Mohsen Hassan

homme d'affaires et homme politique tunisien De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Mohsen Hassan

Mohsen Hassan, né le à Mahdia, est un homme d'affaires et homme politique tunisien.

Faits en bref Fonctions, Ministre tunisien du Commerce ...
Mohsen Hassan
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Mohsen Hassan en 2017.
Fonctions
Ministre tunisien du Commerce

(7 mois et 15 jours)
Président Béji Caïd Essebsi
Chef du gouvernement Habib Essid
Gouvernement Essid
Prédécesseur Ridha Lahouel
Successeur Zied Ladhari
Biographie
Date de naissance (54 ans)
Lieu de naissance Mahdia, Tunisie
Nationalité tunisienne
Parti politique Union patriotique libre, Nidaa Tounes puis indépendant
Diplômé de Université Panthéon-Sorbonne
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Il est nommé le comme ministre du Commerce dans le gouvernement de Habib Essid.

Biographie

Résumé
Contexte

Études

Originaire d'Essouassi dans le gouvernorat de Mahdia, Mohsen Hassan poursuit ses études à l'Institut de financement du développement du Maghreb arabe avant d'étudier à l'université Panthéon-Sorbonne à Paris[1].

Carrière professionnelle

Il est expert consultant auprès de nombreuses organisations internationales[2]. Il a été professeur en sciences économiques à la faculté des sciences économiques et de gestion de Tunis (ar)[2].

Carrière politique

En 2011, il devient porte-parole de l'Union patriotique libre[1].

Il est élu député dans la première circonscription de Tunis lors des élections législatives de 2014. Le , il est proposé comme ministre du Tourisme dans le gouvernement de Habib Essid, mais ce gouvernement ne reçoit pas le vote de confiance de l'Assemblée des représentants du peuple (ARP). Il renonce alors à ce poste et se voit remplacé par Selma Elloumi[3].

Le , il est nommé ministre du Commerce lors du remaniement du gouvernement Essid. Il démissionne alors des postes qu'ils occupent dans plusieurs sociétés, notamment celui de PDG du groupe GMH[1], pour éviter tout conflit d'intérêts[4]. Ces entreprises sont actives dans les domaines des conseils immobiliers, du commerce des voitures et de la restauration rapide[4]. Il est alors remplacé à l'ARP par Olfa Jouini, qui prête serment le 9 février[5].

Après son départ du gouvernement, il quitte l'Union patriotique libre le [6] et rallie Nidaa Tounes[7], qu'il quitte le [8].

Références

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