Polignac se trouve à 5 km environ au nord-ouest de la ville du Puy-en-Velay (Haute-Loire). Éteint en 1385, son nom fut relevé à la suite du mariage, en 1349, de Guillaume de Chalençon avec sa dernière représentante, Valpurge de Polignac.
Armand Ier[2],[3],[4],[5] (fl. dans la 2e moitié du IXe siècle : 895, 898 ; et jusque vers 913 ?), vicomte en Auvergne (Brioude) et du/en Velay, père de : Armand II († ap. 909), x Bertilde, dont Postérité. Armand Ier était probablement le frère de Vitalis, abbé de St-Pierre Latour (au Puy) ; Vers 890, Armand reçoit la Cité Vieille (Saint-Paulien), et son fils Armand II donne cette Cité Vieille (ou du moins des biens situés à St-Paulien) à Hervé, abbé de Tournus, dans la première moitié du Xe siècle.
Rigaud Ier (Nous suivons ici le site MedLands ; le lien avec les précédents n'est pas formellement établi : il y aurait donc eu successivement deux familles vicomtales, mais, on va le voir, sans doute intimement liées ; † av. 899). Père de : Rigaud II ; et Etienne Ier († av. 915), mari d'Ermengarde, d'où :
Dalmas (Dalmace) Ier (fl. dans la 1re moitié du Xe siècle, † ap. 954 ou v. 948/952), Vicomte du/en Velay et Brivadois, abbé laïc de St-Julien de Brioude, d'après Christian Lauranson-Rosaz et Christian Settipani), x 1° Bertane/Berthe, et 2° Engelberge, d'où : (plutôt du 1° que du 2°) : - Dalmas II [† ap. 983 ; Vicomte et abbé laïc comme son père ; x 1° Aldiarde, et 2° Gauberte, dont (du 1° ou du 2°) : une fille († av. 962), probable épouse de Geoffroy de Semur] ; et (du 2°) : - Bertrand († ap. 979 ; père de Pons, † aussi ap. 979) ; et - Etienne II († ap. 936 ou ap. 954 : 995 ? ; Vicomte en 951 : à partir de Dalmas Ier ou de ses fils, notamment Etienne II, on peut considérer que la forteresse de Polignac est en la possession du vicomte du/en Velay, qui va donc prendre peu à peu le titre de vicomte de Polignac ; auparavant, elle relevait de l'évêque du Puy, détenteur de la puissance publique), mari de Bliosinde/Blitsende/Bellisende et probablement père d'Agne (ou grand-père pour ceux qui ajoutent une génération supplémentaire venant s'intercaler : Héracle/Eracle), qui suit :
Agne (fl. 993, 996, et après l'an mil ?), sans doute père d'Armand III qui suit (l'identité des noms établit ainsi la connexion avec les Armand Ier et II, possiblement par la postérité d'Armand II ; le lien entre les deux lignées vicomtales est confirmé par le fait que le vicomte Etienne II fut témoin lors de la cession de la Cité Vieille à l'abbé Hervé de Tournus par Armand II, fils du vicomte Armand Ier) :
Armand III (fl. 1028, 1056, 1062 ; † ~1070), x Adélaïde ; Père de : Pons Ier (fl. 1062) ; Étienne Taillefer, prévôt de St-Julien-de Brioude et de N-D du Puy, évêque de Clermont en 1053-1073, évêque du Puy en 1073-1077 ; Armand, moine à Tournus ; et :
Guillaume Ier († 1076), probable mari d'Auxilende (sœur de Pons de Tournon, évêque du Puy en 1102-1112 ?) et père de : Guillaume, chanoine et prévôt de St-Julien vers 1100 ; (Agnès, x Pons de Fay en Vivarais : Parents de Pierre et Pons de Fay ?) ; Alix, x Giraud de Monteil de La Garde ; et les deux vicomtes :
Pons II (fl. 1080, 1097, 1098, 1105 ; † /1117 : 1112 ? en pèlerinage à Rome ; marié à Elisabeth ; en 1087, lui et son frère Héracle traitent avec l'évêque du Puy Adhémar de Monteil), et Héracle Ier (Héracle, † 1098 à Antioche ; x Richarde). Pons et sa femme Elisabeth ont pour fils :
Armand IV le Grand (vicomte en 1112-vers 1165/1169). Sont enfants d'Armand IV (et d'Auxiliende, sa femme ?) dans la 2e moitié du XIIe siècle : Guillaume, prévôt de Brioude († v. 1175/1179) ; une fille (x Étienne d'Arlenc — cf. Arlanc et St-Victor — fils de Pons et père d'autre Pons d'Arlanc) ; et les deux vicomtes :
Héracle II († ap. 1171) : père d'Héracle, prévôt de Brioude, et peut-être de Pons Ier de Montlaur en Vivarais[6] ; et Pons III, vicomte en 1165-1189 († v. 1191/1192), soumis et détenu par Louis VII en 1169-1171, croisé en 1190, époux de Guillemette de Ceissac, d'où : Étienne († ap. 1173/1174), sgr de Roche-Savine (sa fille Héraclée l'apportera à son mari, Eustache Ier de Montboissier) ; Hugues, chanoine de Brioude, doyen du Puy (fl. 1173) ; (Guillemette, dame de Ceissac en partie ; x Guillaume III de Châteauneuf-de-Randon) ; et :
Héracle III (2e moitié du XIIe siècle ; † vers 1200/1201 ; fils de Pons III), x av. 1181 Marquèze/Bélis(s)ende d'Auvergne († ap. 1199 ; chantée par les troubadours Guilhèm de Sant Leidier-la-Séauve et Hugo Marescalc, de la famille Mareschal à Aurec et Apinac), fille de Guillaume VII d'Auvergne et Marquèze d'Albon, et sœur de Robert IV Dauphin et Na Saïl/Assalide d'Auvergne (cette dernière : mariée à Béraud VI ou IV de Mercœur, sire de Mercœur en 1173-1219, et chantée par Peirol)[7]. Dont :
Pons IV († av. 1223) [Selon les généalogies traditionnelles, Pons aurait eu pour frères ? : Héracle IV ; et Armand V, x sa cousine Béatrix de Lempde, fille de Robert IV Dauphin]. Croisé à Acre en 1191, Pons est aussi sgr. de Salzuit par don de son oncle maternel Robert Dauphin en . Il fait hommage à l'évêque du Puy Robert de Chalencon en , et finit moine cistercien. Il épouse Alcinoïs (Almodis, Almovis), fille de Pons Ier de Montlaur en Vivarais (à Coucouron, Mayres) et d'Aubenas, d'où : Armand, chanoine, prévôt, puis évêque du Puy en 1255-1257, abbé de Brioude ; Héracle ; Aigeline/Aspazie, abbesse de Bellecombe ; et :
Pons V (v. 1205/1210-† croisé 1248/1251), x 1223 Adélaïde, fille de Garnier III de Traînel et d'Agnès de Mello, d'où : Agnès de Prades, x 1245 Héracle, fils d'Héracle de Montlaur en Vivarais ; et :
Armand V († 1273), x 1251 Béatrice, nièce ou fille de Béraud VIII ou VI de Mercœur, dont : Pons († ap. 1340 ; doyen de Brioude en 1302, 1315, chanoine de Paris, Chartres, Amiens, Mende, Le Puy, sgr de La Voûte) ; Yolande, x Étienne de Chaumont ; Béatrix, x de Lunel ? ; et :
Armand VI, vicomte en 1273-† 1289, x 1° N de St-Bonnet ? ; et x 2° 1277 Marquise († 1334), fille de Guillaume de Châteauneuf-de-Randon et Walpurge de Rodez, d'où :
Armand IX Randonnet, vicomte en 1343 († av. 1379 sans postérité survivante), x 1° 1347 Marguerite/Ermengarde, fille de Lieutaud de Solignac en Velay et Marguerite de Monteil (Montélimar) (cette dernière, veuve de Lieutaud de Solignac, se remaria avec Odilon-Guérin V de Châteauneuf du Tournel ci-dessus) ; x 2° 1370 Isabelle, fille de Pierre Testard de St-Didier, Dunières et Lapte ; et x 3° 1379 Marguerite, fille de Guillaume III Roger de Beaufort, vicomte de Turenne. Il guerroie contre Armand de La Rouë – soutenu par Robert-Dauphin de Saint-Ilpize – en 1357-1372 pour la succession de Solignac, et contre les routiers et les Anglais ; Du 1°, il est père de : Jean († prédécédé av. 1373 ; x Tiburge de St-Didier, sœur de sa belle-mère Isabelle de St-Didier)
Armand X Randon († avril/ ou 1418/1421 ; Vicomte vers 1380), frère cadet d'Armand IX, guerroie aussi contre les routiers et les Anglais, lieutenant-général en Velay, Vivarais Gévaudan et Valentinois pour le dauphin Charles en 1419 ; x 1° 1367 Mascaronne, fille de Guillaume Aycelin de Montaigu et de Dauphine de Montboissier, et x 2° vers 1400 Claude, fille de Guillaume de Roussillon du Bouchage, maréchal du Dauphiné. D'où (du 1°) :
Walpurge/Valpurge de Polignac (sœur des précédents ; † v. 1371/1378), x 1349 Guillaume II baron de Chalencon, sire de Beaumont (à Saint-Victor-sur-Arlanc) et de Craponne : d'où la suite des vicomtes de Polignac en en faveur de leur fils Armand XI Pierre, selon le testament d'Armand IX de 1381, organisant la succession au cas où son frère cadet le futur Armand X n'aurait pas de postérité mâle. Mais Armand X ayant organisé en 1416 la succession en faveur de son petit-fils Armand de Montlaur ci-dessus, le litige ne fut réglé par le Parlement de Paris qu'en 1464, au profit des Chalencon.
La maison de Chalencon est une famille féodale originaire du Velay (Chalencon), attestée dès 1179 en la personne de Bertrand de Chalencon. Selon Régis Valette, sa filiation est suivie depuis 1205[9]. Sa branche aînée prit le nom de Polignac après 1349, devenant ainsi la seconde maison de Polignac[10].
La maison de Polignac a été reçue douze fois aux honneurs de la cour au XVIIIe siècle, sur preuves remontant à 1205. Ces preuves furent alors collationnées par le généalogiste Bernard Chérin, réputé pour sa rigueur, selon lequel la maison de Chalencon, « connue dès le XIe siècle (...) porte les caractères de la haute noblesse »[11].
Valpurge de Polignac et son mari Guillaume II de Chalencon[12],[13] († ap. 1398), mariés en 1349, ont pour enfants : Marguerite, x 1367 Louis Ier de Joyeuse ; Béatrix, x 1372 Agne II de La Tour d'Oliergues ; Isabelle, x 1382 Guigon-Guérin de Châteauneuf du Tournel ; et :
Armand XI Pierre, vicomte de Polignac en , x Marguerite, fille de Jean Ier Lourdin du Château (Châtelperron ?) de Randan de Saligny, et de Catherine de La Motte-St-Jean [ladite Catherine de La Mothe, veuve de Jean Lourdin, maria en 1378 ledit Guillaume II de Chalencon, veuf de Walpurge de Polignac, d'où Guillaume, évêque du Puy en 1418-1443 ; et Isabeau de Chalencon, x 1405 Armand de Solignac de La Roue]. Les enfants d'Armand-Pierre et Catherine : Isabeau, x 1416 Louis de Montlaur en Vivarais (à Mayres, Coucouron) et d'Aubenas, conseiller-chambellan de Charles VII ; Marguerite, x Urbain de La Chambre, vicomte de Maurienne : Postérité ; et :
Armand XII Louis († ap. 1438), chambellan du régent-duc de Bedford en 1420 ; x 1° 1419 Isabeau, fille de Bertrand IV de La Tour et Marie Ire, comtesse d'Auvergne et de Boulogne, d'où : Antoine († ap. 1474), sire de Beaumont, et de Rochebaron par son mariage en 1434 avec Antoinette, fille héritière de Guigon de Rochebaron : Postérité, d'où la suite de ces deux seigneuries ; Bertrand († ), évêque de Rodez en 1457-1494 ; Pierre († ap. 1474), protonotaire apostolique ; Jeanne, dame de Roche-en-Régnier, x Antoine de Lévis de Villars ; Louise, x sans postérité Béraud de Beaufort de Valernes ; et :
Armand XIII Guillaume († ), x 1441 Amédée/Aimée, fille de Mainfroi de Saluces de Caramagne de Cardé et de Françoise de Montmajour (veuve, ladite Françoise de Montmayeur épouse en 1441 Armand XII, veuf d'Isabeau d'Auvergne), dont :
Armand XIV Claude († 1509, Sans postérité), x 1469 Jacqueline, fille d'Antoine de Chabannes, comte de Dammartin ; et leur frère :
Armand XV Guillaume († 1518), x 1511 Marguerite, fille d'Antoine, vicomte de Pompadour et de Comborn, dont : Françoise (x 1° 1526 Jean II de Gramont, 2° Jean d'Albaron, 3° 1532 Jean de Poitiers-St-Vallier, et 4° Jean de Lugny de St-Trivier) ; Catherine, x François de Langeac ; et :
Armand XVI François le Grand Justicier (1514-† le ). Jeune vicomte, il reçoit François Ier au château - Polignac ou Lavoûte - le . Il marie 1° 1536 Anne, fille de Jacques de Beaufort-Canillac-Montboissier et Jeanne-Françoise de Chabannes (fille du maréchal de La Palice), et 2° 1554 Philiberte, fille d'Antoine de Clermont et d'Anne de Poitiers-St-Vallier (fille de Jean de Poitiers), dont :
Armand (XVII) Claude (du 1°) (1540-1564 ; Sans postérité) : de santé fragile, destiné un moment à entrer dans les ordres, rebelle contre son père Armand-François et sa marâtre Philiberte de Clermont, passé de surcroît au protestantisme, Armand-Claude est désavoué par la tradition familiale qui lui dénie sa place dans la succession vicomtale - d'où une numérotation décalée par la suite - mais il avait pourtant pris le titre de vicomte de Polignac et ses droits étaient réels[15] ; et (du 2°) : Christophe, baron de Chalencon, x 1591 Jeanne/Diane, fille de François de Saint-Nectaire ; Catherine, x Aymar de St-Priest ; Jeanne, x 1° Marc-Itier de Joran (Géorand ?), et x 2° Jean Mot(t)ier de Champétières ; et leur frère :
Armand XVII (XVIII) Louis (du 2°) (1556-† en ), x Françoise, fille de Gaspard de Montmorin-Saint-Hérem, sgr. d'Auzon, et de Louise d'Urfé, dame de Paulhac et de Balzac, dont : François, marquis de Chalencon, sire d'Auzon, x Anne, fille de Gilbert de Chazeron de Fontenilles (d'où : Balthazar de Polignac (1607-v. 1635, sans postérité), baron d'Auzon et de Chalencon ; et Claude-Françoise de Polignac-Chalencon, x Henri de La Rochefoucauld d'Arlet) ; Louise, x 1600 François de St-Martial de Drugeac, fondatrice en 1639 de Notre-Dame des Bénédictions d'Auzon ; et :
Armand XVIII (XIX) François-Gaspard (1579-1659), chevalier du St-Esprit en 1633, gouverneur du Puy, Velay et Vivarais, baron d'Auzon après son neveu Balthazar vers 1635, baron de Châteauneuf-de-Randon, La Voulte etc., x Claudine, fille de Just-Louis de Tournon-Roussillon, d'où : Melchior de Beaumont (v. 1610-1699), abbé de Montebourg ; Philiberte, x Christophe-Melchior de Bauffremont de Cruzilles ; Isabeau, x 1° 1638 François-Gabriel d'Espinchal de Dunières, et 2° 1644 Jean de Lévis de Caylus ; et :
Armand XIX (XX) Louis (né le -† ), gouverneur du Puy, Velay et Vivarais, chevalier du St-Esprit en 1661, x 1° 1638 Suzanne, fille de Claude des Serpents de Gondras et d'Antoinette de Rochebaron, x 2° 1648 Isabelle-Esprite, fille de Ferdinand de La Baume, comte de Montrevel (d'où : Jean, chevalier de Malte, † jeune), et x 3° Jacqueline († 1721), fille de Scipion Grimoard de Beauvoir, comte du Roure, dont (du 3°) : Melchior (1661-1741), cardinal, archevêque d'Auch en 1725-1741, abbé de Bon-Port, Mouzon, Corbie..., diplomate, commandeur du St-Esprit (1728, 1733), Académicien français en 1704 (au 37e fauteuil), collectionneur d'art ; et :
Armand XX (XXI) Scipion-Sidoine-Apollinaire-Gaspard (né v. 1660-† le )[16], marquis de Polignac, x 1° 1686 Marie-Armande, fille de Charles marquis de Rambures (fils de Charles), et de Marie Bautru, fille de Nicolas Bautru (d'où : Louis-Armand, marquis de Chalencon, 1687-1693), et x 2° 1709 Françoise, fille de Louis de Mailly de Rubempré et d'Anne-Marie-Françoise de Ste-Hermine, et sœur de Louise-Françoise, dont : François-Camille, dit le marquis de Polignac (né en 1719), brigadier des Armées du Roi, acquéreur vers 1745 de Montpipeau, x 1742 Marie-Louise de La Garde : Postérité, dont Camille (1745-1821), évêque de Meaux en 1779-1790 ; Louis-Denis-Auguste (1720-1759), chevalier de Malte (prieur de Nantua), colonel du régiment de Brie en 1748, brigadier des Armées en 1758 ; et :
Armand XXI (XXII) Louis-Héracle-Melchior (né le -1792), marquis de Polignac, maréchal des Camps et Armées, chevalier du St-Esprit en 1777, x 1738 Diane-Marie-Zéphirine-Adélaïde, fille de Jacques-Hippolyte Mancini et d'Anne-Louise de Noailles, dont : Philippe-Jules-François (né le ) ; Diane-Françoise-Zéphirine (née le ) ; Diane-Louise-Augustine (née le ) ; et :
Armand XXII (XXIII) Jules-François (-), 1er duc de Polignac le , x 1767 Gabrielle-Yolande-Claude-Martine de Polastron (1749-1793), d'où Postérité, qui suit...
Une des branches cadettes de la famille a accédé en 1949 au trône de Monaco, sous le nom de maison Grimaldi, en la personne du prince souverain Rainier III (1923-2005), fils du comte Pierre de Polignac (1895-1964) et de Charlotte de Monaco (1898-1977), fille naturelle du prince souverain Louis II de Monaco (1870-1949), issu de la famille de Gouyon.
La maison de Polignac conserve le trône monégasque en la personne du prince souverain Albert II de Monaco (né en 1958), fils de Rainier III.
Jules, 1er duc de Polignac
(1745-1817) | |||
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Armand Jules François de Polignac, 1er duc de Polignac, Armand XXII (XXIII) (7 juin 1746, Claye-Souilly - 21 septembre 1817, Saint-Pétersbourg); marié le 7 juillet 1767 avec Yolande Martine Gabrielle de Polastron (8 septembre 1749, Paris - 9 décembre 1793, Vienne), dont :
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