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The Cell
film réalisé par Tarsem Singh et sorti en 2000 De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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The Cell est un thriller germano-américain, réalisé par Tarsem Singh, sorti en 2000.
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Synopsis
Carl Rudolph Stargher (Vincent D'Onofrio) est un tueur en série particulièrement vicieux. Arrêté, il sombre dans le coma à la suite d'une crise de schizophrénie, sans révéler le lieu où se trouve sa dernière proie, qu'une mort atroce attend.
Afin de la sauver, Catherine Deane (Jennifer Lopez), une psychologue pour enfants, doit littéralement entrer dans les pensées de l'assassin, à l'aide d'une technologie expérimentale. Le cerveau de Stargher n'est pas seulement un endroit effrayant, c'est aussi un piège pour Catherine.
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Fiche technique
Résumé
Contexte
Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données cinématographiques IMDb, présente dans la section « Liens externes ».
- Titre original et français : The Cell
- Titre québécois : La Cellule
- Réalisation : Tarsem Singh
- Scénario : Mark Protosevich
- Musique : Howard Shore
- Direction artistique : Michael Manson et Geoff Hubbard
- Décors : Tom Foden et Tessa Posnansky
- Costumes : Eiko Ishioka et April Napier
- Photographie : Paul Laufer
- Son : Robert J. Litt, Kevin E. Carpenter, Michael Herbick
- Montage : Robert Duffy et Paul Rubell
- Production : Julio Caro, Eric McLeod et Tommy Turtle (non crédité)
- Coproduction : Mark Protosevich et Stephen J. Ross
- Production déléguée : Donna Langley et Carolyn Manetti
- Production associée : Nico Soultanakis
- Sociétés de production[1] : Caro-McLeod, RadicalMedia et Avery Pix (non crédité)
- Avec la participation de New Line Cinema
- En association avec Katira Productions GmbH & Co. KG
- Pays de production :
Allemagne,
États-Unis - Sociétés de distribution[1] :
- États-Unis : New Line Cinema
- Allemagne : Kinowelt Filmverleih
- France : Metropolitan Filmexport
- Canada : Alliance Atlantis Communications
- Belgique : RCV Film Distribution
- Budget : 33 millions de $[2]
- Langue originale : anglais
- Format[3] : couleur (DeLuxe) - 35 mm - 2,39:1 (Panavision) - son DTS | Dolby Digital | SDDS
- Genre : Horreur, science-fiction et thriller
- Durée : 107 minutes / 109 minutes (director's cut version allemande)
- Dates de sortie[4] :
- États-Unis : (première au Century City), (sortie nationale)
- Canada :
- France :
- Belgique :
- Allemagne :
- Classification[5] :
- États-Unis : Interdit aux moins de 17 ans (R – Restricted)[Note 1].
- Allemagne : Interdit aux moins de 18 ans (FSK 18).
- France : Interdit aux moins de 12 ans (visa d'exploitation no 100797 délivré le )[6].
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Distribution
- Jennifer Lopez (VF : Déborah Perret ; VQ : Linda Roy) : Catherine Deane
- Vince Vaughn (VF : Jean-Philippe Puymartin ; VQ : Daniel Picard) : Peter Novak, agent du FBI
- Vincent D'Onofrio (VF : Christian Bénard ; VQ : François Sasseville) : Carl Rudolph Stargher
- Jake Weber (VF : Éric Legrand ; VQ : Sébastien Dhavernas) : Gordon Ramsey, agent du FBI
- Dylan Baker (VF : Yves Beneyton ; VQ : Daniel Lesourd) : Henry West
- Marianne Jean-Baptiste (VF : Denise Metmer ; VQ : Christine Séguin) : Dr Miriam Kent
- Patrick Bauchau (VF : Bernard Alane) : Lucien Baines
- Gerry Becker : Dr Barry Cooperman
- Tara Subkoff (VF : Véronique Alycia) : Julia Hickson
- Catherine Sutherland (en) : Anne Marie Vicksey
- Jake Thomas : Carl Stargher jeune
- Colton James : Edward Baines
- Dean Norris (VQ : Mario Desmarais) : Cole, agent du FBI
- John Cothran Jr. : Stockwell, agent du FBI
- Jack Conley : Brock, agent du FBI
- Kamar De Los Reyes (en) : l'officier Alexander
- Musetta Vander : Ella Baines
- James Gammon (VF : Michel Barbey ; VQ : Vincent Davy) : Teddy Lee, agent du FBI
- Pruitt Taylor Vince (VF : Claude Brosset) : Dr Reid
- Joe La Piana : l'agent du FBI K-9
- Christopher Janney : un membre du SWAT
- Nicholas Cascone (de) : un technicien du FBI
- Kim Chizevsky-Nicholls (en) : une victime de Stargher
- Jennifer Day, Alanna Vicente, Aja Echols, Vanessa Branch, Elena Maddalo : les victimes de Stargher
- Gareth Williams : le père de Stargher
- Tim : Valentine
- Lauri Johnson (en) : Mme Hickson
- Calvi Pabon : la fille dans un rêve
- Peter Sarsgaard : le fiancé de Julia Hickson
- Version française
- Studio de doublage : L'Européenne du Doublage[7]
- Direction artistique : Danielle Perret
- Adaptation : Déborah Perret
- Sources et légende : Version française (VF) sur DSD Doublage[8]
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Autour du film[9]
Résumé
Contexte
Anecdotes
- De nombreuses visions présentes dans le film sont directement inspirées de l'art contemporain et de l'Art moderne, avec des références directes à Damien Hirst, Francis Bacon et Salvador Dalí, et sans doute des influences de H. R. Giger, Odd Nerdrum, Les frères Quay ou encore Hans Bellmer.
- Le scénario offre des ressemblances frappantes avec le roman The Dream Master par l'écrivain américain Roger Zelazny, dans lequel un thérapeute pénètre dans l’esprit de ses patients afin de tenter de les guérir grâce à la « neuroparticipation », une forme de cure psychique ; le psychanalyste finira piégé dans un de ces mondes intérieurs.
- The Cell est le premier long métrage du réalisateur indien Tarsem Singh. Diplômé de l'Art Center de Passadena, son sens artistique exceptionnel et ses qualités narratives ont fait de lui l'un des plus éminents réalisateurs de films publicitaires et de clips vidéo aux États-Unis.
- Pour les besoins du film, le décorateur Tom Foden a conçu une cellule de 2,5 m de côtés entièrement recouverte de carrelage, encastrée dans une paroi de verre de 8 cm d'épaisseur. Équipée d'un système d'adduction d'eau, cette geôle s'emplit petit à petit, constituant un piège mortel pour qui est prisonnier. D'une capacité de 15 625 litres, elle pèse, une fois remplie, plus de 15 tonnes. Tarsem Singh explique que, «l'idée était de traduire la sensation de claustrophobie».
- Deux semaines après la sortie en France de The Cell, un fan parisien de l'auteur de bande dessinée Keno don rosa lui enverra une lettre ou il décrit un pitch d'idée très proche de celui de The Cell qui sera plus tard réutilisé pour écrire l'un des plus grands chefs-d'œuvre du scénariste, la bande dessinée Le rêve de toute une vie ! . L'auteur ne découvrira le film qu'à postériori, et fera le lien après la sortie de la BD.
Commentaire
Le réalisateur d'origine indienne Tarsem Singh s'est fait connaître avec le vidéo-clip très remarqué (et primé) du groupe R.E.M., « Losing my religion », en 1991. Par la suite il s'est surtout illustré dans la publicité. Pour cette raison, The Cell a été qualifié de film vidéo clip par de nombreux critiques,[réf. souhaitée] lesquels peuvent être classés en deux groupes, ceux pour qui le film est la démonstration qu'être un bon réalisateur de clips ne suffit pas à faire un bon cinéaste, et ceux pour qui The Cell constitue malgré tout une bonne surprise.
Critiques
En regard du box-office, The Cell a reçu des critiques positives. Il obtient 46 % d'avis positifs sur Rotten Tomatoes, sur la base de 146 commentaires collectées, concluant que « The Cell est inquiétant, demeurant un régal pour les yeux, mais miné par une intrigue faible et peu profonde qui offre rien de nouveau. »[10]. Il est évalué à 3,0/5 pour 21 critiques de presse sur Allociné.
« (...) The Cell recycle le schéma du Silence des agneaux en y ajoutant une obscure symbolique aquatique et une tonne d'arabesques numérisées, sans jamais atteindre la frayeur ni la cruauté de son modèle. »
— Grégoire Bénabent, Chronic'art.com, 18 octobre 2000[11].
« The Cell, superprode dégoulinante de pulsions sales et de byzantinisme gore, en ce sens, est une date. »
— Didier Péron, Libération, 18 octobre 2000[12].
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Distinctions
Résumé
Contexte
Entre 2000 et 2001, The Cell a été sélectionné 38 fois dans diverses catégories et a remporté 9 récompenses[13],[14].
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Notes et références
Voir aussi
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