Les Pavillons-sous-Bois
commune française du département de la Seine-Saint-Denis De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Les Pavillons-sous-Bois est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis en région Île-de-France, à environ 10 kilomètres au nord-est de Paris. La commune est officiellement instituée le mais les premières traces d'activité sur son territoire actuel remontent au XVIIe siècle.
La commune des Pavillons-sous-Bois tire son nom des deux pavillons de garde bâtis en 1770 et qui se dressaient à l'entrée du domaine du Raincy. Ces deux pavillons, restaurés, se situent au lieu-dit la Fourche, en bordure de la RN 3.
La commune fait partie de la banlieue nord-est de Paris, elle se situe à 9 kilomètres des boulevards des Maréchaux, et à 12,2 kilomètres au nord-est de la cathédrale Notre-Dame de Paris, centre de la capitale française[1]. Les Pavillons-sous-Bois se trouve à une dizaine de kilomètres de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle[2] et de sa zone aéroportuaire. La ville est proche d'autres pôles économiques importants : Marne-la-Vallée, la Plaine Saint-Denis.
La commune fait partie du pays d'Aulnoye. Elle est entourée par cinq communes, le Raincy au sud-est, Villemomble au sud, Bondy à l'ouest, Aulnay-sous-Bois au nord et Livry-Gargan à l'est[3].
La commune est traversée par la route nationale 3.
L'ancienne ligne des Coquetiers qui reliait Paris-Est et Bondy à Aulnay-sous-Bois faisait un arrêt aux Pavillons-sous-Bois. Depuis novembre 2006, la ligne 4 du tramway reprend le même itinéraire et permet de rejoindre rapidement le RER E à Bondy ou le RER B à Aulnay-sous-Bois. La commune est desservie par deux stations : Les Pavillons-sous-Bois et Gargan. Cette dernière sert de départ ou de terminus à certaines missions et c'est à celle-ci que se trouve le centre d'exploitation de la ligne.
La ville est le terminus de la ligne de bus RATP 105 qui la relie à la gare RER E de Noisy-le-Sec ainsi qu'à la ligne 1 du tramway. Elle est également desservie par la Ligne 4 du tramway.
Par ailleurs, elle est desservie par les lignes de bus 146, 147 et 234, par la ligne 616 du réseau de bus Terres d'Envol, ainsi que par la ligne 8 du réseau de bus Roissy Est et le Noctilien N41.
La commune met à la disposition des résidents, un mini-bus gratuit qui parcourt la ville toutes les cinquante minutes. Il circule de 9 h 20 à 17 h 50 en semaine et de 8 h 40 à 12 h 45 le samedi[4].
La commune est traversée par le canal de l'Ourcq et elle est desservie par le port de la Poudrette.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Au , Les Pavillons-sous-Bois est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Les quartiers :
La ville présente, selon les secteurs considérés, des aspects très divers. Le canal de l'Ourcq et la RN 3 constituent depuis la création de la ville, une double ligne de partage entre la zone nord, longtemps déshéritée, et la zone sud, vouée à l'habitat traditionnel et aux activités urbaines.
Au nord, les projets en cours et les récents aménagements tendent à désenclaver et à réhabiliter ce secteur désormais promis à un essor certain : les berges du canal sont progressivement réhabilitées en espace de loisirs et de promenades ; de nouveaux secteurs pavillonnaires et des voies nouvelles ont été créés ; l'implantation de bâtiments de services publics tels qu'un pôle administratif et une salle multisports sont à l'étude ou en instance de réalisation ainsi que l'installation d'industries non polluantes.
Au sud, l'habitat pavillonnaire traditionnel fort apprécié des Pavillonnais, reste largement majoritaire, malgré la construction d'immeubles collectifs sur plusieurs sites de ZAC décidés par la municipalité précédente.
La ville des Pavillons-sous-Bois a fêté son centenaire en 2005. Elle existe en effet officiellement depuis le , mais on retrouve les premières traces d'activité sur son territoire aux alentours du XVIIe siècle.
La ville des Pavillons-sous-Bois a fêté son centenaire en 2005. Elle existe en effet officiellement depuis le mais on retrouve les premières traces d'activité sur son territoire aux alentours du XVIIe siècle.
Vers 1600, le territoire des Pavillons-sous-Bois n'était qu'une zone marécageuse au sein de l'immense forêt de Bondy, qui avait la mauvaise réputation d'être un repaire pour brigands. Un sentier cavalier reliait le lieu-dit la Fourche au domaine du vieux manoir du Raincy, construit sur les hauteurs. Celui-ci fut détruit lorsque Jacques Bordier, un riche surintendant des finances de Louis XIII, prit possession du domaine et y construisit un somptueux château à la place.
Après que la famille des ducs d'Orléans fut devenue en 1770 propriétaire du domaine du Raincy, deux pavillons de chasse furent bâtis; au lieu dit la Fourche, à l'entrée de l'allée qui reliait le château au Grand Chemin. Ces pavillons étaient alors les seuls constructions du territoire qu'occupe aujourd'hui Les Pavillons-sous-Bois. Ils se trouvent toujours, 235 ans après, à l'intersection de la RN 3 et de l'avenue Jean-Jaurès.
En 1789, le château fut abandonné par la famille des ducs d'Orléans, et le domaine du Raincy vendu en parcelle. Ce n'est qu'en 1815, après les tourments révolutionnaires et le Premier Empire, que la famille d'Orléans reprit possession de la propriété.
Napoléon III confisqua les biens de la famille d'Orléans et les mit en vente en 1852. Jusqu'à la guerre franco-allemande de 1870, le domaine fut petit à petit dépecé. L'ensemble des terrains fut livré aux lotisseurs et, de l'allée majestueuse bordée d'arbres et de jardins, ne resta plus que l'allée centrale dévouée à la circulation publique. Cette allée fut renommée plus tard avenue Jean-Jaurès.
Le château, quant à lui, fut abandonné, détruit et tomba aux mains des pillards. Les pavillons de chasse furent également vendus et des petits commerces s'y installèrent.
Lorsque le Raincy devint une commune en 1869, les bois du domaine furent attribués à celle de Bondy. Des lotissements s'y multiplièrent et un faubourg naquit : « Bondy-Forêt ». Lors de la guerre de 1870, l'armée prussienne stationna plusieurs mois à cette limite. Ceci marqua encore un peu plus la séparation entre le territoire communal de Bondy et celui de la future commune des Pavillons-sous-Bois. La construction par Louis-Xavier Gargan[16] de la ligne des Coquetiers, voie ferrée reliant Aulnay-sous-Bois à Paris amena encore plus de Parisiens sur les lieux et le petit faubourg de « Bondy-Forêt » prit de l'importance. Il n'en fallut pas beaucoup plus pour qu'un esprit séparatiste s'empare de la population de « Bondy-Forêt » qui réclama, dès lors, l'autonomie administrative du faubourg.
La séparation eut lieu en 1905 et différents noms furent proposés pour cette nouvelle ville. Le la ville fut créée[17]. Le conseil général choisit "Les Pavillons-Sous-Bois" plutôt que "Bondy-la-Forêt" ou "Les Pavillons", ceci en hommage aux pavillons de garde et la forêt de Bondy. En eurent lieu les premières élections. 489 personnes s'exprimèrent sur les 644 électeurs représentant les 2 101 habitants de la nouvelle commune[18]. La ville continua à se développer et attira de plus en plus de Parisiens peu fortunés mais attirés par les terrains bon marché et la desserte par la ligne des Coquetiers et par les tramways de la Compagnie générale des omnibus puis de la STCRP. Les Pavillons-Sous-Bois comptaient 3 646 habitants en 1911.
Peu avant la Première Guerre mondiale, les anciennes installations de l'usine de traitement de vidange, situé au nord du canal de l'Ourcq, sur le secteur dit "La Poudrette" disparaissent. Le terrain libéré demeurera longtemps quasi-désertique, posant à la commune un problème majeur de salubrité. Il ne sera définitivement réglé qu'à l'ultime fin du XXe siècle par les travaux d'extension de la zone industrielle environnante et de la création d'une voie nouvelle.
Dans les années qui suivirent, une nouvelle zone industrielle apparut au nord du canal de l'Ourcq grâce à la construction du pont de l'Europe et la rénovation du pont de la Forêt. Pour satisfaire les besoins d'une population croissante, de nouveaux équipements scolaires et sportifs sont construits.
Après la guerre, la ville continua à se développer et dans les années 1960 une nouvelle mairie fut construite ainsi que de nouveaux équipements pour la culture et les spectacles. Un des problèmes récurrent de la ville, l'assainissement des eaux de ruissellement des plateaux du Raincy et de Montfermeil, ne fut résolu qu'à compter des années 1990 avec un programme de travaux d'au moins dix ans.
C'est avec beaucoup de persévérance que les historiens obtiendront le classement des pavillons de chasse au patrimoine historique. La ville a acheté le pavillon Est en 1986 et l'a rénové en 1998. Le second, à l'ouest de l'ancienne allée, a été restauré mi 2009.
La commune est créée en 1905 par démembrement de Bondy[19]
Antérieurement à la loi du [20], la commune faisait partie du département de la Seine. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif au . Rattachée initialement à l'arrondissement de Bobigny, la commune est intégrée à l'arrondissement du Raincy par un arrêté du préfet d'Île-de-France du [21]
Elle faisait partie depuis sa création en 1905 du canton de Noisy-le-Sec de la Seine. Lors de la mise en place de la Seine-Saint-Denis, la ville devient en 1967 le chef-lieu du canton des Pavillons-sous-Bois[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Bondy
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de Seine-Saint-Denis.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[22], à laquelle la commune, qui n'était membre d'aucune intercommunalité, a été intégrée.
Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.
La commune a donc également été intégrée le à l'Établissement public territorial Grand Paris - Grand Est[23].
Lors du second tour de l’élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy est arrivé en tête avec 56,85 % (la moyenne nationale étant de 53,06 %) et Ségolène Royal avec 43,15 % (moyenne nationale 46,94 %)[24].
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste UMP menée par le sénateur-maire sortant Philippe Dallier obtient une large majorité absolue des suffrages exprimés, avec 4 975 voix (82,82 %, 32 conseillers municipaux élus), devançant celle menée par Bernard Deny (PS, 1 032 voix, 17,17 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 46,78 % des électeurs se sont abstenus[25].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste LR - MoDem - UDI - SL menée par la maire sortante Katia Coppi — qui avant succédé en 2017 à Philippe Dallier après sa réélection comme sénateur — obtient une large majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 415 voix (70,46 %, 31 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant les listes menées respectivement par[26] :
- Bernard Deny (DVG, 681 voix, 19,87 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Laurent Violleau (LREM - GÉ - AC, 331 voix, 9,65 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 69,47 % des électeurs se sont abstenus.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1905 | 1908 | Edouart-Charles Philibert | ||
1908 | 1915 | Charles-Armand Ducastel Robillard | SFIO | Ouvrier ferblantier |
1916 | 1925 | Philippe Charlot | SFIO puis SFIC puis USC puis SFIO |
Ouvrier puis entrepreneur de charpenterie |
1925 | 1940 | Eugène Fischer | SFIO puis PSdF-USR | |
1940 | 1944 | Eugène Espinard | ||
1944 | 1945 | Francis Bernard | ||
1945 | 1953 | Célestin Ferré | SFIO | |
1953 | 1956 | Louis Glineur | PSD | |
1956 | 1971 | Marcel Delphien | DVD | |
1971 | janvier 1979[28] | Martial Daire | PS | Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1967 → 1979) Démissionnaire |
1979 | 1983 | Jean Eynard | PS | |
1983 | 1989 | Serge Cantoni | RPR | Inspecteur à la Compagnie générale des eaux |
1989[29] | 1995 | Bernard Portel | PS | Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1992 → 1998) |
1995 | octobre 2017[30] | Philippe Dallier[31],[32] | RPR puis UMP → LR[33] |
Chef de projet en informatique Sénateur de la Seine-Saint-Denis (2004 → 2021[34].) Conseiller général des Pavillons-sous-Bois (1998 → 2004) Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016 → 2017) Vice-président de l'EPT Grand Paris - Grand Est (2016 → 2017) Démissionnaire à la suite de sa réélection comme sénateur |
octobre 2017[35] | février 2023[36] | Katia Coppi[37] | LR | Clerc de notaire retraitée Conseillère générale des Pavillons-sous-Bois (2004 → 2015) Conseillère départementale de Bondy (2015 → 2021) Démissionnaire pour raisons personnelles et familiales |
février 2023[38] | En cours (au 10 février 2023) |
Philippe Dallier | LR | Chef de projet en informatique Ancien sénateur de la Seine-Saint-Denis (2004 → 2021) Conseiller départemental de Bondy (2021 → ) |
Le Conseil municipal des jeunes est composé de trente-cinq enfants de neuf à treize ans élus par d’autres enfants. Les élections sont organisées dans les classes de CE2, CM1, CM2 et 6e de la ville. Ces jeunes conseillers sont répartis en quatre commissions: sport-loisirs-culture, environnement, vie scolaire-sécurité et solidarité. Le CMJ a pour but de favoriser l’implication des jeunes dans la commune et leur permettre d’échanger des idées et de développer des projets. Ces derniers sont votés au cours de séances officielles présidées par le maire des Pavillons-sous-Bois. La commune a ainsi fêté les dix ans d'existence du CMJ[réf. nécessaire].
L'actuelle volonté municipale[Quand ?] de protéger la qualité de vie dans un environnement entretenu et amélioré s'exprime par un nouveau plan d'occupation des sols conçu pour préserver le caractère pavillonnaire de la ville, par un programme suivi de rénovation systématique des voies et des équipements publics, au même titre que la création récente du nouveau conservatoire Hector Berlioz avec son jardin public, et en attente du lancement des travaux de réhabilitation de l'entrée de la ville, dit secteur de la Fourche, à hauteur des pavillons de garde.
Ainsi se trouvent garantis le dynamisme de la ville et la préservation de ce qui fait son originalité en petite couronne de la Seine-Saint-Denis : son caractère de paisible bourgade provinciale, à quelques minutes de Paris.
La commune milite activement pour le tri sélectif. D'autre part, elle lutte contre les graffitis en prenant en charge le nettoyage des équipements publics et privés sur demande.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 24 165 habitants[Note 5], en évolution de +3,46 % par rapport à 2015 (Seine-Saint-Denis : +4,77 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune dépend de l'académie de Créteil.
Elle gère plusieurs écoles primaires[réf. nécessaire] :
Enseignement public :
École maternelle Eugène-Fischer | ||
École maternelle Fontenoy | ||
École maternelle Louise-Michel | ||
École maternelle Marguerite-Léopold | ||
École maternelle Robillard | ||
École élémentaire Julie-Victoire Daubié | ||
École primaire Jean-Macé | ||
École primaire Jules Verne | ||
École primaire Monceau | ||
École primaire Pierre-Brossolette | ||
École primaire Robillard | ||
Collège Anatole-France | ||
Collège Éric-Tabarly | ||
Enseignement privé :
La commune des Pavillons-sous-Bois compte un complexe sportif : le stade Léo-Lagrange ou stade de l'est. Ce complexe se compose de deux terrain de football (un en herbe et l'autre synthétique) et d'un club de tennis, SEP[45].
La ville regroupe quinze médecins généralistes, dix-huit médecins spécialistes, et vingt-huit auxiliaires médicaux. Un centre municipal de santé réunit cinq médecins généralistes, et douze médecins spécialistes. Plusieurs associations offrent une assistance aux personnes âgées et aux enfants polyhandicapés[46]. Six pharmacies sont à la disposition des habitants.
La commune dépend du centre hospitalier Intercommunal du Raincy/Montfermeil et de l'hôpital Jean-Verdier à Bondy.
Les cimetières : ancien cimetière, allée Louis XIV et le nouveau cimetière, avenue de Rome.
La population active de la commune est de 8 949 personnes, dont 1 099 chômeurs (soit un taux de chômage de 12,3 %)[47]. Les artisans, commerçants, chefs d'entreprise représentent 7,2 % de la population active de la ville ; les cadres et professions intellectuelles 11,7 %; les professions intermédiaires 24,9 % ; les employés 34,5 % et les ouvriers 21,8 %.
La ville regroupe plus de cinquante-cinq entreprises dans la zone industrielle de la Poudrette (au nord de la ville) et 1 064 dans toute la ville. Les industries agricoles et alimentaires représentent 1,8 %, les industries des biens de consommation 2,7 %, les industries des biens d'équipement, 1,2 %, les industries des biens intermédiaires 1,4 %. Les entreprises de construction sont au nombre de 181 (soit 17 %), celles du commerce représentent 33,5 %, les transports 6,4 %, les activités immobilières 3,4 %. Les services aux entreprises (11,7 %) et les services aux particuliers (12,1 %) regroupent 23 % des entreprises. Enfin, l'Éducation, la santé, et l'action sociale représentent 8,7 %[47].
La ville dispose de quelques espaces verts :
Classements par années de naissance.
Les armes de la commune Les Pavillons-sous-Bois se blasonnent ainsi : Devise : En avant toujours |
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