La Bouëxière
commune française d'Ille-et-Vilaine De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La Bouëxière est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 4 563 habitants[Note 1].
La Bouëxière | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Liffré-Cormier Communauté | ||||
Maire Mandat |
Stéphane Piquet 2020-2026 |
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Code postal | 35340 | ||||
Code commune | 35031 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouexièrais | ||||
Population municipale |
4 563 hab. (2021 en évolution de +6,22 % par rapport à 2015) | ||||
Densité | 92 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 11′ 02″ nord, 1° 26′ 17″ ouest | ||||
Altitude | 108 m Min. 42 m Max. 125 m |
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Superficie | 49,68 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | La Bouëxière (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Liffré | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-labouexiere.fr | ||||
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La Bouëxière est l'une des 353 communes d'Ille-et-Vilaine. Située à 19 km au nord-est de Rennes[1], dans le canton de Liffré, elle est entourée par les forêts de Liffré, au nord, et de Chevré, au sud, cette dernière étant située sur le territoire de la commune.
Les communes limitrophes sont, dans le sens horaire et en commençant par l'ouest, Liffré, Dourdain, Val-d'Izé, Marpire, Châteaubourg, Servon-sur-Vilaine et Acigné.
Liffré | Forêt domaniale de Liffré | Dourdain | ||
Forêt domaniale de Rennes | N | Val-d'Izé | ||
O La Bouëxière E | ||||
S | ||||
Acigné | Forêt de Chevré, Servon-sur-Vilaine, Châteaubourg | Marpire |
La Bouëxière est située au nord-nord-est de la Liffré-Cormier Communauté et à la limite est du pays de Rennes.
La quasi-absence de remembrement sur le territoire de la commune a préservé une grande diversité physionomique et écologique où coexistent rivières, zones humides, massifs forestiers et prairies de bocage. Ce bocage se caractérise par des haies avec un maillage dense, diversifiées en espèces avec une dominance de chênes et de châtaigniers, les parcelles étant elles-mêmes souvent plantées de pommiers aux abords des fermes[2].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 816 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Feins à 22 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Au , La Bouëxière est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Bouëxière[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31 %), prairies (24,8 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), terres arables (19 %), zones urbanisées (3,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), eaux continentales[Note 4] (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Buxeria en 1165, Busseria en 1173, Buxeria en 1516[16].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ière, précédée du mot buis sous sa forme locale bus, bous. Le graphe x note à l'origine le double s. Le sens global est donc celui de « lieu où pousse du buis » ou « lieu planté de buis ».
En gallo, langue traditionnelle des habitants de La Bouëxière, la commune est appelée La Bouéçierr[17].
En 1943, Théophile Jeusset crée un premier nom de la localité en breton : Beuzeg Roazon[18]. La forme bretonne proposée actuellement par l'Office public de la langue bretonne est Beuzid-ar-C’hoadoù[16].
la Baillée – la Baillée Olivier - la Baronnière - Le Bas-Sevailles - la Basse-Voix - la Basse-Plardais - Beau-Chêne - Bel Air - Bellevue - la Berthelière - la Blandinière - la Bonnerie - le Bouessay - le Bois de Chevré - le Bois du Gué - le Bouessay - le Bout du Bois - la Brémaudais - la Bronais - la Brosse - le Buisson - la Butte aux Sangliers - la Chagaudière - le Carrefour - le Champ des Pruniers - le Châtaignier - le Chêne de la Vierge - Chevré - le Clos du Désert - la Coulée du Buisson - les Cours - le Creux de l'Écuelle - la Croix du Loup Pendu - la Croix Jallu - le Cueillerais ou le Ceuillerais - le Domaine de Sevailles - le Désert - le Dioger - le Drugeon - le Grand Drugeon - le Petit Drugeon - l'Épine Rouge - l'Étang de la Chaîne[19] - la Féranderie - la Fontenelle - Forges - les Forges de Sérigné - la Fredeussais ou la Fordeussais - la Frelonnais - la Gaillardière - Gasnier - la Gâteillais - la Giraudais - la Grande Fontaine - le Grétay - le Gué de la Ragée ou le Gué de la Rangée - la Hairie - le Haut-Champ - le Haut de la Lande - le Haut-Bertry - le Haut-Sevailles - le Haut du Taillis - la Haute Touche - la Havardière - la Haye - les Loges - la Malécotais - la Marre Noire - la Marre Plate - la Martinière - les Métairies de Sérigné - Mi-Forêt - la Millerais - Montoussaint - le Moulin de Trapeau - le Moulin de Bertry - Monbouvon - le Moulin Ory - la Pagerie - la Paveillais - la Perrière - le Petit-Drugeon - le Petit-Gasnier - la Petite-Brémaudais - le Plan - le Pré - le Pré Guérin - la Provostais - la Plardais -Rallion - la Ribertière - le Rochelet - les Rochers - la Rosière - le Saudray - Sevailles - la Talotière - la Tannerie - Tarouanne - Tatoux - la Térionerie - la Tigeardière - la Touche Melet - la Touche Ory - la Touche-Ronde - la Vallée - la Vieille-Tarouanne - la Vigne - Villeray - Villory.
La commune est desservie par les cars du réseau interurbain BreizhGo :
La présence sur le territoire de la commune de monuments mégalithiques atteste d'une occupation ancienne. Dans son Inventaire des monuments mégalithiques d'Ille-et-Vilaine de 1883, P. Bézier mentionne un premier ensemble, désormais disparu, de trois menhirs situés le long de la rivière de la Chèvre, en amont de l'étang de Chevré. Un second ensemble, les menhirs de la Mancellière, est toujours visible mais sa compréhension est rendue difficile par la configuration boisée des lieux[2].
La présence à l'époque romaine est attestée par des toponymes, notamment celui de la commune actuelle.
Pour Adolphe Orain, La Bouëxière tire son origine du prieuré d'Allion, à Rallion[22] (ou d'Allion, ou d'Alliou), fondé vers 595[23] pour commémorer la victoire des Bretons de Waroch sur les Francs de Childebert II à cet endroit en 594, sur les bords de la Noironde[24].
Sur la paroisse de La Bouëxière est une belle et ancienne seigneurie baillée en partage au sire de Vitré par un duc de Bretagne, « en tous droits de chastellenie, bois, estangs, moulins et forests qui peuvent composer et décorer une belle terre »[25]. La baronnie de Vitré, créée au XIe siècle par Geoffroy Ier, pour Riwallon, semble avoir possédé la seigneurie de Chevré dès sa création.
Entre 1141 et 1156, Alain Ier donne la chapelle de la Motte de Sevailles qu'il possède aux moines cisterciens de l'abbaye de Savigny[26].
Au milieu du XIIe siècle, la paroisse est donnée par l'évêque de Rennes Étienne de La Rouchefoucauld (1157-1166) à l'abbaye de Saint-Sulpice-des-Bois, qui y établit un prieuré de Condonats et de moniales[27]. Située au confluent des zones d'influence des comtes de Rennes, des ducs de Bretagne et des seigneurs de Vitré, elle voit à cette époque se dérouler plusieurs conflits, et la construction des mottes de Sérigné et de Chevré[28].
En 1173, l'évêque Étienne de Fougères et son archidiacre Pierre confirment la donation de l'église de la Bouëxière aux religieux[29]. Les frères condonats de Saint-Sulpice-des-Bois, bénédictins, gouvernent la paroisse à partir de cet acte et prennent le titre de prieur de La Bouëxière. C'est l'abbesse de Saint-Sulpice qui a le droit de présenter le prieur-recteur. Elle conservera ce droit jusqu'à la Révolution, pour les réguliers comme pour les séculiers. Les prêtres séculiers n'apparaîtront seulement que vers la fin du XVIe siècle.
Sous l'Ancien Régime, le territoire de la commune est partagé entre de nombreuses seigneuries, dont les biens sont vendus au titre de biens nationaux sous la Révolution.
Le prieur-recteur Joachim Nivet déclare le que le bénéfice de sa paroisse lui procure 1 500 livres de rente ; la municipalité minore la somme à 1 340 livres. Le détail de ce compte est précisé : presbytère et pourpris : 80 livres ; grosses et menues dîmes : 1 100 livres ; dîmes novales : 160 livres. Les charges par ailleurs s'élèvent à : la pension du vicaire, 140 livres de décimes et pour entretenir les bâtiments 72 livres[30].
Dans le même temps, la fabrique de la paroisse possède pour 81 livres et 815 sols de rente, la bourse des défunts se monte à 108 livres et 8 sols[31].
Ambroise-Gervais-René Gougeon de la Thébaudière[32] fonda à la Vallée en La Bouëxière des hauts-fourneaux qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1818[33].
En 1851, le journal La Presse écrit :
« Les loups commencent à s'agiter dans les forêts enclavées entre les bourgs de La Bouëxière, Servon, Dourdain, Marpiré, Broons et Saint-Jean-sur-Vilaine, et la gendarmerie de Châteaubourg a déjà eu à constater de graves dégâts. Ces redoutables animaux paraissent jusqu'à présent sortir plus particulièrement de la forêt de la Corbière. Le 31 décembre [1850], un cheval et un poulain ont été dévorés sur le territoire de Saint-Jean, et une génisse sur celui de Broons. Les loups doivent être nombreux, car on entend beaucoup de hurlements dans les campagnes. On a rencontré, dans la commune de Broons, une louve et quatre louveteaux[34]. »
Au XIXe siècle, des carrières et les forges du Drugeon et de Sérigné sont ouvertes, ce qui favorise un accroissement de la population de La Bouëxière, qui profite également de sa situation sur l'axe Liffré - Vitré pour développer ses activités agricoles et commerciales[28], bien que le marché de Chevré périclite à cette époque.
En 1921, Alexis Rey[Note 5] fait don du château du Carrefour à la Société des colonies de vacances des écoles publiques de Rennes, alors dirigée par Oscar Leroux[Note 6]. La Société aménage alors le bâtiment pour en faire un centre de vacances pour les « fillettes chétives pour lesquelles l'air de la mer était contre-indiqué ». En 1929, Oscar Leroux exprime le souhait d'adjoindre, à côté de la colonie de vacances, un préventorium ainsi qu'une école de plein air, afin de pouvoir accueillir des enfants toutes l'année. Le préventorium Rey ouvre donc en 1931[35]. Il porte aujourd'hui le nom de Centre Rey-Leroux.
Dans la décennie 1930, une ligne d'autobus allant de Liffré à Vitré passait par La Bouëxière, Marpiré et Champeaux[36].
Le , un grave incendie se déclara en forêt de Chevré ; « les cloches des églises de Broons, Châteaubourg et La Bouëxière ont sonné le tocsin, et toutes les populations avoisinantes, sous la direction des gendarmes et des pompiers des bourgades voisines, ont attaqué le fléau […]. En trois heures, 350 ha de bois et de landes ont été détruits »[37].
Le , 12 résistants furent tués et 16 arrêtés à La Bouëxière par la 2ème unité de marche de la Milice française[38].
Blasonnement :
D'azur au pont de sept arches d'argent, maçonné de sable, mouvant des flancs, sur une terrasse d'argent et accompagné en pointe d'une tierce ondée du même, le pont sommé d'un chien assis contourné affronté à un lion assis, tous deux d'or, soutenant un écusson d'argent à la croix de sable[39]. |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
novembre 1895[40] | octobre 1911[41] (décès) |
Jean-Marie Pavy père (1845-1911) |
RG | Négociant, agriculteur Conseiller général de Liffré (1910 → 1911) Conseiller d'arrondissement (1907 → 1910) |
décembre 1911[42] | mai 1962[43] (décès) |
Jean-Marie Pavy fils (1877-1962) |
URD puis RPF puis CNIP |
Négociant, agriculteur Conseiller général de Liffré (1922 → 1940 puis 1945 → 1961) Nommé conseiller départemental en 1943 Officier de la Légion d'honneur et du Mérite civil |
juillet 1962[44] | mars 1971 | Jean Pavy (1922-1988) |
CNIP puis UDR | Entrepreneur Conseiller général de Liffré (1965 → 1979) Président du SIVOM du secteur de Liffré (1972 → 1977) Réélu en 1965[45] |
mars 1971[46] | mars 1989 | André Louazel[47] (1923-2012) |
DVG | Entrepreneur Réélu en 1977[48] et 1983[49] |
mars 1989[50] | mars 2001 | Albert Hay | DVD | Ingénieur-conseil retraité Réélu en 1995[51] |
mars 2001[52] | mars 2008 | Francis Havard[53] | UDF-FD | Directeur de centre social retraité, ancien adjoint (1989 → 2001) Ancien conseiller général de Liffré (1992 → 1998) Ancien président du SIVOM du secteur de Liffré (1995 → 1998) Suppléant de la députée Marie-Thérèse Boisseau (1993 → 2002) Maire honoraire |
mars 2008[54] | En cours (au 19 janvier 2021) |
Stéphane Piquet[55] (1968- ) |
DVG | Professeur de biologie Président de Liffré-Cormier Communauté (2020 → ) Réélu en 2014[56] et 2020[57] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[59].
En 2021, la commune comptait 4 563 habitants[Note 7], en évolution de +6,22 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2014 | 2019 | 2021 | - | - | - | - | - | - |
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4 258 | 4 526 | 4 563 | - | - | - | - | - | - |
Un seul monument historique protégé se situe sur la commune : les ruines d'un donjon et motte féodale de Chevré. Le site, datant des XIIe et XIIIe siècles, et formé par l'ensemble fortifié, la chapelle et le pont est un monument historique inscrit par arrêté du [62].
La Bouëxière possède cependant un important patrimoine, notamment de nombreux châteaux et manoirs inventoriés :
Autour de Chevré, on trouve trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF, pour un total de 1 954 ha) de première génération :
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