À l'École normale, il fonde la revue Avancées cinématographiques. Il publie à l'âge de 22 ans son premier article dans les Cahiers du cinéma lors de la mort de François Truffaut[2].
Il écrit ensuite de nombreux articles et ouvrages sur le cinéma français, en particulier sur Truffaut, Godard et sur l'histoire des Cahiers du cinéma, dont il a été le rédacteur en chef de 1996 à 1998.
Il est, de 2001 à 2006, rédacteur en chef des pages culture du journal Libération[2]. À partir de 2007, il collabore au journal en ligne Rue89[2].
À partir de 2015, il écrit dans la revue en ligne Délibéré, où il publie «Degré zéro»[6], une chronique consacrée à la marche et à l'exploration de la ville (Paris puis New York).
Vie privée
Antoine de Baecque a deux filles, Louise et Suzanne. L’aînée, Suzanne de Baecque, est comédienne[7].
Ouvrages sur l'histoire
La Caricature révolutionnaire, Presses du CNRS, 1988.
La Révolution à travers la caricature, Éditions Solar, Paris, 1989.
Le Corps de la Révolution: la souveraineté, le récit et le rituel politiques étudiés à travers leurs représentations corporelles (de l'Ancien Régime à la Révolution française), 1992, 2 vol. (712 f.-[12] f. de pl.) Thèse de doctorat: Histoire, Paris 1, 1992, sous la dir. de Michel Vovelle[8].
Le Corps de l'Histoire: métaphores et politique (1770-1800), Calmann-Lévy, 1993.
Le Bestiaire imaginaire (album d'exposition[11]), avant-propos de Marc Francina, introduction de Caroline Bouchard, texte d'Antoine de Baecque; Paris, Skira-Flammarion / Palais Lumière, 2010
Antoine de Baecque et Gabrielle Lucantonio, Petite anthologie des Cahiers du cinéma. 50 ans de cinéma américain dans les Cahiers du cinéma I,, Paris, Cahiers du cinéma, , 254p. (ISBN978-2-86642-290-5).
Exposition présentée sous le titre: «Le bestiaire imaginaire, l'animal dans la photographie, de 1850 à nos jours», Évian, Palais Lumière, du 9 octobre 2010 au 16 janvier 2011.
François Albera, François Amy de la Bretèque, Laurent Le Forestier et Michèle Lagny, «Dialogue avec Antoine de Baecque sur l’Histoire-caméra», 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, no60, , p.8-31 (lire en ligne).