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entité divine, être suprême et objet principal de la foi monothéiste De Wikiquote, le recueil de citations libre
Dans les religions monothéistes, Dieu désigne une entité suprême, unique, immatérielle, dotée d’une puissance surnaturelle et d’une perfection absolue. Selon ces religions, lui sont le plus souvent attribués les caractères d’infini, d’omniscience, d’Éternité, de toute puissance et de démiurgie, c'est-à-dire d’avoir créé le monde. Considéré comme un nom propre dans la langue française, le nom « Dieu » prend une majuscule.
Voir aussi Religion
Dans le Court traité (II, chap. XXVI), Spinoza affirme expressément que la connaissance de Dieu par l’intellect est immédiate [...].
L’intellect ne se constitue dans un esprit existant en acte que lorsque l’idée de Dieu s’y trouve. L’intelligence, entendue comme troisième genre, n’existe ni avant ni sans cette idée. Parmi les hommes, ceux qui ne l’ont pas sont privés d’intellect (en tant que troisième genre de connaissance), et c’est la majorité de l’humanité.
Toi, Rançonnet, toi, Mautravers, toi, Sélune, et moi aussi, nous avons tous eu l’Empereur sur la poitrine, puisque nous avions sa Légion d’Honneur, et cela nous a parfois donné plus de courage au feu de l’y avoir. Mais elle, ce n’est pas l’image de son Dieu qu’elle a sur la sienne ; c’en est, pour elle, la réalité. C’est le Dieu substantiel, qui se touche, qui se donne, qui se marge, et qu’elle porte, au prix de sa vie, à ceux qui ont faim de ce Dieu-là ! Eh bien, ma parole d’honneur ! je trouve cela tout simplement sublime…
Question n°4 : Où peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ?
Réponse : "Dans un axiome que vous appliquez à vos sciences : il n’y a pas d’effet sans cause. Cherchez la cause de tout ce qui n’est pas l'œuvre de l’homme, et votre raison vous répondra."
Question n°9 : Où voit-on dans la cause première une intelligence suprême et supérieure à toutes les intelligences ?
Réponse : "Vous avez un proverbe qui dit ceci : à l'œuvre, on reconnaît l’ouvrier. Eh bien ! Regardez l'œuvre et cherchez l’ouvrier. C’est l’orgueil qui engendre l’incrédulité. L’homme orgueilleux ne veut rien au-dessus de lui, c’est pourquoi il s’appelle esprit fort. Pauvre être, qu’un souffle de Dieu peut abattre !"
On juge la puissance d’une intelligence par ses œuvres ; nul être humain ne pouvant créer ce que produit la nature, la cause première est donc une intelligence supérieure à l’humanité.
Quels que soient les prodiges accomplis par l’intelligence humaine, cette intelligence a elle-même une cause, et plus ce qu’elle accomplit est grand, plus la cause première doit être grande. C’est cette intelligence qui est la cause première de toutes choses, quel que soit le nom sous lequel l’homme l’a désignée.
Je n'aime pas ceux qui parlent de Dieu comme d'une valeur sûre. Je n'aime pas non plus ceux qui en parlent comme d'une infirmité de l'intelligence. Je n'aime pas ceux qui savent, j'aime ceux qui aiment.
Arrive un moment où il ne nous intéresse plus que de guetter Dieu.
Ce qui éloigne de Dieu n'est pas tant le péché que le désir de le justifier.
Dieu est l'infiniment proche et l'infiniment lointain ; nous ne devons pas parler de Lui comme s'il se tenait à distance moyenne.
Parler sur Dieu est présomptueux, ne pas parler de Dieu est stupide.
Ce n'est pas parce que Dieu sait tout que nous devons avoir confiance mais parce qu'il est miséricordieux.
L'homme n'est important que s'il est vrai qu'un Dieu soit mort pour lui.
Je ne vivrais pas une fraction de seconde si je cessais de sentir la protection de Dieu.
Si ce n'est pas de Dieu dont nous parlons, il est insensé de parler de quoi que ce soit.
Dieu ne meurt pas mais malheureusement pour l'homme les dieux subalternes tels que la pudeur, l'honneur, la dignité et la décence, ont péri.
Si nous ne croyons pas en Dieu, seul est honnête l'Utilitarisme vulgaire.
Le reste n'est que rhétorique.
L'important n'est pas que l'homme croie en l'existence de Dieu, l'important c'est que Dieu existe.
Il y a un malentendu entre nous et Dieu. Cela tient peut-être à ce que nous le cherchons trop au-dessus de nous. Si nous savions nous incliner plus simplement vers la terre et partager l’innocence des arbres et des oiseaux, nous retrouverions le ciel dans ce miroir. Mais nous acceptons mal de n’être que des créatures ; nous voulons toujours un peu nous créer nous-mêmes.
Envisager Dieu nous diminue-t-il ? Au contraire, nous intégrant dans la marche de la Voie, cela ne peut que nous grandir. C’est ce qu’avait compris Rainer Maria Rilke, qui écrivait : « Il y a en moi, finalement, une manière et une passion absolument indescriptibles de faire l’expérience de Dieu… Ma vie durant, il ne s’est agi pour moi de rien d’autre que de découvrir et de vérifier cet endroit de mon cœur qui me rendrait capable d’adorer dans tous les temples de la terre ce qui serait le plus grand. »
S’agissant de l’avènement de la vie, dès le commencement, le Créateur devait se trouver devant un dilemme. Tout comme nous, il eût souhaité un monde parfait. Pour cela, il n’avait qu’à créer un ensemble d’êtres parfaitement obéissants, de type robot. Il lève la baguette, tous se lèvent ; il baisse la baguette, tous se couchent. On n’est pas alors dans l’ordre de la vie et il ne peut en tirer aucune jouissance. Pout que les vivants parviennent jusqu’à la conscience, au point de pouvoir connaître l’univers créé, au point de pouvoir dialoguer avec le Créateur, il fallait qu’ils soient doués d’intelligence et de liberté. Condition plus nécessaire encore si la Création devait être animée par le principe d’amour. Presque aussitôt surgit un problème qui transforma le processus de la vie en drame : le problème du mal radical.
Dans cette perspective, le développement de la vie devient une immense aventure, semée de remarquables avancées comme d’imprévisibles périls. Aventure aussi bien pour les humains que pour Dieu. Plus précisément, il faudrait dire que l’aventure des humains devient celle même de Dieu ; si les humains échouaient, ce serait un échec pour lui. Ce Dieu par qui la vie est advenue, par qui la marche de la Voie est assurée n’est pas celui qui s’est contenté de donner une chiquenaude initiale pour mettre en branle l’histoire, comme le disait Pascal du Dieu de Descartes. Non, il est le Dieu futur qui n’aura de cesse d’advenir, comme Moïse a pu l’entendre de sa bouche : « Je serai qui Je serai. » Le devenir humain fait partie de son aventure. Il est donc lui-même en devenir.
Rencontre avec Dieu
Nommer Dieu ce qui permet
À l’aveugle de choisir
La couleur de ses ténèbres
Thorgal : Les prêtres disent que vous êtes un dieu revenu vivre parmi les hommes. Lequel de nos dieux êtes-vous ?
Le dieu de la montagne : Celui que tu préfèreras, Thorgal. Ce sont les hommes qui donnent leurs noms aux dieux.
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