Dans les mesures de poids traditionnelles britanniques, le nombre de livres dans une «pierre» (Stone en anglais)[2].
Un numéro codé dans beaucoup de musiques de Jean-Sébastien Bach, Bach a considéré ce numéro comme une sorte de signature, il donne A = 1, B = 2, C = 3, ainsi de suite, égale B + A + C + H = 14 et J + S + B + A + C + H = 41 (dans un alphabet où I et J seraient confondus)[3].
Un nombre malchanceux en Chine et dans des régions d'Asie de l'Est où la tétraphobie est courante, car il est homophone avec un mot chinois qui veut dire «doit mourir»[4].
Le n° d'une bande de rue mexicaine, les Norteños (ceux du Nord). Il désigne N, la quatorzième lettre de l'alphabet.
14 est aussi le numéro fétiche du footballeur néerlandais Johan Cruyff qui ne l'a pas quitté lorsqu'il jouait à l'Ajax Amsterdam et avec les Pays-Bas, chose surprenante pour un attaquant, qui porte traditionnellement le numéro 9 ou 10.
Quatorze, c'est fou c'que t'es triste
Quand sur un édifice
T'es suivi de dix-huit
Quatorze, c'est fou c'que t'es gai
Quand au calendrier
T'es suivi de Juillet
Jacques Drillon, «Le code de Bach: L'œuvre du musicien allemand, passionné d'énigmes et de numérologie, est truffée de défis à relever», Le Nouvel Obs (magazine), (lire en ligne, consulté le )