Loading AI tools
équipe sportive nationale masculine De Wikipédia, l'encyclopédie libre
L'équipe de France masculine de volley-ball est composée des meilleurs joueurs français sélectionnés par la Fédération française de volley (FFVolley).
Confédération | CEV |
---|---|
Fédération | Fédération française de volley |
Membre de la FIVB | Depuis |
Classement mondial | 2e place |
Entraîneur | Andrea Giani[1] |
Record de sélections | Hervé Mazzon : 417 |
Site web | FFVB |
Premier match |
à Prague Tchécoslovaquie 3-0 France |
---|
Tournoi final | 5 (1er en 1988) |
---|---|
Meilleur résultat | (2020, 2024) |
Tournoi final | 16 (1er en 1949) |
---|---|
Meilleur résultat | (2002) |
Tournoi final | 30 (1er en 1948) |
---|---|
Meilleur résultat | (2015) |
Tournoi final | 2 (1er en 1965) |
---|---|
Meilleur résultat | 5e (2003) |
Tournoi final | 26 (1er en 1990) |
---|---|
Meilleur résultat | (2015, 2017, 2022, 2024) |
Le palmarès de la sélection française reste vierge jusqu'au milieu des années , avec comme meilleurs résultats obtenus quatre places de finalistes en Championnat d'Europe (en 1948, 1987, 2003 et 2009) ainsi qu'une troisième place en Championnat du monde (en 2002).
Sous la direction de Laurent Tillie à partir de , elle se hisse parmi les meilleures formations mondiales. Le , les Bleus remportent la Ligue mondiale avant de remporter trois mois plus tard, leur premier titre majeur avec le Championnat d'Europe.
En , l'équipe de France récidive en étant vainqueur d'une deuxième Ligue mondiale en trois ans.
Le , alors que la France n'avait jamais atteint les quarts de finale aux Jeux olympiques, elle parvient à remporter le plus grand titre de son histoire à l'occasion de l'édition tokyoite. Elle devient à cette occasion la cinquième équipe française de sport collectif à remporter la médaille d'or, une première pour le volley-ball en France.
Le 10 août 2024, l'équipe renouvelle l'exploit en s'imposant lors de la finale de ses propres jeux olympiques.
L'Italien Andrea Giani en est le sélectionneur principal depuis le . Au cours de sa première année de mandat, la sélection gagne une 3e Ligue des nations, la première sous cette appellation.
La France est classée au 3e rang de la FIVB au [2], perdant une place après sa défaite en quart de finale du championnat du monde 2022.
Redescendu au 6e rang à l’issue d’une année 2023 décevante, les français remportent à nouveau la Ligue des Nations en 2024 après des matchs de phase finale très disputés.
Cinq joueurs sont champions d'Europe 2015 et champions olympiques 2020 : Jenia Grebennikov, Nicolas Le Goff, Earvin Ngapeth, Kévin Tillie et Benjamin Toniutti.
La première rencontre officielle de l'histoire de l'équipe de France a lieu à Prague le contre la Tchécoslovaquie. Les Français s'inclinent lors de cette opposition amicale par 3 set à 0 (15-11, 15-9, 15-8). La France est affiliée à la Fédération internationale de volley-ball (FIVB) depuis et à la Confédération européenne de volley-ball (CEV) depuis .
L'équipe de France dispute la première édition du Championnat d'Europe en 1948 à Rome en Italie où les Bleus finissent second d'une poule unique de six équipes derrière la Tchécoslovaquie[3]. Trois ans plus tard, la France organise à Paris l'édition 1951. Les Bleus finissent troisième parmi les dix meilleures équipes continentales.
En 1985, à Amsterdam, la France remporte sa première médaille depuis 1951 au Championnat d’Europe. Elle termine troisième du tournoi et s’octroie la médaille de bronze. Dans la poule finale, elle remporte trois de ses cinq matchs et concède ses deux défaites contre l’URSS (champion d’Europe) et la Tchécoslovaquie (médaille d’argent)[3].
En 1986, Laurent Tillie, Stéphane Faure, Alain Fabiani, Philippe Blain et Éric Bouvier, font partie de l'équipe de France qui se prépara sous forme de commando en vue du Championnat du monde 1986 se déroulant en France. Les Bleus terminent à la sixième place de cette compétition, où Philippe Blain est élu meilleur joueur.
Un an plus tard, le , les français s’inclinent en finale de l'Euro contre l’URSS (3 sets à 1), à Gand en Belgique. La France joue une finale, pour la première fois, depuis 1948. Avec cette performance, elle se qualifie directement et pour la première fois pour les Jeux olympiques, se déroulant à Séoul en 1988[3].
En , après un passage à vide de quinze années, la France monte pour la première fois de son histoire sur un podium d'une compétition mondiale. L’équipe, entraînée par le duo Philippe Blain-Glenn Hoag, domine la Yougoslavie dans le match pour la 3e place, en 3 sets (25-23, 25-23, 25-16) et décroche la médaille de bronze au Championnat du monde se déroulant en Argentine[3].
Un an plus tard, les Bleus disputent le Championnat d'Europe en Allemagne et parviennent en finale de la compétition pour la troisième fois de leur histoire après 1948 et 1987. L'équipe de France s'incline 2 à 3 (18-25, 42-40, 18-25, 29-27, 9-15) face à l'Italie au terme d'une finale disputée. Les Italiens sont les seuls à avoir battu, par deux fois (en match de poule et en finale) l’équipe emmenée par Frantz Granvorka et Hubert Henno, ce dernier, élu meilleur défenseur de cette compétition[3].
En 2006, grâce à sa victoire obtenue en demi-finale de la Ligue mondiale face à la Bulgarie (25-21, 25-20, 25-20), elle se hisse en finale. Les Français s’inclinent en 5 sets (25-22, 25-23, 22-25, 23-25, 13-15) contre les Brésiliens (futurs champions du monde 2006) et empochent la médaille d’argent[3].
Six ans plus tard, en 2009, les Bleus disputent une nouvelle finale lors du championnat d’Europe se déroulant en Turquie. Après avoir battu les Russes en demi-finale, en 5 sets, la France affronte la Pologne, le 13 septembre, pour le titre européen. Comme en 2003, c’est contre une même équipe que les Français perdent leurs deux seuls matchs du tournoi, dont la finale, en quatre sets (29-27, 25-21, 16-25, 27-25). De nouveaux joueurs comme Antonin Rouzier font leur apparition dans le groupe France[3].
Le match contre la Bulgarie, le 9 juin 2012 qui a privé les Bleus de Jeux olympiques 2012 est vécu comme une grande désillusion[3].
Le , Laurent Tillie succède à Philippe Blain au poste de sélectionneur national. Il est secondé par Arnaud Josserand avec pour objectif commun de qualifier l'équipe pour les Jeux olympiques de Rio en 2016.
En , les Bleus réalisent leur premier fait d'armes depuis 2009 en atteignant la demi-finale du Championnat du monde.
En 2015, l’équipe de France démarre sa campagne pour la Ligue mondiale en deuxième division. Elle remporte 14 matchs d’affilée et termine vainqueur de cette division 2. Pour la phase finale, elle est reversée dans la poule des États-Unis et du Brésil. Après deux victoires et une défaite elle parvient en finale. Le , La France bat la Serbie en finale par 3 set à 0 (25-19, 25-21, 25-23) au Ginásio do Maracanãzinho de Rio de Janeiro et remporte le premier titre de leur histoire sur la scène internationale. Earvin Ngapeth est élu meilleur joueur du tournoi par la FIVB. Une consécration pour l’équipe de France surnommée « Team Yavbou » par ses joueurs[3].
Le , l'équipe de France remporte le Championnat d'Europe, son premier trophée majeur et met fin à 67 ans d'attente depuis sa première participation à une compétition majeure. Cette victoire s'est construite à la suite de performances de très haut niveau comme en témoignent les succès contre l’Italie et la Bulgarie, acquis alors que les Français étaient menés deux manches à rien. Deux sélections affrontées de plus chez elles, respectivement lors du premier tour, et en demi-finale devant plus de 13 000 supporters bulgares. En finale, les Bleus battent nettement la Slovénie 3 set à 0 à Sofia. Sur la balle de match, Earvin Ngapeth termine par un smash renversé[4]. À l'issue de la compétition, Antonin Rouzier est élu meilleur joueur par la CEV[5]. Les Bleus concluent une année historique au cours de laquelle ils ont gagné 23 de leurs 24 matchs officiels et ont remporté la Ligue mondiale et le titre de champion d’Europe[6],[3].
La France termine neuvième des Jeux olympiques de Rio en 2016 après deux olympiades successives manquées.
Le , les Bleus confirment leur statut en s'adjugeant une seconde Ligue mondiale deux ans après la première. Lors de la finale, l'équipe de France réalise l'exploit en terre brésilienne de battre la seleção, championne olympique 2016, par 3 manches à 2 à l'Arena da Baixada. Comme lors de l'édition 2015, Earvin Ngapeth est élu meilleur joueur du tournoi. Cette compétition est la dernière sous l'appellation « Ligue mondiale » avant d'être renommée « Ligue des nations » à partir de l'édition suivante.
En 2018, l’équipe de France dispute la phase finale de la Ligue des nations à domicile au stade Pierre Mauroy de Villeneuve-d'Ascq. Les Bleus s'inclinent 0-3 en finale face à la Russie (22-25, 20-25, 23-25).
En , la France dispute la phase finale du Championnat d'Europe à domicile, ce qui constitue une première dans une compétition majeure depuis 33 ans et le Mondial 1986. Le premier tour se déroule à la Sud de France Arena de Montpellier où les Bleus remportent leur cinq rencontres et finissent premier de leur poule devant l'Italie qui est la seule sélection a leur avoir pris un set. Ils prennent ensuite la direction de Nantes et de son Hall XXL pour le début de la phase à élimination directe. En huitièmes de finale, l'équipe de France se défait aisément de la Finlande (3-0) avant de rencontrer à nouveau l'Italie pour le quart de finale, qu'ils battent sèchement (3-0) dans un match épique. Le dernier carré de la compétition se dispute à l'AccorHotels Arena à Paris où les Bleus font face à l'Équipe de Serbie en demi-finale. La rencontre est disputée jusqu'à la cinquième et dernière manche, moment où la Serbie prend un avantage définitif (2-3). Moins de 24 heures après la demi-finale, la compétition se termine sur une dernière défaite (0-3) où la France usée, ne peut empêcher la Pologne de prendre la troisième place.
Au Tournoi de qualification olympique de Berlin, en janvier 2020, les Bleus sont menés deux sets à zéro en demi-finale par la Slovénie avant de renverser la partie (3-2) puis de valider leur billet pour Tokyo lors de la finale face à l'Allemagne (3-0). Le , Laurent Tillie annonce à la surprise générale qu'il quitte son poste de sélectionneur national à l'issue des Jeux de Tokyo 2020[7]. Cette annonce intervient seulement quelques jours avant que la pandémie de Covid-19 ne sévisse fortement et durablement à travers le monde. Par conséquent, la Ligue des nations 2020 est annulée et les Jeux olympiques de Tokyo sont reportés à l'été 2021. L'équipe de France ne joue donc plus de rencontres internationales au cours de l'année.
Le , Bernardo Rocha de Rezende, entraîneur brésilien ayant le plus grand palmarès de l'histoire du volley-ball mondial, est annoncé par la fédération française pour prendre la succession du technicien français[8].
En et après plus de 16 mois d'inactivité, les Bleus font leur retour à la compétition à l'occasion de la Ligue des nations 2021 se disputant à Rimini en Italie, pour un tournoi servant de répétition générale avant les Jeux olympiques. Après un premier tour marathon de quinze rencontres, ils se classent troisième de la phase finale derrière le Brésil et la Pologne.
Pour sa 5e participation aux Jeux olympiques, la France est placée dans la poule B, avec le Brésil, les États-Unis, la Russie, l’Argentine et la Tunisie où les quatre premiers se qualifient pour les quarts de finale. L’équipe de France n’a jamais fait mieux qu’une huitième place aux JO, en 1988 à Séoul, et reste sur une décevante neuvième place à Rio en 2016. L'entrée dans la compétition olympique est cahoteuse avec une défaite contre les États-Unis (0-3) puis contre l’Argentine (2-3) avant une qualification in extremis grâce aux deux sets arrachés aux Brésiliens malgré la défaite (2-3) lors de l’ultime journée de la phase de poule. Présente pour la première fois de son histoire en quarts de finale des Jeux olympiques, l'équipe de France réalise l'exploit en s'imposant en cinq sets (21-25, 25-22, 21-25, 25-21, 15-9) face à la Pologne, double championne du monde (2014 et 2018) au terme d'un match mémorable[9]. En demi-finale, les Bleus prennent leur revanche sur l'Argentine (3-0) qui les avait battue lors du premier tour.
Le , jour de la finale, l'équipe de France réalise le plus grand exploit de son histoire en devenant championne olympique pour la première fois, en battant l'équipe du Comité olympique russe au bout du cinquième set décisif (25-23, 25-17, 21-25, 21-25, 15-12)[10]. Antoine Brizard se montre décisif durant l'ultime manche par un smash malicieux donnant deux balles de match à son équipe[11]. Earvin Ngapeth lui, marque 26 points dont 21 en attaque. Pour son parcours et particulièrement en finale, il est désigné meilleur joueur de ce tournoi[12]. Il figure également dans l'équipe-type avec deux de ses coéquipiers : Barthélémy Chinenyeze et le libéro Jenia Grebennikov[12].
Avec ce sacre, Laurent Tillie conclut en apothéose son mandat de neuf années à la tête de l'équipe de France. Son bilan est exceptionnel avec deux titres majeurs (Euro 2015, JO 2020) et deux Ligues mondiales (2015, 2017) remportés, permettant à la sélection de s'installer durablement au plus haut niveau mondial. Son mérite est également d'avoir apporté au volley-ball français ses premiers titres internationaux en plus de l'avoir sortie d'un certain anonymat médiatique.
Le , au lendemain de la clôture des Jeux olympiques 2020, Bernardo Rocha de Rezende, dit Bernardinho débute officiellement son mandat avec l'équipe de France. Son contrat court jusqu’aux Jeux olympiques de Paris en 2024, avec comme étapes intermédiaires l’Euro 2021, le Mondial 2022 et l’Euro 2023. Il devient le premier sélectionneur étranger à prendre la tête des Bleus depuis le Russe Vladimir Kondra en [13]. Depuis sa finale à Tokyo, l'équipe de France dispose seulement de 27 jours pour préparer sa troisième compétition de l'été avec le championnat d'Europe dont le premier match des Bleus est prévu le . Le , le nouveau sélectionneur communique sa liste définitive de quatorze joueurs. Parmi eux, dix des douze champions olympiques de Tokyo y figurent. Seuls Kévin Tillie et Stephen Boyer ne sont pas présents pour raisons familiales et quatre autres joueurs sont retenus : Benjamin Diez, Théo Faure, Mousse Gueye et François Rebeyrol[14].
En , l'équipe de France participe à un Championnat d'Europe pour la 30e fois à l'occasion de la 32e édition se déroulant dans quatre pays (Estonie, Finlande, Pologne et Tchéquie). Les Bleus disputent leur premier tour à Tallinn en Estonie. Le , ils le concluent par une cinquième victoire en autant de rencontres disputées, où seule l'Allemagne est parvenue à leur prendre un set, avant de se diriger vers la Tchéquie pour le début de la phase finale[15]. En huitièmes de finale, après huit balles de match sauvées, les Français s'inclinent 0-3 (22-25, 19-25, 32-34) face à l'équipe tchèque qui évolue à domicile à Ostrava. Usés, les champions olympiques et médaillés de bronze de la Ligue des nations ne peuvent monter sur un troisième podium en un été, en conséquence d'une longue campagne internationale (31 matchs officiels et deux amicaux depuis mai). Comme lors de l'Euro 2017, les Bleus sont éliminés en huitième de finale par cette même équipe[16].
Le , l'équipe de France se qualifie officiellement pour le Championnat du monde 2022 au bénéfice de sa quatrième place au classement mondial des nations[17].
Le , la Fédération française de volley annonce la démission du sélectionneur Bernardo Rocha de Rezende pour raison personnelle[18].
L'Italien Andrea Giani succède à Bernardo Rezende le [19].
Le , la France atteint pour la première fois de son histoire la 2e place du classement mondial de la FIVB, derrière la Pologne, après une victoire 3 set à 0 face au Brésil lors du tour préliminaire de la Ligue des nations 2022. Dernière équipe qu'elle devance désormais, illustrant la dimension prise par la sélection française depuis [20]. Présente en finale, deux semaines plus tard, elle remporte au tie-break un duel de haute lutte face aux États-Unis et s'octroie une 3e Ligue des nations, la première sous cette appellation[21]. Le réceptionneur-attaquant Earvin Ngapeth se distingue avec un nouveau titre de meilleur joueur de la compétition[22].
Après une remarquable première partie d’été, ponctuée de 12 victoires en 15 matchs de Ligue des nations et d’un nouveau trophée remporté dans l'épreuve, la France participe à partir de fin à son 6e Championnat du monde consécutif avec le statut cette fois-ci d'un des favoris pour le titre. Le nouveau sélectionneur Andrea Giani convoque pour l'occasion 11 des 12 champions olympiques de Tokyo. Seul Daryl Bultor, blessé à l'épaule droite, est contraint de déclarer forfait. La liste des 14 joueurs est complétée par les centraux Médéric Henry et Quentin Jouffroy, et par le libéro Benjamin Diez[23],[24]. Au 1er tour de la compétition, se déroulant à l'Arena Stožice de Ljubljana en Slovénie, les Français se sortent de situations compromises en renversant des scores lors des deux premiers matchs face à l'Allemagne (3-0) et la Slovénie (3-2), deux sélections auparavant dirigées par le technicien italien des Bleus. Face à l'équipe slovène, poussée par plus de 10 000 supporteurs, trois balles de match sont également sauvées, prouvant une fois de plus leur force mentale dans les grands rendez-vous[25],[26]. Après une troisième victoire face au Cameroun (3-0), la France termine à la 1re place du groupe D et retrouve six jours plus tard le Japon en huitièmes de finale, équipe battue à deux reprises lors de la dernière Ligue des nations et entraînée par l'ancien joueur et sélectionneur tricolore Philippe Blain[27]. Loin de son niveau de jeu habituel et face à des Japonais en pleine réussite, la France remporte très difficilement le match en cinq manches (25-17, 21-25, 26-24, 22-25, 18-16), passant également tout près de l'élimination après une balle de match non-convertie par les joueurs asiatiques dans le tie-break décisif[28]. Deux jours plus tard, les Bleus disputent leur 5e et dernier match dans la salle slovène, sans Kévin Tillie, blessé à la voûte plantaire et forfait pour le reste du tournoi[29]. Face aux champions d'Europe italiens, la France s'incline (26-24, 21-25, 25-23, 22-25, 12-15) et voit son parcours s'arrêter en quarts de finale après plus de deux heures d’une rencontre très disputée[30].
Qualifiée dans la poule A, la France débute son tour préliminaire avec une victoire (3-2) face à la Serbie[31]. Elle gagne après face aux Canadiens (3-0)[32]. Elle perd le match suivant face à la Slovénie (3-2)[33]. L'équipe de France se retrouve donc en quart de finale face à l'équipe d'Allemagne à laquelle ils furent accrochés durant les deux premiers set mais elle se ressaisit et gagne 3 set à 2 (18-25, 26-28, 25-20, 25-21, 15-13)[34]. Elle se retrouve en demi-finale face à l'équipe d'Italie championne du monde en titre et gagne 3 à 0 (25-20, 25-21, 25-21). Elle affronte en finale la Pologne, équipe classée en première position du classement mondiale. Elle termine là aussi 3 set à 0 et devient alors double champions olympiques après son titre de Tokyo[35].
L'équipe de France de volley-ball devient le la 9e sélection de l'histoire à être sacrée championne olympique. Elle devient également la 5e équipe française masculine de sport collectif à remporter ce titre, après l'équipe de rugby à XV en 1900, l'équipe de water-polo en 1924, l'équipe de football en 1984 et l'équipe de handball en 2008, et la 6e en ajoutant l'équipe de handball féminine en 2020.
A l'occasion des Jeux olympiques 2024, l'équipe de France masculine décroche un deuxième titre d'affilée en remportant la finale face à la Pologne (3 sets à 0 pour la France ; 25-19, 25-20, 25-23) le 10 août 2024, le tout en affichant un niveau de jeu proche de la perfection et en ayant empoché 9 sets d'affilée jusqu'au titre. Ce titre apporte une quinzaine médaille d'or à la délégation olympique française, égalant le record d'Atlanta de 1996[36].
|
Année | Jeux olympiques |
Championnat du monde |
Ligue mondiale |
Ligue des nations |
Coupe du monde |
Championnat d'Europe |
---|---|---|---|---|---|---|
1948 | Finaliste | |||||
1949 | 6e | |||||
1950 | Non qualifiée | |||||
1951 | ||||||
1952 | 6e | 3e | ||||
1953 | ||||||
1954 | ||||||
1955 | 8e | |||||
1956 | 7e | |||||
1957 | ||||||
1958 | 8e | |||||
1959 | ||||||
1960 | 9e | |||||
1961 | ||||||
1962 | Non qualifiée | |||||
1963 | 8e | |||||
1964 | Non qualifiée | |||||
1965 | 11e | |||||
1966 | 18e | |||||
1967 | 10e | |||||
1968 | Non qualifiée | |||||
1969 | Non qualifiée | |||||
1970 | 17e | |||||
1971 | 14e | |||||
1972 | Non qualifiée | |||||
1973 | Édition annulée | |||||
1974 | 16e | |||||
1975 | 8e | |||||
1976 | Non qualifiée | |||||
1977 | Non qualifiée | 10e | ||||
1978 | 15e | |||||
1979 | 4e | |||||
1980 | Non qualifiée | |||||
1981 | Non qualifiée | 8e | ||||
1982 | 16e | |||||
1983 | 12e | |||||
1984 | Non qualifiée | |||||
1985 | Non qualifiée | 3e | ||||
1986 | 6e | |||||
1987 | Finaliste | |||||
1988 | 8e | |||||
1989 | Non qualifiée | 5e | ||||
1990 | 8e | 5e | ||||
1991 | 8e | Non qualifiée | 9e | |||
1992 | 11e | 11e | ||||
1993 | Non qualifiée | 9e | ||||
1994 | Non qualifiée | Non qualifiée | ||||
1995 | Non qualifiée | Non qualifiée | Non qualifiée | |||
1996 | Non qualifiée | Non qualifiée | ||||
1997 | Non qualifiée | 4e | ||||
1998 | Non qualifiée | Non qualifiée | ||||
1999 | 7e | Non qualifiée | 6e | |||
2000 | Non qualifiée | 7e | ||||
2001 | 5e | 9e | ||||
2002 | 3e | 8e | ||||
2003 | 10e | 5e | Finaliste | |||
2004 | 9e | 5e | ||||
2005 | 8e | 7e | ||||
2006 | 6e | Finaliste | ||||
2007 | 6e | Non qualifiée | 9e | |||
2008 | Non qualifiée | 10e | ||||
2009 | 9e | Finaliste | ||||
2010 | 11e | 12e | ||||
2011 | 12e | Non qualifiée | 7e | |||
2012 | Non qualifiée | 7e | ||||
2013 | 10e | 5e | ||||
2014 | 4e | 10e | ||||
2015 | Vainqueur | Non qualifiée | Vainqueur | |||
2016 | 9e | 3e | ||||
2017 | Vainqueur | 9e | ||||
2018 | 7e | Finaliste | ||||
2019 | 5e | Non qualifiée | 4e | |||
2020 | Édition annulée | |||||
2021 | Médaille d'or | 3e | 9e | |||
2022 | Qualifiée | Vainqueur | ||||
2023 | 8e | Non qualifiée | 4e | |||
2024 | Médaille d'or (pays hôte) | Vainqueur | ||||
Année | Jeux olympiques |
Championnat du monde |
Ligue mondiale |
Ligue des nations |
Coupe du monde |
Championnat d'Europe |
Année | Position | Année | Position | Année | Position | Année | Position | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1964 | Non qualifiée | 1980 | Non qualifiée | 1996 | Non qualifiée | 2012 | Non qualifiée | |||
1968 | Non qualifiée | 1984 | Non qualifiée | 2000 | Non qualifiée | 2016 | 9e | |||
1972 | Non qualifiée | 1988 | 8e | 2004 | 9e | 2020 | Vainqueur | |||
1976 | Non qualifiée | 1992 | 11e | 2008 | Non qualifiée | 2024 | Vainqueur |
Prochainement
Année | Position | Année | Position | Année | Position | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
1949 | 6e | 1974 | 16e | 2002 | Troisième | ||
1952 | 6e | 1978 | 15e | 2006 | 6e | ||
1956 | 7e | 1982 | 16e | 2010 | 11e | ||
1960 | 9e | 1986 | 6e | 2014 | 4e | ||
1962 | Non participante | 1990 | 8e | / 2018 | 7e | ||
1966 | 18e | 1994 | Non qualifiée | / 2022 | 5e | ||
1970 | 17e | 1998 | Non qualifiée | 2026 | À venir |
Prochainement
Année | Position | Année | Position | Année | Position | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
1948 | Finaliste | 1981 | 8e | 2003 | Finaliste | ||
1950 | Non qualifiée | 1983 | 12e | 2005 | 7e | ||
1951 | Troisième | 1985 | Troisième | 2007 | 9e | ||
1955 | 8e | 1987 | Finaliste | 2009 | Finaliste | ||
1958 | 8e | 1989 | 5e | 2011 | 7e | ||
1963 | 8e | 1991 | 9e | 2013 | 5e | ||
1967 | 10e | 1993 | 9e | 2015 | Vainqueur | ||
1971 | 14e | 1995 | Non qualifiée | 2017 | 9e | ||
1975 | 8e | 1997 | 4e | 2019 | 4e | ||
1977 | 10e | 1999 | 6e | 2021 | 9e | ||
1979 | 4e | 2001 | 9e | 2023 | 4e |
Phase qualificative du Championnat d'Europe | Phase finale du Championnat d'Europe | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Année | Résultat | Pos. | MJ | V | D | SP | SC | MJ | V | D | SP | SC | |
1948 | Tour principal | 2e | 5 | 4 | 1 | 12 | 3 | - | - | - | - | - | |
1950 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1951 | Phase finale | 3e | 7 | 4 | 3 | 13 | 13 | - | - | - | - | - | |
1955 | Phase finale | 8e | 10 | 2 | 8 | 11 | 24 | - | - | - | - | - | |
1958 | Phase finale | 8e | 11 | 3 | 8 | 12 | 24 | - | - | - | - | - | |
1963 | Phase finale | 8e | 11 | 3 | 8 | 12 | 26 | - | - | - | - | - | |
1967 | Phase finale | 10e | 11 | 7 | 4 | 25 | 16 | - | - | - | - | - | |
1971 | Phase finale | 14e | 7 | 4 | 3 | 16 | 12 | - | - | - | - | - | |
1975 | Phase finale | 8e | 8 | 4 | 4 | 12 | 17 | 2 | 2 | 0 | 6 | ? | |
1977 | Phase de classement | 10e | 7 | 3 | 4 | 11 | 15 | 4 | 4 | 0 | 12 | 3 | |
1979 | Phase de classement | 4e | 8 | 4 | 4 | 17 | 17 | - | - | - | - | - | |
1981 | Phase de classement | 8e | 8 | 5 | 3 | 18 | 16 | - | - | - | - | - | |
1983 | Phase de classement | 12e | 8 | 1 | 7 | 10 | 23 | 2 | 2 | 0 | 6 | ? | |
1985 | Phase de classement | 3e | 11 | 8 | 3 | 19 | 9 | 6 | 6 | 0 | 12 | 1 | |
1987 | Finaliste | 2e | 7 | 5 | 2 | 17 | 7 | - | - | - | - | - | |
1989 | Phase de classement | 5e | 7 | 5 | 2 | 16 | 12 | - | - | - | - | - | |
1991 | Phase préliminaire | 9e | 5 | 2 | 3 | 7 | 10 | 4 | 4 | 0 | 12 | 2 | |
1993 | Phase préliminaire | 9e | 5 | 2 | 3 | 8 | 11 | - | - | - | - | - | |
1995 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | 6 | 1 | 5 | 7 | 15 | |
1997 | 1/2 finales | 4e | 7 | 3 | 4 | 11 | 14 | 8 | 7 | 1 | 22 | 6 | |
1999 | Phase de classement | 6e | 5 | 2 | 3 | 11 | 9 | 10 | 6 | 4 | 25 | 12 | |
2001 | 1/4 de finale | 9e | 7 | 4 | 3 | 17 | 13 | - | - | - | - | - | |
2003 | Finale | 2e | 7 | 5 | 2 | 18 | 9 | 6 | 4 | 2 | 15 | 7 | |
2005 | Phase préliminaire | 7e | 5 | 2 | 3 | 12 | 10 | - | - | - | - | - | |
2007 | Phase préliminaire | 9e | 5 | 1 | 4 | 7 | 13 | - | - | - | - | - | |
2009 | Finale | 2e | 10 | 7 | 3 | 24 | 16 | 6 | 6 | 0 | 18 | 1 | |
2011 | 1/4 de finale | 7e | 5 | 3 | 2 | 11 | 10 | - | - | - | - | - | |
2013 | 1/4 de finale | 5e | 4 | 3 | 1 | 10 | 5 | 6 | 6 | 0 | 18 | 3 | |
2015 | Finale | 1er | 6 | 6 | 0 | 18 | 6 | - | - | - | - | - | |
2017 | Barrages | 9e | 4 | 3 | 1 | 9 | 8 | - | - | - | - | - | |
2019 | 1/2 finales | 4e | - | - | - | - | - | ||||||
Total | 1 titre | POS | MJ | MV | MD | SP | SC | MJ | MV | MD | SP | SC |
Année | Position | Année | Position | Année | Position | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
1965 | 11e | 1985 | Non qualifiée | 2003 | 5e | ||
1969 | Non qualifiée | 1989 | Non qualifiée | 2007 | Non qualifiée | ||
1973 | Édition annulée | 1991 | Non qualifiée | 2011 | Non qualifiée | ||
1977 | Non qualifiée | 1995 | Non qualifiée | 2015 | Non qualifiée | ||
1981 | Non qualifiée | 1999 | Non qualifiée | 2019 | Non qualifiée |
Phase finale de la Coupe du monde | Phase qualificative de la Coupe du monde | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Année | Résultat | Pos. | MJ | V | D | SP | SC | MJ | V | D | SP | SC | |
1965 | Phase de classement | 11e | 7 | 0 | 7 | 5 | 21 | - | - | - | - | - | |
1969 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1973 | Édition annulée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1977 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1981 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1985 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1989 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1991 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1995 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1999 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
2003 | Phase de classement | 5e | 11 | 7 | 4 | 24 | 16 | - | - | - | - | - | |
2007 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
2011 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
2015 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
2019 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
- | - | - | 18 | 7 | 11 | 19 | 37 | MJ | MV | MD | SP | SC |
Année | Position | Année | Position | Année | Position | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|
1990 | 5e | 2000 | 7e | 2010 | 12e | ||
1991 | 8e | 2001 | 5e | 2011 | 12e | ||
1992 | 11e | 2002 | 8e | 2012 | 7e | ||
1993 | Non qualifiée | 2003 | 10e | 2013 | 10e | ||
1994 | Non qualifiée | 2004 | 5e | 2014 | 10e | ||
1995 | Non qualifiée | 2005 | 8e | 2015 | Vainqueur | ||
1996 | Non qualifiée | 2006 | Finaliste | 2016 | Troisième | ||
1997 | Non qualifiée | 2007 | 6e | 2017 | Vainqueur | ||
1998 | Non qualifiée | 2008 | 10e | ||||
1999 | 7e | 2009 | 9e |
Phase finale de la Ligue mondiale | Phase qualificative de la Ligue mondiale | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Année | Résultat | Pos. | MJ | V | D | SP | SC | MJ | V | D | SP | SC | |
1990 | Tour intercontinental | 5e | 12 | 5 | 7 | 24 | 26 | ||||||
1991 | Tour intercontinental | 8e | 16 | 3 | 13 | 18 | 42 | ||||||
1992 | Tour intercontinental | 11e | 12 | 1 | 11 | 9 | 34 | ||||||
1993 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1994 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1995 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1996 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1997 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1998 | Non qualifiée | - | - | - | - | - | - | ||||||
1999 | Tour intercontinental | 7e | 12 | 5 | 7 | 25 | 26 | ||||||
2000 | Tour intercontinental | 7e | 12 | 7 | 5 | 24 | 21 | ||||||
2001 | Phase finale | 5e | 15 | 9 | 6 | 33 | 29 | ||||||
2002 | Phase finale | 8e | 15 | 9 | 6 | 29 | 27 | ||||||
2003 | Tour intercontinental | 10e | 12 | 6 | 6 | 26 | 20 | ||||||
2004 | Tour intercontinental | 5e | 12 | 9 | 3 | 29 | 17 | ||||||
2005 | Tour intercontinental | 8e | 12 | 4 | 8 | 17 | 30 | ||||||
2006 | Finaliste | 2e | 17 | 11 | 6 | 41 | 30 | ||||||
2007 | Phase finale | 6e | 14 | 7 | 7 | 30 | 29 | ||||||
2008 | Tour intercontinental | 10e | 12 | 6 | 6 | 21 | 25 | ||||||
2009 | Tour intercontinental | 9e | 12 | 6 | 6 | 26 | 24 | ||||||
2010 | Tour intercontinental | 12e | 12 | 5 | 7 | 20 | 29 | ||||||
2011 | Tour intercontinental | 12e | 12 | 3 | 9 | 18 | 29 | ||||||
2012 | Tour intercontinental | 7e | 12 | 9 | 3 | 29 | 19 | ||||||
2013 | Tour intercontinental | 10e | 10 | 5 | 5 | 21 | 23 | ||||||
2014 | Finale de Division 2 | 10e | 14 | 11 | 3 | 38 | 14 | ||||||
2015 | Finale de Division 1 | 1er | 18 | 17 | 1 | 52 | 11 | ||||||
2016 | 1/2 finales | 3e | 13 | 8 | 5 | 32 | 18 | ||||||
2017 | Finale de Division 1 | 1er | 13 | 12 | 1 | 38 | 14 | ||||||
Total | 1 titre | POS | MJ | MV | MD | SP | SC | MJ | MV | MD | SP | SC |
Phase finale de la Ligue des nations | Phase qualificative de la Ligue des nations | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Année | Résultat | Pos. | MJ | V | D | SP | SC | MJ | V | D | SP | SC | |
2018 | Finale | 2e | 19 | 14 | 5 | 47 | 23 | ||||||
2019 | Phase de poules | 5e | 17 | 11 | 6 | 39 | 24 | ||||||
2020 | À venir | ||||||||||||
2021 | 1/2 finales | 3e | 17 | 12 | 5 | 44 | 25 | ||||||
2022 | Finale | 1er | 15 | 12 | 3 | 40 | 13 | ||||||
2023 | 1/4 de finale | 8e | 13 | 6 | 7 | 25 | 24 | ||||||
2024 | Finale | 1er | 15 | 11 | 4 | 39 | 25 | ||||||
Total | 2 titres | POS | MJ | MV | MD | SP | SC | MJ | MV | MD | SP | SC |
|
|
|
Depuis 1937, la liste des sélectionneurs de l'équipe de France est la suivante :
|
|
|
Depuis 1937, la liste des joueurs de l'équipe de France ayant connu le plus grand nombre de sélections est la suivante[38] :
Rang | Nom | Période | Sélections |
---|---|---|---|
1 | Hervé Mazzon | 1980-1991 | 417 |
2 | Christophe Meneau | 1986-2000 | 407 |
3 | Laurent Tillie | 1982-1995 | 406 |
4 | Alain Fabiani | 1977-1992 | 392 |
5 | Stéphane Faure | 1977-1988 | 350 |
6 | Philippe Blain | 1980-1991 | 340 |
7 | Laurent Chambertin | 1987-2002 | 336 |
8 | Éric Bouvier | 1979-1992 | 325 |
- | Luc Marquet | 1990-2003 | 325 |
10 | Benjamin Toniutti | 2010-? | 323 |
11 | Stéphane Antiga | 1998-2010 | 306 |
12 | Laurent Capet | 1993-2003 | 300 |
13 | Jenia Grebennikov | 2011-? | 296 |
14 | Olivier Rossard | 1986-1995 | 294 |
15 | Jean-Marc Jurkovitz | 1983-1993 | 290 |
16 | Frantz Granvorka | 1996-2007 | 288 |
17 | Dominique Daquin | 1994-2006 | 267 |
18 | Antonin Rouzier | 2006-2016 | 256 |
19 | Pierre Pujol | 2004-2014 | 254 |
20 | Patrick Duflos | 1986-1995 | 253 |
Effectif des 14 joueurs retenus pour le Championnat du monde 2022[23].
# | Nom | Date de Naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Barthélémy Chinenyeze | 201 | 81 | Central | Callipo Sport | 78 | |
2 | Jenia Grebennikov | 188 | 85 | Libero | Modène Volley | 263 | |
4 | Jean Patry | 207 | 94 | Pointu | Powervolley Milan | 66 | |
6 | Benjamin Toniutti | 183 | 72 | Passeur | ZAKSA Kędzierzyn-Koźle | 289 | |
7 | Kévin Tillie | 200 | 85 | Réceptionneur-attaquant | Top Volley Cisterna | 203 | |
9 | Earvin Ngapeth | 194 | 96 | Réceptionneur-attaquant | Zenit Kazan | 260 | |
11 | Antoine Brizard | 196 | 96 | Passeur | Zénit Saint-Pétersbourg | 90 | |
12 | Stephen Boyer | 196 | 77 | Pointu | Al-Arabi SC Doha | 90 | |
14 | Nicolas Le Goff | 206 | 114 | Central | Montpellier UC | 210 | |
16 | Daryl Bultor | 197 | 94 | Central | Tourcoing-Lille Métropole Volley-Ball | 80 | |
17 | Trévor Clévenot | 199 | 89 | Réceptionneur-attaquant | Pallavolo Plaisance | 120 | |
19 | Yacine Louati | 198 | 90 | Réceptionneur-attaquant | Jastrzębski Węgiel | 30 | |
Entraîneur : Laurent Tillie France ; entraîneur-adjoint : Loic Le Marrec
Arnaud Josserand
# | Nom | Date de Naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | José Trèfle | 198 | 92 | Central | Arago de Sète | 12 | |
2 | Jenia Grebennikov | 188 | 74 | Libero | Rennes Volley 35 | 27 | |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 197 | 93 | Central | Tours Volley-Ball | 91 | |
4 | Antonin Rouzier | 201 | 97 | Attaquant | ZAKSA Kędzierzyn-Koźle | 119 | |
5 | Jean-François Exiga | 176 | 75 | Libero | Tours Volley-Ball | 107 | |
6 | Benjamin Toniutti | 183 | 72 | Passeur | Arago de Sète | 57 | |
7 | Nicolas Maréchal | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 79 | |
8 | Marien Moreau | 201 | 100 | Attaquant | Plateros de Corazal | 69 | |
9 | Guillaume Quesque | 204 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Casa Modène | 0 | |
10 | Jean-Philippe Sol | 198 | 88 | Central | Arago de Sète | 67 | |
11 | Julien Lyneel | 192 | 85 | Réceptionneur-attaquant | Montpellier UC | 20 | |
12 | Earvin N'Gapeth | 194 | 93 | Réceptionneur-attaquant | Piemonte Volley | 37 | |
13 | Pierre Pujol | 186 | 90 | Passeur | AS Cannes | 182 | |
14 | Toafa Takaniko | 192 | 88 | Passeur | Nantes Rezé MV | 37 | |
15 | Samuel Tuia | 195 | 95 | Réceptionneur-attaquant | Kouzbass Kemerovo | 64 | |
16 | Kévin Tillie | 198 | 75 | Réceptionneur-attaquant | UC Irvine | 0 | |
17 | Horacio d'Almeida | 200 | 100 | Central | Tourcoing LM | 0 | |
17 | Emmanuel Ragondet | 191 | 77 | Réceptionneur-attaquant | Tours Volley-Ball | 26 | |
18 | Julien Lemay | 181 | 71 | Libero | Tourcoing LM | 0 | |
19 | Baptiste Geiler | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 23 | |
20 | Kévin Le Roux | 208 | 92 | Central | AS Cannes | 13 | |
21 | Yannick Bazin | 190 | 92 | Passeur | Stroitel Minsk | 22 | |
22 | Nicolas Le Goff | 204 | 97 | Central | Montpellier UC | 0 | |
23 | Gary Gendrey | 198 | 85 | Central | Tourcoing LM | ||
24 | Ludovic Castard | 195 | 95 | Réceptionneur-attaquant | Montpellier UC | 77 |
Entraîneur : Philippe Blain France ; entraîneur-adjoint : Jocelyn Trillon France
# | Nom | Date de Naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Xavier Kapfer | 191 | 96 | Réceptionneur-attaquant | KS Fart Kielce | 40 | |
2 | Jenia Grebennikov | 188 | 74 | Libero | Rennes Volley 35 | 0 | |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 197 | 93 | Central | AS Cannes | 46 | |
4 | Antonin Rouzier | 201 | 97 | Attaquant | Poitiers Volley | 90 | |
5 | Romain Vadeleux | 196 | 100 | Central | Rennes Volley 35 | 93 | |
6 | Benjamin Toniutti | 183 | 72 | Passeur | Arago de Sète | 21 | |
7 | Nicolas Maréchal | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Poitiers Volley | 54 | |
8 | Marien Moreau | 201 | 100 | Attaquant | AS Cannes | 41 | |
9 | Guillaume Samica | 198 | 84 | Réceptionneur-attaquant | Iskra Odintsovo | 169 | |
10 | Jean-Philippe Sol | 198 | 88 | Central | Poitiers Volley | 48 | |
11 | Julien Lyneel | 192 | 85 | Réceptionneur-attaquant | Montpellier UC | 0 | |
12 | Marc Zopie | 198 | 87 | Central | Poitiers Volley | 0 | |
13 | Pierre Pujol | 186 | 90 | Passeur | Fart Kielce | 151 | |
14 | Toafa Takaniko | 193 | 96 | Passeur | AS Cannes | 10 | |
16 | Samuel Tuia | 195 | 95 | Réceptionneur-attaquant | AZS UWM Olsztyn | 33 | |
16 | Guillaume Quesque | 202 | 92 | Réceptionneur-attaquant | Montpellier UC | 0 | |
17 | Franck Lafitte | 203 | 95 | Central | Montpellier UC | 0 | |
18 | Jean-François Exiga | 176 | 75 | Libero | Lube Banca Marche Macerata | 78 | |
19 | Baptiste Geiler | 196 | 80 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 25 | |
20 | Mory Sidibé | 193 | 90 | Attaquant | Noliko Maaseik | 0 |
Cette sélection de l'équipe de France a été présentée le , et est validée pour la Ligue mondiale 2011.
Entraîneur : Philippe Blain France ; entraîneur-adjoint : Jocelyn Trillon France
# | Nom | Date de naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Yannick Bazin | 192 | 92 | Passeur | Paris Volley | 20 | |
2 | Hubert Henno | 188 | 83 | Libero | Bre Banca Cuneo | 211 | |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 197 | 93 | Central | AS Cannes | 44 | |
4 | Antonin Rouzier | 201 | 97 | Attaquant | Stade Poitevin | 66 | |
5 | Romain Vadeleux | 196 | 96 | Central | FL Saint-Quentin | 67 | |
6 | Stéphane Tolar | 199 | 90 | Central | Tourcoing LM | 42 | |
7 | Benjamin Toniutti | 183 | 72 | Passeur | Arago de Sète | 0 | |
8 | Earvin N'Gapeth | 194 | 87 | Réceptionneur-attaquant | Tours Volley-Ball | 0 | |
9 | Guillaume Samica | 197 | 84 | Réceptionneur-attaquant | Panathinaïkos Athènes | 144 | |
10 | Jean-Philippe Sol | 198 | 88 | Central | Stade Poitevin | 40 | |
11 | Édouard Rowlandson | 189 | 80 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 28 | |
12 | Nicolas Maréchal | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Stade Poitevin | 28 | |
13 | Pierre Pujol | 186 | 90 | Passeur | AS Cannes | 139 | |
14 | Toafa Takaniko | 193 | 96 | Passeur | Spacer's de Toulouse | 10 | |
15 | Samuel Tuia | 195 | 95 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 33 | |
16 | Emmanuel Ragondet | 191 | 77 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 40 | |
17 | Oliver Kieffer | 200 | 85 | Central | Stade Poitevin | 177 | |
18 | Jean-François Exiga | 176 | 75 | Libero | Acqua Paradiso Monza | 76 | |
19 | Baptiste Geiler | 196 | 80 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 14 |
Cette sélection de l'équipe de France a été présentée le , et est validée pour la Ligue mondiale 2010.
Entraîneur : Philippe Blain ; entraîneur-adjoint : Olivier Lecat
# | Nom | Date de naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Yannick Bazin | 192 | 92 | Passeur | Paris Volley | 0 | |
2 | Ludovic Castard | 195 | 85 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 0 | |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 197 | 93 | Central | AS Cannes | 41 | |
4 | Antonin Rouzier | 201 | 97 | Attaquant | Knack Roeselare | 38 | |
5 | Romain Vadeleux | 196 | 96 | Central | AS Cannes | 40 | |
6 | Jean-Philippe Sol | 198 | 88 | Central | Montpellier UC | 13 | |
7 | Stéphane Antiga | 200 | 94 | Réceptionneur-attaquant | Skra Bełchatów | 276 | |
8 | Marien Moreau | 201 | 100 | Attaquant | Spacer's de Toulouse | 21 | |
9 | Guillaume Samica | 197 | 84 | Réceptionneur-attaquant | KS Jastrzębski Węgiel | 126 | |
10 | Stéphane Tolar | 199 | 90 | Central | Tourcoing LM | 21 | |
11 | Loïc Le Marrec | 190 | 82 | Passeur | Tours Volley-Ball | 114 | |
12 | Nicolas Maréchal | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Tourcoing LM | 15 | |
13 | Pierre Pujol | 186 | 90 | Passeur | AS Cannes | 123 | |
14 | Loïc Geiler | 198 | 85 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 40 | |
15 | Baptiste Geiler | 196 | 80 | Réceptionneur-attaquant | Montpellier UC | 20 | |
16 | Emmanuel Ragondet | 191 | 77 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 26 | |
17 | Oliver Kieffer | 200 | 85 | Central | Stade Poitevin | 163 | |
18 | Jean-François Exiga | 176 | 75 | Libero | AS Cannes | 58 | |
19 | Édouard Rowlandson | 189 | 80 | Libero | Arago de Sète | 13 |
Cette sélection de l'équipe de France a été présentée le , et est validée pour la Ligue mondiale 2009.
Entraîneur : Philippe Blain ; entraîneur-adjoint : Mauricio Paes
# | Nom | Date de naissance | Taille | Poids | Poste | Club | Sél. |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Yannick Bazin | 192 | 92 | Passeur | Paris Volley | 0 | |
2 | Bojidar Slavev | 203 | 95 | Réceptionneur-attaquant | Tourcoing LM | 17 | |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 197 | 93 | Central | AS Cannes | 46 | |
4 | Antonin Rouzier | 201 | 97 | Attaquant | Knack Roeselare | 25 | |
5 | Romain Vadeleux | 196 | 96 | Central | AS Cannes | 40 | |
6 | Jean-Philippe Sol | 198 | 88 | Central | Montpellier UC | 0 | |
7 | Stéphane Antiga | 200 | 94 | Réceptionneur-attaquant | Skra Bełchatów | 268 | |
8 | Marien Moreau | 201 | 100 | Attaquant | Spacer's de Toulouse | 0 | |
9 | Guillaume Samica | 197 | 84 | Réceptionneur-attaquant | KS Jastrzębski Węgiel | 107 | |
10 | Stéphane Tolar | 199 | 90 | Central | Tourcoing LM | 0 | |
11 | Loïc Le Marrec | 190 | 82 | Passeur | Tours Volley-Ball | 97 | |
12 | Nicolas Maréchal | 198 | 83 | Réceptionneur-attaquant | Tourcoing LM | 0 | |
13 | Pierre Pujol | 186 | 90 | Passeur | AS Cannes | 102 | |
14 | Loïc Geiler | 198 | 85 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 40 | |
15 | Samuel Tuia | 194 | 102 | Réceptionneur-attaquant | AS Cannes | 0 | |
16 | Emmanuel Ragondet | 191 | 77 | Réceptionneur-attaquant | Arago de Sète | 0 | |
17 | Gary Gendrey | 198 | 85 | Central | AS Cannes | 0 | |
18 | Jean-François Exiga | 176 | 75 | Libero | AS Cannes | 50 | |
19 | Édouard Rowlandson | 189 | 80 | Libero | Arago de Sète | 0 |
Cette sélection de l'équipe de France a été présentée le , et est validée pour la Ligue mondiale 2008.
Entraîneur : Philippe Blain France ; entraîneur-adjoint : Olivier Lecat France
Entraîneur : Philippe Blain ; entraîneur-adjoint : Olivier Lecat
Numéro | Nom | Naissance | Taille | Club | Poste |
1 | Xavier Kapfer | 1981 | 1,91 | Nice Volley-Ball | R/A |
2 | Bojidar Slavev | 1984 | 2,03 | Spacer's de Toulouse | R/A |
3 | Gérald Hardy-Dessources | 1983 | 1,97 | Tours Volley-Ball | C |
4 | Antonin Rouzier | 1986 | 2,01 | Asnières Volley 92 | A |
5 | Romain Vadeleux | 1983 | 1,95 | Paris Volley | C |
6 | Jean-Philippe Sol | 1985 | 1,98 | Montpellier UC | C |
7 | Stéphane Antiga (C) | 1976 | 2,00 | Son Amar Palma de Majorque | R/A |
8 | Ludovic Castard | 1983 | 1,95 | Paris Volley | A |
9 | Frantz Granvorka | 1976 | 1,96 | Prisma Tarante | A |
10 | Vincent Montméat | 1977 | 1,96 | Tourcoing LM | C |
11 | Loïc Le Marrec | 1977 | 1,90 | AS Cannes | P |
12 | Florian Kilama | 1982 | 1,83 | Stade Poitevin | R/A |
13 | Pierre Pujol | 1984 | 1,86 | Stade Poitevin | P |
14 | Loïc Geiler | 1984 | 1,98 | Montpellier UC | R/A |
15 | Guillaume Samica | 1981 | 1,97 | Stade Poitevin | R/A |
16 | Toafa Takaniko | 1985 | 1,93 | AS Cannes | P |
17 | Oliver Kieffer | 1979 | 2,00 | Stade Poitevin | C |
18 | Jean-François Exiga | 1982 | 1,75 | AS Cannes | L |
19 | Julien Lemay | 1982 | 1,80 | Knack Roeselare | L |
En , la finale France - Russie du tournoi de qualification olympiques est suivie en moyenne par 1,22 million de fans de volley sur l'Équipe 21, un record pour une chaîne TNT HD. Un pic à 1,66 million est enregistré pour la balle de match[39].
La demi-finale de l’Euro 2019 entre la France et la Serbie est suivie par 1,7 million de téléspectateurs de moyenne, avec un pic à 2,1 millions, représentant une audience record pour La chaîne L'Équipe[40].
Lors des Jeux olympiques 2020, l'équipe de France de volley-ball explose le pic d'audience de la compétition (tous sports confondus) retransmise sur France Télévisions durant son succès final face à la Russie (3-2) avec 6,8 millions de téléspectateurs ayant assisté au dernier point victorieux[41].
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.