Bourbon-Lancy
commune française du département de Saône-et-Loire De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Bourbon-Lancy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Bourbon-Lancy | |||||
La rue de l'Horloge. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Charolles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes entre Arroux, Loire et Somme | ||||
Maire Mandat |
Édith Gueugneau 2020-2026 |
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Code postal | 71140 | ||||
Code commune | 71047 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bourbonniens | ||||
Population municipale |
4 663 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 84 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 37′ 13″ nord, 3° 46′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 202 m Max. 346 m |
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Superficie | 55,73 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bourbon-Lancy (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Bourbon-Lancy (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Digoin | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | bourbon-lancy.fr | ||||
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Elle est connue, notamment, pour sa station thermale, qui est la dernière encore en activité en Bourgogne avec celle de Saint-Honoré-les-Bains[1].
Bourbon-Lancy est une petite cité médiévale dans le sud-ouest de la Bourgogne. Elle est située à l’extrémité ouest du département de Saône-et-Loire, à la limite avec l’Allier et la Nièvre. Bourbon-Lancy est à 27 km de Digoin, à 35 km de Moulins et à 55 km de Montceau-les-Mines.
Lesme | Vitry-sur-Loire | Maltat | ||
Garnat-sur-Engièvre (Allier) Beaulon (Allier) |
N | Mont | ||
O Bourbon-Lancy E | ||||
S | ||||
Saint-Aubin-sur-Loire | Gilly-sur-Loire | Chalmoux |
La commune est accessible par autocar depuis Moulins (Réseau départemental trans’allier[2]).
Deux unités géologiques existent : le socle primaire du Morvan à l'est et la Limagne tertiaire à l'ouest ; elles sont séparées par une grande dislocation (rupture de couches terrestres) qu'empruntent les sources thermales pour venir au jour[3].
On compte un ruisselet, dit le Borne[4]. La Loire se trouve à trois kilomètres.
Les bains de Bourbon-Lancy sont réputés pour soigner les rhumatismes. On compte plusieurs sources chaudes : la Limbe (58 °C) et Saint-Léger, Valois, La Reine et Descures (au-dessus de 45 °C)[5].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 895 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vitry/loire », sur la commune de Vitry-sur-Loire à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Au , Bourbon-Lancy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourbon-Lancy[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourbon-Lancy, dont elle est la commune-centre[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,2 %), forêts (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), terres arables (8,9 %), zones urbanisées (7,8 %), eaux continentales[Note 4] (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le nom de la commune, composé de Bourbon et de Lancy, a deux origines différentes[19] : le nom de Bourbon viendrait du gaulois borua[20], de l'ancien français borbe/bourbe comparable à l'occitan borba, « boue, bourbier », tous deux d'origine gauloise avec le mot borba/borva, source bouillonnante, d'où la boue qu'elle produit, de Borvo ou encore Bormanus un surnom d'Apollon qui aurait donné Bourbon mais aussi La Bourboule dans le Puy-de-Dôme ou, dans l'Allier, Bourbon-l'Archambault. Le surnom de Lancy viendrait d'un ancien seigneur nommé Ancellus.
Bourbon-Lancy est surtout connue depuis l’Antiquité pour ses eaux thermales qui, des Romains aux curistes du XXIe siècle, soignent les rhumatismes.
L'agglomération d'époque romaine, située sur le territoire du peuple des Éduens, semble s'être développée sous les règnes des empereurs Auguste et Tibère en périphérie d'un important sanctuaire des eaux dont les divinités tutélaires, Borvo / Apollon et Damona, sont connues par plusieurs inscriptions antiques trouvées dans la commune[21]. Ce lieu de culte devait se trouver à proximité des thermes actuels, qui recouvrent les captages de source et les thermes romains, encore visibles au XVIIe siècle[22]. Un important réseau de galeries antiques liées à l'évacuation des eaux est encore conservé sous le parc thermal[23]. Le lieu de culte, ses sources d'eaux chaudes et son bois sacré sont décrits de manière allusive par un orateur éduen dans un discours d'invitation à l'empereur Constantin en 310[24].
Dans sa plus grande extension, l'agglomération d'époque romaine s'étendait des thermes aux environs de l'église Saint-Nazaire et au plan d'eau du Breuil. La ville figure sur la table de Peutinger[25] sous le nom d'Acquis Bormonis. Outre les activités liées au sanctuaire, l'agglomération abritait des activités artisanales dont des ateliers de production de statuettes en terre cuite à l'emplacement du plan d'eau du Breuil[26].
L'agglomération du haut Moyen Âge est documentée par la découverte de sarcophages à l'emplacement de l'ancienne église Saint-Martin[27] et de monnaies des empereurs byzantins Zénon et Justinien[28]. Elle abrite alors un atelier monétaire qui frappe des monnaies à la légende BORBON CAS(TRUM)[29].
Sur l'éperon surplombant les thermes, on bâtit durant le Moyen Âge un château fort orné de sept tours. La ville compte comme patrimoine médiéval un beffroi (qui auparavant était garni d'un pont-levis et d'une grille[30]), le vieux quartier et un rempart, ainsi qu'une église (église Saint-Nazaire, datant du Xe siècle et remaniée au XIIe siècle) du roman primitif, qui lui vaut d'être membre des sites clunisiens. Elle a été le « bailliage le plus occidental de la Bourgogne »[31].
Bourbon-Lancy constituait une baronnie. Au XIIIe siècle, les seigneuries de Bourbon-Lancy et d'Uchon étaient aux Semur de Luzy puis aux Châteauvillain. Mais bien auparavant, depuis le XIe siècle au moins, une famille de Bourbon dominait la région de l'Arroux en Autunois, comme l'a montré l'historien Jean Richard[32],[33], dont les membres se nommaient notamment Ancéis (Ansei, Anséide, Ansedeus), et Bourbon l'Ancéis s'est transformé en Bourbon-Lancy. Cette famille a donné de nombreux rameaux à la généalogie compliquée : les Montperroux, les Clessy (cf. la postérité naturelle du duc Louis) etc. Il est plausible que par des mariages Bourbon-Lancy soit passé aux Semur[34],[35] puis aux Châteauvillain.
En 1580, Henri III envoie son premier médecin, Miron, son premier architecte, Androuet du Cerceau, et son contrôleur des bâtiments, Donon, à Bourbon-Lancy pour remettre en état les bains et préparer le séjour de la reine, Louise de Lorraine, atteinte de stérilité[41]. Il leur faut très vite « remettre aucunement l'ancienne commodité des bains accablés et confondus dans leurs ruines, destoupper les canaux, tant des fontaines que de la vuidange desdicts Bains, où déjà la longueur du temps avoit ensevely le nom avec la forme de la chose »[42]. Louise de Lorraine y séjourne d’août à novembre 1580. Elle y revient en 1582 et 1583 pour tenter, en vain, de devenir enceinte[43].
En 1622, la commune accueille des membres des frères mineurs capucins ; le 10 mars 1658, elle les dote d'une aide de 40 livres, « attendu qu'ils sont grand nombre de religieux et que les aumônes qui leur sont données par les habitants de cette ville ne sont pas suffisantes pour les faire subsister, et que journellement ils rendent de signalés services aux dits habitants »[44].
Bourbon-Lancy est chef-lieu de district de 1790 à 1795[45]. En 1793, à l'instar de quelque cent cinquante autres communes de Saône-et-Loire, change de nom et devient provisoirement Bellevue-les-Bains[46], avant de reprendre son nom dès 1795[47].
Au XIXe siècle, le marquis Étienne Jean François d'Aligre fait bâtir un hôpital, par philanthropie, déboursant quatre millions de francs or ; une statue du marquis et de son épouse, ainsi que des armoiries dispersées rappellent leur don[48]. En juin 1904, des inondations submergent en partie la ville[49].
Lors des élections municipales des 23 et 30 mars 2014, trois listes étaient candidates : la liste du Parti socialiste conduite par le maire sortant, une liste divers gauche et une liste divers droite. La liste PS a été largement battue (ne recueillant que 31 % des suffrages exprimés) par la liste divers gauche (46 % des suffrages exprimés), la liste divers droite recueillant 21 %[50].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1841 | 1850 | Lazare Compin | Propriétaire et banquier | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1850 | juillet 1856 | Lazare Compin | Propriétaire et banquier | |
juillet 1856 | août 1865 | Louis Pinot | Médecin Conseiller général du canton de Bourbon-Lancy (1855 → 1870) | |
Les données manquantes sont à compléter. En 1871, Louis Sarrien est élu maire. Fin, 1871 son fils Ferdinand Sarrien prend sa suite puis est élu maire aux élections de 1876 et est réélu en 1878 (sera ultérieurement ministre, président du Conseil)[51] | ||||
1912 | mars 1934 | Gabriel Pain | Médecin | |
mars 1934 | 1940[réf. nécessaire] | Henry Turlier | Directeur commercial Sénateur de Saône-et-Loire (1935 → 1944) Conseiller général du canton de Bourbon-Lancy (1935 → 1940) | |
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 1959 | mars 1977 | Marc Gouthéraut | SFIO puis PS | Assureur Conseiller général du canton de Bourbon-Lancy (1945 → 1976) |
mars 1977 | mars 2001 | Roger Luquet | PS | Enseignant Conseiller général du canton de Bourbon-Lancy (1976 → 1994) |
mars 2001 | 5 avril 2014 | Jean-Paul Drapier | PS | Professeur d'histoire Conseiller général du canton de Bourbon-Lancy (2008 → 2015) |
5 avril 2014 | En cours (au 5 avril 2014[52]) |
Édith Gueugneau | DVG | Préparatrice en pharmacie Députée de la 2e circonscription de Saône-et-Loire (2012 → 2017) Conseillère régionale de Bourgogne (2004 → 2012) Vice-présidente du conseil régional de Bourgogne (2010 → 2012) Présidente de la CC Entre Arroux, Loire et Somme (2017 → ) |
Les données manquantes sont à compléter. |
Bourbon-Lancy figure parmi les quinze premières communes de Saône-et-Loire à avoir établi – puis officialisé – des liens d'amitié avec une localité étrangère[53].
À ce jour, la ville est jumelée avec :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].
En 2021, la commune comptait 4 663 habitants[Note 5], en évolution de −7,74 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2014 | 2019 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
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5 069 | 4 713 | 4 663 | - | - | - | - | - | - |
La ville compte un club de football (USB Bourbon-Lancy), un club de basket (Bourbon Basket), un club de judo (ASFPT Judo Bourbon-Lancy) et un club de rugby (US Bourbon-Lancy).
La ville reçoit principalement les radios locales provenant de Dompierre-sur-Besbre et Diou (Fusion FM 91.3 - 95.9 et RFM 103.8) et les stations publiques de l'émetteur du Puy-de-Dôme et du Haut-Folin.
D'autres stations sont reçues de façon variable depuis Moulins, Vichy, Charolles, etc.
La TNT est recevable depuis les émetteurs du Puy-de-Dôme et du Haut-Folin.
Le quotidien régional est Le Journal de Saône-et-Loire, d'autres sont également diffusés comme La Montagne (Moulins) et Le Journal du Centre (Decize).
En hebdomadaire, c'est La Renaissance (Paray-le-Monial) qui paraît chaque semaine, et jusqu'en juillet 2022, il y avait Les Nouvelles de Saône et Loire, journal local qui a cessé sa diffusion après 74 années de diffusion (soit 3528 numéros) ; il était imprimé par les imprimeries Sotty à Bourbon-Lancy.
En presse gratuite, jusqu'au printemps 2023 il y avait Bourbon Com, dépliant publicitaire des commerçants locaux devenu une application numérique et, depuis l'été 2023, il y a ICI Annonces, dépliant gratuit de petites annonces qui paraît mensuellement.
Site industriel implanté à Bourbon-Lancy depuis 1874, l’usine FPT - Fiat Powertrain Technologies - (ex-Iveco-Unic) est le premier employeur privé de Bourgogne, avec un effectif de plus de 1 600 personnes. L’établissement produit des moteurs d’une puissance de 240 à 700 chevaux. Ces moteurs équipent principalement les véhicules du groupe Fiat : Iveco, Irisbus, CNH, etc. Le site, fondé en 1874, était alors la manufacture des machines agricoles Puzenat. L'activité évolue dans les années 1960 avec la fabrication des tracteurs Someca. À la création d'Iveco (Groupe Fiat) en 1975, l'établissement s'est spécialisé dans la fabrication des moteurs diesels. Il produit également des moteurs GNV, dont le plus puissant moteur au monde, d'une puissance de 460 chevaux[57]. L'usine de Bourbon-Lancy est également un site pilote pour le groupe Fiat.
La commune compte également plusieurs PME : « La Fromagerie Terre D'or », « Les Parfums Jardin de France », etc.
Le slogan touristique qui accompagne le logotype de la ville est : « Bourbon-Lancy, le plein de vie ».
Sur le territoire de la commune se trouve le Petit Fleury, site naturel ayant obtenu en 2024 le « label ENS 71 » délivré par le département de Saône-et-Loire[62].
Bourbon-Lancy est classée ville fleurie, elle possède trois « fleurs ».
Blason | D'azur au lion d'or accompagné de huit coquilles du même rangées en orle. |
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Détails | Armes des premiers seigneurs de Bourbon-l'Archambault. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Brian Timms mentionne l’existence d’une variante blasonnée ainsi : « d’or au lion de gueules, à l’orle de huit coquilles d’azur » qui, selon lui, aurait été mentionnée pour la première fois dans un document en 1631. Ces armes, qui étaient celles des seigneurs de Bourbon (-l'Archambault) de la famille de Dampierre (1196-1296), auraient pu être octroyées à la ville par Eudes de Bourgogne (1230-1269), comte de Nevers, d’Auxerre et de Tonnerre, duc héritier de Bourgogne, époux à partir de 1248 de Mathilde II de Bourbon (v. 1234-1262), dame de Bourbon.
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