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Liste des navires de la Marine nationale (France)
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Cet article dresse la liste des bâtiments de la Marine nationale en service.
La Marine nationale dispose en 2022 de 116 bâtiments de plus de 150 tonnes (dont la moitié de plus de 1 000 tonnes), répartis en deux grandes catégories : les bâtiments de combat (sous-marins, porte-aéronefs, frégates, patrouilleurs, chasseurs de mines, et chalands de débarquement : 79 unités), et les bâtiments de soutien (37 unités)[1],[2]. La liste des bâtiments de surface de plus de 150 tonnes (hors unités portuaires et navires affrétés) correspond, à quelques unités près, à la liste des bâtiments de la Force d'action navale.
Le porte-avions Charles de Gaulle est le navire amiral de la flotte. Trois porte-hélicoptères amphibies (classe Mistral) viennent ensuite, suivis de deux frégates de défense aérienne (classe Horizon) et de huit frégates multi-missions. Cinq frégates La Fayette et six frégates de surveillance de la classe Floréal viennent compléter les bâtiments de combat. La Marine possède également 16 patrouilleurs et 16 unités de guerre des mines. La flotte sous-marine comprend quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (classe Le Triomphant), et cinq sous-marins nucléaires d'attaque, dont deux unités de classe Suffren et trois unités de classe Rubis[3].
La Marine française représente un tonnage global à pleine charge d'environ 404 000 tonnes, ce qui la place au 7e rang mondial des marines de guerre.
En fin d'article sont listés les bâtiments actuellement en construction ou en phase d'essais et leurs dates prévues de livraison à la Marine nationale.
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Présentation
Les tonnages indiqués pour chaque classe de bâtiments sont :
- le tonnage à pleine charge pour les bâtiments de surface ;
Au , la Marine nationale déployait 60 bâtiments et 7 200 marins, répartis sur deux mers et trois océans différents[4].
Sous-marins
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Bâtiments de combat
Résumé
Contexte
Porte-avions
Bâtiments amphibies
Frégates de premier rang
Frégates de second rang
Frégate de surveillance
Patrouilleurs
Bâtiments de guerre des mines
Bateaux forces spéciales
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Bâtiments de soutien[2]
Résumé
Contexte
Bâtiments à usage militaire
Bâtiments de ravitaillement
Bâtiments de soutien
Bâtiments d'entrainement
Bâtiments de mesures
Bâtiments de ravitaillement des bases militaires
Bâtiments de service public
Bâtiments hydrographiques et océanographiques
Navire océanographique, patrouilleur polaire et navire logistique
— | Navire océanographique | ![]() |
![]() |
1 | — | Pourquoi pas ? | 2005 | Brest | 6 600 tonnes | partagé avec l'Ifremer (45% à la marine)[1] |
— | Patrouilleur polaire et navire logistique | ![]() |
![]() |
1 | P800 | Astrolabe | 2017 | Port de la Pointe-des-Galets | 4 200 tonnes | Usage mixte pour la souveraineté sur les Terres Australes et Antarctiques Françaises et le ravitaillement des bases scientifiques[1] |
Bâtiments de service public affrétés
Bâtiments-écoles
Autres bâtiments
En outre, la Marine Nationale dispose d'une flotte de bâtiments de soutien spécialisés, d'un déplacement unitaire généralement inférieur à 150 tonnes : vedettes de servitude, bateaux pompes, pousseurs, remorqueurs et chalands... La Marine Nationale dispose notamment de:
- 9 vedettes d'intervention pour plongeurs démineurs (VIPD) de classe Dionée:
- Dionée (1990)
- Myosotis (1991)
- Gardenia (1991)
- Liseron (1992)
- Genêt (1995)
- Magnolia (1996)
- Ajonc (1996)
- Giroflée (1996)
- Acanthe (1996)
- 21 vedettes de liaison intérieure (VLI) de classe Naïade :
- Nymphe - Brest
- Sylphe - Brest
- Naïade - Lanvéoc-Poulmic
- Néréïde - Lanvéoc-Poulmic
- Elfe - Lanvéoc-Poulmic
- Pégée - Lanvéoc-Poulmic
- Faune - Brest (Centre d'Instruction Naval)
- Potamide - L'Île-Longue
- Epigée - L'Île longue
- Océanide - Toulon
- Dryade - Toulon
- Nixe - Toulon
- Sylphide - Toulon
- Hydriade - Saint-Mandrier-sur-Mer (Pôle Ecoles Méditerranée)
- Oréade - Saint-Mandrier-sur-Mer (Pôle Ecoles Méditerranée)
- Héléade - Saint-Mandrier-sur-Mer (Pôle Ecoles Méditerranée)
- Ouranée - Saint-Mandrier-sur-Mer (Pôle Ecoles Méditerranée)
- Ondine - Cherbourg
- Alphée - Nouméa
- Korrigan - Fort-de-France
- Lutin - Dakar
- 8 chalands multi-missions (CMM) de classe Cigale :
- Y622 Cigale - Saint-Mandrier-sur-Mer (Pôle écoles Méditerranée) (2018)
- Y623 Criquet - Toulon (2019)
- Y624 Grillon - Toulon (2019)
- Y625 Fourmi - Brest (2019)
- Y626 Scarabée - Brest (2019)
- Y627 Araignée - Cherbourg (2019)
- Y628 Luciole - Fort-de-France (2020)
- Y629 Tianée - Toulon (CEPHISMER) (2020)
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Gendarmerie maritime
Résumé
Contexte
La Gendarmerie maritime dispose de patrouilleurs côtiers, vedettes côtières de surveillance, vedettes de sûreté, auxquelles s'ajoutent 9 embarcations de sûreté maritime et portuaire (ESMP) de 9 mètres, 10 embarcations pneumatiques dans les brigades de surveillance du littoral et 32 embarcations pneumatiques sur les patrouilleurs et les vedettes.
- 5 patrouilleurs côtiers de gendarmerie (PCG) :
- 3 vedettes côtières de surveillance maritime de nouvelle génération (VCSM NG) :
- P692 Maroni - Cherbourg (2022)
- P693 Oyapock - Dunkerque (2022)
- P694 Alber Ildut - Boulogne-sur-Mer (2022)
- 24 vedettes côtières de surveillance maritime (VCSM) :
- P601 Élorn - Concarneau (2003)
- P602 Verdon - Mayotte (2003)
- P603 Adour - Anglet (2003)
- P604 Scarpe - Boulogne-sur-Mer (2003)
- P605 Vertonne - Sables-d'Olonnne (2003)
- P606 Dumbea - Nouméa (2004)
- P607 Yser - Dieppe (2004)
- P608 Argens - Saint-Raphaël (2004)
- P609 Hérault - Sète (2005)
- P610 Gravona - Ajaccio (2004)
- P611 Odet - Mayotte (2005)
- P612 Maury - Gruissan (2005)
- P613 Charente - Rochefort (2005)
- P614 Tech - Port Vendres (2005)
- P615 Penfeld - Brest (2005)
- P616 Trieux - Saint-Malo (2005)
- P617 Vésubie - Nice (2006)
- P618 Escaut - Dunkerque (2006)
- P619 Huveaune - Marseille (2006)
- P620 Sèvre - Pornichet (2007)
- P621 Aber-Wrach - Brest (2006)
- P622 Esteron - Le Havre (2007)
- P623 Mahury - Dégrad-des-Cannes (2005)
- P624 Organabo - Kourou (2005)
- 9 vedettes de surveillance maritime et portuaire (VSMP) :
- P792 Pavois - Le Havre (2011)
- P793 Ecu - Port de Bouc (2011)
- P794 Rondache - Le Havre (2011)
- P795 Harnois - Marseille (2011)
- P796 Haubert - Port de Bouc (2011)
- P797 Heaume - Cherbourg (2011)
- P798 Brigantine - Brest (2011)
- P799 Gantelet - Toulon (2011)
- P801 Armet - Toulon (2020)
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Futurs bâtiments
Résumé
Contexte
Bâtiments en construction ou en cours d'essais
Ce chapitre recense uniquement les bâtiments de plus de 150 tonnes dont la construction est en cours, à l'exclusion des unités planifiées ou commandées mais dont la construction n'a pas encore commencé. La date figurant entre parenthèses après chaque bâtiment correspond à sa date de livraison prévue à la Marine nationale. Cette date est susceptible d'évoluer en fonction des aléas inhérents à chaque programme.
- 3 sous-marins nucléaires d'attaque de classe Suffren :
- SNA De Grasse - S638 (2027)
- SNA Rubis - S639 (2029)
- SNA Casabianca - S640 (2030)
- 8 engins de débarquement amphibie standard[15],[16] :
- EDA-S Dague- L9106 (2024)
- EDA-S Mousquet- L9107 (2024)
- EDA-S Épée- L9108 (2024)
- EDA-S Sabre- L9109 (2024)
- EDA-S Coutelas- L9110 (2025)
- EDA-S Anne-Marie - L9111 (2025)
- EDA-S Rapière - L9112 (2026)
- EDA-S Hallebarde- L9113 (2026)
- 5 frégates de défense et d'intervention :
- FDI Amiral Ronarc'h - D660 (2025)
- FDI Amiral Louzeau - D661 (2026)
- FDI Amiral Castex - D662 (2027)
- FDI Amiral Nomy - D663 (2028)
- FDI Amiral Cabanier - D664 (2029)
- 7 Patrouilleurs hauturiers commandés (succèdera à la Classe d'Estienne d'Orves (PHM Patrouilleur de haute mer) et à la Classe OPV 54 (PSP Patrouilleur de service public))[17],[18]:
- PH Trolley de Prévaux (2026)
- PH D’Estienne d’Orves (2027)
- PH Émilienne Moreau (2028)
- PH Premier maître Yves Nonen (2029)
- PH Commandant Ducuing (2029)
- PH Quartier-maître Anquetil (2030)
- PH Jeanne Bohec (2030)
- 4 patrouilleurs Outre-mer :
- POM Auguste Techer - P781 (2025)
- POM Jean Tranape - P782 (2025)
- POM Philippe Bernardino - P783 (2025)
- POM Félix Éboué - P784 (2025)
- 3 bâtiments ravitailleurs de forces :
- BRF Jacques Stosskopf - A726) (2025)
- BRF Emile Bertin - A727 (2027)
- BRF Gustave Zédé - A728 (2029)
Bâtiments prévus
- 1 porte-avions de nouvelle génération[19]
- 4 sous-marin nucléaire lanceur d'engins de 3e génération[20],[21]
- Corvettes hauturières destinées à remplacer les corvettes de classe Floréal (2 options), 1 prévue d'ici 2030)[22]:
- 3 Patrouilleurs hauturiers prévus (succèdera à la Classe d'Estienne d'Orves (PHM Patrouilleur de haute mer) et à la Classe OPV 54 (PSP Patrouilleur de service public))[18]:
- PH Andrée Borrel (2031)
- PH Île de Sein (2032)
- PH Jacqueline Carsignol (2033)
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Voir aussi
Notes et références
Voir aussi
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