B. R. Bruss, de son vrai nom René Bonnefoy, né le à Lempdes dans la Haute-Loire et mort le à Paris, est un écrivain français.

Faits en bref Nom de naissance, Alias ...
B. R. Bruss
Nom de naissance Auguste Isidore René Bonnefoy
Alias
Roger Blondel
Georges Brass
Marcel Castillan
Roger Fairelle
Naissance
Lempdes (France)
Décès (à 84 ans)
Paris 13e (France)
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

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Il est essentiellement connu dans les domaines de la science-fiction et du fantastique. Outre B.R. Bruss (son nom de plume le plus connu, adopté en 1946), il utilisa différents pseudonymes : Georges Brass (1951), Roger Blondel (1956), Marcel Castillan (1954), Roger Fairelle (1973). Il est le père du critique littéraire Claude Bonnefoy[1].

Œuvre littéraire

Avant guerre, il a publié plusieurs livres de littérature générale sous son vrai nom et, à partir des années 1950, il a récidivé sous le pseudonyme de Roger Blondel, mêlant cette fois des motifs insolites à ses romans et nouvelles. Au cours des années 1950, il a publié également une demi-douzaine de romans « érotiques » sous le nom de Georges Brass.

René Bonnefoy a publié l’essentiel de son œuvre, une cinquantaine de romans, dans les collections « Anticipation » et « Angoisse » de Fleuve noir. Il a été traduit en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Espagne, au Portugal, au Brésil, en Turquie et en Grèce.

Certains des romans signés « B. R. Bruss » sont désormais considérés comme des classiques de la SF francophone et ont été plusieurs fois réédités, comme Et la planète sauta et Apparition des surhommes. D’autres, parus cette fois dans la collection « Angoisse », ont marqué de leur côté la littérature fantastique française d’après-guerre (Nous avons tous peur, Le Tambour d’angoisse ou Le Bourg envoûté) et ont connu également plusieurs rééditions.

Sous le nom de « Roger Blondel », il a signé, entre autres Le Mouton enragé (1956) dont il a été tiré un film en 1974 avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Jean-Pierre Cassel et Jane Birkin et réalisé par Michel Deville.

Sous le nom de « Roger Blondel », l’Encyclopædia Universalis en fait ce portrait : « Sorte de Voltaire contemporain mâtiné d'un Swift des Temps modernes qui aurait mal digéré les leçons du surréalisme, Roger Blondel a construit, sous son nom ou sous quelque autre, une œuvre à l'apparence anarchique et débonnaire dont, pourtant, la signification est claire : la littérature s'ennuie et la langue française prend du ventre. Blondel inocula de l'insolence, du piquant et du cynisme dans la première ; et il dégraissa, muscla et dépoussiéra la seconde. »[1]

Témoignage de cette attitude de franc-tireur enjoué, l'aveu qu'il fit en 1978 à un journaliste des Nouvelles littéraires : « J'ai pris le non-sérieux comme centre de gravité. Le sujet central de toutes mes fables est la définition du bafouillage primordial. Celui qui est spontané, banal, surabondant, celui que l'on entend dans la rue, aux comptoirs des cafés, dans le métro, tous ces graffiti sonores qui montrent quotidiennement que notre monde bredouille… »

Interviewé par Bernard Pivot, le 18/08/1978, lors d'une émission littéraire il donna à entendre sa démarche littéraire, où il parlait de son invitation via ses œuvres à sortir de « pétrification ». Au cours de cette interview, selon l'INA : « L'auteur du roman Les Fontaines pétrifiantes, Roger Blondel, précise qu'il s'agit d'une métaphore concernant les corps constitués, les catéchismes, les dogmes… “Ce roman est une dénonciation rabelaisienne, drôle, de la pétrification dont nous sommes victimes. Mes livres ont quelques fans mais pas tellement de lecteurs, dit-il, j'ai 83 ans et je dépétrifie […].” »

Rôle dans le gouvernement de Vichy

Personnage à la biographie longtemps peu connue, il a, selon Jacques Sadoul, occupé des fonctions ministérielles dans le gouvernement de Vichy et, de ce fait, aurait été obligé de prendre un pseudonyme pour publier son premier roman d'après-guerre, Et la planète sauta..., en 1946[2].

Jean-Pierre Andrevon reprend cette version dans l'article qu'il lui consacre dans le no 20 de la revue Galaxies, et précise, photographie à l'appui, que René Bonnefoy a été Secrétaire général à l'information du régime de Vichy. Cette information est confirmée par la presse de l'époque : un nommé René Bonnefoy est mentionné comme Secrétaire général à l'information[3]. En liaison avec Louis Darquier de Pellepoix, il épure l'Université des enseignants juifs et crée à la Sorbonne une chaire d'histoire du judaïsme, confiée à Henri Labroue[4].

En septembre 1940, Pierre Laval éloigne l'équipe de Je Suis Partout de l'antenne de Radio-Vichy en raison de son extrémisme, et confie la direction de l'information à son fidèle, René Bonnefoy, chargé de développer à la radio les thèmes de la Révolution nationale[5],[6].

Marc Martin dans son ouvrage Médias et Journalistes de la République (1997) mentionne qu'à son retour au pouvoir en avril 1942, Pierre Laval écarte Paul Marion, alors responsable du Service d'information du gouvernement de Vichy, du contrôle de la presse, pour le confier à René Bonnefoy, rédacteur en chef du Moniteur du Puy-de-Dôme, journal appartenant à Laval depuis 1927, pour fournir schémas d'articles, notes d'argumentation et les insertions obligatoires[7]. Laval le nomme en août 1943 directeur de l'Office français d'information (OFI), agence de presse nationalisée qu'il dirige tout en demeurant Secrétaire général à l'information[8],[9]. Il fait l'éloge de Philippe Henriot après son exécution par des résistants[10] et en août 1944 dans une conférence[11],[12].

Condamné à mort par contumace en juillet 1946 du fait de ses éditoriaux et des consignes de son ministère[13], Bonnefoy a réussi à se refaire une identité, celle de Roger Blondel, et a plutôt défendu dans ses écrits des positions antimilitaristes[réf. nécessaire]. Il se constitue prisonnier en janvier 1955 pour être à nouveau jugé, par la Haute Cour, à l'instar de trois autres anciennes personnalités du régime de Vichy (Charles Rochat et les amiraux Auphan et Bléhaut)[14]. Son procès a lieu en mars 1955. Il se présente comme un haut fonctionnaire appliquant les décisions du pouvoir. Il est condamné à cinq ans d'indignité nationale, soit une peine qui échappe au bénéfice de la loi d'amnistie de 1953, alors que l'avocat général réclamait une peine de prison[15],[16].

D’après la revue Fiction, il fut également décorateur, enseignant, peintre, sculpteur et poète.

Liens entre sa collaboration et la SF

D'après Simon Bréan, son engagement à Vichy et son virage vers la SF après-guerre sont liés, en dissimulant son identité et en se rachetant une image progressiste. Ses récits reflètent en effet une réappropriation de la Résistance, tout en rationalisant son passé vichyste[sb 1]. Même s'il prône dans ses livres de SF un certain humanisme, celui-ci est teinté d'élitisme et ne rend pas justice aux sacrifices des résistants[sb 2]. Néanmoins, il a véhiculé certaines valeurs de la Résistance et a contribué à l'émergence d'un courant progressiste de la SF française[sb 3].

Œuvres

Une catégorie est consacrée à ce sujet : Roman de B. R. Bruss.

Une bibliographie quasi-complète de B. R. Bruss (ouvrages publiés sous son propre nom René Bonnefoy et ses divers pseudonymes) a été établi par Jean-Pierre Andrevon[17].

Ouvrages de science fiction

Romans, sous le nom de B. R. Bruss

  • S.O.S. soucoupes, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 33, 1954
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Les Maîtres français de la Science-Fiction » no 5, 1988
    • Traduction en italien : Attenzione, dischi volanti, Arnoldo Mondadori, Urania no 142, janvier 1957
      Réédition : Libra Editrice, coll. « Saturno. Collana di fantascienza » no 34, 1981
  • La Guerre des soucoupes, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 40, 1954[18]
    • Traduction en italien : Marte all'attacco, Arnoldo Mondadori, Urania no 144, janvier 1957
      Réédition : Libra Editrice, coll. « Saturno. Collana di fantascienza » no 36, 1982
  • Terre… Siècle 24, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 136, 1959
    Réédition : Marabout, coll. « Marabout Science-Fiction » no 466, 1974
  • An... 2391, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 143, 1959
    Réédition : Marabout, coll. « Marabout Science-Fiction » no 485, 1974
    • Traduction en italien : Anno 2391, Arnoldo Mondadori, Urania no 243, novembre 1960
    • Traduction en espagnol : Año 2391, Tirso, coll. « Anticipacíon », 1963
  • Bihil, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 186, 1961
    Réédition : Éditions du Triangle, coll. « Science-Fiction-Anthologie » no 19, 1977
  • L'Anneau des Djarfs, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 180, 1961
    • Traduction en portugais : Loucura na galáxia, Rio Gráfica, coll. « Coleção gálaxia », ?[19]
  • Le mur de lumière, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 200, 1962
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 30, 1977
    • Traduction en italien : Il muro della luce, Ponzoni, I Romanzi del Cosmo no 137, décembre 1963
  • Complot Vénus-Terre, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 225, 1963
    Réédition : Marabout, coll. « Marabout Science-Fiction » no 536, 1975
  • Une Mouche nommée Drésa, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 239, 1964
  • Les Translucides, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 246, 1964
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 16, 1976
    • Traduction en italien : I traslucidi, Ponzoni, I Romanzi del Cosmo no 157, octobre 1964
    • Traduction en portugais : Os translúcidos, Círculo de Leitores, 1977
      Réédition : Novaera, coll. « 4 Enigmas », 1978
  • Le Grand Feu, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 256, 1964
    • Traduction en espagnol : El gran fuego, Edisven, coll. « Libros de Bolsillo Picazo - Ciencia Ficción » no 3, 1969
  • Le soleil s'éteint, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 260, 1965
    • Traduction en espagnol : El Sol se apaga, Picazo, coll. « Marte XXI » no 7, 1966
  • Planètes oubliées, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 267, 1965
    • Traduction en espagnol : Planetas olvidados, Picazo, coll. « Marte XXI » no 2, 1966
  • La Planète glacée, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 273, 1965
    • Traduction en espagnol : El planeta helado, Picazo, coll. « Marte XXI » no 10, 1966
  • La Guerre des robots, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 287, 1966
    • Traduction en espagnol : La guerra de los robots, Picazo, coll. « Marte XXI » no 17, 1966
  • L'Espace noir, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 294, 1966
    • Traduction en espagnol : El espacio negro, Picazo, coll. « Marte XXI » no 14, 1966
  • La Créature éparse, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 301, 1966
    • Traduction en espagnol : La nube viviente, Picazo, coll. « Marte XXI » no 24, 1967
  • Le Mystère des Sups, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 318 / HS 9[20], 1967
    • Traduction en espagnol : El misterio de los Sups, Nueva Situación, coll. « Ciencia Ficción » no 6, 1980
  • L'Étrange Planète Orga, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 324 / HS 13, 1967
    Réédition : in B. R. Bruss, Le Fleuve obscur de l'avenir, Éditions Critic, coll. « La Petite Bibliothèque SF », 2014, p. 197-405
  • Le Trappeur galactique, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 328 / HS 16, 1967
  • Quand l'uranium vint à manquer, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 338 / HS, 1968
  • L'Espionne galactique, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 348 / HS, 1968
  • La Planète introuvable, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 356 / HS, 1968
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 48, 1978
  • Les Enfants d'Alga, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 366 / HS, 1968
    • Traduction en espagnol : Los hijos de Alga, Nueva Situación, coll. « Ciencia Ficción » no 10, 1980
  • Les Centauriens sont fous !, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 386, 1969
  • Parle, robot !, Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 394, 1969
    Réédition : in B. R. Bruss, Le Fleuve obscur de l'avenir, Éditions Critic, coll. « La Petite Bibliothèque SF », 2014, p. 407-620
  • Une si belle planète..., Fleuve noir, coll. « Anticipation » no 429, 1970

Nouvelles, sous le nom de B. R. Bruss puis Roger Blondel

  • « La Bataille noire », in Fiction no 8, OPTA, juillet 1954, p. 85-100, sous le nom de B. R. Bruss.
  • « Le Coupable », in S.F. made in France (Fiction Spécial no 12), OPTA, novembre 1967, p. 199-214, sous le nom de B. R. Bruss ; rééd. in B. R. Bruss, Le Fleuve obscur de l'avenir, Éditions Critic, coll. « La Petite Bibliothèque SF », 2014, p. 623-645.
  • « La Chambre No 22.731.412 », in Fiction no 186, OPTA, juin 1969, p. 124-132, sous le nom de Roger Blondel ; rééd. in Gérard Klein, Ce qui vient des profondeurs (Anthologie de la science-fiction française III : 1965-1970), Seghers, coll. « Constellations », 1977, p. 111-118.

Ouvrages fantastiques, sous le nom de B. R. Bruss

  • L'œil était dans la tombe..., Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 7, 1955
    • Traduction en néerlandais : Een oog in het graf, De Schorpioen, 1975
  • Maléfices, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 18, 1956
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 15, 1975
    • Traduction en allemand : Die Bestien, Pabel, coll. « Vampir Horror-Roman » no 9, 1973
      Réédition : Bastei Lübbe, coll. « Dämonen-Land » no 104, octobre 1993
    • Traduction en portugais : Os malefícios, Círculo de Leitores, 1978
  • Nous avons tous peur, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 24, 1956
    Rééditions : Marabout, coll. « Marabout Fantastique » no 472, 1974 ; Nouvelles Éditions Oswald, coll. « Fantastique / Science-fiction / Aventures » no 30, 1981 ; Baleine, coll. « Baleine noire », 2007
    • Traduction en allemand : Wir haben alle Angst, SEP-Verlag, coll. « SEP-Thriller » no 7, 1969
    • Traduction en espagnol : El espectro de Cockshill, Edisven, coll. « SEP » no 2, 1969
  • Terreur en plein soleil, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 38, 1958
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 5, 1975
  • Le Tambour d'angoisse, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 86, 1962
    Rééditions : Marabout, coll. « Marabout Fantastique » no 428, 1973 ; Nouvelles Éditions Oswald, coll. « Fantastique / Science-fiction / Aventures » no 48, 1982 ; Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 145, 1983
    • Traduction en allemand : Trommeln des Todes, Pabel, coll. « Vampir Horror-Roman » no 49, 1974
      Réédition : Bastei Lübbe, coll. « Dämonen-Land » no 32, décembre 1990
  • Le Bourg envoûté, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 111, 1964
    Rééditions : Marabout, coll. « Marabout Fantastique » no 628, 1977 ; Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 91, 1980
    • Traduction en allemand : Geister im Moor, Pabel, coll. « Vampir Horror-Roman » no 4, 1972
      Réédition : Bastei Lübbe, coll. « Dämonen-Land » no 81, novembre 1992
    • Traduction en néerlandais : Het gedoemde dorp, Luitingh, coll. « Horror & Mystery », 1974
  • La Figurine de plomb, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 119, 1965
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 111, 1981
    • Traduction en allemand : Die Hexenmeister, Pabel, coll. « Vampir Horror-Roman » no 2, 1972
      Réédition : Bastei Lübbe, coll. « Dämonen-Land » no 55, novembre 1991
  • Le Mort qu'il faut tuer, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 199, 1971
    • Traduction en allemand : Die magische Seuche, Pabel, coll. « Vampir Horror-Roman » no 32, 1973
      Réédition : Bastei Lübbe, coll. « Dämonen-Land » no 226, novembre 1992
  • L'Objet maléfique, Fleuve noir, coll. « Angoisse » no 226, 1972
    Réédition : Fleuve noir, coll. « Super luxe » no 43, 1977

Ouvrages romanesques, sous le nom de Roger Blondel

  • Le mouton enragé, Gallimard, 1956
  • L'archange, Robert Laffont, 1962
  • Bradfer et l'éternel, Robert Laffont, 1964
  • Le bœuf, Robert Laffont, 1966
  • La grande parlerie, J. C. Lattès, 1973
  • Un endroit nommé la vie, J. C. Lattès, 1973
  • Les fontaines pétrifiantes, J. C. Lattès, 1978

Ouvrages érotiques, sous le nom de Georges Brass

  • L'Amour ne se mange pas en salade, Champs-Fleuris, Lyon et B.N., coll. « Pour lire la nuit », Paris, 224 p., 1951
    illustrations: Jef de Wulf
  • Le Plaisir dans la peau, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 224 p., 1952
    illustrations: Jef de Wulf
  • Le Plaisir est plus chaud dans l'ombre, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 224 p., 1953
    illustrations: Jef de Wulf
  • Faiblesses de femmes. Quand les femmes sont-elles plus faibles devant les hommes ?, La Pensée Moderne, collection de la psychologie amoureuse, Paris, 192 p., 1953
    traduit en néerlandais (Zakke vrouwen),Éditions Libra, Anvers, 1956; traduit en serbo-croate (Kad se zene lako daju ? par Zorz Bras), NNK Internacional, 2008
  • Hôtel de plaisir, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 223 p., 1954
    illustrations: Jef de Wulf
  • Tous les hommes sont à moi !, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 1954
    illustrations: Jef de Wulf
  • Les Corps en feu, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 224 p., 1954
    illustrations: Jef de Wulf, traduit en néerlandais (Vuur in de aderen), Éditions Libra, Anvers, 1955
  • Fruit de Californie, Lutécia, coll. « Pour lire la nuit », Lyon, 287 p., 1955
    illustrations: Jef de Wulf

Ouvrages sous le nom de René Bonnefoy

  • Gilberte et l'autorité, Sans Pareil, 1928
  • Tête à tête, Éd. des Portiques, 1930
  • Le merveilleux voyage de huit petits enfants au pays des moteurs, La Nouvelle Société d'Édition, 1930
  • Bacchus-Roi, La Nouvelle Société d'Édition, 1930
  • Plaque tournante, La Nouvelle Société d'Édition, 1931
  • La roche noire, La Nouvelle Société d'Édition, 1931
  • Aspect de Royat, Mont-Louis, 1932

Ouvrages sous le nom de Marcel Castillan

  • La vie voluptueuse de Don Juan, La Pensée Moderne, Paris, illustrateur: Pierre-Laurent Brenot, 600 p., 1954
    réédité en 1973 sous le nom de Roger Fairelle
  • Le parfum de Guayaquil, nouvelle, dans la revue "V Sélections", « Itinéraires amoureux », 1955
  • 20 grands récits d'exploration: Préhistoire-Afrique-Asie, Société Chérifienne de Publication et d'Éditions, coll. « La conquête de l'univers », illustrateur: Yves André, Casablanca, 507 p., 1956
  • 60 visages de femmes: de Jeanne d'Arc à Jacqueline Auriol, Société Chérifienne de Publication et d'Éditions, coll. « La conquête de l'univers », Casablanca, 439 p., 1957

Ouvrages sous le nom de Roger Fairelle

  • La vie voluptueuse de Don Juan, Jean-Claude Lattès, Paris, 474 p., 1973
    réédition d'un titre paru en 1954 sous le nom de Marcel Castillan; traduit en espagnol par Antonio Caro, Éditions CVS, Madrid, 584 p., 1975

Adaptation cinématographique, sous le nom de Roger Blondel

Télévision

  • L'archange - Une adaptation d'un ouvrage du même nom, à la télévision.
  • Roger Blondel, le dépétrificateur - In l'émission Ah vous écrivez ! interviewé par Bernard Pivot, le 18/08/1978, durée 14 min 18 s. Disponible auprès du site de l'INA.

Bibliographie

  1. paragraphe 12
  2. paragraphe 28
  3. paragraphe 30

Notes et références

Voir aussi

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