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Liste des députés de l'Indre
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Cet article référence la liste des députés élus dans l’Indre.

États généraux puis Assemblée constituante de 1789
Assemblée législative (1791-1792)
Convention nationale (1792-1795)
Conseil des Cinq-Cents (1795-1799)
Corps législatif (1800-1814)
Chambre des députés des départements (1re Restauration)
Chambre des représentants (Cent-Jours)
Chambre des députés des départements (2e Restauration)
Ire législature (1815–1816)
IIe législature (1816-1823)
IIIe législature (1824-1827)
IVe législature (1828-1830)
Ve législature ( - )
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Chambre des députés (Monarchie de Juillet)
Ire Législature (1830-1831)
IIe Législature (1831-1834)
IIIe Législature (1834-1837)
IVe Législature (1837-1839)
Ve Législature (1839-1842)
VIe Législature (1842-1846)
VIIe Législature ( - )
IIe République
Assemblée nationale constituante (1848-1849)
Assemblée nationale législative (1849-1851)
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Second Empire
Ire législature (1852-1857)
IIe législature (1857-1863)
- Eugène de Bryas décédé en 1858, remplacé par Raoul Charlemagne
- François Charles Delavau
IIIe législature (1863-1869)
IVe législature (1869-1870)
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IIIe République
Résumé
Contexte
Assemblée nationale (1871-1876)
Ire législature (1876-1877)
IIe législature (1877-1881)
- Clément Laurier décédé en 1878, remplacé par Paul-Antoine Bénazet.
- Étienne de Saint-Martin
- Alfred Leconte
- Raoul Charlemagne
- Isidore David
IIIe législature (1881-1885)
IVe législature (1885-1889)
Ve législature (1889-1893)
- Paul-Antoine Bénazet élu sénateur en 1891, remplacé par Alfred Moroux.
- Charles Balsan
- Alban David
- Étienne de Saint-Martin
- Alfred Leconte
VIe législature (1893-1898)
- Alfred Moroux élu sénateur en 1897, remplacé par Georges de Beauregard.
- Charles Balsan
- Alban David
- Étienne de Saint-Martin
- Alfred Leconte
VIIe législature (1898-1902)
VIIIe législature (1902-1906)
- Alban David décédé en 1905, remplacé par Charles de Barbançois.
- Joseph Bellier
- Georges de Beauregard
- Jacques Dufour
- Étienne de Saint-Martin
IXe législature
Notons que sur cinq députés, quatre se situent proches des radicaux. Pour autant, tous ne siégeaient pas au sein du même groupe parlementaire. Ainsi, seul Henri Cosnier appartenait au groupe "Gauche radicale-socialiste", le groupe "officiel" du Parti Radical quand les trois autres (MM. Bellier, Bénazet et Dauthy) était inscrits à la "Gauche radicale", groupement de députés d'obédience proche des radicaux ayant refusé d'adhérer au groupe "officiel". Ce groupe, sans orientation politique claire et rassemblant des députés du centre-gauche au centre-droit servait alors souvent d'arbitre dans les votes parlementaires.
Xe législature
XIe législature
XIIe législature
La loi du 12 juillet 1919 remplace le mode de scrutin précédemment en usage (scrutin uninominal majoritaire à deux tours par arrondissement déterminé par la loi du 13 février 1889) par un nouveau, qui sera utilisé pour les élections législatives de 1919 et de 1924 avant d'être abrogé à son tour, par la loi du 21 juillet 1927. Elle définit le département comme circonscription électorale de base et stipule que chaque département élit un député par tranche de 75 000 « habitants de nationalité française ». La dernière tranche, si elle dépasse 37 500 habitants, donne droit à un député supplémentaire. Un plancher est établi : chaque département a, au moins, trois député. Les candidats se regroupent dans des listes déposées en préfecture, et le nombre de candidats par liste ne peut excéder le nombre de députés à élire dans la circonscription (cinq pour l'Indre en 1919). Toutefois, les candidatures isolées sont autorisées, pour peu que cent électeurs de la circonscription l'appuient. Le candidat unique est alors réputé former une liste à lui tout seul. Il est interdit de se présenter dans plusieurs circonscriptions. La possibilité de panachage de plusieurs listes, de rayer ou d'ajouter un nom rend ce mode d'élection des plus complexes. L'élection se déroule en un seul tour. Le nouveau système de vote est complexe : il allie scrutin proportionnel plurinominal et scrutin majoritaire plurinominal. Dans les faits, le scrutin majoritaire prime sur le proportionnel : les législateurs ont introduit seulement une « dose de proportionnelle ». Les électeurs votent donc pour un seul candidat sur la liste, susceptible de l'emporter directement : le système, de prime abord, est majoritaire. Ce n'est qu'ensuite, si des sièges restent à pourvoir, que le scrutin devient proportionnel.
Ces élections, les premières depuis la fin du conflit et donc de l'Union Sacrée, débouchent sur la large victoire du Bloc National, coalition de partis du centre-droit et de droite (principalement l'Alliance Démocratique d'Adolphe Carnot et la Fédération Républicaine de Charles Benoist), dont la figure de proue est le "père de la Victoire" Georges Clémenceau, qui garde la confiance de cette chambre "bleu horizon". Cette mandature fait venir 60% de néo-députés (tels Jean Le Febvre ou Anselme Patureau-Mirand dans l'Indre) et 44% d'anciens combattants (comme les deux précédemment cités et Paul Bénazet dans l'Indre).
Les députés élus sont :
XIIIe législature
À la suite du constat de la baisse de la population de l'Indre, le département perd un siège de député. Ces élections voit les listes du Cartel des Gauches (coalition du Parti Radical, du Parti Républicain-socialiste, des radicaux indépendants et de la SFIO) l'emporter et former un cabinet sous la direction du Radical Edouard Herriot.
Les députés élus sont :
XIVe législature
La loi du 21 juillet 1927 rétablit le scrutin uninominal pour l'élection des députés et abroge la loi du 12 juillet 1919. Elle organise le régime électoral des élections législatives de 1928, 1932 et 1936. Sa principale disposition est de remplacer le complexe système de vote mis en place par la loi du 12 juillet 1919, qui a allié scrutin majoritaire plurinominal et scrutin proportionnel plurinominal, par un nouveau mode de scrutin, dit « scrutin uninominal majoritaire à deux tours » – qui est en fait le système en vigueur avant 1919. L'Indre est doté de cinq sièges correspondant aux arrondissements (et aux cantons) d'alors : 1ère circonscription de Châteauroux (cantons d'Ardentes, d'Argenton, de Châteauroux), 2e circonscription de Châteauroux (cantons de Buzançais, de Châtillon-sur-Indre, d'Ecueillé, de Levroux, de Valençay), circonscription de Le Blanc (cantons de Belâbre, de Le Blanc, de Mézières-en-Brenne, de Saint-Benoit-du-Sault, de Saint-Gaultier, de Tournon-Saint-Martin), circonscription d'Issoudun (cantons d'Issoudun-Nord, d'Issoudun-Sud, de Saint-Christophe-en-Bazelle, de Vatan) et la circonscription de La Châtre (cantons d'Aigurande, d'Eguzon, de La Châtre, de Neuvy-Saint-Sépulchre, de Sainte-Sévère-sur-Indre).
XVe législature
XVIe législature
CFLN / GPRF
Résumé
Contexte
L'Assemblée consultative provisoire est une Assemblée française représentant les mouvements résistants, les partis politiques et les territoires engagés dans la guerre aux côtés des Alliés sous la direction du Comité français de la Libération nationale (CFLN). Ce dernier est créé le 3 juin 1943 et disparait le 3 juin 1944, date où le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) lui succède. L'Assemblée consultative provisoire tint d'abord ses séances à Alger du 3 novembre 1943 au 25 juillet 1944 puis à Paris entre le 7 novembre 1944 et le 3 août 1945. Elle laisse place à la première Assemblée constituante élue le 21 octobre 1945. Dans ces assemblées, aucun représentant spécifique de chaque département ne siégeait puisqu'il ne s'agissait pas d'une assemblée législative démocratiquement élue mais d'un rassemblement des forces engagées dans la guerre au côté des Alliés. Le GPRF prit fin le 27 octobre 1946 lorsque la Quatrième République fut proclamée.
Première Assemblée constituante
La session a débuté le 21 octobre 1945 et a fini le 2 juin 1946.
Les députés élus à la proportionnelle sont :
- Louis Chevallier (MRP) ;
- Marcel Peyrat (PCF) ;
- André Parpais (SFIO) ;
- Édouard Ramonet (Radical).
Deuxième Assemblée constituante
La session a débuté le 2 juin 1946 et a fini le 27 novembre 1946.
Les députés élus à la proportionnelle sont :
- Louis Chevallier (MRP) ;
- Marcel Peyrat (PCF) ;
- André Parpais (SFIO) ;
- Édouard Ramonet (Radical).
IVe République
Ire législature
La première législature a débuté le 28 novembre 1946 et a fini le 3 juillet 1951.
Les députés élus à la proportionnelle sont :
- Louis Chevallier (MRP) ;
- Marcel Peyrat (PCF) ;
- Georges Pirot (PCF) ;
- Édouard Ramonet (Radical).
IIe législature
La deuxième législature a débuté le 5 juillet 1951 et a fini le .
Les députés élus à la proportionnelle sont :
- Léon Boutbien (SFIO) ;
- André Chabenat (Radical) ;
- Roger Morève (Radical) ;
- Édouard Ramonet (Radical).
IIIe législature
La troisième législature a débuté le 2 janvier 1956 et a fini le .
Les députés élus à la proportionnelle sont :
- André Blondeau (PCF) ;
- Roger Morève (Radical) ;
- Georges Pirot (PCF) ;
- Édouard Ramonet (Radical).
Ve République
Ire législature
IIe législature
IIIe législature
IVe législature
Ve législature
VIe législature
VIIe législature
VIIIe législature
La loi du 10 juillet 1985 modifie le mode de scrutin des élections législatives conformément à la 47e proposition du programme de François Mitterrand, élu Président de la République en 1981. Ainsi, les députés sont élus, dans les départements, au scrutin de liste à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne, sans panachage ni vote préférentiel. Le département forme une circonscription. La déclaration de candidature résulte du dépôt à la préfecture d'une liste comprenant un nombre de candidats égal au nombre de sièges à pourvoir (trois dans l'Indre) augmenté de deux. Seules sont admises à la répartition des sièges les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages exprimés. Les sièges sont attribués aux candidats d'après l'ordre de présentation sur chaque liste. Au niveau national, la droite parlementaire composée du Rassemblement Pour la République (RPR) de Jacques Chirac et de l'Union pour la Démocratie Française (UDF) de Jean Lecanuet l'emporte avec 290 sièges, certains départements ayant fait liste commune entre le RPR et l'UDF, 173 députés sont élus sous cette bannière ; auquel il faut ajouter les listes uniques du RPR (76 sièges) et de l'UDF (53 élus). Le Parti Socialiste emmené par Laurent Fabius perd sa majorité et obtient 206 sièges et le Front National de Jean-Marie Le Pen atteint presque le même nombre de voix que le Parti Communiste Français (PCF) de Georges Marchais mais obtiennent tous deux 35 élus chacun. Le département de l'Indre a suivi cette logique d'alternance comme en 1981 lorsque l'électorat berrichon avait porté au Palais-Bourbon trois socialistes. Les trois députés élus sont donc :
- Michel Aurillac (RPR) nommé Ministre de la Coopération de 1986 à 1988 (Gouvernement Chirac 2) et remplacé par Henri Louet (RPR)
- Daniel Bernardet (UDF) alors Maire de Châteauroux depuis 1971 (il le restera jusqu'en 1989) et président du Conseil général de l'Indre depuis 1985 (il cédera son poste à Louis Pinton en 1998), fait liste commune avec le RPR indrien de Michel Aurillac contre le UDF local qui n'obtient aucun élu et exclut Bernardet de la fédération. Ne pouvant choisir entre les deux groupes car ne désirant pas rallier le RPR et exclu de l'UDF, il choisira de siéger comme non-inscrit.
- André Laignel (PS) alors Maire d'Issoudun (depuis 1977) et passé dans l'opposition départementale aux élections cantonales de 1985 sauve son siège de député.
IXe législature
Xe législature
XIe législature
XIIe législature
XIIIe législature
XIVe législature (2012-2017)
XVe législature (2017-2022)
XVIe législature (2022-2024)
XVIIe législature (2024-)
Notes et références
Voir aussi
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