Louise Abbéma

Biographie
Naissance	30 octobre 1853; Étampes (Essonne)
Décès	26 juillet 1927 (à 73 ans); Paris 9e
Sépulture	Cimetière du Montparnasse
Nom de naissance	Louise Catherine Léonie Abbéma
Pseudonyme	Abbema, Louise
Nationalité	française
Domicile	Étampes
Activité	Peintre, graveuse, illustratrice, sculptrice
Période d'activité	1878-1927
Famille	Louise Contat (arrière-grand-mère) ; Louis Marie de Narbonne-Lara (arrière-grand-père) ; Amalric Contat (grand-mère)
Maître	Charles Chaplin, Jean-Jacques Henner, Carolus-Duran
Genre artistique	Portrait
Distinctions	Chevalier du Mérite agricole (1900); Chevalier de la Légion d'honneur‎
	Panneau décoratif : allégorie de l'Hiver (d), Panneau décoratif : allégorie du Printemps (d), Portrait de Sarah Bernhardt (d)

Louise Abbéma, née le 30 octobre 1853 à Étampes et morte le 26 juillet 1927 à Paris est une peintre, graveuse, illustratrice et sculptrice française^[1].

Faits en bref Naissance, Décès ...

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Elle est connue pour la réalisation de portraits de personnalités parisiennes et de scènes de genre.

Louise Abbéma est la fille du vicomte^[2] Émile-Léon Abbéma (1826-1915), administrateur de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, et chef de gare de la station d’Étampes, et d'Henriette-Anne-Sophie d'Astoin (1826-1905). Louise Abbéma est l'arrière-petite-fille du comte de Narbonne, fils naturel de Louis XV^[3], et de la comédienne Louise Contat, et la petite-fille d'Amalric Contat, elle aussi actrice.

Louise Abbéma, Loulou pour les intimes^[4], est née en 1853. Par coquetterie ou erreur typographique, la date de naissance de 1858 est reprise par l'ensemble des documents à son sujet^[2].

Louise Abbéma se forme auprès du peintre d'histoire Louis Devédeux (1820-1874)^[5], puis devient l'élève des artistes Charles Chaplin (1825-1891), Jean-Jacques Henner (1829-1905) et Carolus-Duran (1837-1917). Dès l'âge de vingt-trois ans, elle accède à la notoriété grâce à un portrait de Sarah Bernhardt réalisé en 1875, puis en exécutant ceux de l'artiste Jean-Jacques Henner, de l'entrepreneur et diplomate Ferdinand de Lesseps et de l'architecte de l'opéra Charles Garnier^[3]. Sarah Bernhardt — qui est sa compagne^[6]^,^[7] — a sculpté un buste en marbre de Louise Abbéma en 1878^[8].

Elle fait partie des peintres officiels des fastes de la III^e République en démontrant sa grande maîtrise pour l'exécution des panneaux décoratifs à Paris, pour : l'Opéra-Comique, l'Hôtel de ville et les mairies des VII^e, X^e et XX^e arrondissements^[3].

En 1881, elle reçoit une mention honorable au Salon des artistes français où elle expose régulièrement jusqu'en 1926. En 1890, elle expose une toile intitulée Le Japon au premier Salon de la Société nationale des beaux-arts^[9].

Elle est membre de la délégation de femmes françaises artistes présentées à l'Exposition universelle de 1893 à Chicago, regroupées dans le Woman's Building^[10], tout en exposant également au Fine-Arts Palace de Chicago.

Elle grave à la pointe-sèche des portraits, dont ceux de Sarah Bernhardt, Charles Garnier, Jean-Jacques Henner et Carolus-Duran^[1].

Elle fournit des dessins pour plusieurs revues d'art et illustre La Mer de René Maizeroy.

Au début du XX^e siècle, elle fréquente le salon de Madeleine Lemaire, où elle rencontre Robert de Montesquiou, qui consacre un poème satirique à cette rencontre, Abîme^[11].

De 1883 à 1908, elle a un atelier au n^o 47 rue Laffitte dans le 9^e arrondissement de Paris^[12]. Domicile dans lequel elle décède le 26 juillet 1927^[13].

Louise Abbéma repose à Paris, au cimetière du Montparnasse, dans la division 9.

(Liste non exhaustive, classée par année de réalisation.)

Tableaux

1875 : Renée Delmas de Pont-Jest, huile sur toile, 83,2 × 102,2 cm, Melbourne, National Gallery of Victoria, 2022.1528^{[O 1]}.
1877 :
- Le Déjeuner dans la serre, huile sur toile (195 × 308 cm), Musée des Beaux-Arts de Pau^{[O 2]} ;
- Renée Delmas, ancien titre L'Hiver, huile sur toile (100,5 × 56,2 cm), musée des Beaux-Arts de Reims^{[O 3]}^,^{[Note 1]}.
1880 : Portrait de Jeanne Samary, huile sur toile, musée Carnavalet (Paris) ;
1882 : Les Quatre Saisons, quatre huiles sur toile présentés au salon de 1882^{[O 4]} ;
1887 : Portrait de M. Abbéma, présenté au Salon de 1887^{[O 5]} ;
1889 : Falaise fleurie, huile sur toile, Salon de la Société des artistes français de 1889^{[O 6]} ;
1893 : Dans les fleurs, huile sur toile, Salon de la Société des artistes français de 1893^{[O 7]} ;
1894 : Matin d’avril, place de la Concorde, huile sur toile, Salon de 1894^{[réf. nécessaire]} ;
1899 : Roses de Trianon, huile sur toile, Salon de la Société des artistes français de 1899^{[O 8]} ;
1902 : Panneau décoratif : allégorie du Printemps, huile sur toile (130 × 100 cm), musée d'Orsay (Paris)^{[O 9]} ;
1902-1906 : Panneau décoratif : allégorie de l'Hiver, huile sur toile (130 × 100 cm), musée d'Orsay (Paris)^{[O 10]} ;
1907 : Diane, huile sur toile, Salon de la Société des artistes français de 1907^{[O 11]} ;
1909 : Roses blanches, ou Roses trémières blanches, huile sur toile (95 × 78 cm), ministère de la Défense (Paris)^{[O 12]} ;
1911-1912 : Portrait d'Anne de Bretagne, panneau peint, dans la grande salle de l'hôtel de ville de Redon (Ille-et-Vilaine)^{[O 13]} ;
1916 : La Victoire, huile sur toile^{[O 14]} ;
1921 : Portrait de Sarah Bernhardt, huile sur toile (87 × 120 cm), musée d'Orsay (Paris)^{[O 15]} ;
s.d. : Jeune Femme dans un jardin ou Jeune Femme à l'éventail, huile sur toile, Musée des Beaux-Arts de Dijon^{[O 16]}.

Dessins et affiches

1885 : Sarah Bernhardt in a Japanese Garden, dessin en pastel dans un modèle d'éventail (79 × 45 cm), au Musée d'art de Zimmerli (New Brunswick, États-Unis)^{[O 17]} ;
1903 : La Sorcière. Affiche pour le théâtre Sarah-Bernhardt, affiche en chromolithographie (195 × 129 cm), au musée d'Orsay (Paris)^{[O 18]} ;
1906 : Capucines, dessin en pastel, au musée national Adrien-Dubouché de Limoges^{[O 19]}.

Illustrations

1881 : Portraits de Jules Claretie, d'Alexandre Falguière et de Léo Delibes paru dans deux numéros des Croquis contemporains ;
1895 : Goûter au pavillon d'Armenonville, chromolithographie, illustration pour la couverture du Le Figaro illustré de mai 1895^{[O 20]}.

Sculptures

1875 : Sarah Bernhardt (1844-1923), médaillon en bronze (20 × 16 cm), au musée d'Orsay (Paris)^{[O 21]} ;
s.d. : Mains jointes de Sarah Bernhardt et Louise Abbéma, moulage en bronze (longueur 31 cm) sur socle en marbre noir, avec signatures et cachet^[7]^,^{[Note 2]}.

Œuvres de Louise Abbéma
Renée Delmas de Pont-Jest (1875).
Le Déjeuner dans la serre (1877).
Portrait de Jeanne Samary (1879).
Sarah Bernhardt dans un jardin japonais (1885).
Sarah Bernhardt à table (vers 1885).
Panneaux du foyer du théâtre Sarah Bernhardt : La Samaritaine, Gismonda. Paris-Noël (1899).
Allégorie de la Ville de Paris (1901).

Dans son ouvrage critique L'art moderne, Joris-Karl Huysmans écrit à propos des panneaux des Quatre Saisons, exposés au Salon de 1882 :

« […] Encore un peintre qui n'était pas le premier venu et qui s'effondre ! Nous allons pouvoir en dire autant de M^lle Abbéma qui tirait jadis de ses boîtes à couleurs de gais pétards. Les quatre saisons, représentées par quatre actrices, sont, comme concept, une niaiserie bien féminine, mais ce qui est pis encore, c'est l'exécution lâchée, l'impersonnalité de cette peinture molle et acide. »

Chevalière de la Légion d'honneur : le 11 octobre 1906, elle est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur et faite chevalière le 18 novembre 1906^[3]^,^[14].
Chevalière de l'ordre du Mérite agricole (1900).

En 2022, l'allée Louise-Abbéma est inaugurée dans le square Sarah-Bernhardt du 20^e arrondissement de Paris.

Note

[N 1]
Portrait de l'actrice Renée Delmas au théâtre René de Pont-Jest. Elle est l'épouse de Lucien Guitry et mère de Sacha Guitry. Elle pose pour Louise Abbéma à plusieurs reprises.
[N 2]
Le moulage en bronze des mains jointes des deux femmes est exposé à l'Espace Cardin en 1976. En 1999, l'association lesbienne Janet & Co dépose une plainte pour vol de l'œuvre.

Références

[1]
Bailly-Herzberg 1985, p. 11.
[2]
Bernard Gineste, « Ville d’Étampes : Acte de naissance de Louise Abbéma au registre d’État civil, le 31 octobre 1853 », sur Corpus étampois, 2 mai 2010 (consulté le 9 septembre 2022).
[3]
Mazenod et Schoeller 1992, p. 1.
[4]
Jean Lorrain, Poussières de Paris, Paris, P. Ollendorff (réimpr. 2006 et 2017) (1^re éd. 1902), 383 p. (ISBN 0-2608-8672-6, lire en ligne), p. 66.
[5]
Maëva Abillard, « Découvrez la vie et l'œuvre de Louise Abbéma », sur ministère de la Culture, 1^er juin 2018 (consulté le 10 septembre 2022).
[6]
« Louise Abbéma, peintre française », sur Evene.fr (consulté le 9 septembre 2022).
[7]
Bernard Gineste, « Sarah Bernhardt et Louise Abbéma, Mains jointes », sur corpusetampois.com, 22 février 2018 (consulté le 9 septembre 2022).
[8]
Hervé Lewandowski, « Notice : Sculpture réalisée en 1878 de Louise Abbema (1858-1927), peintre », sur Réunion des musées nationaux, 1986 (consulté le 9 septembre 2022).
[9]
Société nationale des beaux-arts (France) Salon Auteur du texte, Salon de 1890. Palais de l'industrie. Guide-catalogue complet par ordre numérique . Peinture et sculpture..., 1890 (lire en ligne)
[10]
(en) K.L. Nichols, « French Women Painters: 1893 Chicago World's Fair and Exposition », sur Women's Art at the World's: Columbian Fair & Exposition, Chicago 1893, 25 juin 2002 (consulté le 9 septembre 2022).
[11]
Bernard Gineste, « Robert de Montesquiou, Abîme, 1919 (vers satiriques à l'encontre de Louise Abbéma) », sur corpusetampois.com, 21 mars 2009 (consulté le 10 septembre 2022).
[12]
Roussard 1999, p. 23.
[13]
« Actes de décès du 9^e arrondissement de Paris (ref : 9D 145) : Louise Abbéma, demeurant au n^o 47 rue Laffitte, acte n^o 908 du 29 juillet 1927 », sur Archives de Paris, 1927 (consulté le 9 septembre 2022), p. 25 / 31.
[14]
« Chevalier de la Légion d'honneur : Louise Catherine Léonie Abbéma », sur base Léonore, ministère français de la Culture (consulté le 10 septembre 2022).

Références des œuvres

(Sauf mentions contraires, les références sont issues des bases Arcade et Joconde du ministère français de la Culture.)

[O 1]
(en) « Renée Delmas de Pont-Jest », notice de l'oeuvre, sur National Gallery of Victoria (consulté le 23 février 2024).
[O 2]
« Le déjeuner dans la serre », notice n^o 00980000018.
[O 3]
« Renée Delmas », notice n^o 03110005195.
[O 4]
« Les quatre saisons », notice sur Corpus étampois.
[O 5]
Roussard 1999, p. 23.
[O 6]
« Falaise fleurie », notice n^o AR454076.
[O 7]
« Dans les fleurs », notice n^o AR454077.
[O 8]
« Roses de Trianon », notice n^o AR454079.
[O 9]
« Panneau décoratif : allégorie du Printemps (1902) », sur musée d'Orsay, 24 juin 2022 (consulté le 10 septembre 2022).
[O 10]
« Panneau décoratif : allégorie de l'Hiver (1902-1906) », sur musée d'Orsay, 24 juin 2022 (consulté le 10 septembre 2022).
[O 11]
« Diane », notice n^o AR454080.
[O 12]
« Roses blanches », notice n^o AR440627.
[O 13]
« Portrait d'Anne de Bretagne », notice n^o AR440629.
[O 14]
« La victoire », notice n^o AR454082.
[O 15]
« Portrait de Sarah Bernhardt (1921) », sur Rmn, 2005 (consulté le 10 septembre 2022).
[O 16]
Musées de Dijon (@museesdijon), « Jeune femme dans un jardin aussi connue sous le titre de Jeune femme à l'éventail est une toile non datée peinte par Louise Abbema », sur Twitter, 24 juin 2020 à 11 h 31 (consulté le 10 septembre 2022).
[O 17]
(en) Louise Abbéma, « Sarah Bernhardt in a Japanese Garden (1885) », sur Google Arts & Culture (consulté le 10 septembre 2022).
[O 18]
« La Sorcière. Affiche pour le théâtre Sarah-Bernhardt (1903) », sur musée d'Orsay, 21 avril 2022 (consulté le 10 septembre 2022).
[O 19]
« Capucines », notice n^o AR017249.
[O 20]
« Illustrations couleurs (lithographies, typogravures ou estampes) des couvertures du Figaro Illustré par l'artiste : Louise Abbéma », sur figaro-illustre.e-monsite.com (consulté le 10 septembre 2022).
[O 21]
« Sarah Bernhardt (1844-1923) », notice n^o 000SC010000.

Bibliographie

Angelo Mariani (préf. Octave Uzanne, Oscar Roty, Maurice Bouchor, Jules Claretie et Armand Silvestre), Figures contemporaines, tirées de l'album Mariani… : Louise Abbéma, vol. 1/14 (Biographie), Paris, E. Flammarion, H. Floury et G. Richard, 1894, 240 p. (BNF 30883147, lire en ligne), p. 14-16.
Anne Marie Belfort et Chantal Belfort, Espace Pierre Cardin (du 31 mars au 30 mai), Pierre Cardin présente Sarah Bernhardt (catalogue d'exposition), Paris, Ateliers Fram, coll. « collections d'art », 1976, 77 p. (OCLC 3498159, présentation en ligne).
Janine Bailly-Herzberg (préf. Michel Melot), Dictionnaire de l'estampe en France (1830-1950) : Louise Abbéma, Paris, Flammarion, coll. « Arts et métiers graphiques », 1985, 384 p. (ISBN 2-08-012013-1, lire en ligne ), p. 11. .
Lucienne Mazenod et Ghislaine Schoeller, Dictionnaire des femmes célèbres, de tous les temps et de tous les pays : Louise Abbéma, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 1992, 932 p. (ISBN 2-221-05292-7, lire en ligne), p. 1. .
André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre, Paris, A. Roussard, 1999, 640 p. (ISBN 2-9513601-0-X, présentation en ligne), p. 23. .
Denise Gellini et Louise Abbéma (artiste) (ill. Nicolas Lacaze), Louise Abbéma, peintre dans la Belle Époque, Paris, Le Jardin d'essai, coll. « Femmes artistes », 2006, 127 p. (ISBN 2-911822-49-8, présentation en ligne).
Tristan Cordeil, Louise Abbéma. Itinéraire d'une femme peintre et mondaine, Mémoire de Master, 2013 (lire en ligne).

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(en) « Louise Abbema Works Online », sur Artcyclopedia (consulté le 10 septembre 2022).
Bernard Gineste, « Quelques œuvres de Louise Abbéma : recherches effectuées de 2003 à 2016 », sur corpusetampois.com, 5 juin 2020 (consulté le 10 septembre 2022).
Carine Chichereau, « Peintresses en France : Louise Abbéma : une femme libre », sur diacritik.com, 21 mai 2021 (consulté le 10 septembre 2022).

[17] [N 1]
Portrait de l'actrice Renée Delmas au théâtre René de Pont-Jest. Elle est l'épouse de Lucien Guitry et mère de Sacha Guitry. Elle pose pour Louise Abbéma à plusieurs reprises.

[36] [N 2]
Le moulage en bronze des mains jointes des deux femmes est exposé à l'Espace Cardin en 1976. En 1999, l'association lesbienne Janet & Co dépose une plainte pour vol de l'œuvre.

[Bailly-Herzberg198511-1] [1]
Bailly-Herzberg 1985, p. 11.

[ActeNaissance1853-2] [2]
Bernard Gineste, « Ville d’Étampes : Acte de naissance de Louise Abbéma au registre d’État civil, le 31 octobre 1853 », sur Corpus étampois, 2 mai 2010 (consulté le 9 septembre 2022).

[MazenodSchoeller19921-3] [3]
Mazenod et Schoeller 1992, p. 1.

[4] [4]
Jean Lorrain, Poussières de Paris, Paris, P. Ollendorff (réimpr. 2006 et 2017) (1^re éd. 1902), 383 p. (ISBN 0-2608-8672-6, lire en ligne), p. 66.

[5] [5]
Maëva Abillard, « Découvrez la vie et l'œuvre de Louise Abbéma », sur ministère de la Culture, 1^er juin 2018 (consulté le 10 septembre 2022).

[6] [6]
« Louise Abbéma, peintre française », sur Evene.fr (consulté le 9 septembre 2022).

[MainsJointes-7] [7]
Bernard Gineste, « Sarah Bernhardt et Louise Abbéma, Mains jointes », sur corpusetampois.com, 22 février 2018 (consulté le 9 septembre 2022).

[8] [8]
Hervé Lewandowski, « Notice : Sculpture réalisée en 1878 de Louise Abbema (1858-1927), peintre », sur Réunion des musées nationaux, 1986 (consulté le 9 septembre 2022).

[9] [9]
Société nationale des beaux-arts (France) Salon Auteur du texte, Salon de 1890. Palais de l'industrie. Guide-catalogue complet par ordre numérique . Peinture et sculpture..., 1890 (lire en ligne)

[10] [10]
(en) K.L. Nichols, « French Women Painters: 1893 Chicago World's Fair and Exposition », sur Women's Art at the World's: Columbian Fair & Exposition, Chicago 1893, 25 juin 2002 (consulté le 9 septembre 2022).

[11] [11]
Bernard Gineste, « Robert de Montesquiou, Abîme, 1919 (vers satiriques à l'encontre de Louise Abbéma) », sur corpusetampois.com, 21 mars 2009 (consulté le 10 septembre 2022).

[Roussard199923-12] [12]
Roussard 1999, p. 23.

[13] [13]
« Actes de décès du 9^e arrondissement de Paris (ref : 9D 145) : Louise Abbéma, demeurant au n^o 47 rue Laffitte, acte n^o 908 du 29 juillet 1927 », sur Archives de Paris, 1927 (consulté le 9 septembre 2022), p. 25 / 31.

[37] [14]
« Chevalier de la Légion d'honneur : Louise Catherine Léonie Abbéma », sur base Léonore, ministère français de la Culture (consulté le 10 septembre 2022).

[14] [O 1]
(en) « Renée Delmas de Pont-Jest », notice de l'oeuvre, sur National Gallery of Victoria (consulté le 23 février 2024).

[15] [O 2]
« Le déjeuner dans la serre », notice n^o 00980000018.

[16] [O 3]
« Renée Delmas », notice n^o 03110005195.

[18] [O 4]
« Les quatre saisons », notice sur Corpus étampois.

[Roussard199923-19] [O 5]
Roussard 1999, p. 23.

[20] [O 6]
« Falaise fleurie », notice n^o AR454076.

[21] [O 7]
« Dans les fleurs », notice n^o AR454077.

[22] [O 8]
« Roses de Trianon », notice n^o AR454079.

[23] [O 9]
« Panneau décoratif : allégorie du Printemps (1902) », sur musée d'Orsay, 24 juin 2022 (consulté le 10 septembre 2022).

[24] [O 10]
« Panneau décoratif : allégorie de l'Hiver (1902-1906) », sur musée d'Orsay, 24 juin 2022 (consulté le 10 septembre 2022).

[25] [O 11]
« Diane », notice n^o AR454080.

[26] [O 12]
« Roses blanches », notice n^o AR440627.

[27] [O 13]
« Portrait d'Anne de Bretagne », notice n^o AR440629.

[28] [O 14]
« La victoire », notice n^o AR454082.

[29] [O 15]
« Portrait de Sarah Bernhardt (1921) », sur Rmn, 2005 (consulté le 10 septembre 2022).

[30] [O 16]
Musées de Dijon (@museesdijon), « Jeune femme dans un jardin aussi connue sous le titre de Jeune femme à l'éventail est une toile non datée peinte par Louise Abbema », sur Twitter, 24 juin 2020 à 11 h 31 (consulté le 10 septembre 2022).

[31] [O 17]
(en) Louise Abbéma, « Sarah Bernhardt in a Japanese Garden (1885) », sur Google Arts & Culture (consulté le 10 septembre 2022).

[32] [O 18]
« La Sorcière. Affiche pour le théâtre Sarah-Bernhardt (1903) », sur musée d'Orsay, 21 avril 2022 (consulté le 10 septembre 2022).

[33] [O 19]
« Capucines », notice n^o AR017249.

[34] [O 20]
« Illustrations couleurs (lithographies, typogravures ou estampes) des couvertures du Figaro Illustré par l'artiste : Louise Abbéma », sur figaro-illustre.e-monsite.com (consulté le 10 septembre 2022).

[35] [O 21]
« Sarah Bernhardt (1844-1923) », notice n^o 000SC010000.

[1]

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[5]

[6]

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[Note 1]

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[O 19]

[O 20]

[O 21]

[Note 2]

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