L'infructueuse journée du1erprairialan III () dont l'échec mit un terme au projet de restauration d'un gouvernement révolutionnaire dominé par les montagnards;
Les infructueuses journées du5 au durant lesquelles les républicains échouèrent à renverser la monarchie de Juillet;
L'infructueuse journée du , dernière journée révolutionnaire de la IIeRépublique;
Marc-Olivier Baruch, Le Régime de Vichy, éd. La Découverte, Paris, 1996, p.15-16, cité par Antonin Cohen, «Vichy et la troisième voie - «Vers la révolution communautaire» – Rencontres de la troisième voie au temps de l’ordre nouveau», Revue d'Histoire Moderne et Contemporaine, no51-2, avril-juin 2004, p.141 [PDF] [lire en ligne], sur le site Cairn, consulté le 17 janvier 2009
Commission d'enquête parlementaire (dépositions de M. Thiers), Histoire de la révolution du 4 septembre: et de l’insurrection du 18 mars, Paris, (lire en ligne)
««Le peuple a devancé la Chambre qui hésitait. Pour sauver la Patrie en danger, il a demandé la République: elle est proclamée, et cette révolution est faite au nom du droit et du salut public. Citoyens, veillez sur la cité qui vous est confiée; demain, vous serez avec l’armée des vengeurs de la Patrie.» Ainsi Léon Gambetta proclame-t-il la IIIe République devant la foule assemblée place de l’Hôtel de Ville, à Paris, le 4 septembre 1870.»
Jean Tulard, La France de la Révolution et de l'Empire, PUF, , p.19.
«Loménie de Brienne doit [...] se tourner vers le Parlement de Paris. Celui-ci refuse la subvention territoriale. Le , il proclame que seuls les États généraux peuvent l'autoriser. [...] D'où vient cette attitude de révolte [...] qui a fait parler de "révolution parlementaire", préambule à la Révolution de 1789?»
Jean Massin, Robespierre, Club français du Livre, , p.120.
«Mais tous les historiens reconnaissent que le 10 août 1792 est une nouvelle Révolution; nouvelle étape dans la Révolution? Révolte guidée? Révolte spontanée?»
(de) Karl Marx, «Die Junirevolution» [«La Révolution de Juin»], La Nouvelle Gazette Rhénane, no29, (lire en ligne).
«Die Februarrevolution war die schöne Revolution, die Revolution der allgemeinen Sympathie, weil die Gegensätze, die in ihr gegen das Königtum eklatierten, unentwickelt, einträchtig nebeneinander schlummerten, weil der soziale Kampf, der ihren Hintergrund bildete, nur eine luftige Existenz gewonnen hatte, die Existenz der Phrase, des Worts. Die Junirevolution ist die häßliche Revolution, die abstoßende Revolution, weil an die Stelle der Phrase die Sache getreten ist, weil die Republik das Haupt des Ungeheuers selbst entblößte, indem sie ihm die schirmende und versteckende Krone abschlug.»
«La révolution de Février fut la belle révolution, la révolution de la sympathie générale, parce que les contradictions (entre la bourgeoisie et le peuple) qui éclatèrent en elle contre la royauté, n'étaient pas encore développées et demeuraient en sommeil, unies, côte à côte, parce que la lutte sociale qui formait l'arrière-plan de cette révolution, n'avait atteint qu'une existence inconsistante, une existence purement verbale. La révolution de Juin est laide; c'est la révolution repoussante, parce que la réalité a pris la place des mots, parce que la République a démasqué la tête même du monstre en lui arrachant la couronne qui la protégeait et la cachait.»