Marly-le-Roi
commune française du département des Yvelines De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Marly-le-Roi est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Située à une vingtaine de kilomètres à l'ouest du centre de Paris, cette commune de l'unité urbaine de Paris au cœur du Pays des Impressionnistes abrite notamment le Domaine national de Marly-le-Roi et une partie de la forêt domaniale de Marly.
Marly-le-Roi | |||||
L'Abreuvoir de Marly, le quartier de Montval-Coteaux et au fond, le viaduc ferroviaire. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye | ||||
Intercommunalité | CA Saint Germain Boucles de Seine | ||||
Maire Mandat |
Jean-Yves Perrot 2020-2026 |
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Code postal | 78160 | ||||
Code commune | 78372 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marlychois | ||||
Population municipale |
16 531 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2 528 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 52′ 03″ nord, 2° 05′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 179 m |
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Superficie | 6,54 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chatou | ||||
Législatives | 4e circonscription des Yvelines | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Ses habitants sont appelés les Marlychois.
La commune de Marly-le-Roi se situe sur la rive gauche de la Seine au sud d'un méandre, à 22 kilomètres à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France.
Elle est localisée à 9 kilomètres au nord de Versailles, préfecture des Yvelines, à 5 kilomètres au sud de Saint-Germain-en-Laye la sous-préfecture et à 17 kilomètres à l'ouest de la porte d'Auteuil.
Elle est bâtie sur une sorte de promontoire en contrebas et au nord du plateau du Cœur-Volant au bord duquel se trouvait le château de Marly aujourd'hui disparu. Ledit promontoire domine d'environ 150 mètres la vallée de la Seine plus au nord. L'urbanisation est concentrée dans la moitié nord du territoire communal, la moitié sud étant majoritairement couverte par la forêt domaniale de Marly.
La commune compte cinq quartiers :
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Au , Marly-le-Roi est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
La commune est desservie par la gare de Marly-le-Roi, sur la ligne .
La ligne effectue les liaisons entre les gares de Paris-Saint-Lazare, de La Défense et de Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt de Marly. Elle est située sur la ligne de Saint-Cloud à Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt-de-Marly.
En 1878, la Société anonyme du Tramway à Vapeur de Rueil à Marly-le-Roi (TVRMR) met en service le la ligne entre Rueil-Malmaison et Port-Marly. Un train sur deux empruntait l’embranchement vers l’abreuvoir de Marly-le-Roi. En 1891, un accident mortel, impliquant une passante et le mécanicien, rapporté par le supplément illustré du Petit Journal du , eut lieu à la halte Saint-Fiacre (arrêt actuel de la ligne 1 du bus de Saint-Germain-en-Laye à Versailles).
La rame automotrice Z6523/24 de la livrée Z 6400 est le premier train parrainé en Île-de-France par une commune, en l’occurrence celle de Marly-le-Roi, le [13].
La commune est desservie par les lignes :
Le toponyme est attesté sous les formes Mairilaco en 697, Marleium en 1087, Marletum, de Marleio en 1173[14],[15], Marliacum en 1202.
Il serait issu d'un anthroponyme latin tel que Marullius[14] ou Marillius[15]. Le nom de Marly provient de marcilliacum, « domaine de Marcel », qui a donné marlacum, malliaco villa ou peut-être de merula, merle.
Le lieu est connu dès 676, sous Thierry III.
On découvrit à Marly, en 1848, un dolmen au lieu-dit le Mississipi[16] non loin de la « Tour aux Païens »[17].
Marly est propriété des seigneurs de Montmorency jusqu'à son acquisition par Louis XIV en 1676 qui y fait construire par Jules Hardouin-Mansart « son » château de Marly, plus intime que Versailles et où il pourra s'adonner aux plaisirs personnels. Il acquiert ainsi par échange la seigneurie de Marly pour y construire son château.
Le château, situé sur le plateau du Cœur Volant, est alimenté en eau par la machine de Marly et l'aqueduc de Louveciennes et l'extrémité nord est agrémentée d'un bassin, en contrebas, au niveau du village, et d'un immense abreuvoir où les cavaliers peuvent entrer avec leurs montures ! Ce bassin sera agrémenté, sous Louis XV, par les deux célèbres chevaux de Marly sculptés en 1745 par Guillaume Coustou. En 1789, le château est pillé par les révolutionnaires et laissé à l'abandon.
Durant la Révolution, la commune porte provisoirement le nom de Marly-la-Machine[18] (bien que celle-ci soit située sur la commune de Bougival) ; les chevaux sont « subtilisés » pour être installés à Paris sur la place de la Concorde puis placés à l'entrée de l'avenue des Champs-Élysées en 1795. Aujourd'hui, ils se trouvent à l'abri des intempéries au Musée du Louvre dans la cour Marly de l'aile Richelieu.
En 1799, un industriel, Alexandre Sagniel, achète le château à l'abandon et installe des ateliers de filature dans les communs. Failli, cet industriel ne trouvant pas à céder le château en l'état de délabrement avancé, le démantèle et en vend les pierres comme pierres à bâtir[19]. En 1806, le domaine passe entre les mains de l'administration des Eaux et Forêts.
La période impressionniste voit le village, à l'instar de ceux de Bougival, Louveciennes ou Croissy, attirer les peintres comme Sisley ou Pissarro ainsi que poètes, écrivains et sculpteurs. Maillol s'y installera également au début du XXe siècle.
L'abreuvoir de Marly fut le seul élément du domaine de Marly classé au titre des monuments historiques en 1862. Si d'autres éléments ont été classés en 1928, la totalité du domaine de Marly ne fut classé que le [20],[21]. Jusqu'en 2009, le domaine a été une résidence de la présidence de la République[22], servant notamment de relais de chasses présidentielles et de lieu de villégiature[23]. Il est aujourd'hui géré par l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles.
Au cours des années 1950-1960, la ville voit son développement urbain au sein de l'aire urbaine de Paris s’accélérer au sud de la commune avec l'implantation du quartier des Grandes Terres[24].
Marly-le-Roi fait partie de la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine avec 19 autres communes du nord-est du département des Yvelines, et dont le siège est situé au Pecq.
La commune est située dans le département des Yvelines, dont la préfecture est Versailles. Elle fait partie de l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye et, depuis 2015, du canton de Chatou. De 1833 à 2015, elle avait été intégrée au canton de Marly-le-Roi. De plus, elle fait partie de la quatrième circonscription des Yvelines.
L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Marly au tribunal judiciaire de Versailles et au tribunal administratif de Versailles, tous rattachés à la cour d'appel de Versailles[25].
Résultats des deuxièmes tours :
Résultats des deuxièmes tours :
Résultats des deux meilleurs scores :
Résultats des deux meilleurs scores :
Résultats des deux meilleurs scores :
Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :
- Élections municipales de 2008[34] : 59,94 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 26,23 % pour Sandrine Dubos (DVG) et 13,83 % pour Bernard Longhi (Modem). Le taux de participation était de 61,24 %.
- Élections municipales de 2014[34] : 73,26 % pour Jean-Yves Perrot (DVD) et 26,74 % pour Jacques Chesnais (DVG). Le taux de participation était de 59,17 %.
- Élections municipales de 2020[35] : 52,41 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 31,37 % pour Noëlla Arnaudo (DVC) et 16,22 % pour Tanguy Ruellan (DVG). Le taux de participation était de 44,71 %.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1808 | 1810 | Victor Deschamps | ||
1810 | 1830 | Adrien Bucon | ||
1830 | 1848 | Paul Huvet | ||
1848 | 1849 | Émile Piton | ||
1849 | 1849 | Édouard Maulme | ||
1849 | 1852 | Georges Guyet | ||
1852 | 1862 | Jean Moiesseron | ||
1862 | 1870 | Gustave Fillet | ||
1870 | 1871 | Victorien Sardou | ||
1871 | 1874 | François Beaugrand | ||
1874 | 1875 | Pierre Errequeta | ||
1875 | 1881 | Louis Mazian | ||
1881 | 1888 | Hector Titreville | ||
1888 | 1888 | Charles Basselier | ||
1888 | 1899 | Jean-Baptiste Broussin | ||
1899 | 1913 | Alfred Couturier | ||
1913 | 1918 | Paul Duret | ||
1918 | 1919 | Auguste Lesserteur | ||
1919 | 1930 | Raoul Filhos | ||
1930 | 1934 | Paul Oudot | ||
1934 | 1935 | Léon Legrand | ||
1935 | 1940 | Paul Leduc | ||
1940 | 1947 | Maurice Bourgoing | ||
1947 | mai 1953 | Henri Bèque | ||
mai 1953 | 1966 | Raymond Gilles | SE | Conseiller général de Marly-le-Roi (1964 → 1967) Démissionnaire |
février 1966 | mars 1989 | Jean Béranger | Rad. puis MRG (UG) |
Cadre, ancien premier adjoint Sénateur des Yvelines (1977 → 1986) Conseiller général de Marly-le-Roi (1967 → 1979) Conseiller régional d'Île-de-France (1982 → 1988) Vice-président du Mouvement des radicaux de gauche |
mars 1989 | juin 1995 | Yves Guibert | DVD | Ancien directeur général, ingénieur |
juin 1995 | octobre 1997 | François-Henri de Virieu | DVG-PS | Journaliste Décédé en fonction |
janvier 1998 | mars 2001 | Bernard Longhi | DVD | |
mars 2001 | En cours (au 9 juillet 2020) |
Jean-Yves Perrot[36] | RPR puis UMP-LR puis DVD |
Énarque, haut fonctionnaire[37], conseiller-maître à la Cour des Comptes Conseiller régional d’Ile-de-France (2004 → 2010) Président de la CA Saint-Germain Seine et Forêts (2014 → 2015) Vice-président de la CA Saint Germain Boucles de Seine (2016 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[38] ,[39],[40] |
En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Marly-le-Roi, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Louveciennes, Le Port-Marly, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crée le label et la structure « Pays des Impressionnistes »[41].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 4].
En 2021, la commune comptait 16 531 habitants[Note 5], en évolution de +0,61 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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16 531 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 7 574 hommes pour 8 761 femmes, soit un taux de 53,63 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
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1,0 | 2,0 | |
6,3 | 11,0 | |
15,4 | 16,6 | |
21,3 | 22,1 | |
18,6 | 18,0 | |
15,9 | 13,5 | |
21,4 | 16,7 |
La commune relève de l'académie de Versailles.
La ville compte[49] :
La commune offre plusieurs équipements sportifs : deux piscines municipales (la piscine municipale Franck-Esposito[53] et la piscine intercommunale de Saint-Germain-en-Laye), cinq gymnases (le gymnase du Champ-des-Oiseaux, le complexe sportif du Chenil, le gymnase Ramon, le gymnase des Maigret et le gymnase du Centre), deux stades[54] (le stade François-Henri-de-Virieu pour le football et le tennis, et le stade du Chenil pour le football et l'athlétisme), un centre équestre (poney-club) et un rowing club.
La ville possède d'autre part une école municipale des sports, comprenant plusieurs activités : la section arts du cirque, la section multisports (jeux de ballons : handball, basket-ball, volley-ball, football et rugby ; jeux de raquettes : tennis, badminton, tennis de table ; athlétisme : courses, lancers, sauts, hockey, cross québécois ; rollers, gymnastique, trampoline, piscine) et la section gymnastique.
Marly-le-Roi met à la disposition de ses concitoyens différents centres médicaux : le Centre de protection maternelle et infantile (PMI), le Centre de planification et d’éducation familiale, le Centre médico-psychologique, le Centre médico-psycho-pédagogique, et le S.I.M.A.D. (Service de soins à domicile), le Centre de rééducation pour aveugles et malvoyants et le Centre thérapeutique de jour Jean-Ernst. La ville regroupe une dizaine de médecins généralistes et une trentaine de médecins spécialistes. Elle est rattachée au Centre hospitalier de Poissy / Saint-Germain-en-Laye.
Marly possède deux cimetières : Henri-Bouilhet et Genêtrière.
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 44 022 €, ce qui plaçait Marly-le-Roi au 1 045e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[72].
En 2017, la part des ménages fiscaux imposables était de 77%[73].
Le taux de chômage, en 2017, pour la commune s'élève à 6,5 %[73], un chiffre inférieur à la moyenne des Yvelines (9,9 %)[74] et à la moyenne nationale (10,4 %)[75].
La ville possède un patrimoine très important[76] :
La ville compte près de dix-sept hectares d'espaces verts (hors domaine national de Marly et forêt domaniale), dont 458 m2 d'espaces fleuris.
Le service des espaces verts réalise deux fleurissements par an et entretient plus de 1 300 arbres : tels que les prunus, les tilleuls, les chênes, les érables, les platanes, les aubépines, les marronniers, les catalpas, les liquidambars, et les acacias.
On trouve notamment à Marly[77] :
La ville a servi de modèle à plusieurs peintres, parmi lesquels Hubert Robert, Alfred Sisley, Maurice de Vlaminck (Une rue de Marly-le-Roi, vers 1905[78]) et Giovanni Boldini (La Machine de Marly (La Seine à Bougival)).
La ville a été utilisée comme lieu de tournages pour de nombreux films, comme Razzia sur la schnouf, Les Yeux sans visage, Playtime, Bonjour l'angoisse, Ne réveillez pas un flic qui dort, Se souvenir des belles choses ou Mademoiselle de Joncquières.
(Liste non exhaustive, classée par années croissantes)
Les armes de Marly-le-Roi se blasonnent ainsi : Le blason de Marly-le-Roi fut créé en 1942, les soleils symbolisent Louis XIV, les alérions (petits aigles) sont les armes des Montmorency, premiers seigneurs de Marly-le-Roi, les couleurs bleu et jaune sont les couleurs royales. |
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