Rue Liancourt
rue de Paris, en France De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La rue Liancourt est une voie située dans les quartiers du Petit-Montrouge et de Plaisance du 14e arrondissement de Paris.
![]() 14e arrt Rue Liancourt
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Situation | |||
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Arrondissement | 14e arrondissement | ||
Quartier | Petit-Montrouge et Plaisance | ||
Début | 32, rue Boulard | ||
Fin | 129, avenue du Maine | ||
Morphologie | |||
Longueur | 355 m | ||
Largeur | 10 m | ||
Historique | |||
Création | XIXe siècle | ||
Dénomination | |||
Ancien nom | Rue de La Rochefoucauld | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 5591 | ||
DGI | 5653 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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Situation et accès
La rue Liancourt est desservie à proximité par la ligne 13 à la station Gaîté et par les lignes 4 et 6 à la station Denfert-Rochereau.
Origine du nom
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Elle porte le nom du duc François Alexandre Frédéric de La Rochefoucauld Liancourt (1747-1827), philanthrope et homme politique ayant fondé à Liancourt une école des Arts et Métiers.
Historique
Initialement dénommée « rue de La Rochefoucauld », cette ancienne voie du Petit-Montrouge, territoire de la commune de Montrouge est classée dans la voirie parisienne en vertu du décret du et prend sa dénomination actuelle par un décret du .
Au cours de la première Guerre mondiale, plusieurs immeubles de la rue Liancourt sont endommagés lors de la première campagne de tir effectuée les 23 et par les pièces d'artillerie à très longue portée allemandes dites Pariser Kanonen positionnées à une distance de plus de 130 kilomètres.
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Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
Résumé
Contexte
Ont vécu rue Liancourt les personnalités suivantes :
- No 4 : George-Daniel de Monfreid, peintre, y eut un atelier[1] ;
- No 12 : l'écrivain et poète suisse Charles-Ferdinand Ramuz et Maurice Clavel, de 1909 à 1910[2];
- No 14 :
- No 28: Désiré Briden, ainsi que l'artiste peintre Marcel Gromaire (1892-1971), à partir de 1964[3].
- No 27/31 : école du Sacré-Cœur, ouverte sous la tutelle des Filles de la Charité de Saint Vincent de Paul en 1855. Ses façades et son préau subissent des dégâts lors du bombardement allemand du jeudi , jour hebdomadaire où les élèves ne vont pas à l'école. L'obus tombe à 10.30 heures du matin et endommage plus sérieusement une maison voisine. Un dessin de Félix Brard conservé au Musée Carnavalet et plusieurs photographies de presse relatent la catastrophe[4],[5],[6].
- No ex-33 : (numéro supprimé, entrée transférée 29, rue Gassendi, puis 31, rue Liancourt) ancien orphelinat des Soeurs de Saint-Vincent de Paul (fondé en 1850[7] pour l'accueil de jeunes filles à partir de 6 ou 7 ans, connu en 1884 sous la dénomination « orphelinat des sœurs de Montrouge », ultérieurement internat scolaire.
- No 37 : Domicile en 1874 du peintre François Henri Alexandre Lafond (1815-1901), et de Suzanne Brunet, qu'il épouse cette même année, légitimant en même temps leurs quatre enfants[8]
- No 43 : T'ang Haywen.
Notes et références
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