Mort en 2017, Jordi Bonàs repose au cimetière de Ligré[4].
Bernard Dimey[5], Les huit péchés capitaux, huit poèmes illustrés de huit lithographies originales de Jordi Bonàs, tirage limité à 250 exemplaires numérotés dont 22 sur Papier Japon, Éditions André Roussard, 1973.
Salon de Papeete (Jordi Bonàs, invité d'honneur), 1993.
Salon de Nouméa (Jordi Bonàs, invité d'honneur), 1993.
Participations organisées par Monsieur Giraudo: Salon de la ville d'Abidjan (Jordi Bonàs, invité d'honneur) (1994), de Libreville (2001), d'Abidjan (2001).
Galerie "Des artistes de talent", Vittel, juillet-.
Exposition du fonds d'art de la Ville de Nouméa, Maison Higginson, Nouméa, - [10].
«Curieux peintre que ce peintre-là qui vous accueille d'entrée de jeu par un magistral coup de poing, qui vous heurte d'un choc brutal et sans pitié, et dont on ne devine qu'après coup - le mot s'impose - toutes les tendresses et toutes les douceurs. Car Bonàs, au fond, c'est un tendre, et ses nus flamboyants et presque agressifs ne sont autre chose, en somme, que la marque sans limites qu'il éprouve pour la femme, la femme enfant malade[11] mais, quoi qu'en ait dit le poète, jamais impure. Oui, la violence de Bonàs - j'entends sa violence en peinture - m'apparaît comme un masque et j'entrevois, au travers du velours noir du loup, une sorte de pudeur à la fois attentive et rebelle où s'expriment les sentiments les plus rares. Un vrai peintre!» - André Flament[12]
«La solidité, le trait rude et la composition très affirmée de l'expressionnisme catalan...» - Gérald Schurr[13]
«Entre violence et pudeur, l'artiste espagnol Jordi Bonàs est un peintre qui affiche son originalité.» - Galerie Drouant, Paris[6]
«Bien que figuratives, les œuvres de l'artiste catalan Jordi Bonàs sont avant tout un voyage au pays de la couleur. Natures mortes, paysages, portraits, nus, sont autant de prétextes pour colorer l'univers, faire vibrer le monde de teintes veloutées. Sous le pinceau de cet artiste aujourd'hui installé en Touraine, la couleur devient émotion: sensualité des courbes voluptueuses du corps féminin, fougue des lignes vigoureuses des chevaux combattants, elle sculpte autant qu'elle noie les formes pour atteindre un expressionnisme presque abstrait. L'artiste la transforme en matière, la façonne jusqu'à donner naissance à des œuvres mouvantes, insaisissables, où le sujet s'estompe peu à peu dans l'indicible d'une émotion moirée.» - Pauline Mouré[14]
Médaille de bronze des beaux-arts de la ville d'Arras, 1965.
Médaille des beaux-arts de la ville d'Arras, 1967.
Collectif (sous la direction d'André Flament, Roger Bouillot, Dina Carayol, Jean-Noël Doutrelen et André Verbiest), La fête - Les peintres témoins de leur temps, Les Presses artistiques / Hachette, Vanves, 1977, p.11.