Henri Chapu

sculpteur français De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Henri Chapu

Henri Michel Antoine Chapu est un sculpteur et médailleur français, né le au Mée-sur-Seine et mort le dans le 7e arrondissement de Paris[1].

Faits en bref Naissance, Décès ...
Henri Chapu
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Henri Chapu, photographie de Pierre Petit,
Paris, musée d'Orsay.
Biographie
Naissance
Décès
(à 57 ans)
Paris
Sépulture
Nationalité
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Œuvres principales
Greece crowns Byron (d), Bust of Christakis Zographou, Ioannina (d)
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Biographie

Résumé
Contexte
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Léonce de Vogüé
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Léon Bonnat, Autoportrait (1855) , Paris, musée d'Orsay.
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Fronton de la Cour de cassation à Paris.
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Hercule et Mars au repos, château de Versailles.
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Carl Jacobsen (1893) par August Jerndorff (en).

L'enfance

Henri Chapu naît du mariage de Julien Chapu (1811-1869) et de Claire Lecoq (1803-1880), dans la propriété que possède le marquis Armand Pierre de Fraguier (mort en 1841), au Mée-sur-Seine, où ceux-ci sont employés respectivement comme cocher et comme ménagère. Après avoir été placé en nourrice chez des alliés familiaux, successivement à Marcq et à Thoiry[2], à l'âge de dix ans, il est de retour au Mée-sur-Seine pour aussitôt suivre ses parents à Paris lorsque son père devient concierge du marquis Léonce de Vogüé dans son immeuble aujourd'hui disparu du 92, rue de Lille. Les traits de ses parents nous sont connus : ceux de Julien, doublement, par le portrait au pastel réalisé en 1846 par la jeune Ursule de Vogüé (future comtesse Charles-Marie de Bryas)[3] avant qu'ils ne soient fixés par le portrait en médaillon que Chapu lui-même exécutera en 1861[4], ceux de Claire par le portrait sur toile que brossera Pierre De Coninck vers 1861[3].

La formation, le prix de Rome

Après qu'il a fréquenté l'école des Frères, c'est dans la perspective d'aboutir au métier de tapissier par l'apprentissage du dessin qu'il entre à la Petite école, rue de l'École-de-Médecine à Paris, où ses aptitudes lui valent une bourse lui offrant de changer de voie.

Devenu l'élève de James Pradier à partir de 1849 puis, au décès de celui-ci en 1852, de Francisque Duret et Léon Cogniet à l'École des beaux-arts de Paris, il remporte, successivement, en 1851 le second grand prix de Rome en gravure de médaille et pierre fine pour Neptune faisant naître un cheval, en 1853, le second grand Prix de Rome de sculpture pour Le Désespoir d'Alexandre après le mort de Clitus et, en 1855, conjointement avec Amédée Doublemard, le premier grand prix de Rome de sculpture pour Cléobis et Biton, à l'unanimité du jury malgré une mutilation de l'œuvre survenue accidentellement pendant son transport[2].

Il part pour la villa Medicis à Rome en , en même temps que les autres primés qui, outre Doublemart, sont l'architecte Honoré Daumet, le médailleur Alphée Dubois et le compositeur Jean Conte, les haltes lui offrant de visiter Lyon, Avignon, Arles, Nîmes, Marseille, Gênes et Florence[2]. Sur le trajet, il s'initie à la langue italienne et exécute quelques portraits en médaillons de ses camarades. Effectuant deux grands périples, l'un vers le nord (Pise, Sienne, Venise, Padoue, Bologne et à nouveau Florence), l'autre vers le sud (Naples, Baïes, Pouzzoles, le Cap Misène, le lac Lucrin et Pompéi), il se rapproche de Gustave Moreau avec qui il mesure les proportions des sculptures antiques, plus durablement de Léon Bonnat, les Paysages d'Italie qu'il dessine alors et que conservent aujourd'hui le musée Bonnat-Helleu à Bayonne et la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris portant témoignage des promenades qu'affectionnent les deux amis tant dans la ville que dans la campagne et les montagnes environnantes[5]. Chapu reviendra ensuite fréquemment dans la campagne romaine afin de s'y délasser, continuant d'en rapporter « des aquarelles bien écrites »[6]. Après ses deux premiers envois à Paris  Le Christ aux anges en 1857, le Triptolème en 1859 , qui font l'objet de critiques cinglantes de l'Institut, son troisième envoi, Mercure inventant le caducée en 1861, année où au mois d'août s'achève ce premier séjour à Rome, est enfin favorablement apprécié[2].

Les années difficiles

De retour à Paris en , Henri Chapu trouve un « modeste atelier » situé rue de l'Abbaye, dans le 6e arrondissement, acceptant les travaux qui dans l'art industriel (ornements divers) et l'architecture (cariatides et mascarons)  Charles Rohault de Fleury, notamment, fait appel à lui  lui fournissent tant bien que mal une maigre subsistance alimentaire. Son œuvre de 1862-1863 intitulée Beauvais, sur la façade de la gare du Nord à Paris, sera suivie entre autres d'un cartouche cantonné de deux enfants et du médaillon Napoléon Ier ornant la façade de la Cour de cassation[2].

La société des Caldarrosti, qui s'est formée à la villa Medicis vers 1860, continue de grouper fraternellement un groupe d'artistes se rassemblant au cours d'un dîner mensuel qui l'été se déroule à la campagne et où Henri Chapu retrouve des peintres, sculpteurs, architectes ou compositeurs, tous anciens de Rome comme Léon Bonnat, Jean-Baptiste Carpeaux, Jules Chaplain, Pierre De Coninck, Honoré Daumet, Théodore Dubois, Alexandre Falguière, Jean-Paul Laurens, Jules Lefebvre, Charles Lenepveu, Louis Hector Leroux, Constant Moyaux ou Tony Robert-Fleury : de plusieurs d'entre eux il réalise alors des portraits en médaillons. Chapu s'associera également au groupe des Florentins avec Ernest Christophe, Paul Dubois, Alexandre Falguière, Laurent Marqueste, Antonin Mercié et Hippolyte Moulin.

Henri Chapu expose chaque année au Salon à partir de 1863 où la médaille de troisième classe qu'il reçoit pour son Mercure inventant le caducée ouvre la série des récompenses officielles. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en . Après les bustes de Léon Bonnat et Paul Sédille, celui du comte Tanneguy Duchâtel (1803-1867), qui est une commande de sa veuve née Rosalie Paulée et qu'il expose au Salon de 1869, énonce le début de sa célébrité en ce qu'il l'introduit « dans le monde d'amateurs riches et éclairés dont l'estime devait se traduire par d'importantes commandes : peu à peu, le talent devait s'affirmer dans le grand public, et les demandes de bustes (comme Jean Civiale) et de médaillons (comme Alfred Velpeau) devenaient chaque jour plus nombreuses »[2]. Frédéric Le Play, dont il réalise le buste en marbre que conserve aujourd'hui le musée Henri-Chapu au Mée-sur-Seine, lui commande deux cariatides monumentales pour l'Exposition universelle de 1867.

La célébrité

En 1869, Henri Chapu reconstitue dans la cour de Marbre du château de Versailles, « en remplacement de l'ensemble original ruiné » datant de 1679[7], les statues Mars au repos de Gaspard Marsy et Hercule au repos de François Girardon formant, en allégorie de Louis XIV victorieux, l'ensemble décoratif encadrant l'horloge du pavillon central[8].

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Le Monument à Henri Regnault (1876), avec la figure de La Jeunesse, École des beaux-arts de Paris.

Chapu s'engage dans la Garde nationale en 1870, avant que le mandat d'arrêt dont il fait l'objet, à la suite de ses protestations contre le vandalisme subi par les monuments de Paris, ne le contraigne à demeurer caché dans une chambre de l'hôtel de Vogüé jusqu'à l'entrée des troupes versaillaises dans Paris[2].

Sa production, qui devient alors très abondante, est souvent inspirée de l'antique. Il reçoit de nombreux honneurs et distinctions, et devient l'un des sculpteurs les plus sollicités de la Troisième République. Le marbre de sa Jeanne d'Arc écoutant ses voix[9], exposé au Salon de 1872, le révèle au grand public. Cette œuvre dévoile en effet son talent pour rendre des expressions et des sentiments subtils et justes dans une enveloppe idéale. Il est promu officier de la Légion d'honneur le . Le marbre de La Jeunesse, « figure au drapé particulièrement élégant » qui témoigne de l'influence de la Renaissance qui vient s'ajouter à l'idéal des années romaines[10], sculpté pour le Monument à Henri Regnault et aux élèves morts pour la patrie érigé dans la cour du Mûrier à l'École des beaux-arts de Paris, lui vaut l'obtention de la médaille d'honneur au Salon de 1875[11]. Cette œuvre, que Chapu réutilisera maintes fois pour des monuments aux morts[12], connut un grand succès d'édition en bronze par la Maison Barbedienne. Il fait encore mémoire du récent conflit en co-réalisant avec Charles-Arthur Bourgeois le sphinx pour le Mémorial aux soldats français tombés durant la guerre franco-prussien de 1870-1871 du cimetière de Bruxelles[13].

Henri Chapu réalise en 1875, en association avec le médailleur Alphée Dubois, la Médaille du vœu national[14], frappée en l'honneur de la pose de la première pierre de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre[15]. Il épouse Marie Cozette de Rubempré (née en 1847) le [5], dont il avait réalisé le portrait en médaillon en 1861[16]. Il est élu membre de l'Académie des beaux-arts en 1880 au fauteuil no 7 de la deuxième section, et deviendra le président de cette institution en 1889.

Après son séjour à Munich en 1883 dans le cadre de l'Exposition internationale des beaux-arts qui s'y tient, Chapu séjourne plusieurs semaines durant en 1885 à Copenhague sur l'invitation du collectionneur et mécène Carl Jacobsen qui, à Munich, s'est porté acquéreur d'un exemplaire en plâtre de La Jeunesse[17] et qui l'y charge d'exécuter en marbre le buste d'Alexandra, princesse de Galles[18], en même temps que Jean Gautherin est appelé à y réaliser celui de sa sœur Dagmar, future tsarine Maria Feodorovna[2].

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Mgr Augustin David, cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc.

Les œuvres de Chapu ornent de nombreux bâtiments parisiens, notamment l'hôtel de ville, l'Opéra Garnier, le Palais de justice, la gare du Nord, le palais Galliera ou le grand magasin Printemps Haussmann. Quelques statues funéraires lui valent également un grand succès : le Tombeau de Mgr Dupanloup (1886) dans la cathédrale d'Orléans, celui en marbre de Mgr Augustin David dans la cathédrale Saint-Étienne de Saint-Brieuc, et surtout la statue funéraire de la duchesse d'Orléans, sculptée pour la chapelle royale de Dreux ; la jeune femme y est représentée sur son lit de mort, le bras droit pendant.

Une partie de sa production, et en particulier sa Jeanne d'Arc à Domrémy, ainsi que le Buste de Jean-Félix Bapterosses, ont été édités en bronze par la fonderie Barbedienne.

Projets inachevés

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Désiré Fosse, Chemin de croix (1895, détail), d'après les dessins et la maquette inachevée d'Henri Chapu, Notre-Dame-de-Benoite-Vaux.

La Société des gens de lettres lui avait initialement commandé une statue d'Honoré de Balzac. Mais Henri Chapu meurt avant d'avoir pu exécuter son œuvre et n'a laissé que des esquisses et des ébauches de son monument[19]. En outre, il ne réalisera jamais la statue de La Grèce à Byron, qui sera reprise et sculptée par Alexandre Falguière[20], ni même le chemin de croix de l'église Notre-Dame-de-Benoite-Vaux, à Rambluzin-et-Benoite-Vaux, dont il a entamé les dessins en 1889, n'ayant le temps que de dessiner treize des quatorze stations et d'entreprendre une seule maquette[21],[22]. L'artiste est emporté en trois jours par une congestion pulmonaire au cours de la grande épidémie de grippe de 1891 et il meurt dans son domicile parisien du 14, cité Vaneau le [23]. Il est inhumé au cimetière du Mée-sur-Seine.

Le tombeau en marbre de Carrare d'Henri Chapu, commandé par Henri Delaborde, le secrétaire perpétuel de l'Académie des beaux-arts, est orné d’un haut-relief réalisé par son élève Henri-Auguste-Jules Patey, qui réalisa aussi les deux médaillons représentant les parents du sculpteur. La statue du Génie de l'immortalité, réalisée en 1880 pour la sépulture de Jean Raynaud, orne également le tombeau. Celui-ci sera inauguré en 1894[24].

Œuvres dans les collections publiques

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Sadi Carnot, musée des beaux-arts et d'archéologie de Châlons-en-Champagne.
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Pluton, parc du château de Chantilly.
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Monument aux frères Galignani, Corbeil-Essonnes, place Galignani.
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Frédéric Le Play, buste en marbre, musée Henri-Chapu, Le Mée-sur-Seine.
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Jeanne d'Arc, médaillon, église Saint-Aspais de Melun.
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La Pensée, tombe de Marie d'Agoult, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
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Ferdinand Barbedienne, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
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Le Génie du Patriotisme ranimant la France, tombe d'Adolphe Thiers, Paris, cimetière du Père-Lachaise.
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Monument à Urbain Le Verrier, observatoire de Paris.
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Monument à Berryer, palais de justice de Paris.
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Adolphe Thiers, buste en marbre, Paris, palais du Luxembourg.
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Les Saisons, Paris, Printemps Haussmann.
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Les Lettres, Paris, Sorbonne.
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Orant du cardinal de Bonnechose, cathédrale Notre-Dame de Rouen.
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Monument aux morts, Saint-Yrieix-sous-Aixe.
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Buste de Jean-Félix Bapterosses.
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Monument funéraire Morgan, Springfield.

Belgique

Danemark

États-Unis

France

Italie

Royaume-Uni

Suède

Collections privées référencées

Œuvres non localisées ou disparues

  • Le Désespoir d'Alexandre après la mort de Clitus, 1853, second prix de Rome, localisation inconnue.
  • Vienne, hôtel de Nathaniel de Rothschild : fontaine, 1879, œuvre disparue[89].

Galerie

Réception critique

  • « L'auteur de la Jeunesse[40], écrivit une critique à propos de cette délicieuse création, s'est fait une spécialité de la sculpture funéraire. L'idéal, quand on veut laisser une trace d'immortalité, consiste à être ensépulturé par Chapu. Il semble, en effet, qu'aucun genre ne convienne mieux à la tendresse émue de son talent. Chapu y trouvera encore l'occasion de nombreux chefs-d'œuvre. » - Octave Fidière[2]
  • « Auprès des figues palpitantes de passion de Carpeaux, les ouvrages de Chapu, inspirés de l'antique et pourtant si modernes, ne perdent rien de leur charme délicat et discret. La Jeanne d'Arc à Domrémy, la Jeunesse, du monument de Regnault, restent parmi les chefs-d'œuvre dont peut s'enorgueillir la sculpture du XIXe siècle. » - Maurice Demaison[90]
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Tombeau de Félix Dupanloup, cathédrale Sainte-Croix d'Orléans.
  • « Au lendemain de la proclamation de la IIIe République, un nouveau style républicain, laïque et patriotique surgit du macadam. Essentiellement bourgeois et toujours rétrograde, chargé de lourds symboles, il se veut le héraut du progrès. Ce style, où l'emphase le dispute à la naïveté, n'est pas dépourvu d'intérêt et il n'est pas exclu que, dans un avenir assez proche, on rende justice au talent de Barrias ou de Chapu. Certaines de leurs sculptures telles l'Électricité ou la Vapeur sont remarquables par le génie qu'ils eurent - mêlant les symboles aux appareils techniques - de réaliser des œuvres d'une originalité aussi belle sur le plan plastique que singulière par la composition. » - Maurice Rheims[91]
  • « L'un des meilleurs représentants de la sculpture française des années 1860-1890, génération qui s'émancipe enfin de l'autorité de l'antique, mais demeure respectueuse des maîtres. Si le Prix de Rome lui ouvre, comme à Carpeaux, Falguière et Barrias une carrière officielle dès son retour à Paris en 1861, comme Carrier Belleuse, il éprouve pour la Renaissance un attrait que révèlent, sous des aspects différents, la silhouette bellifontaine de la Jeunesse ou le tombeau monumental de Mgr Dupanloup de caractère plus florentin ; comme Carpeaux et Dalou, et peut-être à cause de la formation qu'il a reçue comme eux à la Petite École, il admire les grandes figures de l'art baroque romain ou versaillais. Leur leçon restera sensible tout au long de son œuvre. » - Antoinette Le Normand-Romain[92]
  • « La France du XIXe siècle fut passionnée par la figure de Jeanne d'Arc, héroïne historique et mythifiée qui participa du fort mouvement nationaliste, volontiers antibritannique, de la seconde moitié du XIXe siècle. Henri Chapu, sculpteur classique qui sut explorer la voie d'un naturalisme sincère et élégant, ne choisit pas de représenter la vierge guerrière en armure, mais la bergère lorraine entendant les voix qui lui demandent d'aider le roi à libérer le royaume. Présenté au dernier Salon du Second Empire, en 1870, le plâtre fut transcrit en marbre en 1872 et connut un succès considérable : l'annexion de l'Alsace et de la Lorraine, après la défaite de Sedan, avait fait de Jeanne d'Arc un emblème national et une véritable sainte laïque, bien avant sa canonisation par le Vatican en 1920. La sculpture de Chapu fut l'une des plus célèbres images de Jeanne d'Arc en France, diffusée dans toutes les dimensions et tous les matériaux bien après 1900 ; cette statue est particulièrement chère au cœur des Melunais car, en 1429, venue inspecter les remparts de la ville récemment libérée, Jeanne y aurait entendu ses voix l'avertir qu'elle serait bientôt faite prisonnière, qu'elle devrait accepter l'épreuve et que Dieu lui apporterait son aide, épisode rapporté dans les pièces de son procès. Le , une copie en marbre est inaugurée dans le square Henri-Chapu. » - Pascal-Raphaël Ambrogi et Dominique Le Tourneau[39]

Récompenses et distinctions

Expositions

Expositions collectives

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Le musée Henri-Chapu au Mée-sur-Seine.

Expositions personnelles

Élèves et collaborateurs

Résumé
Contexte

« Ne rêvez pas de trop grandes choses, disait Henri Chapu à ses élèves, un objet de petite importance, mais bien et solidement exécuté, peut faire plus pour votre réputation qu'une œuvre plus ambitieuse rendue de façon insuffisante. Une petite monnaie grecque contient plus d'art que le groupe du Taureau de Dircé »[2]. Il a été professeur à l’Académie Julian à Paris[96] où, parmi d'autres, il a eu pour élèves :

Iconographie

Notes et références

Annexes

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