Les changements suivants ont lieu pendant la guerre:
les brigades d'infanterie sont dissoutes en novembre 1917 et l'infanterie regroupée dans l'infanterie divisionnaire (ID). Le 65eRI quitte à cette date la division[4].
En 1916, l'escadron de cavalerie quitte la division. Début 1917, la division reçoit deux escadrons du 2echasseurs, réduits à un seul à partir de mi-1917[3].
De la mi-1916 à la mi-1918, l'artillerie est renforcée par la 101e batterie de 58 de tranchées du 28eRAC (devenue 101e batterie du 51eRAC début 1918)[3].
À partir de mars 1918, l'artillerie est renforcé par le 7egroupe (ex-5egroupe) du 111erégiment d'artillerie lourde, équipé de 155 courts Schneider[4].
Le génie est renforcé par les compagnies 11/51 (ex-11/1 bis) et 11/21, du 6egénie, par un détachement de transmissions du 8egénie à partir de la mi-1916 et en 1917 par un détachement de sapeurs-pionniers du 1ergénie[4].
: éléments engagés dans l'attaque française sur La Boisselle.
: front étendu à gauche jusque vers Hébuterne et du au réduit à droite jusque vers Beaumont-Hamel.
: attaque française entre Serre et Hébuterne. Prise de la ferme Toutvent.
1915
- : retrait du front (relève par l'armée britannique), mouvement par Belleuse; repos et instruction. À partir du , transport par V.F. dans la région de Vitry-le-François.
- : mouvement vers le front et à partir du , occupation d'un secteur au sud-ouest de la cote 196.
- : mouvement vers le front, puis occupation d'un secteur vers la ferme de Moscou et le chemin de Baconnes à Vaudesincourt.
24 - : retrait du front et à partir du , transport par V.F. vers Sainte-Menehould.
- : mouvement vers le front. À partir du , engagée dans la bataille de Verdun vers le bois d'Haudromont et la cote de Froideterre (éléments engagés dès le ).
12, : violentes attaques allemandes.
16, : contre-attaques françaises; combat du 18 au .
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur sur les Hauts-de-Meuse, entre Châtillon-sous-les-Côtes et Bonzée, étendue à droite, le jusque vers Trésauvaux.
- 1er juillet: retrait du front, transport par camions dans la région de Lassigny, puis dans celle de Ressons-sur-Matz et de Montmorency; repos et instruction. À partir du , mouvement par étapes vers Ham.
1er juillet - : occupation d'un secteur au sud de la Somme, vers Urvillers et Dallon.
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers le Panthéon et l'Épine de Chevregny.
6 - : retrait du front; repos et instruction vers Neuilly-Saint-Front.
- : préparatifs d'offensive dans la région de Sermoise. Le , engagée en soutien dans la bataille de la Malmaison. À partir du , occupation d'un secteur vers Filain et Pargny-Filain; organisation des positions conquises.
- : retrait du front, repos dans la région de Villers-Hélon.
La 21edivision d'infanterie est recréée en 1957. Elle s'installe à Batna et son secteur devient la zone sud constantinois (ZSC). Elle quitte l'Algérie en 1962[9].
«SUR LA PROPOSITION DE M. POMPIDOU Le conseil des ministres a approuvé la composition et les missions des trois comités chargés de suivre l'exécution du Ve Plan», Le Monde, (lire en ligne, consulté le )