Loading AI tools
journaliste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
René Furth, de son vrai nom René Fugler, né le à Sierentz (Haut-Rhin), est un journaliste et militant communiste libertaire[1] puis anarchiste non-violent.
Naissance | Sierentz (Haut-Rhin) |
---|---|
Autres noms |
René Furth |
Nationalité | |
Activité |
C’est en 1950, à la lecture du Libertaire, qu'il prend contact avec le mouvement libertaire tant français qu’espagnol.
En 1953, engagé dans le syndicalisme étudiant, il crée un Cercle de culture libertaire. Parallèlement il s’investit dans le mouvement des auberges de jeunesse à Mulhouse et à Strasbourg[2].
Jusqu’en 1969 il est journaliste à Strasbourg (Bas-Rhin).
De 1969 à 1996, il est responsable de l’information et des relations publiques au Théâtre national de Strasbourg.
De 1952 à 1955, il est membre de la Fédération anarchiste devenue Fédération communiste libertaire
De 1955 à 1967, il adhère à nouveau à la Fédération anarchiste reconstituée autour de Maurice Joyeux.
Fin 1969, avec la section locale de la Solidarité internationale antifasciste (SIA) et avec quelques groupes dont la FA, il participe à la création de la Librairie Bazar Coopérative qui sert de point de ralliement, entre autres, aux anarchistes de la région[3]. A la librairie est associée une crèche autogérée et le journal Ussm’Volik (« Issu du peuple »)[2].
Il collabore ensuite à plusieurs publications libertaires dont la revue internationale Interrogations (Paris-Turin, 1974-1979) publiée par Louis Mercier-Vega. Depuis l’année 2000, il est membre du collectif de rédaction de la revue de recherches et d’expressions anarchistes Réfractions[2].
Il est le père de la romancière et scénariste Élise Fugler.
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.