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Ah! My Goddess (ああっ女神さまっ, Aa! Megami-sama! ) est un manga de Kōsuke Fujishima. Il a été prépublié entre et avril 2014 dans le magazine mensuel Afternoon de l'éditeur Kōdansha, il est compilé en 48 tomes. La version française parait à partir de 1996 dans le magazine Manga Player puis est éditée par Pika Édition à partir de 2001, 48 tomes sont sortis au . La version française n'est plus imprimée depuis le 1er juillet 2021[1], sa commercialisation ne se faisant plus qu'en version numérique. Le manga a reçu le prix du manga Kōdansha en 2009 dans la catégorie « général »[2].
Type | Seinen |
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Genres | Comédie, romance, fantastique |
Auteur | Kōsuke Fujishima |
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Éditeur | (ja) Kōdansha |
(fr) Pika Édition | |
Prépublication | Afternoon |
Sortie initiale | – |
Volumes | 48 |
Réalisateur |
Hiroaki Go-da |
---|---|
Scénariste |
Kunihiko Kondo Nahoko Hasegawa |
Studio d’animation | AIC |
Compositeur |
Takeshi Yasuda |
Licence | (fr) Tonkam |
Durée | 153 min |
Sortie |
– |
Épisodes | 5 |
Réalisateur |
Hiroko Kazui Yasuhiro Matsumura |
---|---|
Studio d’animation | Oriental Light and Magic |
Licence | (fr) Kazé |
Chaîne | WOWOW |
1re diffusion | – |
Épisodes | 48 |
Réalisateur |
Hiroaki Go-da |
---|---|
Producteur |
Seiichi Horiguchi Kinya Watanabe Tsuyoshi Yoshida |
Scénariste |
Michiko Yokote Yoshihiko Tomizawa |
Studio d’animation | AIC |
Compositeur | |
Licence | (fr) Kazé |
Durée | 105 minutes |
Sortie |
|
Réalisateur |
Hiroaki Go-da |
---|---|
Studio d’animation | AIC |
Compositeur | |
Licence | (ja) Bandai Visual |
(fr) Kazé | |
Chaîne | TBS, BS-1 et HBC |
1re diffusion | – |
Épisodes |
Saison 1 : 26 (24 + 2 OAV) |
Auteur | Yumi Tōma |
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Illustrateur |
Kōsuke Fujishima Hidenori Matsubara |
Éditeur | (ja) Kōdansha |
Sortie |
C'est également une suite dérivée du précédent seinen manga de Kousuke Fujishima, Taiho Shichauzo (Équipières de choc en version française), les deux histoires bien qu'elles ne soient pas directement liées, se passant dans le même univers.
Ah! My Goddess a ensuite connu plusieurs adaptations en anime (OAV, film d'animation et séries télévisées) ou encore en light novel. La version française des adaptations animées est éditée par Kazé.
Keiichi Morisato, jeune étudiant en galère fréquentant l'Université de Technologie de Nekomi[3], n'a pas vraiment de succès dans la vie. Après avoir composé un mauvais numéro sur le téléphone de la pension pour garçons où il réside, une déesse nommée Belldandy se rend soudainement chez lui : elle se révèle à lui et explique qu'elle peut lui exaucer n'importe quel vœu, mais un seul, car il a le profil idéal pour obtenir ce vœu, ce grâce à la gentillesse et au courage dont il fait preuve malgré sa mauvaise fortune. Keiichi, croyant qu'il s'agit d'une blague de ses senpai, souhaite alors que Belldandy reste auprès de lui pour toujours : le souhait lui est accordé, à sa grande surprise, et Belldandy va donc rester vivre avec lui sur Terre.
Mais bien vite viendront s'ajouter les sœurs de Belldandy : celles-ci mettront en œuvre chacune de leur côté des plans, l'une pour rapprocher davantage Keiichi et Belldandy (Urd, l'ainée qui souhaite les voir réunis mais est facilement frustrée par la lenteur avec laquelle se développe leur relation) et l'autre pour les tenir éloignés (Skuld, la cadette qui désire un amour exclusif de sa grande sœur qu'elle adore). Évidemment, rien ne restera paisible car Belldandy est une déesse. Keiichi devra protéger ce secret, car si on venait à le découvrir ils seraient séparés : la Force d'Imposition entrerait alors immédiatement en action et causerait les circonstances (voire des problèmes) nécessaires pour qu'ils se retrouvent.
Toutefois, il n'est pas impossible pour un homme et une déesse de s'aimer...
Keiichi Morisato (
Belldandy[5] (ベルダンディー, Berudandī ) / Bell (ベル, Beru ) (surnom ; manga et version anglaise de la série animée)
Urd (ウルド, Urudo ) / Uld (retranscription erronée[7] dans le manga)
Skuld (スクルド, Sukurudo )
Peorth (ペイオ―ス, Peiōsu )
Megumi Morisato (
Sayoko Mishima (
Toshiyaki Aoshima (
Shiho Sakakibara (
Toraichi Tamiya (
Hikozaemon Ōtaki (
Sora Hasegawa (
Takami Imai (
Aoyama(-senpai) (
Kondou (
Satoko Yamano (
Suzuki (
Watanabe (
Ogura (
Professeur Kenji Kakuta (né Tobita) (
Professeur Ōsawa (
Chihiro Fujimi (
Le gardien du temple / M. le Bonze (version française) / Koshian (
Sentarou (
Shouhei (
Lind (リンド, Rindo )
Le fantôme[39] terrien/tellurien de troisième classe (
Troubadour « le Barde/l'Esprit du prunier » (トルバドール, Torubadōru )
Marller (マーラー, Mārā ) / Maleurr (version française du manga)
Le (Grand) Roi de la Terreur (恐怖の大魔王, Kyoufu no Daimaou ) / Le (Grand) Roi des Ténèbres (en tant qu'entité et réincarnation masculine ; version française du manga) / La (Grande) Reine des Ténèbres (en tant que réincarnation féminine ; version française du manga)
Senbē (魔神千兵衛, Majin Senbē ) / Le Lamounet[46] des Enfers (surnom ; version française du manga) / Jean « Calamity John » Lamounet (identité et surnom autoproclamés[47] ; version française du manga)
Hild (ヒルド, Hirudo )
Banpei RX (
Chieko Honda (
Les « Ninja Masters » (ニンジャマスター, ninja masutā , de l'anglais pour « maître ninja ») / Les Petites Ninjas[62] (yonkoma ; version française du manga)
Le Tout‑Puissant (
Gēnosuke Morisato (
Welsper (ヴェルスパー, Verusupā )
Ansuz (アンザス, Anzasu )
Sigel (シーグル, Shīguru )
Monsieur Rat (version française) / Albert Martin[75] (identité réelle ; version française)
Gan (
Hijiri (聖 )
Eir et Saga (エイル & サーガ, Eiru to Sāga )
Celestin (セレスティン, Seresutin )
Morgan (モルガン・ル・フェ, Morugan ru Fe )
Au sens figuré, la Terre, et par extension, l'Univers connu des Humains et dans lequel ils existent. Il est constitué de moins de dimensions que celui des divinités et des Démons, ce qui oblige ces derniers à déployer certaines ressources (notamment énergétiques) pour pouvoir y exister sous une forme anthropomorphique, et la maintenir.
Monde du protagoniste, lui‑même humain, il est le lieu majeur de l'histoire, la sororité des déesses principales (dont son âme sœur Belldandy) s'y installant avec lui.
À l'insu de pratiquement tous les Humains (exception faite du protagoniste), il est le théâtre ainsi que motif d'une lutte de pouvoir et d'influence entre divinités et Démons, parfois pour l'âme ou le destin des Humains, parfois pour la Terre elle‑même, ou simplement par antagonisme naturel entre les deux espèces qui, malgré un statu quo relatif établi entre eux afin d'empêcher toute nouvelle guerre ouverte (aux conséquences destructrices), s'autorisent à interférer (ou nuire, dans le cas des Démons) les uns contre les autres, parfois par le biais (généralement inconscient) des Humains eux‑mêmes.
Le personnage de Belldandy est partiellement inspiré d'un autre personnage, également deutéragoniste, du précédent seinen manga de Kousuke Fujishima : Miyuki Kobayakawa, de Taiho Shichauzo (Équipières de choc en version française).
La présentation de Miyuki comme « déesse » dans une publicité révélatrice pour T‑shirt de sa propre œuvre, et également son apparition en tant que telle dans un yonkoma de son propre manga, établissent le lien annoncé entre les deux œuvres de Fujishima qui, bien qu'elles ne soient pas directement liées, se passent dans le même univers (faisant d’Ah! My Goddess une suite dérivée d’Équipières de choc).
Ville où résident les protagonistes, il s'y passe l'essentiel de l'histoire.
Elle est située dans la préfecture de Chiba (région du Kantou, sur l'île japonaise d'Honshū).
C'est une ville fictive dont le nom et l'université sont inspirés de toponymes locaux, « Nekomi » étant dérivé d'une autre prononciation de Nekozane (猫実 , littéralement « vrai/réel chat »), dans la ville d'Urayasu (même préfecture, abritant notamment le Tokyo Disney Resort).
Commune portuaire et centre urbain où se déroule l'affrontement titanesque des déesses contre le Grand Roi de la Terreur après le réveil de Fenris.
Elle est située dans la même préfecture que Nekomi.
C'est une commune de la capitale homonyme de la préfecture qui se partage entre les arrondissements d'Hanamigawa et Mihama. Elle donne son nom (幕張) à certains toponymes locaux, et accueille certains complexes et monuments emblématiques comme le Chiba Marine Stadium (qui apparaît implicitement dans l'histoire en tant que théâtre des affrontements).
Ville d'origine du protagoniste, sa sœur cadette débarque un beau jour de province chez Belldandy et lui, le temps d'intégrer leur université et trouver un appartement. C'est une ville septentrionale du Japon située sur l'île d'Hokkaidou, dont la région est habituée au climat froid et hivernal.
La sororité divine y passe temporairement du temps lorsque la dirigeante des Enfers Hild voyage avec elle dans le passé du protagoniste, afin d'empêcher sa rencontre avec les déesses et son idylle présente avec l'une d'entre elles.
Kushiro est la capitale de la sous‑préfecture homonyme du sud‑est d'Hokkaidou, la plus septentrionale des quatre îles principales de l'archipel du Japon. Le nom de la ville (釧路), originaire de l'aynu, se traduit littéralement « route/chemin du bracelet » mais, il y a plusieurs hypothèses concernant sa signification réelle (« rivière que l'on ne peut pas franchir », « passage », « obscurité »). Celui de l'île (北海道), quant à lui, signifie littéralement « voie/chemin de la Mer du Nord ».
Situé dans un monde en dix dimensions (contrairement à ce que pourrait laisser penser son nom), c'est le lieu d'origine et de résidence des divinités, entités anthropomorphiques aux pouvoirs, longévité et capacités surhumains (et dont est originaire la sororité des déesses principales de l'histoire), depuis lequel ils administrent et veillent au bon fonctionnement du système Yggdrasil, comparable à un système informatique qui régit les lois physiques de l'Univers (et donc, du monde des Humains).
Dans sa structure hiérarchique et sociétale, il est très administratif et comparable à une entreprise : il est dirigé par un unique Daitenkaichou (大天界長 , dirigeant suprême ou, plus exactement, directeur général du Monde Céleste), le Tout‑Puissant (en l'occurrence Tyr, le père biologique de la sororité principale de l'histoire), et son épouse éventuelle (dans le manga, Ansuz, la mère de la sororité, deux biologiquement et une par adoption). Les tâches courantes sont déléguées à des instances qui, aidées du système Yggdrasil qui régit aussi leurs pouvoirs, assurent le bon fonctionnement de la société ainsi que le respect des règles et des lois (néanmoins, toujours sous l'autorité inaliénable du Tout‑Puissant, dont la puissance effective est reconnue et les décisions, hormis circonstances contextuelles, incontestables et irrévocables). La sécurité et la confidentialité des informations secrètes relèvent des « confidences supérieures » et sont également assurées par le système qui impose à la divinité au fait de l'information concernée un « empêcheur », et qui comme son nom l'indique, l'empêche de la divulguer (par exemple, en la frappant de mutisme si et quand elle essaie de la révéler verbalement)[85].
Il est comparable à un monde des dieux cosmogonique, voire au Paradis.
Comparable à un système informatique, il régit les lois physiques de l'Univers (et donc, conjointement avec les instances divines et le Tout-Puissant, du bon fonctionnement sociétal du Monde Céleste) et dispense aux divinités détentrices du permis requis, l'autorisation effective d'user de leurs pouvoirs.
Le Monde Céleste dépendant entièrement d'Yggdrasil, son bon fonctionnement est indispensable, autant individuellement pour qu'une divinité puisse se servir effectivement et efficacement de ses pouvoirs (dont la source en énergie est prodiguée après épuration par le système via leurs sceaux faciaux personnels, qui réceptionnent et canalisent cette énergie à l'instar d'un logiciel), que collectivement, ses dysfonctionnements éventuels (généralement provoqués par des créatures lagomorphes arachnoïdes écervelées nommées « bogues ») pouvant générer des anomalies aléatoires et imprévisibles dans l'espace-temps. Une équipe minimale de déesses requises est en permanence chargée de sa surveillance ainsi que de sa maintenance (qui font partie des attributions de la majorité des déesses protagonistes).
Comparable à un service d'accueil téléphonique, il sert à gérer la bonne (ou mauvaise) fortune des Humains, qui ont individuellement une inclinaison naturelle à la chance ou la malchance selon l'influence et l'interaction de leur bonne (ou mauvaise) étoile, avec les autres astres sur leur existence : selon le principe du karma, la nature des intentions et actions individuelles du concerné rentre aussi en ligne de compte dans les conséquences de ses aléas existentiels.
Le système Yggdrasil fait office d'aléa et de « bureau de tri » pour les déesses en jugeant au cas par cas : le Bureau réceptionne alors les « appels » éventuels concernant le désir ou souhait d'un Humain particulier et, si le système Yggdrasil le valide, une déesse désignée (qu'elle soit ou non membre du Bureau) exauce à titre individuel son vœu après une visite personnelle et une formulation explicite du souhait de la part de l'Humain. Si cela s'avère nécessaire pour maintenir effectif le bon déroulement du vœu (selon sa nature), la Force d'Imposition, une force ou un phénomène intangible et omnipotent généré par Yggdrasil, agit sur les aléas de l'existence des Humains, que son action soit passive (effet causal) ou active et génératrice de perturbations (réaction en chaîne, problème, « accident », catastrophe...).
La déesse principale de l'histoire, ainsi que sa « rivale », sont membres de ce Bureau (toutefois, de bureaux concurrents) : chacune leur tour, elles reçoivent un jour un « appel » du protagoniste humain, Keiichi Morisato (qui contre toute probabilité, contacte accidentellement — et par deux fois — leur service en composant un mauvais numéro) et, ignorant la méprise, se présentent personnellement à lui l'instant d'après pour lui exaucer un souhait.
Entre divinités (et par extension, entre Démons), une distinction hiérarchique est faite selon le niveau et la nature des pouvoirs de l'individu[86], ainsi que sa capacité à les contrôler.
Le statut d'une divinité est officiellement reconnu dans le Monde Céleste par l'obtention d'un permis symbolique offrant certaines prérogatives (mais aussi certains devoirs) selon le type et pouvant être, à l'instar d'un système administratif humain, retiré provisoirement sur décision des instances en cas de faute ou d'enfreinte des règles (par exemple, le mensonge qui n'est pas toléré de la part d'une déesse).
En dehors d'une faute dont la gravité ou la récidive, soit vaudrait un retrait définitif, soit dépasserait la question dudit permis, il est possible (et implicitement obligatoire) pour la divinité de le récupérer après avoir effectuée une formation à durée variable selon le type (un stage dans le cas d'une formation courte), afin de le valider à nouveau et retrouver ses précédentes prérogatives.
Le retrait de son permis est une punition généralement très mal vécue par la divinité qui le subit, car rester en sa possession est nécessaire pour être capable (aussi bien réglementaire qu'effective) de se servir de ses pouvoirs, qui dépendent d'Yggdrasil et sont dans le même temps suspendus avec effet immédiat : la plupart des divinités ne sachant par habitude se débrouiller sans pouvoirs à l'instar des Humains, s'en retrouverait fortement handicapée, voire incapable et inutile.
Situé dans un monde en dix dimensions, c'est le lieu d'origine et de résidence des Démons, entités anthropomorphiques aux pouvoirs, longévité et capacités surhumains (et dont est originaire l'une des déesses principales de l'histoire).
Les détails sur ce monde et son fonctionnement sociétal ne sont pas bien connus, cependant il semble similaire sur certains points fonctionnels au Monde Céleste, par exemple par le système de classification hiérarchique. Il est dirigé par un unique Daimakaichou (大魔界長 , chef suprême des Enfers), en l’occurrence Hild (mère biologique de la fille aînée de la sororité divine principale). La hiérarchisation toutefois, s'établit explicitement sur la puissance et la domination, Hild étant crainte et reconnue comme le Démon le plus puissant (aussi bien auprès de ses semblables que des divinités) et les Démons obéissant généralement à un Démon d'une puissance supérieure, à l'instar d'un subalterne.
Il est comparable à un monde des démons cosmogonique, voire à l'Enfer.
Ce monde et ses habitants n'existent qu'à titres informel et hypothétique dans la première adaptation sérielle en OAV, n'ayant pas été introduits dans l'histoire.
Ah! My Goddess est une œuvre qui puise librement son inspiration dans le bouddhisme et le shintoïsme, mais aussi et surtout dans les cultures, mythes et légendes (essentiellement, la mythologie nordique).
Les trois déesses principales de l'histoire sont des Nornes[89] (inspirées des trois homologues de la mythologie) :
En plus de ces trois dernières, il existe dans la mythologie de nombreuses autres Nornes, qui arrivent lorsqu'une personne naît afin de fixer son avenir. Ces Nornes peuvent être bienveillantes ou malveillantes : elles étaient considérées responsables respectivement des événements heureux ou malheureux de la vie.
Le nom donné à la catégorie de déesses guerrières d'élite de la Division de Combat du Monde Céleste dont fait partie Lind. Bien qu'elle n'en soit pas formellement une, Belldandy est tacitement une Valkyrie elle aussi, possédant le diplôme requis pour être reconnue comme telle.
Dans la mythologie les Valkyries, vierges guerrières au service d'Odin, sont des divinités mineures faisant partie des Dises, comparables aux Nornes et associées à la mort et la déchéance.
Revêtues d’une armure, elles volent, dirigent les batailles, distribuent la mort parmi les guerriers et emmènent l’âme des héros tombés au combat au Valhalla, le grand palais d’Odin, afin qu'ils deviennent des Einherjar.
Dans la mythologie, Yggdrasil est l'arbre qui soutient le monde (ou Arbre du Monde) auprès duquel veillent les trois Nornes. Sur lui reposent les Neuf Royaumes de la cosmogonie nordique :
Dans l'histoire (appelé au début « Jugdrashil » dans l'édition française du manga à cause d'une faute de retranscription dans la romanisation[91]), il a sensiblement la même fonction mais se présente sous la forme d'un système informatique, qui régit les lois physiques du monde des Humains (avec entre autres, la Force d'Imposition) et que les déesses doivent maintenir en état de marche : un dysfonctionnement du système (par exemple, dû à une présence excessive de bogues) peut en altérer l'espace-temps par des phénomènes aléatoires et imprévisibles. Urd est chargée de son administration, Peorth de sa supervision et Skuld en chasse les bogues.
Ansuz, la mère de Bellandy et Skuld épouse de Tyr (le Tout-Puissant), et par là même dirigeante céleste, tire son nom du proto-germanique, de la rune ancienne du même nom ᚨ (« dieu, divinité ») associée aux Ases, l'un des trois groupes de divinités du panthéon nordique.
Le nom de la déesse Peorth vient de la rune ᛈ nommée Perþō/Perthō (en proto‑germanique) ou Peorð/Peorth (en anglo‑saxon), qui évoque l'idée de hasard et de destin. En outre, il est associé aux Nornes dans la mythologie. Dans l'édition italienne, Peorth est nommée comme Péitho, Océanide de la persuasion.
Il en est de même pour l'automate Sigel, dont le nom vient de la rune ᛊ (forme ancienne) ou ᛋ (forme anglo-saxonne et scandinave), nommée Sōwilō (en proto‑germanique) ou Sigel (en anglo‑saxon), et désignant la personnification nordique du Soleil, Sól (qui est également le nom de la rune en vieux norrois).
Le véritable nom du Tout‑Puissant, le père de la sororité principale, est associé à la rune anglo-saxonne ᛏ (Tir en anglo‑saxon) ainsi qu'aux scandinaves ᛏ et ᛐ (Týr en vieux norrois).
Dans le deuxième volume[92] du manga et la série animée, Belldandy raconte qu'un jour où elle tomba sévèrement malade, Urd était partie à la hâte lui chercher un remède (avant d'oublier son but initial en chemin) en chevauchant un imposant destrier à huit pattes (perdant dans le manga les trois jours qui suivent à essayer de le maîtriser, à s'amuser de la chevauchée dans la série animée ; tandis que quelqu'un d'autre aura entretemps rapporté le médicament à sa place).
Cet animal fabuleux (dont le nom est à cause de la romanisation, traduit à tort « Sleipnile » et « Slapeneal »[93] dans l'édition en version française) n'était autre que Sleipnir, le cheval de la mythologie capable de se déplacer au-dessus de la mer comme dans les airs : réputé comme le plus rapide et « le meilleur de tous les chevaux », il devient le destrier d'Odin.
Il apparaît brièvement sur Terre à la suite d'un bogue généré par une défaillance du système divin : dans le manga, il arrive à la suite de Skuld par un portail dimensionnel, et par lequel il repart derechef[94] ; dans la série animée, il prend physiquement la place du side-car de Keiichi alors qu'il était installé dessus, et l'embarque dans une course folle.
Dans le sixième volume[95], Fenris et Midgard sont un virus et un antivirus sous formes respectivement, d'un loup géant (pouvant démesurément grandir dans la série animée) et de serpents géants entortillés.
Fenris ressemble assez bien à sa figure mythologique, le fils lupin de la fratrie issue du dieu malin Loki et de la géante Angrboda censé jouer son rôle dans le Ragnarök (apocalypse prophétique de la mythologie) en se libérant de sa captivité et dévorant le dieu des dieux Odin, grandissant démesurément au cours de son existence et présenté dans l'Edda de Snorri comme si gigantesque que sa gueule peut engloutir le monde.
Midgard quant à lui, tire son nom du monde du milieu ou monde habité par les Humains, l'un des Neuf Mondes de la cosmogonie nordique, et se confond dans son inspiration pour son lien avec le frère de Fenris : Jörmungandr, serpent de mer géant habitant la mer encerclant Midgard et surnommé également Midgardsorm (« serpent de Midgard ») car comme son frère, il grandit à en devenir gigantesque, au point dans son cas d'encercler à son tour le monde à s'en mordre lui-même la queue.
Dans l'histoire[96], Garm qui se présente lui-même comme « le Chien des Enfers » et « le Chien terrible du Nivelheim[97] », est involontairement invoqué au temple Tariki Hongan par Shiho Sakakibara, qui croyait invoquer la kuṇḍalinī. Offensé d'avoir été appelé inutilement, il attaque les protagonistes. Décrit comme très puissant par Belldandy, il est cependant repoussé puis vaincu en un éclair par elle dans une explosion réflexe de sa puissance déclenchée par sa jalousie incontrôlable, qu'Urd provoque dans ce but en mettant en scène sous son nez Keiichi dans une situation tendancieuse avec Shiho.
Il est fidèle à son homologue mythologique, chien des Enfers qui est enchaîné à Gnipahellir et garde l'entrée, selon les sources, d'Helheim ou de Niflheim. Il est comparable en plusieurs points au loup géant Fenrir.
Hild, la mère d'Urd, est dans l'histoire la dirigeante suprême des Enfers, équivalent démonique du Tout-Puissant pour le Monde Céleste.
Du point de vue mythologique, elle semble partager son inspiration entre deux figures distinctes : Hildr (« bataille » en vieux norrois), une Valkyrie ayant le pouvoir de ramener à la vie les morts sur le champ de bataille et liée à la saga mythologique éponyme (personnifiant la notion de bataille perpétuelle, ou sans fin) ; et Hel, déesse guerrière et sœur de Fenris et Jörmungand qui régit le monde des morts homonyme. Bien que l'origine étymologique du nom de cette dernière désigne plutôt ce qui est « caché », il est devenu au fil du temps le mot courant pour « enfer » dans les langues germaniques.
C'est ainsi qu'est appelée dans l'histoire, l'arme de tir ultime d'Yggdrasil invoquée par Peorth.
Dans la mythologie, Gungnir est la lance fabuleuse d'Odin.
Il s'agit de son attribut le plus célèbre : il ne peut pas être arrêté pendant son jet, ne rate jamais sa cible et revient à la main du lanceur.
Il s'en équipe entre autres durant le Ragnarök (fin du monde prophétique nordique), à son affrontement funeste contre le loup géant Fenris.
Dans l'histoire, Lind est une Valkyrie, guerrière d'élite de la Division de Combat du Monde Céleste.
Dans la mythologie, Rindr serait, selon les sources, une géante ou la fille du roi Billingr, ainsi que la dernière des quatre conquêtes d'Óðinn avec Frigg, Jǫrð et Gríðr. Enchantée par le dieu, elle est par son viol la mère de Váli.
Le concept du Monde Céleste et des Enfers régis respectivement par un unique Dieu (littéralement appelé « Tout‑Puissant ») et un Seigneur démonique, les caractéristiques et hiérarchies théologiques des divinités (très angéliques voire archangéliques) et des démons, leur dualisme et antagonisme vis-à-vis d'une lutte de pouvoir (ou du moins, d'influence) sur le Monde des Humains, ainsi que leur possession individuelle respective d'un « ange » ou d'un « démon » gardien (dans l'histoire, sorte de « double » familier provenant d'un œuf et acquis après avoir atteint une maturité de pouvoirs, vivant à l'intérieur d'eux et pouvant être projeté sous une forme schématiquement angélique ou démonique)... sont librement inspirés du christianisme, mais également par convergence çà et là, des autres croyances abrahamiques.
Le personnage d'Ansuz, la mère biologique de Belldandy et Skuld, est visuellement inspiré des Séraphins et Chérubins, les deux plus hauts degrés de la hiérarchie céleste dans la théologie chrétienne.
En dehors des spécificités propres à ces religions, cela rejoint également dans une moindre mesure la mythologie nordique (qui fut fortement influencée et déformée par la christianisation de sa culture).
Dans l'histoire cette porte, à laquelle préside Ansuz, est censée soumettre à l'épreuve divine la force ainsi que la pureté de l'amour entre deux êtres issus de mondes différents. Les deux amants qui en franchissent ensemble le seuil voient leur destin scellé : s'ils réussissent l'épreuve (ce qui ne s'est encore jamais produit), ils seraient unis pour toujours ; mais s'ils échouent, irrémédiablement séparés et condamnés à ne jamais se retrouver. Elle est invoquée par la déesse pour éprouver l'amour de sa fille avec l'Humain Keiichi Morisato.
Dans le film d'animation, elle est liée à Morgan et a une importance symbolique significative.
Pour la tradition chrétienne, la « Porte du Jugement » (ou « Porte du Procès ») est le lieu de la seconde chute de Jésus : septième station de son chemin de croix par laquelle il serait sorti de Jérusalem pour sa crucifixion, sa condamnation à mort y aurait été rendue publique.
C'est également, dans les arts, une allégorie de la Porte du Jugement dernier ou de la Porte de l'Enfer.
Au‑delà de l'aspect fantaisiste de l’œuvre, de l'inspiration nordique prégnante et des libertés créatives prises par l'auteur, certains éléments dans l'allure vestimentaire et les aspects culturels des divinités ont aussi une inspiration celtique, voisine historiquement liée.
Les symboles faciaux arborés par les divinités et Démons, traits caractéristiques appelés « sceaux » dans l'histoire[98] et qui les démarquent physiquement des Humains ainsi que des autres créatures anthropomorphiques, sont un aspect culturel typique des anciens peuples celtes, germaniques et nordiques.
Dans l'histoire, ces sceaux ornant le front et les pommettes de leur porteur ont une fonction pratique comparée à un programme informatique qui catalyse son énergie (essentielle pour maintenir l'intégrité de son enveloppe physique dans le monde des Humains, aux propriétés dimensionnelles différentes du sien, et user de ses pouvoirs), et représentent les attributs auxquels il préside.
Ils prennent une forme géométrique (propre à chaque individu dans le cas des divinités et de quelques Démons spécifiques ; uniformisés en triangles amblygones symétriques pour la majorité des Démons) ainsi qu'une couleur déterminée par son inclinaison : indigo pour les divinités, rouge pour les Démons.
Ils changent de forme — et de couleur, dans le manga — durant le temps où une divinité libèrerait pleinement sa puissance.
La série animée télévisuelle témoigne de l'influence celtique dans sa sélection musicale.
D'une part, par Shirou Hamaguchi (déjà compositeur pour le film d'animation) dans ses compositions originales.
Plus explicitement d'autre part, pour les génériques d'ouverture de Youko Ishida, dont les musiques se remarquent par une forte présence d'instruments folkloriques comme des percussions, une flûte irlandaise (dans le premier générique) et la cornemuse (dans le second générique, aussi visuellement portée par Belldandy), et soulignent cette influence.
Le personnage homonyme de l'histoire, grand amour de l'une des déesses principales, est un esprit et un barde qui manifeste ses pouvoirs par sa poésie chantée et la musique qu'il joue de son instrument portatif (selon le support, une sorte de harpe ou de luth).
Son inspiration celtique est plus flagrante dans l’œuvre originale, l'homologue de la série animée empreintant un peu plus aux arts musicaux japonais.
Son nom désigne en français un poète et musicien médiéval occitanophone, qui avec le barde témoigne de l'attachement aux civilisations celtiques.
Le personnage de Morgan, exclusif au film, est directement inspiré de la fée homonyme du cycle arthurien et possède les caractéristiques archétypales des créatures folkloriques de la mythologie celtique.
Dans cette version, son histoire personnelle est liée à un barde non nommé qui n'apparaît que brièvement en souvenir, de dos et n'est pas explicitement caractérisé. Bien que ce n'ait jamais été officiellement confirmé, une théorie populaire parmi les amateurs (et rejoignant la figure légendaire) en ferait une version du roi Arthur.
Les dix premiers tomes avaient d'abord été édités chez Manga Player, entre et , et ont été réédités chez Pika Édition en .
Le 07 juin 2021, Pika publie sur son site[1] un communiqué sur l'arrêt de la commercialisation au format papier de nombreuses séries, dont Ah! My Goddess désormais commercialisé uniquement en version numérique.
Ce manga a la particularité d'adopter, par son agencement des cases et le déroulement séquentiel des scènes, un sens de lecture dextroverse (parfois informellement qualifié de sens de lecture « à l'occidental ») au lieu du sens de lecture japonais traditionnel (sinistroverse) communément usité.
no | Édition japonaise chez Kōdansha | Édition française chez Pika Édition | ||
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Date de sortie | ISBN | Date de sortie | ISBN | |
1 | 978-4-06-321009-5 | 978-2-8459-9033-3 | ||
Liste des chapitres :
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2 | 978-4-06-321013-2 | 978-2-8459-9034-0 | ||
Liste des chapitres :
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3 | 978-4-06-321013-2 | 978-2-8459-9035-7 | ||
Liste des chapitres :
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4 | 978-4-06-321021-7 | 978-2-8459-9036-4 | ||
Liste des chapitres :
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5 | 978-4-06-321023-1 | 978-2-8459-9037-1 | ||
Liste des chapitres :
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6 | 978-4-06-321025-5 | 978-2-8459-9038-8 | ||
Liste des chapitres :
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7 | 978-4-06-321028-6 | 978-2-8459-9039-5 | ||
Liste des chapitres :
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8 | 978-4-06-321030-9 | 978-2-8459-9040-1 | ||
Liste des chapitres :
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9 | 978-4-06-321037-8 | 978-2-8459-9041-8 | ||
Liste des chapitres :
NB : dû à une erreur d'impression, la numérotation en bas de page se retrouve décalée après les pages 52 et 53 (chapitre 54), dont la numérotation est répétée aux pages suivantes (les pages 54 et 55 effectives, qui sont donc erronément présentées à leur tour comme pages « 52 » et « 53 ») avant de se poursuivre. | ||||
10 | 978-4-06-321040-8 | 978-2-8459-9042-5 | ||
Liste des chapitres :
|
no | Édition japonaise chez Kōdansha | Édition française chez Pika Édition | ||
---|---|---|---|---|
Date de sortie | ISBN | Date de sortie | ISBN | |
11 | 978-4-06-321044-6 | 978-2-8459-9004-3 | ||
Liste des chapitres :
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12 | 978-4-06-321049-1 | 978-2-8459-9011-1 | ||
Liste des chapitres :
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13 | 978-4-06-321057-6 | 978-2-8459-9047-0 | ||
Liste des chapitres :
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14 | 978-4-06-321067-5 | 978-2-8459-9077-7 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
15 | 978-4-06-321074-3 | 978-2-8459-9094-4 | ||
Liste des chapitres :
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16 | 978-4-06-321076-7 | 978-2-8459-9103-3 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
17 | 978-4-06-321091-0 | 978-2-8459-9108-8 | ||
Liste des chapitres :
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18 | 978-4-06-321093-4 | 978-2-8459-9118-7 | ||
Liste des chapitres :
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19 | 978-4-06-314219-8 | 978-2-8459-9132-3 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
20 | 978-4-06-314222-8 | 978-2-8459-9143-9 | ||
Liste des chapitres :
|
no | Édition japonaise chez Kōdansha | Édition française chez Pika Édition | ||
---|---|---|---|---|
Date de sortie | ISBN | Date de sortie | ISBN | |
21 | 978-4-06-321114-6 | 978-2-8459-9153-8 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
22 | 978-4-06-321118-4 | 978-2-8459-9159-0 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
23 | 978-4-06-321129-0 | 978-2-8459-9173-6 | ||
Liste des chapitres :
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24 | 978-4-06-321136-8 | 978-2-8459-9203-0 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
25 | 978-4-06-321142-9 | 978-2-8459-9251-1 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
26 | 978-4-06-321150-4 | 978-2-8459-9302-0 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
27 | 978-4-06-321154-2 | 978-2-8459-9346-4 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
28 | 978-4-06-321158-0 | 978-2-8459-9362-4 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
29 | 978-4-06-321163-4 | 978-2-8459-9426-3 | ||
Liste des chapitres :
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30 | 978-4-06-321166-5 | 978-2-8459-9470-6 | ||
Liste des chapitres :
|
no | Édition japonaise chez Kōdansha | Édition française chez Pika Édition | ||
---|---|---|---|---|
Date de sortie | ISBN | Date de sortie | ISBN | |
31 | 978-4-06-321169-6 | 978-2-8459-9528-4 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
32 | 978-4-06-321173-3 | 978-2-8459-9644-1 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
33 | 978-4-06-321177-1 | 978-2-8459-9714-1 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
34 | 978-4-06-321180-1 | 978-2-8459-9772-1 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
35 | 978-4-06-321185-6 | 978-2-8459-9823-0 | ||
Liste des chapitres :
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36 | 978-4-06-321186-3 | 978-2-8459-9942-8 | ||
Liste des chapitres :
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37 | 978-4-06-321188-7 | 978-2-8116-0042-6 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
38 | 978-4-06-321190-0 | 978-2-8116-0197-3 | ||
Liste des chapitres :
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39 | 978-4-06-321191-7 | 978-2-8116-0416-5 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
40 | 978-4-06-321193-1 | 978-2-8116-0615-2 | ||
Liste des chapitres :
|
no | Édition japonaise chez Kōdansha | Édition française chez Pika Édition | ||
---|---|---|---|---|
Date de sortie | ISBN | Date de sortie | ISBN | |
41 | 978-4-06-321194-8 | 978-2-8116-1097-5 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
42 | 978-4-06-321195-5 | 978-2-8116-1335-8 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
43 | 978-4-06-358346-5 | 978-2-8116-1722-6 | ||
Liste des chapitres :
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44 | 978-4-06-321197-9 | 978-2-8116-2708-9 | ||
Liste des chapitres :
| ||||
45 | 978-4-06-321198-6 | 978-2-8116-3392-9 | ||
46 | 978-4-06-321199-3 | 978-2-8116-4001-9 | ||
47 | 978-4-06-321201-3 | 978-2-8116-4721-6 | ||
Liste des chapitres :
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48 | 978-4-06-358706-7 | 978-2-8116-5022-3 | ||
Liste des chapitres :
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Une série de 5 OAV sortie au Japon en 1993 (1995 pour la version française).
C'est la première adaptation du manga. Moins fidèle à l'œuvre originale et comique que la série télévisée sortie douze ans après, son histoire n'intègre qu'un nombre très réduit de personnages et prend un tournant plus dramatique.
En 1998 est sortie au Japon une série télévisée de 48 épisodes de 5 minutes chacun nommée Aa! Megami-sama: Chicchaitte koto wa benri da ne (ああっ女神さまっ 小っちゃいって事は便利だねっ , « Ah! My Goddess : être petite, c'est pratique ! »). Elle est sortie en France en 2004 chez Kazé sous le titre Ah ! My Mini Goddess[103].
Cette série est une adaptation des yonkoma inclus dans le manga (« Petite mais fonctionnelle, d'après... », « Être minuscule c'est... », « Ah ! My Mini Goddess ! », « Ah ! My Mini-Goddess ! »...), et raconte les aventures loufoques des déesses illustrées en style graphique « super déformées », accompagnées d'un rat nommé Gan-chan.
2001, trois années se sont écoulées depuis que la déesse Belldandy et ses deux sœurs sont entrées dans la vie de Keiichi Morisato. En cette nouvelle rentrée universitaire Celestin, l’ancien mentor de Belldandy qu'elle considérait parti depuis tout ce temps, fait sa réapparition : il vient demander à Belldandy de l’aider à bâtir un nouveau monde. Mais à la suite d'un malentendu, il lui fait perdre la mémoire et propage un virus qui ravage le réseau informatique céleste, menaçant le monde entier ! Pour couronner le tout, la belle Morgan, une nouvelle recrue du club de mécanique, tente de séduire Keiichi...
La force de l'amour entre le jeune homme et la déesse sauvera-t-elle le monde ?
Personnages | Voix originales (japonais) [110] |
Voix françaises (OAV) [111] |
Voix françaises (film) [112] |
Voix françaises (série) [113] |
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Keiichi Morisato | Masami Kikuchi | François Creton | Thomas Guitard | Benoit Dupac |
Belldandy | Kikuko Inoue | Adeline Moreau | Claire Guyot | Monika Lawinska |
Urd | Yumi Tōma | Valérie Nosrée | Alice Beauvallet | Micheline Tziamalis |
Skuld | Aya Hisakawa | Nathalie Bienaimé | Audrey Le Bihan | Coralie Vanderliden |
Megumi Morisato | Yuriko Fuchizaki | Frédérique Marlot | May Lemanceau | Cathy Boquet |
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