Dampremy
section de Charleroi, Belgique De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Dampremy (en wallon standard Dårmè ; en ouest-wallon Dârmè[3] ou Darmet) est une section de la ville belge de Charleroi située en Région wallonne dans la province de Hainaut.
Dampremy | |||||
Château Passelecq, aussi appelé château Roisin, actuellement occupé par les services communaux de la ville de Charleroi. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Charleroi | ||||
Commune | Charleroi | ||||
Code postal | 6020 | ||||
Zone téléphonique | 071 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dam(p)rémois(e)[1] | ||||
Population | 6 807 hab. (1/1/2022[2]) | ||||
Densité | 2 475 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 25′ 07″ nord, 4° 25′ 46″ est | ||||
Superficie | 275 ha = 2,75 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Dampremy dans la commune de Charleroi | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977. Elle comprenait à cette date 8 500 habitants.
Elle a eu un grand passé industriel au temps des mines de charbon. Accueillant nombre de grandes industries qui participèrent à la prospérité du bassin industriel de Charleroi : les verreries de Dampremy, les concessions des Charbonnages de Sacré-Madame...
Villa domni Remigii : paroisse dédiée à saint Remi[4]. La façon d'orthographier "Dampremy" a varié suivant les époques : en 868, "Danremi" dans le polyptyque de l'abbaye de Lobbes et "Dantremi" dans un manuscrit postérieur; en 980, "Dansremi" dans le mandement de Notger ; en 1113, "Denremey" et en 1275, "Danremis". Au XIIIe siècle: "Danremei"[5].
De 1538 à 1669, des religieux sont cités avec le préfixe "damp" au lieu de "dom", ainsi que l'ont fait certains abbés du monastère de Liessies, qui furent seigneurs de Dampremy. La prononciation française ou plutôt étymologique pure serait donc "Domremy". Quant à "Danremei" ou "Danremey" du XIIIe siècle, c'est elle qui a donné la phonétique wallonne "Dârmé" qui est encore en usage aujourd'hui[5].
1801 | 1846 | 1900 | 1947 | 1977[9] | 2001 |
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366 | 2 306 | 10 867 | 11 678 | 8 578 | 6 677 |
La localité est entourée par Lodelinsart, Charleroi, Marcinelle et Marchienne-au-Pont.
La rivière Sambre, un affluent de la Meuse, longe le territoire de la localité au sud. Le ruisseau Piéton et le canal Bruxelles-Charleroi, creusé dans sa vallée, y confluent avec la Sambre. À l'est, le ruisseau de Lodelinsart, affluent de la Sambre forme la quasi-totalité de la limite avec Charleroi. Au nord, le ruisseau Warchat, affluent du ruisseau de Lodelinsart, forme la limite avec Lodelinsart[10].
La commune possède plusieurs quartiers et lieux-dits.
Le nom de Dampremi est celui qui figure pour la première fois dans un document écrit en 868 et 869, le Polyptyque d'Imiron ou inventaire des Villas de l'Abbaye de Lobbes, la 14e année du règne de Lothaire II, Roi des Francs, petit-fils de Charlemagne. Le polyptyque était un registre plié en plusieurs parties et dont les couvents et abbayes se servaient pour noter les redevances des vassaux, les propriétés et revenus de leur patrimoine. "Darmiensis » est employé dans ce même document comme adjectif se rapportant à Dampremy, il est noté: "in pago Darmiensis"[14].
En 868, l'abbaye de Lobbes y fit construire une chapelle ou une église; les habitants et leur curé assistent à la Bancroix, mais nous n'avons aucune idée de leur nombre[15].
Au 16e siècle, les guerres de religion amenèrent le désordre dans notre région. En 1554, Henry II s'allia aux protestants d'Allemagne, ce qui déclencha la guerre. Les troupes françaises refoulées par Charles-Quint après avoir ravagé et incendié tous les villages y compris Dampremy, envahirent le Hainaut, brulèrent Binche et Mariemont[16].
La guerre de Trente Ans ou de "religion" pris fin en 1684 par la paix en Westphalie. Néanmoins, les hostilités continuèrent entre la France et l'Espagne[16].
Les Espagnols, qui ne possédaient pas suffisamment de troupes pour repousser les Français obligèrent nos populations à les aider. Ils groupèrent les habitants en compagnies sous le commandement de capitaines. Parmi ces capitaines, Lambot et Close citent pour les années 1638-1639 Etienne André, Bourgmestre de Dampremy[16].
En 1666, les Darminois virent la préparation d'importants travaux de terassement au petit village voisin de Charnoy qui à cette époque était beaucoup moins peuplé que Dampremy. Autour d'une petite église construite au sommet du rocher qui dominait la Sambre s'étageaient quelques maisonnettes de manants[16].
Alors que les travaux étaient inachevés, l'année suivante, en mai 1667, nos braves Darminois virent arriver et camper chez eux des troupes françaises commandées par le Maréchal de Turenne et qui venaient faire le siège de la nouvelle forteresse[17].
Le , les Espagnols faisaient sauter leur forteresse qui capitulait, et les Français y entraient en vainqueurs. Maître de Charleroi, Louis XIV donne ordre d'y construire une véritable forteresse sous la direction de Vauban, Le Comte de Montal est nommé gouverneur de Charleroi. En 1672, les Darminois voient cette fois arriver chez eux les troupes espagnoles et hollandaises, commandées par le Prince d'Orange qui viennent assiéger Charleroi défendu par Montal. Les assiégeants renoncent à la lutte et le siège est levé le 22 décembre 1672 En 1674, le Prince d'orange reparaît avec ses troupes devant Charleroi toujours défendu par Montal; Condé les contraint à se retirer et à lui livrer bataille à Seneffe[17].
En août 1677, les Darminois sont à nouveau envahis par des soldats hollandais toujours commandés par le Prince d'Orange et qui viennent une fois de plus assiéger la forteresse encore défendue par Montal. L'arrivée du Maréchal de Luxembourg oblige rapidement les Hollandais à lever le siège, le 14 août 1677. En 1678, la paix de Nimègue est signée. La forteresse de Charleroi retourne à l'Espagne[17].
En 1692, les Français, commandés par Boufflers, investissent à nouveau Charleroi et occupent tous les villages environnants. Du 14 au 22 octobre, la forteresse subit un effroyable bombardement. Les pièces d'artillerie sont placées à Dampremy à l'emplacement de la route de Bruxelles actuelle. Une armée de secours fait lever le siège Charleroi reste Espagnol[18].
A peine un an après en 1693, les Français commandés par le Maréchal de Villeroy, menacent encore Charleroi. La principale attaque a lieu du côté de Dampremy. Les troupes françaises amènent dans notre région d'Artagnan, le fameux mousquetaire qu'Alexandre Dumas a rendu légendaire. Ces troupes étaient cantonnées à Charleroi mais devaient être entretenues par les communes de Dampremy, Ransart et Châtelineau[18].
Le , après un siège d'un mois, les Espagnols, commandés par le Marquis de Castillo, doivent se rendre. Le bombardement dirigé sur Dampremy avait pulvérisé les remparts. Charleroi redevient français. Mais, par la paix de Ryswich en 1697 la forteresse est rendue à l'Espagne.
En 1709, une autre calamité s'abat sur notre région un froid intense sévit, avec neige abondante, auquel fait suite la famine. Les loups qui occupent encore à cette époque les froids environnants se montrent jusque dans les villages. On paye une prime de 5 patards à ceux qui tuent un de ces animaux. En 1713, Charleroi passe à l'Empereur d'Autriche Charles VI et est incorporé aux Pays-Bas Autrichiens[18].
En 1794, les Autrichiens fortifient à nouveau Charleroi. Le 28 mai, les Français, commandés par le Général Charbonnier (appelé chez nous le Général Gayette) viennent bombarder la ville qui malgré ses récents ouvrages résiste jusqu'au 3 juin. Les Français reparaissent avec le Général Jourdan et la forteresse capitule le 24 juin presque toutes les maisons sont incendiées. Charleroi est de nouveau aux Français ceux-ci réparent la forteresse; mais à la fin de cette année, ils renoncent à leurs travaux les font sauter et démantèlent complètement la place[19].
En 1796, une imposition extraordinaire est ordonnée par les Français. Dampremy est imposé pour 51 florins. Les communes s'endettent. Napoléon remet un peu d'ordre. Mais bientôt survient la débâcle de l'empereur et de ses armées. Le 18 juin 1815, c'est la retraite des soldats de Napoléon vaincu à Waterloo après son retour de l'Ile d'Elbe. Les troupes prussiennes logèrent encore dans nos villages jusqu'à la fin de 1815[19].
La même année, la Belgique est réunie à la Hollande pour former le Royaume des Pays-Bas. En somme le voisinage immédiat de cette fameuse forteresse de Charleroi troubla pendant cent cinquante ans la vie paisible des habitants de Dampremy... Cette forteresse fut constamment disputée par toutes les puissances: France, Espagne, Autriche; les troupes qui l'assiégèrent tant de fois occupèrent Dampremy et vécurent aux dépens de ses habitants[19].
Lors des journées de septembre 1830, plusieurs habitants de Dampremy se joignirent aux compagnies de Charleroi. Parmi ceux-ci :
On cite aussi :
Le , la Société du charbonnage de Sacré-Madame est fondée[21].
Il y a lieu de noter qu'en 1850 Dampremy était encore un village essentiellement agricole; or, les fermiers et les cultivateurs ont toujours eu l'habitude de désigner l'emplacement de leurs terres par des noms soit allusifs, soit improvisés. Il suffit de faire le compte des ventes notariales des terres dans les villages agricoles pour se rendre compte de la persistance de cette coutume[22].
Le , a lieu une catastrophe minière provoquée par un coup de grisou au puits Sacré-Français. Elle provoque la mort de 16 mineurs dont 7 prisonniers allemands[23].
En 1966 l'astronaute américain John Glenn[24] est venu ainsi qu'un Fouga Magister amené sur la place Albert 1er (actuellement place De Crawhez) dans le cadre de Vil’ Vacances.
Suite à la loi sur les fusions des communes, Dampremy a été fusionnée avec Charleroi le 1er janvier 1977.
Dampremy fut jadis un bourg exclusivement agricole; depuis tout un temps déjà, il est devenu un village exclusivement industriel. On n'y trouverait plus actuellement la moindre exploitation agricole. Primitivement, le bourg était particulièrement favorable à la culture: grand plateau en pente douce, exposé au midi et recouvert d'une bonne couche de terre arable. Après 1840, par suite de l'expansion rapide des industries, charbonnière, métallurgique et verrière, toutes les terres de culture et les prairies disparurent progressivement pour faire place aux bâtisses[27].
L'extraction de la houille ne fut d'abord pas pratiquée chez nous de façon industrielle mais par des particuliers pour leur usage personnel. Elle se faisait en surface, par les veines superficielles qui affleuraient au sol. À Dampremy, on rencontre de ces veines superficielles sur les flancs du promontoire que forme le sol de la commune. Au Bougnou, au Fond du Bierrau, à l'ouest et à l'est sur la pente du ruisseau de Lodelinsart[28]. Par suite de conventions ultérieures, en 1837-1838, Madame Veuve François Joseffe Dryon et ses enfants devinrent propriétaires de toutes les parts de « Sacré-Madame ». La concession comportait 264 hectares 41 ares[29].
L'actuelle Société Anonyme des Charbonnages de Sacré-Madame fut constituée le par acte du notaire Chaudron, de Gosselies, approuvé par arrêté royal du . En 1864, la société acheta le puits de la blanchisserie à la Société des Charbonnages Réunis de Charleroi[30]. En 1924, la Société de Sacré-Madame absorba la Société des Charbonnages de Monceau-Bayemont et Chaux-à-Roc, par arrêté royal du . La concession de la société s'étendit ainsi sur 460 hectares sous Dampremy, Marchiennes et Charleroi[30].
Les principaux puits de la concession sur Dampremy : puits Sacré-Français[31], puits Ma Campagne[32], puits du Fond des Piges[33], puits de la Blanchisserie[34] et puits Saint-Théodore[35].
Dampremy fut, avec Lodelinsart et Jumet, le centre de l'industrie verrière en Belgique[30]. En 1903, Emile Fourcault installa à Dampremy, dans sa verrerie[36], la première machine à étirer le verre. Le procédé fut breveté et, en 1904, la « Société des Brevets Fourcault » fut créée[37]. Quand le procédé, après certaines vicissitudes, fut mis au point, Fourcault créa la « Société des Verreries de Dampremy ». Ce fut donc Dampremy le berceau du nouveau procédé qui devait révolutionner complètement l'industrie verrière.
Pendant quelques années, les verreries à bouche, à canons, purent encore résister à la concurrence du nouveau procédé. Le verre étiré présentait encore des ondulations, d'où déformation des objets. Il ne convenait donc pas pour les fenêtres; mais, peu à peu, ces ondulations disparurent, le procédé se perfectionna et bientôt le verre étiré fut de qualité égale au verre soufflé. Ce fut la fin des verreries à bouche. En 1921, le verre soufflé et le verre étiré eurent une production sensiblement égale de 30 millions de mètres carrés. En 1929, le verre étiré arriva à 60 millions et le verre soufflé descendit à 9 millions. Cette chute catastrophique du verre soufflé ramena la production à ...0 en 1931[37].
Comparativement aux industries charbonnière et verrière, l'industrie métallurgique est de date récente à Dampremy. Alors que les verreries (comme dit plus haut) s'étaient localisées exclusivement en bordure de la route de Bruxelles, à l'est du village, l'industrie métallurgique se localisa à l'ouest, en bordure de la route de Mons, aux confins de Marchiennes. Les houillères occupèrent plutôt le centre du village. Nous avons vu que les anciens cayats étaient presque tous échelonnés le long de la rue de Heigne qui traverse tout le village du sud au nord. Pour Dampremy, la fondation datant du de la Société des Forges. Laminoirs et Hauts Fourneaux de la Providence devint rapidement une source importante de main-d'œuvre et d'accroissement de population. Le siège de la société se trouve à Marchiennes, mais les usines sont bâties en grande partie sur Dampremy, surtout depuis la construction des nouveaux hauts fourneaux appelés « La Nouvelle Providences ». Le château directorial est également bâti sur le territoire de Dampremy. « La Providence », qui est une des plus grandes firmes métallurgiques et sidérurgiques de notre pays, couvre une superficie de plus de 100 hectares. C'est elle qui, la première, fabriqua les poutrelles de fer au moyen de laminoirs (brevet de 1849). La Société possède en France deux usines importantes à Hautmont et à Rehon[38].
Les armoiries d'Antoine-François-André de Lados, seigneur de Dampremy, créé baron le [39], sont utilisées comme blason non officiel.
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Chaque année depuis 2005, la ducasse Saint-Remy est célébrée fin septembre ou début octobre. La fête débute officiellement par la reconstitution de la Marsaude, une lampe de mineur géante, et un cortège.
« Marsaude » est le terme local pour désigner une lampe de mineur[53]. La Marsaude est divisée en cinq pièces conservées durant l'année dans les « clans » (écoles) : le clan des bleus d'or (école Saint-Joseph), les verts d'argent (école du Phénix), les terres d'Orange (école du Centre)[54], les jaunes cosmos (école de Devoirs), et les feux violets (école du Camp)[55]. Le samedi matin, chaque clan apporte solennellement sa partie de la Marsaude à la chapelle Saint-Ghislain, lieu de naissance présumé de Dampremy. Elle est alors reconstituée par la confrérie de la Marsaude et de Saint-Remy. Symbole de diversité locale (quand ses éléments sont séparés), elle devient symbole d'unité une fois reconstituée. La statue de Saint-Remy sort de la chapelle. La Marsaude et Saint-Remy sont alors promenés dans les rues de Dampremy, accompagnés de groupes représentant les différents quartiers. Chaque clan possède son char et son géant : le loup garou, le Golem, la Sirène, le jardin extraordinaire. Ils représentent les anciens gardiens du trésor des Damrémois. Les verriers, porteuses de canon, mineurs, sidérurgistes arbalétriers, pelotons de marcheurs avec leur fanfare et batterie complètent le cortège conduit par les échassiers.
À la mi-parcours, le cortège s'arrête pour la danse de la Marsaude. Un peu plus tard un nouvel arrêt permettra aux clans de s'affronter dans une série d'épreuves afin de remporter le trophée que le gagnant gardera jusqu'à la ducasse suivante. Le parcours se termine au parc du Crawha où durant toute la ducasse Saint-Remy, elle veillera sur le « trésor » des Damrémois, enfoui en 2005 à cet endroit[56]. La ducasse peut alors commencer.
Ligne n° | Terminus | Jours de services | Remarques |
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41 | Courcelles Place Des Trieux - Charleroi Palais. | Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di. | La ligne 41 de bus (Courcelles Place Des Trieux - Charleroi Palais) a 33 arrêts au départ de Courcelles Place Des Trieux et se termine à Charleroi Palais[57]. |
85 | Charleroi Gare Centrale - Quai 10 - Jumet Brulotte. | Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa. | La ligne 85 de bus (Jumet Brulotte - Charleroi Gare Centrale - Quai 05) a 21 arrêts au départ de Jumet Brulotte et se termine à Charleroi Gare Centrale - Quai 05[58]. |
86 | Gosselies Athénée - Charleroi Gare Centrale - Quai 05. | Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di. | La ligne 86 de bus (Gosselies Athénée - Charleroi Gare Centrale - Quai 05) a 28 arrêts au départ de Gosselies Athénée et se termine à Charleroi Gare Centrale - Quai 05[59]. |
MIDO | Marchienne-au-Pont Place Astrid - Charleroi Palais. | Lu, Ma, Me, Je, Sa. | La ligne MIDO de bus (Marchienne-au-Pont Place Astrid - Charleroi Palais) a 28 arrêts au départ de Marchienne-Au-Pont Place Astrid et se termine à Charleroi Palais[60]. |
Ligne | Terminus | Jours de services | Remarques |
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M1 | Gare Centrale - Anderlues Monument (Métro) | Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di. | La ligne M1 de tram (Charleroi Gare Centrale - Quai 1 (M) - Anderlues Monument) a 23 stations au départ de Charleroi Gare Centrale - Quai 1 (M) et se termine à Anderlues Monument[61]. |
M2 | Gare Centrale - Anderlues Monument (Métro) | Lu, Ma, Me, Je, Ve. | La ligne M2 de tram (Charleroi Gare Centrale - Quai 2 (M) - Anderlues Jonction (M)) a 18 stations au départ de Charleroi Gare Centrale - Quai 2 (M) et se termine à Anderlues Jonction (M)[62]. |
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