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section féminine de club de football français basé à Lyon De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La section féminine de l'Olympique lyonnais est un club de football féminin français basé au Parc Olympique lyonnais à Décines-Charpieu (métropole de Lyon) et créé en 2004.
Nom complet | Olympique lyonnais |
---|---|
Surnoms | Les Fenottes |
Fondation | 2004 (acquisition de l'équipe du FC Lyon) |
Couleurs | Blanc, rouge et bleu |
Stade |
Stade Gérard Houllier (1 524 places) |
Siège | Parc OL, 10 avenue Simone Veil, 69150 Décines-Charpieu |
Championnat actuel | Division 1 |
Propriétaire |
YMK Holdings (52,9 %) Eagle Football Group (47,1 %) |
Président | Michele Kang |
Entraîneur | Joe Montemurro |
Joueur le plus capé | Wendie Renard (474) |
Meilleur buteur | Eugénie Le Sommer (303) |
Site web | ol.fr |
National[1] |
Championnat de France (17) Coupe de France (10) Trophée des championnes (3) |
---|---|
International[1] | Ligue des champions (8) |
Actualités
Dernière mise à jour : .
C'est le club le plus titré de l'histoire du championnat de France féminin : les Lyonnaises décrochent dix-sept titres de championnes de France (dont quatorze consécutifs de 2007 à 2020, ainsi que quatre titres de champion en tant que FC Lyon avant l’acquisition des droits par l’OL féminin en 2004), dix coupes de France (et deux coupes de France en tant que FC Lyon), ainsi que huit titres de championnes d'Europe en 2011, 2012, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2022.
La section féminine de l'OL est le seul club européen à avoir remporté 8 fois la Ligue des champions ainsi qu'à avoir réalisé le triplé (championnat national, coupe nationale et Ligue des champions) sur deux saisons d'affilée (2015-2016 et 2016-2017, puis à nouveau 2018-2019 et 2019-2020).
Avec huit trophées européens (dont cinq consécutifs, seul le Real Madrid ayant réalisé cette performance chez les hommes), l’OL féminin est le club français de sport collectif, toutes disciplines confondues, qui possède le plus important palmarès européen.
Depuis les années 2010, Lyon a souvent été nommée l’équipe féminine la plus forte du monde[2] et a été citée comme un modèle pour le développement du football féminin en termes économiques et culturels[3].
L'équipe fanion du club participe au championnat de première division et évoluait, jusqu'en 2016, principalement sur le terrain no 10 de la Plaine des Jeux de Gerland à Lyon, à 400 mètres de l'ancien stade de l'équipe masculine.
L'équipe féminine est créée en 1970 au sein du club omnisports du FC Lyon. À partir de 1977, l'équipe participe au championnat de France féminin relancé par la FFF en 1974. Le FC Lyon obtient son premier résultat marquant en atteignant les demi-finales en 1979, puis la finale en 1985. Après deux nouveaux échecs en demi-finales, les Lyonnaises décrochent leur premier titre national en 1991 face au VGA Saint-Maur. Deux ans plus tard, le FC Lyon remporte la première édition du championnat dans sa nouvelle version (poule unique de 12 équipes sans tournoi final), puis récidivent en 1995 et en 1998.
Lors de la saison 2001-2002, le challenge de France (coupe de France féminine) est créé, et le FC Lyon atteint la finale, perdue contre le Toulouse FC. Les Lyonnaises seront sacrées dès l'année suivante en battant Montpellier en finale, et conservent leur titre en 2004 face à l'US Compiègne[4].
L'équipe est rattachée à l'Olympique lyonnais depuis l'été 2004. À noter que le FC Lyon possède à nouveau une section féminine depuis 2009. En 2007, pour la première fois, l'équipe championne de première division masculine est la même que l'équipe victorieuse de première division féminine. Le club réalise ainsi un doublé filles-garçons inédit. En 2008, le club se révèle sur le plan européen en atteignant la demi-finale de la Coupe UEFA, après avoir notamment éliminé le club anglais de l'Arsenal LFC. Lors de la saison 2007-2008, l'équipe termine invaincue, et ce toutes compétitions confondues malgré l'élimination en Coupe UEFA contre l'Umeå IK (1-1 au match aller et 0-0 au match retour). Cette saison voit également l'équipe réaliser son premier doublé coupe/championnat, soit exactement la même chose que chez les hommes.
La saison 2008-2009 est du même acabit, les Lyonnaises remportant le championnat avec 13 points d'avance sur les joueuses du Montpellier HSC, avec un match nul et 21 victoires en 22 journées. Elles sont éliminées en demi-finale de la Coupe UEFA par les futurs vainqueurs de la compétition, le FCR Duisbourg (4-2 sur l'ensemble des deux rencontres). La superbe saison des Lyonnaises est confirmée par la nomination de Lotta Schelin et de Louisa Necib au Trophée UNFP du football dans la catégorie « joueuse de l'année », prix finalement remporté par la jeune Française. En finale de la Ligue des champions 2009-2010, les Lyonnaises perdent aux tirs au but (0-0, 6 tab à 7) alors qu'elles avaient deux tirs au but d'avance, face au FFC Turbine Potsdam[5].
En 2011, elles remportent la Ligue des champions après une victoire (2-0) face à ces mêmes adversaires. Les Lyonnaises remportent la compétition en 2012 face au FFC Francfort (2-0) et conservent ainsi leur titre continental, ce qui constitue une première pour un club français. La même année, elles réalisent le premier triplé de l'histoire du football français en remportant également la coupe de France en s'imposant 2-1 face au Montpellier HSC et le championnat de France en s'imposant 3-0 lors de la dernière journée face au FCF Juvisy, qui était encore en course pour le titre. Du au , les Lyonnaises remportent à Saitama au Japon, la Mobcast Cup organisée par la ligue féminine japonaise, qui est un tournoi amical entre deux équipes japonaises, une équipe australienne et l'équipe française, ayant pour but de pousser la FIFA à organiser une coupe du monde des clubs similaire à celle des hommes.
Le , les Lyonnaises sont officiellement championnes de France pour la 7e fois consécutive et pour la 11e fois de leur histoire grâce à une victoire face à Vendenheim avant la fin de la saison. Au cours de ce championnat, elles gagnent chacun de leurs 22 matchs en inscrivant au total 132 buts pour 5 encaissés. Elles atteignent leur 4e finale consécutive de Ligue des champions, qui se solde par une défaite 1-0 face au VfL Wolfsburg. Les Lyonnaises remportent une 5e Coupe de France en battant l'AS Saint-Étienne par 3-1, le . En 2014, l'équipe s'adjuge un nouveau doublé Coupe-Championnat national mais est éliminée précocement de la Coupe d’Europe en 1/8e de finale par le club allemand du FFC Turbine Potsdam.
En 2015, l'équipe réussit son 5e doublé Coupe-Championnat, et 4e consécutif, mais a vu sa route en Ligue des champions se terminer en huitième de finale, éliminée par le PSG 1 à 0. En championnat, elles gagnent leurs 22 matchs, pour un record de buts marqués (147 et meilleure attaque), et six buts encaissés (meilleure défense). Le , les joueuses disputent le premier match de leur histoire au Parc Olympique lyonnais. Les Lyonnaises l'emportent ce soir-là 9-1 face à l'équipe tchèque du Slavia Prague, en 1/4 de finale aller de la Ligue des champions féminine de l'UEFA 2015-2016[6]. Le , c'est dans ce même Parc OL qu'est battu le record d'affluence pour un match de club de football féminin en France, avec 22 050 spectateurs présents pour assister à la victoire des Lyonnaises 7-0 sur le PSG, en 1/2 finale aller de la Ligue des champions[7]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa troisième Ligue des champions face au VfL Wolfsburg.
Le , le Président du club Jean-Michel Aulas a annoncé le recrutement de la grande star américaine du football, Alex Morgan. Âgée de 27 ans au moment de la signature, elle a signé un contrat de six mois avec le club des Gones. Surnommée « David Beckham Féminin », Alex Morgan intégrera l'OL dès le début du mois de . L'internationale américaine, qui évoluait jusqu'à présent au sein du club d'Orlando en Floride, percevra donc un salaire de 25 000 euros par mois au club rhodanien[8]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa quatrième Ligue des champions contre le Paris Saint-Germain[9].
Le , la section remporte son cinquième titre européen, le troisième consécutif face au VfL Wolfsburg (4-1 après prolongations)[10]. Grâce à cette nouvelle victoire, les Fenottes réalisent un double record : plus grand nombre de titres européens (cinq) et plus grand nombre de titres européens consécutifs (trois). Le , la joueuse norvégienne Ada Hegerberg est élue premier Ballon d'or féminin France Football de l'histoire[11],[12]. Le , le club remporte un treizième championnat de D1 féminine d'affilée[13]. Le , les joueuses récupèrent la Coupe de France, qui leur avait échappé l'année précédente, pour un nouveau doublé ; elles battent en finale le LOSC 3-1.
La saison 2019-2020 est perturbée par la pandémie de Covid-19, qui obligera les différents championnats européens à décaler l'épilogue de leur saison à la période d'été. Le , l'Olympique lyonnais annonce l'organisation d'un tournoi amical nommé Trophée Veolia féminin[14], qui se déroule les et au Groupama Stadium en compagnie de trois autres équipes, qui sont Montpellier HSC, Juventus FC et le PSV Eindhoven[15]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa neuvième Coupe de France[16] en battant le Paris Saint-Germain aux tirs au but (4-3). En remportant cette Coupe de France, l'Olympique lyonnais fête également un 30e titre à son palmarès[17]. Le , l'équipe féminine remporte une septième Ligue des champions, sa cinquième consécutive, en battant Wolfsburg sur le score de 3-1.
Le printemps 2021 marque un coup d'arrêt puisque les Lyonnaises sont éliminées par le PSG en quart de finale de la Ligue des champions féminine 2020-2021[18]. L'équipe termine d'ailleurs la saison sans le moindre trophée[19]. Le club lyonnais réagit alors en remplaçant Jean-Luc Vasseur par Sonia Bompastor en tant qu'entraîneure principale de l'équipe féminine[20]. Ce choix se révèle payant. Malgré une attaque moins prolifique que par le passé en championnat, Sonia Bompastor parvient à insuffler une nouvelle dynamique à son équipe en intégrant de jeunes joueuses comme Selma Bacha et Melvine Malard, qui deviennent toutes les deux des titulaires fréquentes[19].
Les Lyonnaises renouent avec le succès puisque le , elles remportent la Ligue des champions féminine 2021-2022, la huitième Ligue des champions de l'histoire du club, en battant en finale le FC Barcelone (3-1)[21]. La section remporte le 15e titre de champion de France de son histoire le sur la pelouse du Paris Saint-Germain, qui le lui avait subtilisé en 2021, grâce à un but de l'Américaine Catarina Macario inscrit dès la troisième minute de jeu.
Le , le club annonce la vente de la majorité des parts (52,9 %) de la section féminine à la femme d'affaires américaine Michele Kang par l'intermédiaire de YMK Holdings[22]. Jean-Michel Aulas reste président du club jusqu'à l'issue de la saison. La section est dorénavant jumelée avec les franchises du Washington Spirit et du London City Lionesses, également détenues par l'Américaine[23].
Son arrivée à la tête de la section est marquée par une volonté de restructuration profonde. En février 2024, elle déclare vouloir créer un centre d'entraînement et un stade de 15 000 à 20 000 places dédiés aux féminines[24] ; la possibilité d'occuper un stade existant, ayant une meilleure localisation, est également à l'étude[25].
Consciente des spécificités liées à la pratique d'un sport féminin, elle veut mettre au point une méthode d'entraînement centrée sur la performance féminine, qui sera généralisée à travers ses différents clubs partenaires. Enfin, elle souhaite développer de nouvelles approches afin d'attirer plus d'affluence et d'intérêt pour le football féminin.
Le premier logo de la section, lors de sa création en 2004, reprend celui de l'Olympique lyonnais créé en 1996 et qui marque une nouvelle évolution dans le graphisme de l'emblème du club. Celui-ci retrouve une forme de blason avec chef, c'est-à-dire une bande supérieure horizontale. Celle-ci est de couleur rouge avec en fond et sur deux lignes la mention « Olympique lyonnais » en lettres capitales de couleur or.
La partie inférieure teinte en bleue est superposée des lettres OL bordées d'un liseré or et de fond blanc. Le lion caractéristique de la ville de Lyon est inséré dans la lettre O en couleur or. Une petite évolution à ce blason a été effectuée en 2006. Elle concerne la mention « Olympique lyonnais » de la partie supérieure. La couleur or est remplacée par des caractères blancs.
À la suite de la création de la section en 2004, les joueuses arborent le même maillot que leurs homologues masculins. Historiquement, la couleur des maillots domiciles de l'Olympique lyonnais est le blanc. Les premières années et jusqu'en 1961 le maillot blanc est recouvert d'un liseré en forme de « V » formé de deux bandes rouge et bleue[26], qui sont les couleurs de la ville de Lyon.
Période | Equipementier | Sponsor |
---|---|---|
2004-2005 | Umbro | aucun |
2005-2009 | Renault Trucks | |
2009-2010 | Leroy Merlin | |
2010-2011 | Adidas | |
2011-2012 | Leroy Merlin / Citroën | |
2012-2017 | April / GDF Suez Engie | |
2017-2020 | April / Sword | |
2020-2023 | Mastercard / Sword | |
2023-2025 | Mastercard |
À ses débuts en 2004, la section féminine est liée avec l'équipementier Umbro[27], à l'instar de la section masculine. Initialement prévu jusqu'en 2007, le club prolonge son contrat avec l'équipementier jusqu'à juin 2010[28]. Cependant, le , le club annonce avoir trouvé un accord avec l'équipementier Adidas, pour un contrat courant sur dix saisons à compter de la saison 2010-2011[29] ; ce contrat est estimé entre 8 et 10 millions par an et concerne toutes les sections du club.
Après une première saison sans sponsor apparent, les lyonnaises arborent un maillot sponsorisé par Renault Trucks jusqu'en juin 2009. Les trois saisons suivantes, les féminines sont spécifiquement sponsorisées par Leroy Merlin ainsi que par Citroën en 2011-2012 pour les matchs de coupe.
Depuis la saison 2012-2013, les lyonnaises arborent un maillots floqué April pour les matchs de Division 1. Pour les matchs de Ligue des champions, un partenariat est conclu avec GDF Suez (puis Engie) pour une durée de cinq saisons de 2012 à 2017. Depuis 2017, c'est le Groupe Sword qui sponsorise les matchs européens. En septembre 2020, Mastercard devient le principal sponsor de la section pour les matchs de Division 1[30].
En 2022, l'équipe féminine de l'Olympique Lyonnais suscite une polémique pour le sponsoring dont elle bénéficie de la part d'Herbalife, une société spécialisée dans la vente multiniveau de compléments alimentaires dans le viseur de la Miviludes déjà condamnée en France et à l'étranger pour ses pratiques commerciales[31]. À partir de la saison 2023-2024, Sword ne sponsorise plus les matchs de Ligue des champions au profit de Mastercard, après six années de collaboration.
Depuis 2004, le palmarès de l'équipe féminine de l'Olympique lyonnais comporte dix-sept Championnats de France, dix Challenges ou Coupes de France, trois Trophées des championnes, huit Ligues des Champions de l'UEFA et une Coupe du monde non officielle des clubs. Les tableaux suivants listent le palmarès du club dans les différentes compétitions officielles (au niveau national, international, régional) ainsi que le palmarès individuel de la section.
Compétitions internationales | Compétitions nationales |
| |
Compétitions internationales amicales | |
| |
Équipes réserves | Distinctions |
|
Ce tableau présente les meilleures buteuses de l'Olympique lyonnais à l'issue de chaque saison (toutes compétitions confondues) depuis le rattachement du FC Lyon lors de la saison 2004-2005. L'internationale norvégienne, Ada Hegerberg, est la seule joueuse à avoir franchi la barre symbolique des cinquante buts sur une saison (toutes compétitions confondues) en 2015-2016 et 2017-2018.
Saison | Joueuse | Buts |
---|---|---|
2004-2005 | Séverine Cr.-Laplantes | 16 |
2005-2006 | Sandrine Brétigny | 13 |
2006-2007 | Sandrine Brétigny | 48 |
2007-2008 | Sandrine Brétigny | 32 |
2008-2009 | Kátia da Silva | 37 |
2009-2010 | Kátia da Silva | 21 |
2010-2011 | Eugénie Le Sommer | 28 |
2011-2012 | Lotta Schelin | 38 |
2012-2013 | Lotta Schelin | 38 |
2013-2014 | Lotta Schelin | 23 |
2014-2015 | Lotta Schelin | 41 |
2015-2016 | Ada Hegerberg | 54 |
2016-2017 | Eugénie Le Sommer | 29 |
2017-2018 | Ada Hegerberg | 53 |
2018-2019 | Ada Hegerberg | 29 |
2019-2020 | Ada Hegerberg | 23 |
2020-2021 | Nikita Parris | 15 |
2021-2022 | Catarina Macario | 23 |
2022-2023 | Signe Bruun | 10 |
2023-2024 | Ada Hegerberg | 21 |
Le tableau ci-dessous présente les principaux records et statistiques de la section féminine de l'Olympique lyonnais dans les trois compétitions officielles depuis 2004.
Records en Championnat de France D1 | Autres records |
|
L'équipe première est restée invaincue en première division entre le (défaite face au FCF Juvisy 2-0) et le (défaite 0-1 face au Paris Saint-Germain), soit une succession de 87 matchs de championnat sans aucune défaite (83 victoires et 4 matchs nuls)[39]. Toutes compétitions confondues, elle est restée invaincue en matchs officiels dans le temps réglementaire entre le et le , soit 122 matchs. En effet, sur cette période, elle a uniquement concédé des défaites lors des séances de tirs au but en finale de la Ligue des champions 2009-2010 face au FFC Turbine Potsdam, en demi-finale de Challenge de France 2009-2010 face au Paris Saint-Germain et en quart de finale de Challenge de France 2010-2011 face au FCF Juvisy. Le VfL Wolfsburg a mis fin à cette invincibilité en battant Lyon 1-0 en finale de la Ligue des champions 2012-2013 après deux saisons entières sans aucune défaite.
L'équipe première est restée invaincue à domicile entre le (défaite face au FCF Juvisy 0-1) et le (défaite 0-1 face au Paris Saint-Germain)[40]. Toutes compétitions confondues, l'équipe première est restée invaincue à domicile entre le (défaite face au FCF Juvisy 0-1 en championnat de France) et le (défaite 1-2 face au FFC Turbine Potsdam en Ligue des champions).
L'équipe première conserve sa cage inviolée du au , soit 16 matchs d'affilée toutes compétitions confondues. La série est plus importante si on ne tient compte que du championnat, avec 17 matchs entre le et le .
L'équipe a effectué à 11 reprises l'épreuve des tirs au but :
|
Records en Challenge ou Coupe de France | |
| |
Records en Ligue des champions | |
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La galerie ci-dessous présente les différents effectifs titulaires lors des huit finales de Ligue des champions remportées par l'Olympique lyonnais.
1re - Londres | 2e - Munich | 3e - Reggio d'Émilie | 4e - Cardiff |
---|---|---|---|
Face au FFC Turbine Potsdam Résultat : 2 - 0 |
Face au FFC Francfort Résultat : 2 - 0 |
Face au VfL Wolfsburg Résultat : 1 - 1 a.p. (4p - 3p) |
Face au Paris St-Germain Résultat : 0 - 0 a.p. (7p - 6p) |
Entraîneur : Patrice Lair Joueuse du match : Abily |
Entraîneur : Patrice Lair Joueuse du match : Abily |
Entraîneur : Gérard Prêcheur Joueuse du match : Kumagai |
Entraîneur : Gérard Prêcheur Joueuse du match : Marozsán |
5e - Kiev | 6e - Budapest | 7e - Saint-Sébastien | 8e - Turin |
Face au VfL Wolfsburg Résultat : 4 - 1 a.p. |
Face au FC Barcelone Résultat : 4 - 1 |
Face au VfL Wolfsburg Résultat : 3 - 1 |
Face au FC Barcelone Résultat : 3 - 1 |
Entraîneur : Reynald Pedros Joueuse du match : Henry |
Entraîneur : Reynald Pedros Joueuse du match : Hegerberg |
Entraîneur : Jean-Luc Vasseur Joueuse du match : Cascarino |
Entraîneur : Sonia Bompastor Joueuse du match : Henry |
Le tableau suivant retrace le parcours du club depuis sa création en 1970 sous le nom de FC Lyon, puis d'Olympique lyonnais à partir de 2004.
Compétition | Championnat de France (Groupes) | Challenge de France féminin | Tournoi final | |||||||||||||||||||
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Saison | J | G | N | P | BP | BC | Classement | J | G | N | P | BP | BC | Résultat | J | G | N | P | BP | BC | Résultat | |
1970-1978 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1978-1979 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 4 | 1 | 1 | 2 | 4 | 7 | Demi-finaliste | ||
1979-1980 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | Premier tour | |
1980-1981 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 1 | 0 | 1 | 2 | 1 | Demi-finaliste | |
1981-1982 | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | Premier tour | |
1982-1983 | - | - | - | - | - | - | 3e (Gr.C) | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1983-1984 | - | - | - | - | - | - | 6e (Gr.C) | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1984-1985 | - | - | - | - | - | - | 1er (Gr.B) | - | - | - | - | - | - | - | 3 | 1 | 0 | 2 | 4 | 6 | Finaliste | |
1985-1986 | - | - | - | - | - | - | 5e (Gr.B) | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1986-1987 | 14 | 10 | 3 | 1 | 33 | 13 | 1er (Gr.B) | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 1 | 1 | 2 | 3 | Demi-finaliste | |
1987-1988 | 17 | 13 | 3 | 1 | 56 | 9 | 1er (Gr.B) | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 1 | 1 | 2 | 3 | 1/4 de finaliste | |
1988-1989 | 18 | 15 | 1 | 2 | 52 | 12 | 2e (Gr.B) | - | - | - | - | - | - | - | 2 | 0 | 1 | 1 | 4 | 8 | 1/4 de finaliste | |
1989-1990 | 16 | 15 | 0 | 1 | 72 | 17 | 1er (Gr.A) | - | - | - | - | - | - | - | 4 | 1 | 2 | 1 | 6 | 7 | Demi-finaliste | |
1990-1991 | 18 | 14 | 2 | 2 | 65 | 10 | 2e(Gr.A) | - | - | - | - | - | - | - | 5 | 3 | 1 | 1 | 10 | 1 | Champion | |
1991-1992 | 18 | 15 | 0 | 3 | 48 | 7 | 1er(Gr.A) | - | - | - | - | - | - | - | 4 | 2 | 1 | 1 | 4 | 4 | Demi-finaliste | |
Championnat de France (Poule unique) | - | - | ||||||||||||||||||||
1992-1993 | 22 | 15 | 6 | 1 | 53 | 14 | 1er | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1993-1994 | 22 | 12 | 4 | 6 | 43 | 25 | 2e | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1994-1995 | 22 | 15 | 4 | 3 | 60 | 15 | 1er | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1995-1996 | 22 | 10 | 6 | 6 | 43 | 19 | 5e | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1996-1997 | 22 | 12 | 2 | 8 | 42 | 29 | 4e | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1997-1998 | 22 | 17 | 5 | 0 | 72 | 19 | 1er | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
1998-1999 | 22 | 10 | 4 | 8 | 31 | 35 | 5e | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - | |
- | - | Tournoi final | ||||||||||||||||||||
1999-2000 | 22 | 15 | 2 | 5 | 44 | 26 | 3e | - | - | - | - | - | - | - | 3 | 0 | 0 | 3 | 3 | 15 | 4e | |
2000-2001 | 22 | 13 | 2 | 7 | 57 | 35 | 4e | - | - | - | - | - | - | - | 3 | 0 | 2 | 1 | 2 | 5 | 4e | |
2001-2002 | 22 | 14 | 2 | 6 | 53 | 26 | 3e | 5 | 4 | 0 | 1 | 19 | 4 | Finaliste | 3 | 1 | 0 | 2 | 3 | 6 | 3e | |
2002-2003 | 22 | 15 | 4 | 3 | 60 | 19 | 4e | 5 | 4 | 1 | 0 | 9 | 5 | Vainqueur | 3 | 2 | 0 | 1 | 3 | 2 | 2e | |
2003-2004 | 22 | 14 | 4 | 4 | 52 | 25 | 3e | 5 | 5 | 0 | 0 | 15 | 3 | Vainqueur | 3 | 2 | 0 | 1 | 4 | 5 | 2e | |
Total | 365 | 244 | 54 | 67 | 936 | 355 | 15 | 13 | 1 | 1 | 43 | 12 | 43 | 16 | 10 | 19 | 44 | 73 | ||||
Fusion avec l'Olympique lyonnais | ||||||||||||||||||||||
Compétition | Championnat de France D1 | Coupe de France féminine | Ligue des Champions féminine de l'UEFA | |||||||||||||||||||
Saison | J | G | N | P | BP | BC | Classement | J | G | N | P | BP | BC | Résultat | J | G | N | P | BP | BC | Résultat | |
2004-2005 | 22 | 15 | 2 | 5 | 50 | 20 | 3e | 5 | 4 | 1 | 0 | 14 | 3 | Finaliste | - | - | - | - | - | - | - | |
2005-2006 | 22 | 10 | 8 | 4 | 34 | 12 | 3e | 5 | 3 | 2 | 0 | 14 | 2 | Finaliste | - | - | - | - | - | - | - | |
2006-2007 | 22 | 20 | 1 | 1 | 116 | 9 | 1er | 5 | 4 | 1 | 0 | 29 | 5 | Finaliste | - | - | - | - | - | - | - | |
2007-2008 | 22 | 18 | 4 | 0 | 93 | 4 | 1er | 5 | 5 | 0 | 0 | 21 | 0 | Vainqueur | 10 | 6 | 4 | 0 | 36 | 4 | 1/2 finale (a) | |
2008-2009 | 22 | 21 | 1 | 0 | 114 | 11 | 1er | 4 | 3 | 1 | 0 | 24 | 0 | 1/2 finale | 7 | 5 | 1 | 1 | 29 | 6 | 1/2 finale | |
2009-2010 | 22 | 18 | 2 | 2 | 93 | 11 | 1er | 4 | 3 | 1 | 0 | 21 | 2 | 1/2 finale | 9 | 6 | 1+1 (b) | 1 | 18 | 3 | Finaliste | |
2010-2011 | 22 | 22 | 0 | 0 | 106 | 6 | 1er | 4 | 3 | 1 | 0 | 23 | 0 | 1/4 finale | 9 | 8 | 1 | 0 | 29 | 4 | Vainqueur | |
2011-2012 | 22 | 19 | 3 | 0 | 119 | 3 | 1er | 6 | 6 | 0 | 0 | 38 | 2 | Vainqueur | 9 | 8 | 1 | 0 | 39 | 1 | Vainqueur | |
2012-2013 | 22 | 22 | 0 | 0 | 132 | 5 | 1er | 6 | 6 | 0 | 0 | 53 | 1 | Vainqueur | 9 | 8 | 0 | 1 | 40 | 2 | Finaliste | |
2013-2014 | 22 | 21 | 0 | 1 | 95 | 12 | 1er | 6 | 6 | 0 | 0 | 38 | 0 | Vainqueur | 4 | 3 | 0 | 1 | 12 | 2 | 1/8 finale (a) | |
2014-2015 | 22 | 22 | 0 | 0 | 147 | 6 | 1er | 6 | 6 | 0 | 0 | 37 | 2 | Vainqueur | 4 | 2 | 1 | 1 | 15 | 2 | 1/8 finale | |
2015-2016 | 22 | 19 | 3 | 0 | 115 | 4 | 1er | 6 | 6 | 0 | 0 | 51 | 1 | Vainqueur | 9 | 7 | 2 | 0 | 36 | 3 | Vainqueur | |
2016-2017 | 22 | 21 | 0 | 1 | 103 | 6 | 1er | 6 | 5 | 1 | 0 | 35 | 1 | Vainqueur | 9 | 6 | 1 | 2 | 32 | 5 | Vainqueur | |
2017-2018 | 22 | 21 | 1 | 0 | 104 | 5 | 1er | 6 | 5 | 0 | 1 | 56 | 1 | Finaliste | 9 | 8 | 1 | 0 | 38 | 2 | Vainqueur | |
2018-2019 | 22 | 20 | 2 | 0 | 89 | 6 | 1er | 5 | 5 | 0 | 0 | 16 | 1 | Vainqueur | 9 | 8 | 1 | 0 | 33 | 6 | Vainqueur | |
2019-2020 | 16 | 14 | 2 | 0 | 67 | 4 | 1er | 5 | 4 | 1 | 0 | 14 | 1 | Vainqueur | 7 | 7 | 0 | 0 | 33 | 2 | Vainqueur | |
2020-2021 | 22 | 20 | 1 | 1 | 78 | 6 | 2e | 1 | 1 | 0 | 0 | 5 | 0 | Annulée | 6 | 5 | 0 | 1 | 13 | 7 | 1/4 finale | |
2021-2022 | 22 | 21 | 1 | 0 | 79 | 8 | 1er | 2 | 1 | 0 | 1 | 4 | 3 | 1/8 finale | 13 | 11 | 0 | 2 | 35 | 11 | Vainqueur | |
2022-2023 | 22 | 20 | 1 | 1 | 69 | 9 | 1er | 5 | 4 | 1 | 0 | 16 | 3 | Vainqueur | 8 | 4 | 2 | 2 | 12 | 8 | 1/4 finale | |
Total | 412 | 364 | 32 | 16 | 1803 | 147 | 91 | 79 | 10 | 2 | 504 | 28 | 131 | 102 | 17 | 12 | 450 | 68 |
Légende: | J: matchs joués, G: matchs gagnés, N: matchs nuls, D: défaite, BP: buts marqués, BC: buts encaissés | |
a: élimination en raison du nombre de buts marqués à l'extérieur et à domicile sur une double confrontation (aller-retour). | ||
b: défaite en finale aux tirs au but lors d'une confrontation unique. | ||
Remarque: | Pour les résultats en coupe d'Europe, les chiffres tiennent compte de tous les matchs disputés y compris lors des phases de poules lors des éditions 2007-2008 et 2008-2009 de la coupe féminine de l'UEFA. Depuis la modification du règlement lors de la Ligue des champions féminine de l'UEFA 2009-2010, l'Olympique lyonnais n'a jamais disputé de phase de qualification. |
1. | Farid Benstiti
2004-2010 - 186 m. (142v 29n 15d) - 76,3 % 5 tit. - (4ch 1cp 0cl) |
5. | Jean-Luc Vasseur
2019-2021 - 53 m. (47v 4n 2d) - 88.6 % 4 tit. - (1ch 1cp 1sc 1cl) | ||
2. | Patrice Lair
2010-2014 - 141 m. (132v 6n 3d) - 93,6 % 9 tit. - (4ch 3cp 2cl) |
6. | Sonia Bompastor
2021-2024 - 118 m. (101v 9n 8d) - 85,5 % 7 tit. - (3ch 1cp 2sc 1cl) | ||
3. | Gérard Prêcheur
2014-2017 - 106 m. (94v 8n 4d) - 88,6 % 8 tit. - (3ch 3cp 2cl) |
7. | Joe Montemurro
Depuis 2024 - 0 m. (0v 0n 0d) - 00,0 % 0 tit. - (0ch 0cp 0sc 0cl) | ||
4. | Reynald Pedros
2017-2019 - 73 m. (67v 5n 1d) - 91,7 % 5 tit. - (2ch 1cp 2cl) |
8. |
Depuis 2004, la section féminine de l'Olympique lyonnais a été entraînée par quatre entraîneurs différents. Tout d'abord, Farid Benstiti, qui était à la tête de l'équipe depuis 2001 lorsque la section appartenait au FC Lyon ; il remporte cinq titres (4 championnats et 1 Coupe de France) et atteint la finale de la Ligue des champions. Il est remplacé en 2010 par Patrice Lair, qui parvient à remporter la Ligue des champions sur deux saisons consécutives ; il remporte neuf titres (4 championnats, 3 Coupes de France et 2 Ligues des champions).
En 2014, il est remplacé par Gérard Prêcheur, qui est le premier à réaliser le triplé sur deux saisons consécutives ; il remporte huit titres (3 championnats, 3 Coupes de France et 2 Ligues des champions) et est élu meilleur entraîneur du Championnat de France en 2016 par la Fédération française de football[42]. Il ne renouvelle pas son contrat et est remplacé en 2017 par Reynald Pedros, qui fait ses premiers pas dans le football féminin ; il doit tenter d’insuffler un état d'esprit plus offensif en s'inspirant de son expérience, notamment au FC Nantes. Mais après seulement deux saisons et cinq titres glanés sur six possibles (dont 2 Ligues des champions), il décide de mettre un terme à son expérience lyonnaise[43] et est remplacé par Jean-Luc Vasseur en [44]. Après le quart de finale de Ligue des champions perdu face au Paris Saint-Germain, il est remplacé le par Sonia Bompastor[45]. Après avoir acquis sept titres, elle quitte le club à l'issue de la saison 2023-2024 et rejoint le Chelsea FC. Elle est remplacée par l'australien Joe Montemurro[46], premier entraîneur étranger nommé à ce poste. À noter que deux matchs de la section ont été dirigés par Antonin Da Fonseca en 2012 et 2013 pour cause d'indisponibilités de l'entraîneur de l’époque, Patrice Lair.
Ce tableau retrace la liste des joueuses les plus capées de l'histoire de l'Olympique lyonnais depuis le rattachement du FC Lyon lors de la saison 2004-2005.
Nb. | Joueuses | Carrière au club | Championnat | Coupe | Europe | TDC | Total |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1re | W. Renard | 2006- | 298 | 61 | 116 | 2 | 477 |
2e | E. Le Sommer | 2010-2021 / 2022- | 245 | 60 | 94 | 3 | 402 |
3e | A. Henry | 2007-2016 / 2018-2023 | 221 | 49 | 83 | 1 | 354 |
4e | C. Abily | 2006-2009 / 2010-2018 | 216 | 44 | 67 | - | 326 |
5e | S. Bouhaddi | 2009-2021 / 2022 | 199 | 28 | 76 | 1 | 304 |
6e | A. Majri | 2010- | 185 | 46 | 71 | 2 | 304 |
7e | L. Necib | 2007-2016 | 173 | 39 | 66 | - | 278 |
8e | É. Thomis | 2007-2018 | 169 | 43 | 64 | - | 276 |
9e | A. Hegerberg | 2014- | 153 | 29 | 60 | 2 | 244 |
10e | S. Kumagai | 2013-2021 | 152 | 33 | 54 | 1 | 240 |
Eugénie Le Sommer bat l'ancien record de Lotta Schelin le en marquant son 226e but lors du match de Coupe de France face au Toulouse FC[48]. Le tableau ci-dessous retrace la liste des meilleures buteuses de l'histoire de l'Olympique lyonnais depuis le rattachement du FC Lyon lors de la saison 2004-2005.
Nb. | Joueuses | Carrière au club | Championnat | Coupe | Europe | TDC | Total |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1re | E. Le Sommer | 2010-2021 / 2022- | 194 | 60 | 48 | 1 | 303 |
2e | A. Hegerberg | 2014- | 170 | 34 | 60 | 0 | 264 |
3e | L. Schelin | 2008-2016 | 143 | 41 | 41 | - | 225 |
4e | C. Abily | 2006-2009 / 2010-2018 | 135 | 31 | 43 | - | 209 |
5e | S. Brétigny[50] | 2004-2012 | 137 | 29 | 9 | - | 175 |
6e | W. Renard | 2006- | 97 | 21 | 32 | 0 | 150 |
7e | É. Thomis | 2007-2018 | 72 | 20 | 15 | - | 107 |
8e | L. Necib | 2007-2016 | 64 | 11 | 29 | - | 104 |
9e | A. Majri | 2010- | 57 | 14 | 18 | 1 | 90 |
10e | K. da Silva | 2007-2010 | 57 | 15 | 13 | - | 85 |
Nb. | Joueuses | Carrière au club | Total |
---|---|---|---|
1re | W. Renard | 2006- | 251 |
2e | S. Bompastor | 2006-2009 / 2010-2013 | 116 |
3e | L. Georges | 2007-2013 | 49 |
4e | S. Dusang | 2003-2012 | 41 |
5e | C. Locatelli | 1992-2006 | 29 |
6e | C. Abily | 2006-2009 / 2010-2018 | 17 |
7e | Simone | 2005-2010 | 14 |
8e | D. Blanc | 2002-2007 | 12 |
9e | E. Le Sommer | 2010-2021 / 2022- | 11 |
10e | H. Lattaf | 2006-2008 | 10 |
Le tableau ci-dessous retrace la liste des joueuses étrangères passées par le club depuis 2004. À ce jour, soixante-neuf joueuses étrangères, de vingt-six nationalités différentes, ont arboré le maillot rhodanien.
1re | Ada Hegerberg
Attaquante Depuis 2014 | |
2e | Saki Kumagai
Défenseure / Milieu 2013-2021 | |
3e | Lotta Schelin
Attaquante 2008-2016 | |
4e | Dzsenifer Marozsán
Milieu Depuis 2016 | |
5e | Lara Dickenmann
Milieu 2009-2015 |
Le tableau ci-dessous retrace la liste des joueuses passées par le club depuis 2004 ayant déjà remporté au moins une compétition internationale au moment de leur passage par le club.
Vainqueur(s) de la Coupe du monde FIFA |
Vainqueur(s) des Jeux olympiques CIO / FIFA | ||
Vainqueur(s) de l'Euro UEFA |
Vainqueur(s) de la Gold Cup CONCACAF |
Vainqueur(s) de la Copa América CONMEBOL |
Vainqueur(s) de la Coupe d'Asie AFC |
|
Ce tableau liste l'effectif professionnel féminin actuel.
Joueuses | Encadrement technique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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|
Coordinateur(s) Intendant(s)
|
N° | P. | Nat. | Nom | Date de naissance | Sélection | Club en prêt | Contrat |
---|---|---|---|---|---|---|---|
23 | M | Julie Swierot | 14/03/2006 (18 ans) | France −19 ans | Stade de Reims | 2023-2027 | |
24 | D | Alice Marques | 04/05/2005 (19 ans) | France −19 ans | Valencia CFF | 2023-2026 |
De 2004 à 2016, la section évolue au terrain no 10 de la Plaine de Jeux de Gerland (7e arrondissement) qui possède une capacité de 2 200 places. Depuis le début de saison 2016-2017, l'équipe joue ses matchs à domicile au terrain d'honneur du Groupama OL Training Center situé à Décines-Charpieu ; il s'agit d'un stade possédant une unique tribune d'une capacité de 1 500 places assises. Cependant, lors des matchs de Ligue des champions et des matchs importants du championnat de France, les rencontres sont jouées dans le Parc Olympique lyonnais qui compte 59 186 places.
L'équipe féminine professionnelle de l'Olympique lyonnais s’entraînait jusqu'en 2016 sur le terrain no 8 de la Plaine de jeux de Gerland, situé à proximité du Centre Tola-Vologe, lieu d'entraînement de l'équipe masculine. Ce dernier porte ce nom en hommage à Anatole Vologe, grand sportif et résistant français fusillé à Lyon pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ce centre regroupait en plus du stade d'entrainement de l'OL, le siège du club ainsi que le centre de formation des jeunes. Il se trouve à proximité du Stade de Gerland. Depuis l'été 2016, l'équipe s'entraîne comme son homologue masculine au Groupama OL Training Center.
L'Olympique lyonnais est depuis son origine une association titulaire d'un numéro d'affiliation à la Fédération française de football[54] sous le nom « Olympique de Lyon et du Rhône » mais également une société composée d'un président unique. Cette dernière a le statut de société anonyme sportive professionnelle et gère le groupe professionnel ainsi que le merchandising. La holding OL Groupe est par ailleurs introduite en bourse.
La section féminine est présidée par Jean-Michel Aulas depuis sa création en 2004. Pour diriger la section, le président est épaulé par un Président délégué, un Dirigeant de section et d'un Coordinateur technique en lien avec le Staff sportif[55]. Michele Kang est nommé présidente en Mai 2023.
Le budget de la section féminine de l'Olympique lyonnais est le plus élevé des clubs de football féminins français ; pour la saison 2009-2010, il est de 3,5 millions d'euros[56]. Ce budget est par exemple largement supérieur à celui du FCF Juvisy, concurrent direct de l'OL en championnat, et qui dispose de 215 000 euros par an[57]. Il faut dire que le club de Juvisy ne bénéficie pas de la structure d'un club professionnel comme la section masculine de l'Olympique lyonnais et son budget de plus de 120 millions d'euros[58]. Puis pour la saison 2013-2014, le budget de Lyon diminue légèrement (3,00 millions), tandis que celui du PSG féminin, est largement rehaussée (7,5 millions). Enfin, pour la saison 2014-2015, l'écart reste du plus du double entre les budgets des deux clubs : l'OL conserve un budget similaire (3,5 millions), tandis que Paris atténue ses moyens (6,7 millions).
En 2022, le salaire moyen brut des joueuses évoluant au club est estimé à 12 000 € mensuels[59]. Au premier semestre de 2017, le salaire le plus élevé était détenu par Alex Morgan avec environ 25 000 € mensuels bruts. Amandine Henry détrône l'américaine avec un salaire mensuel d'environ 30 000 € mensuels bruts lors de son retour en [60]. Un nouveau record est battu en lors de la prolongation de contrat d'Ada Hegerberg avec environ 40 000 € mensuels bruts jusqu'en 2021[61]. En 2022, c'est l'internationale française Wendie Renard qui détient le salaire le plus élevé avec 37 000 € mensuels bruts devant Ada Hegerberg qui voit son salaire baisser à 35 000 € mensuels bruts lors de sa prolongation jusqu'en 2024[59].
L'Olympique lyonnais a un partenariat avec l'OL Reign, la franchise de NWSL qui appartient à OL Groupe depuis [62]. Cette relation a notamment abouti au prêt lors de la saison 2021 de trois joueuses lyonnaises (Sarah Bouhaddi, Eugénie Le Sommer et Dzsenifer Marozsán) dans le club étasunien[63],[64].
En , le club annonce un nouveau partenariat avec la section féminine du Club América, en Liga MX Femenil. Les trois clubs doivent échanger des informations et des compétences pour le recrutement, la détection, la préparation physique ou encore le marketing. Des matches amicaux sont également prévus[65].
Le rachat du club en par la femme d'affaires américaine Michele Kang voit un nouveau partenariat apparaître avec le Washington Spirit, également détenu par l'Américaine[23].
La section féminine de l'Olympique lyonnais possède deux groupes de supporters officiels[66]. Tout d'abord le groupe des OL Ang'Elles, fondé en et qui compte près de 300 adhérents au début de l'année 2018 ; son emplacement au Groupama Stadium est la tribune ouest/virage sud, tandis qu'à OL Training center, il est situé au côté sud du terrain d'honneur. Le deuxième groupe de supporters est le Kop Fenottes 69, qui est fondé en et qui possède près de 60 adhérents au début de l'année 2018 ; son emplacement au stade est la tribune ouest/virage nord, tandis qu'à OL Training center, il est situé au côté nord du terrain d'honneur.
La moyenne d'affluence de spectateurs à domicile a connu une forte augmentation avec l'accession du club à la Coupe féminine de l'UEFA lors de la saison 2007-2008 ainsi qu'après la première victoire en Ligue des champions lors de la saison 2010-2011. En prenant en compte uniquement les deux compétitions nationales, la moyenne de fréquentation à domicile est d'environ 250 spectateurs de 2004 à 2011. De 2012 à 2020, elle se situe aux environs de 2 000 spectateurs. La pandémie de Covid-19 va contraindre à un huis clos total sur l'ensemble des matches de la saison 2020-2021. À noter que le déménagement de la section au Groupama OL Training Center en 2016 a fait passer le nombre de potentiel spectateurs de 2 200 à 1 500 personnes. La meilleure affluence à domicile est réalisée le au Parc OL lors de la demi-finale aller de la Ligue des champions face au Paris SG avec 38 466 spectateurs[67].
Date | Lieu | Compétition | Adversaire | Feuille de match | Spectateurs | |
---|---|---|---|---|---|---|
1. | 20/04/2024 | Parc OL, Décines-Charpieu | Ligue des champions - 1/2 finale aller | Paris SG | Rapport | 38 466 |
2. | 16/11/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | Division 1 - 9e journée | Paris SG | Rapport | 30 661 |
3. | 13/04/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | Division 1 - 20e journée | Paris SG | Rapport | 25 907 |
4. | 21/04/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | Ligue des champions - 1/2 finale aller | Chelsea FC | Rapport | 22 911 |
5. | 24/04/2016 | Parc OL, Décines-Charpieu | Ligue des champions - 1/2 finale aller | Paris SG | Rapport | 22 050 |
Depuis les années 2010, le club est en concurrence avec le Paris Saint-Germain pour les différents titres nationaux. Ce sont la plupart du temps leurs confrontations en championnat (ou en coupe de France) qui déterminent lequel sera titré. Ce phénomène s'est même accentué avec la montée en puissance des parisiennes en ligue des champions depuis 2015 qui a vu les 2 clubs s'affronter 3 fois consécutivement, respectivement en huitième, en demi et en finale devenant ainsi la première finale 100 % française de l'histoire lors de la ligue des champions 2016-2017.
Le bilan de ces 3 confrontations est d'une victoire du Paris Saint-Germain en huitième de finale contre 2 victoires lyonnaises (dont une victoire 7-0). Les olympiennes restent tout de même largement supérieures aux parisiennes car, depuis 2010, les Lyonnaises sont systématiquement championnes de France (sauf en 2021), ne laissant que la seconde place aux joueuses de la capitale. Elles ont gagné 6 fois la coupe de France contre 1 fois pour les Parisiennes en les battant notamment 2 fois en finale. Enfin, elles ont participé à 10 finales de ligue des champions et en ont remporté 8 (dont une face aux franciliennes) contre seulement 2 finales perdues pour le Paris Saint-Germain.
Compétition | Matchs | Victoires - Nuls - Défaites | BP | BC |
---|---|---|---|---|
Division 1 | 40 | 28 - 8 - 4 | 74 | 14 |
Coupe de France | 8 | 4 - 3 - 1 | 10 | 4 |
Ligue des champions | 12 | 8 - 2 - 2 | 22 | 10 |
Trophée des championnes | 3 | 2 - 1 - 0 | 4 | 1 |
Total | 63 | 42 - 14 - 7 | 110 | 29 |
Nb. | Joueuse | Total matchs | Total buts |
---|---|---|---|
1re | A. Hegerberg | 27 | 14 |
2e | L. Schelin | 19 | 8 |
3e | E. Le Sommer | 41 | 7 |
4e | W. Renard | 52 | 7 |
5e | S. Brétigny | 17 | 6 |
Liste des rencontres officielles face au Paris Saint-Germain | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Date | Lieu | Compétition | Résultat | Buteuses/Lyon | Buteuses/Paris | Affluence | |
1. | 12/12/2004 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 11e journée | 0 - 3 |
|
- | - |
2. | 17/04/2005 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 21e journée (dom.) | 2 - 0 |
|
- | 150 |
3. | 11/09/2005 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 2e journée (dom.) | 1 - 0 |
|
- | 200 |
4. | 11/12/2005 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 12e journée | 1 - 2 |
|
150 | |
5. | 12/11/2006 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 7e journée (dom.) | 4 - 1 |
|
|
200 |
6. | 25/03/2007 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 17e journée | 1 - 2 |
|
|
250 |
7. | 09/09/2007 | Camp des loges, St-Germain-en-Laye | D1 - 2e journée | 0 - 2 |
|
- | 150 |
8. | 20/01/2008 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 12e journée (dom.) | 4 - 0 |
|
- | 800 |
9. | 03/06/2008 | Stade de France, Seine-Saint-Denis | CDF - Finale | 3 - 0 |
|
- | 3 000 |
10. | 23/08/2008 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 1re journée (dom.) | 2 - 0 |
|
- | 150 |
11. | 31/05/2009 | Stade Louis-Raffegeau, Le Pecq | D1 - 22e journée | 0 - 2 |
|
- | 150 |
12. | 13/12/2009 | Plaine de Gerland, Lyon | D1 - 10e journée (dom.) | 1 - 1 |
|
300 | |
13. | 25/04/2010 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | CDF - 1/2 finale | 1 - 1 |
|
700 | |
14. | 30/05/2010 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 20e journée | 0 - 0 | - | - | 500 |
15. | 19/01/2011 | Camp des loges, St-Germain-en-Laye | D1 - 9e journée | 1 - 2 |
|
|
250 |
16. | 06/02/2011 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 19e journée (dom.) | 3 - 0 |
|
- | 200 |
17. | 30/10/2011 | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | D1 - 7e journée | 0 - 0 | - | - | 3 500 |
18. | 20/05/2012 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 17e journée (dom.) | 3 - 0 |
|
- | 4 500 |
19. | 17/11/2012 | Stade Charléty, Paris | D1 - 9e journée | 0 - 1 |
|
- | 1 200 |
20. | 02/03/2013 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 19e journée (dom.) | 3 - 0 |
|
- | 6 512 |
21. | 29/09/2013 | Stade Charléty, Paris | D1 - 4e journée | 0 - 3 |
|
- | 1 000 |
22. | 18/01/2014 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 14e journée (dom.) | 0 - 1 | - |
|
7 512 |
23. | 07/06/2014 | MMArena, Le Mans | CDF - Finale | 2 - 0 |
|
- | 6 588 |
24. | 01/11/2014 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 8e journée (dom.) | 2 - 1 |
|
|
10 122 |
25. | 08/11/2014 | Stade Charléty, Paris | WCL - 1/8 finale aller | 1 - 1 |
|
|
6 300 |
26. | 12/11/2014 | Stade de Gerland, Lyon | WCL - 1/8 finale retour (dom.) | 0 - 1 | - |
|
8 488 |
27. | 21/02/2015 | Stade Charléty, Paris | D1 - 18e journée | 0 - 4 |
|
- | 4 000 |
28. | 27/09/2015 | Stade de Gerland, Lyon | D1 - 4e journée (dom.) | 5 - 0 |
|
- | 7 037 |
29. | 05/02/2016 | Stade Charléty, Paris | D1 - 15e journée | 0 - 0 | - | - | 3 500 |
30. | 24/04/2016 | Parc OL, Décines-Charpieu | WCL - 1/2 finale aller (dom.) | 7 - 0 |
|
- | 22 050 |
31. | 02/05/2016 | Parc des Princes, Paris | WCL - 1/2 finale retour | 0 - 1 |
|
- | 5 855 |
32. | 17/12/2016 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 11e journée | 1 - 0 | - |
|
1 858 |
33. | 13/05/2017 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 21e journée (dom.) | 3 - 0 |
|
- | 7 912 |
34. | 19/05/2017 | Stade de la Rabine, Vannes | CDF - Finale | 1 - 1 |
|
|
6 616 |
35. | 01/06/2017 | Cardiff City Stadium, Cardiff | WCL - Finale | 0 - 0 | - | - | 22 433 |
36. | 11/12/2017 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 11e journée (dom.) | 1 - 0 |
|
- | 7 050 |
37. | 18/05/2018 | Stade G.-Lefèvre, St-Germain-en-Laye | D1 - 21e journée | 0 - 0 | - | - | 1 440 |
38. | 31/05/2018 | Stade de la Meinau, Strasbourg | CDF - Finale | 1 - 0 | - |
|
12 480 |
39. | 18/11/2018 | Stade Jean-Bouin, Paris | D1 - 10e journée | 1 - 1 |
|
|
7 465 |
40. | 09/02/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | CDF - 1/4 finale (dom.) | 1 - 0 |
|
- | 10 217 |
41. | 13/04/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 20e journée (dom.) | 5 - 0 |
|
- | 25 907 |
42. | 21/09/2019 | Stade de Roudourou, Guingamp | TDC - Finale | 1 - 1 |
|
|
12 558 |
43. | 16/11/2019 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 9e journée (dom.) | 1 - 0 |
|
- | 30 661 |
44. | 09/08/2020 | Stade de l'Abbé-Deschamps, Auxerre | CDF - Finale | 0 - 0 | - | - | 4 500 |
45. | 26/08/2020 | Stade San Mamés, Bilbao | WCL - 1/2 finale | 1 - 0 |
|
- | 0 |
46. | 20/11/2020 | Parc des Princes, Paris | D1 - 9e journée | 1 - 0 | - |
|
0 |
47. | 24/03/2021 | Parc des Princes, Paris | WCL - 1/4 finale aller | 1 - 0 |
|
- | 0 |
48. | 18/04/2021 | Parc OL, Décines-Charpieu | WCL - 1/4 finale retour (dom.) | 2 - 1 |
|
0 | |
49. | 30/05/2021 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 16e journée (dom.) | 0 - 0 | - | - | 0 |
50. | 14/11/2021 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 8e journée (dom.) | 6 - 1 |
|
|
13 497 |
51. | 24/04/2022 | Parc OL, Décines-Charpieu | WCL - 1/2 finale aller (dom.) | 3 - 2 |
|
|
22 774 |
52. | 30/04/2022 | Parc des Princes, Paris | WCL - 1/2 finale retour | 2 - 1 |
|
|
43 254 |
53. | 29/05/2022 | Stade Jean-Bouin, Paris | D1 - 21e journée | 1 - 0 | - | 4 338 | |
54. | 28/08/2022 | Stade Marcel-Tribut, Dunkerque | TDC - Finale | 1 - 0 | - | 4 472 | |
55. | 11/12/2022 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 11e journée (dom.) | 0 - 1 | - |
|
13 400 |
56. | 13/05/2023 | Stade de la Source, Orléans | CDF - Finale | 2 - 1 |
|
|
6 127 |
57. | 21/05/2023 | Parc des princes, Paris | D1 - 21e journée | 1 - 0 |
|
- | 18 900 |
58. | 10/09/2023 | Stade de l'Aube, Troyes | TDC - Finale | 2 - 0 |
|
- | 5 283 |
59. | 01/10/2023 | Parc des princes, Paris | D1 - 2e journée | 1 - 0 | - | 15 899 | |
60. | 11/02/2024 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - 15e journée (dom.) | 1 - 1 |
|
|
21 764 |
61. | 20/04/2024 | Parc OL, Décines-Charpieu | WCL - 1/2 finale aller (dom.) | 3 - 2 |
|
|
38 466 |
62. | 28/04/2024 | Parc des princes, Paris | WCL - 1/2 finale retour | 2 - 1 |
|
|
28 000 |
63. | 17/05/2024 | Parc OL, Décines-Charpieu | D1 - Playoff finale (dom.) | 2 - 1 |
|
|
15 660 |
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