et : Étienne Báthory, roi de Pologne et grand-duc de Lituanie, accorde aux jésuites la charte de fondation de leur école supérieure de Vilnius (Academia et Universitas Vilnensis Societatis Jesu) et le pape Grégoire XIII en confirme les statuts[1], mais la faculté de médecine de cette première université des pays baltes ne sera créée que le , année où l'établissement passera sous contrôle laïc[2].
Roch Le Baillif adresse sa Sommaire défence[6] à la faculté de médecine de Paris qui, depuis qu'il a publié son Demosterion (), exposé apologétique de la doctrine paracelsique, l'accuse devant le Parlement d'exercice illégal de la médecine[7].
Dans son traité De luis venereae curatione («Du traitement du mal vénérien»), édité à titre posthume à Anvers chez Christophe Plantin par Victor Gislain[8], Jean Fernel affirme la contagiosité de la syphilis, et donne sa préférence au traitement par le gaïac, plutôt que par le mercure[4].
(en) Alfredas Bumblauskas, Birutė Butkevičienė, Sigitas Jegelevičius et al., Vilnius University: 1579-2004 (lire en ligne), chap.1: «The University of Vilnius: A Historical Overview», p.2 et suiv..
Odile Caylux, «La Peste: Récit des événements», dans Arles et la Peste de 1720-1721, Aix-en-Provence, Presses universitaires de Provence, (ISBN978-2-82188553-0, lire en ligne), p.41-115, «Les Précédents arlésiens: Une «culture de la peste»» [§4 en ligne].
Roch Le Baillif, Sommaire defence de Roc Le Baillif, sieur de La Rivière, conseiller et médecin ordinaire du roy et de monseigneur duc de Mercoeur, aux demandes des docteurs et faculté de médecine de Paris, Paris, (lire en ligne).
Didier Kahn, Alchimie et paracelsisme en France à la fin de la Renaissance: 1567-1625, Paris, Librairie Droz, , 806p. (ISBN978-2-600-00688-0, lire en ligne), chap.3.3.: «Pleins feux sur le paracelsisme en France: Le Procès de Roch Le Baillif (1578-1580)», p.278.
(la) Jean Fernel et Victor Gislain (éd.), Joannis Fernelii Ambiani, De luis venereae curatione perfectissima liber, nunquam ante hac editus, Antverpiae [à Anvers], ex officina Christophori Plantini [des ateliers de Christophe Plantin], m.d.lxxix [1579], 126-[12] p. (lire en ligne).
(en) Thompson Cooper, «Dee, Arthur (1579-1651)», dans Dictionary of National Biography, vol.14: Damon-D'Eyncourt, Londres, Elder Smith & Co, (lire en ligne), p.269.
(it) Giuliano Gliozzi, «Canani (Canano), Giovanni Battista, il Giovane», dans Dizionario biografico degli Italiani, vol.17, Rome, Istituto Treccani, (lire en ligne).