Parmi les villégiatures importantes qui ont inspiré son œuvre, figurent l'Italie (Rome et Venise) et la Normandie. Outre les principaux salons parisiens, comme le Salon d'automne dont elle devient sociétaire en 1978[1], elle participe à des expositions au Luxembourg, en Allemagne, au Canada, aux États-Unis et au Japon[2].
Morte à Besançon le , Céelle repose au cimetière de Miserey-Salines.
Françoise Dorin, Dominique Dron, Michel Duvoisin, Roger Jacob, Sandrine Vassalli-Laurer (textes), Françoise Caudal, Céelle, Michel Duvoisin, Jacques Goupil, Roger Jacob, Jacques Leyssenne, Jacques Noury, Jean-Marie Zacchi (illustrations), Venise comme une barcarolle, Éditions Micha, Rosny-sous-Bois, 1992.
Quand Victor Hugo inspire les artistes - trente-trois artistes se sont inspirés du thème "La pensée, l'œuvre ou la vie de Victor Hugo", Espace culturel Le gymnase, Besançon, février-, suivi d'une itinérance dans plusieurs villes d'Europe.
Salon des Annonciades, Pontarlier, 2004, juillet-, juillet-.
Exposition des peintres de la Galerie Saint-Roch, Galerie Saint-Roch, Paris, - .
«De ses activités de graphiste, elle a conservé l'acuité du trait, la rigueur de la composition dans le format. Elle peint dans des gammes de gris colorés et de bruns. Si elle s'inspire de scènes de marchés, d'arbres, de marines, de façades d'immeubles, de colombages, de portes et fenêtres, elle en élimine l'anecdote pour n'en conserver que la structure et la poésie. Son écriture post-cubiste ne cesse de frôler l'abstraction.» - Jacques Busse[2]
«Tiens! Une porte qui grince, un crépi qui s'émiette, une lumière qui lézarde, autant d'impressions fugitives que seul un œil exercé, exigeant et patient peut détecter dans la quiétude de ces pierres silencieuses. Sûr que Céelle possède cette acuité visuelle, sinon comment pourrait-elle nous faire revivre ces vieux bois, ces vieilles poutres, ces ferronneries et ces jeux de lumières caressant un filet d'eau?» - Harry Kampianne[8]
«Passionnément artiste, Céelle a bâti son œuvre, avec patience et détermination, du graphisme à la peinture, du dessin à l'aquarelle. D'une nature ouverte et curieuse, elle a peint ce que son regard lui désignait, ce que son cœur lui dictait. Au fil des ans, la démarche s'est affinée, pour se concentrer sur l'architecture: maisons de village, palais vénitiens, détail d'une fenêtre ou d'une porte... Pourtant la vie affleure, la main de l'homme se laisse deviner. Céelle peint aussi le quotidien dans la beauté simple d'instants captés, faits de lumière, de sérénité, de bonheurs sereins que l'artiste sait contenir dans l'espace de la toile avec finesse et talent.» - Tony Lammar
French Art now - Salon France America, catalogue d'exposition, Association pour la promotion du patrimoine artistique français, Évry / International Association for contemporary art, Chicago, 1991, p.237 et illustration n°71..