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entreprise française de télécommunications De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Iliad est un groupe français de télécommunications fondé par Xavier Niel en 1991 et qu’il préside depuis 2019. Il est présent en France, en Italie, au Maroc et en Pologne. En 2014, il a réalisé 61 % de son chiffre d'affaires dans l'internet fixe (Free, etc.) et 39 % dans la téléphonie mobile (Free mobile, etc.).
Iliad | |
Création | 1991 (Fermic Multimedia) |
---|---|
Dates clés | 1991 : Rachat par Xavier Niel 1999 : Création de Free 2004 : Introduction en bourse 2008 : Rachat d'Alice et Liberty Surf 2012 : Lancement de Free Mobile 2018 : Lancement de Iliad Italia 2019 : Rachat de Jaguar Network 2020 : Rachat de Play (pl) |
Fondateurs | Xavier Niel |
Personnages clés | Xavier Niel, Maxime Lombardini, Michaël Boukobza, Arnaud de Bermingham, Angélique Gérard, Rani Assaf |
Forme juridique | Société anonyme |
Action | OTC Markets Group (ILIAF)[1] |
Slogan | Liberté, Vérité, Simplicité |
Siège social | Paris France |
Direction | Xavier Niel, Président du Conseil d'administration [2] Thomas Reynaud, Directeur général[3] |
Actionnaires | Xavier Niel : 96,40 % du capital & 96,17 % pour le droit de vote Cyril Poidatz : 1,65 % du capital & 1,21 % pour le droit de vote Antoine Levavasseur : 0,94 % du capital |
Activité | Télécommunications |
Produits | Freebox |
Filiales | Free, Free Infrastructure, Free Mobile, Only (50 %), Scaleway[4], One.Tel, Iliad Telecom, Assunet, MCRA, Iliad Free Wimax, Freebox SAS, Iliad Italia, Free Pro (ex Jaguar Network) (75%), Eir (avec M. Niel), Play (pl) |
Effectif | 17 000 personnes (2022) |
SIREN | 342376332 |
TVA européenne | FR82342376332 |
Site web | www.iliad.fr |
Capitalisation | 5 453 M€ (avril 2019) |
Chiffre d'affaires | 9.23 Md€ (2023) |
Résultat net | 318 M€ (2023) |
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Iliad est le 6e groupe de télécommunication européen avec 42 millions d'abonnés via ses filiales en France, Italie et Pologne, à la suite du rachat de l'opérateur polonais Play en 2020[5] et du fournisseur d’accès à Internet UPC Poland en 2021[6].
En 1991, Xavier Niel achète Fermic Multimedia, un éditeur de services télématiques réservés aux adultes « Minitel rose », créé dans les années 1980 et le rebaptise Iliad[7].
En , Iliad se lance dans le marché de la fourniture d'accès à Internet. Le groupe choisit d'interconnecter ses services télématiques Minitel avec l'Internet exploité par Worldnet, sous l'adresse « 3615 WORLDNET ».
À partir de 1996, Iliad lance le service « 3617 ANNU », une filiale qui développe, produit et commercialise des services d'annuaire inversé.
En 1999, Iliad obtient des licences de télécommunication de type L. 33-1 et L. 34-1, afin d'exploiter son propre réseau de télécommunications et commercialiser des services de télécommunication destinés au public. Dès lors, le réseau Free voit le jour. En 2000, la société d'investissement Goldman Sachs investit 15 millions d'euros dans le groupe. Avec cet apport, Iliad entreprend le déploiement de son réseau de télécommunications et l'interconnexion avec celui de France Telecom. À la même période, l'entreprise cesse ses activités thématiques Minitel, à l'exception de celles opérées par sa filiale « 3617 ANNU ». En , Iliad rachète pour dix ans la licence d'exploitation de One.Tel à l'entreprise britannique Centrica. Le groupe français entend dès lors développer ses recherches pour le développement de son terminal multimédia Freebox. C'est à compter de l'année 2001 que la société dégage un résultat net positif.
À l'automne 2002, l'offre « Free haut débit à 29,99 euros par mois » est lancée alors qu'à la même période, l'ensemble de ses concurrents proposent une offre avoisinant 45 euros par mois. La même année, Free entreprend le dégroupage des premières lignes à Paris et quitte l'Association française des fournisseurs d'accès et de services Internet. Le dégroupage Free dans les grandes villes de France se déploie dès 2003.
Iliad acquiert Kertel qui devient une filiale spécialisée dans la vente de cartes de télécommunication prépayées. À partir de , Iliad devient le deuxième Fournisseur d'accès à Internet (FAI) DSL français derrière l'opérateur historique France Telecom, qui deviendra par la suite Orange.
En 2004, l'action Iliad est introduite en Bourse. L'opérateur lance en septembre de la même année, la quatrième version de sa Freebox désormais sous forme de routeur équipé de Wi-Fi. Iliad déploie le dégroupage total dans les grandes villes. En 2005 et en partenariat avec Canalplay de Canal+, Iliad propose la première offre de vidéo à la demande par DSL. Le groupe acquiert de la société de télécommunications Altitude Telecom et la licence Wimax nationale exclusive. En , la Freebox V5 est équipée d'un disque dur avec fonction PVR, notamment destiné à l'enregistrement audio-vidéo de certains contenus diffusés ainsi qu'un récepteur TNT. Cet équipement permet de capter et restituer les signaux de télévision en HD. À l'occasion de ce lancement, une offre de type « illimitée » incluant les appels vers les téléphones mobiles est commercialisée. La Freebox V.5 est composée de deux boîtiers séparés : l'un est relié à la ligne téléphonique et selon sa fonction de modem et l'autre à l'écran de télévision pour les fonctions audio/vidéo. Ces deux boîtiers peuvent communiquer sans fil grâce au WiFi MIMO ainsi que via des liaisons de type CPL exploitant le réseau électrique.
Iliad annonce une offre d'accès en fibre optique à Très Haut Débit (THD) de type FTTH pour le premier semestre 2007, laquelle conserve le tarif standard de l'offre DSL de Free. Dans un premier temps disponible à Paris, cette offre s'étend ensuite progressivement sur quelques grandes villes. Dans le cadre du développement de cette offre, le groupe acquiert la société Citéfibre, spécialisée dans la technologie FTTH.
Le , Iliad annonce la nomination de l'un des dirigeants opérationnels du Groupe TF1, Maxime Lombardini, et le nomme à la Direction du développement du groupe Iliad, pour compenser le départ de Michael Boukobza à la même période[8].
Le , Iliad annonce être entré en négociation exclusive avec l'opérateur italien Telecom Italia en vue de la prise de contrôle du FAI Alice pour un montant maximum de 800 millions d'euros. Alice dénombre en 2008, près de 800 000 abonnés, ce qui permet à Free de retrouver sa place de leader d'Internet en France, derrière l'opérateur historique Orange, mais devant Neuf Cegetel qui avait pris sa place en 2007[9].
En , Iliad obtient le feu vert des banques pour l'acquisition du (FAI) Alice. L'opération est finalisée le pour un montant de 775 millions d'euros, officialisant ainsi la première grosse acquisition en France sur le marché DSL. Iliad revendique dès lors sa seconde place sur le marché de l'Internet haut débit français avec près de 4 millions d'abonnés et une part de marché estimée à 25,5 %[10]. Le redressement financier d'Alice passe toutefois par une réduction des frais de structure, un plan de sauvegarde de l'emploi et donc des centaines de licenciements.
En , la filiale d'Iliad Free Mobile reçoit l'autorisation de l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep) lui permettant de devenir le quatrième opérateur de téléphonie mobile français, après l'opérateur historique Orange, SFR du groupe Vivendi et Bouygues Telecom. La licence s'élève à 240 millions d'euros lui est officiellement attribuée en . L'opérateur doit proposer ses services à partir de l'année 2012, au plus tard. En , Iliad obtient le droit de commercialiser son offre de téléphonie mobile : « Free mobile promet de diviser par deux la facture de téléphone des Français ! »[11]. Le , lors d'une conférence de presse que les médias comparent à celle de Steve Jobs pour Apple, Xavier Niel dévoile à la fois les offres commerciales de Free Mobile et sa stratégie dont l'objectif visé consiste à proposer des tarifs compétitifs et une offre dite « sociale » à 2 euros par mois.
Le , Iliad annonce avoir 5,25 millions d'abonnés haut débit, entre ses offres Free et Alice[12]. Dans ce même communiqué, l'entreprise affirme que 93,8 % de ses abonnés sont dégroupés. Au , le nombre d'abonnés haut débit est de 5 945 000.
Entre 2013 et 2014, Iliad tente sans succès d'acquérir l'opérateur américain T-Mobile[13],[14],[15].
En décembre 2014, Xavier Niel, via sa holding NJJ Capital, annonce le rachat de la société Orange Suisse pour 2,8 milliards CHF (2,3 milliards EUR) et la renomme Salt Mobile. Le 23 février 2015, le feu vert du transfert de concession est accordé par la Commission fédérale de la communication (ComCom). Salt Mobile, anciennement Orange Communications, est une entreprise de télécommunications suisse. Elle est le troisième opérateur de téléphonie mobile en Suisse, avec 17 % de part de marché, derrière Swisscom avec 58 % et Sunrise avec 25 % (31 décembre 2018). L'entreprise n'appartient pas à Iliad mais à Xavier Niel via une société holding.
Le 20 décembre 2017, NJJ (holding personnelle de Xavier Niel) et Iliad ont acquis chacun 31,6 % du capital de Eircom[16].
Le , lors d'une conférence de presse à Milan, le directeur général de la filiale italienne d'Iliad, Benedetto Levi, présente à la fois l'offre commerciale de Iliad Italia et annonce, dès cet instant, le lancement officiel du quatrième opérateur de réseau mobile italien qui va se joindre aux opérateurs historiques Wind Tre, TIM et Vodafone Italia[17],[18]. Le , 50 jours après son lancement, Iliad Italia annonce officiellement avoir atteint son premier million de clients[19],[20],[21],[22] ; et pourtant, le , l'opérateur italien confirme avoir déjà franchi le cap de deux millions de clients[23],[24]. Le , Iliad est le premier opérateur mobile italien à obtenir un bloc de fréquences 5G pour 676 472 792 d'euros[25],[26].
En janvier 2019, Iliad acquiert une participation de 75 % dans Jaguar Network, un opérateur télécom français destiné aux entreprises, pour environ 100 millions d'euros[27].
En , Iliad (et Salt) vendent leurs pylônes de télécommunication en France, Italie et en Suisse à Cellnex Telecom pour 2,7 milliards d'euros (dont 2 milliards d'euros pour Iliad pour 70 % de ses tours et 700 millions d'euros pour 90 % des tours de Salt[28]). Pour Iliad cet accord concerne 5 700 pylônes en France et 2 200 en Italie[29].
En septembre 2020, Iliad annonce l'acquisition du plus important opérateur mobile polonais, Play, pour 3,5 milliards d'euros[30].
En juillet 2021, Xavier Niel annonce l'acquisition de la participation qu'il ne détenait pas dans Iliad, soit 29 %, pour 3,1 milliards d'euros[31].
En septembre 2021, Iliad annonce l'acquisition de la filiale UPC Poland de Liberty Global pour 1,5 milliard d'euros[32].
Au premier trimestre 2022, le groupe publie un chiffre d'affaires en forte hausse de 4,8 % à 1,934 milliard d'euros[33].
Sur l'ensemble de l'année 2022, Iliad enregistre un chiffre d'affaires consolidé de 8,37 milliards d'euros, en croissance de 10,3 %, dépassant l'objectif de 8 milliards d'euros de revenus annoncé l'an dernier. Le bénéfice net, quant à lui, est en hausse de 44,1 %, à 758 millions d'euros, porté notamment par de bonnes performances en Italie, Pologne et France[34]. Au total, Iliad enregistre 2,7 millions de nouveaux abonnés en 2022, atteignant la 6e place européenne du secteur[35]. A l'été 2023, la dette du groupe est de seulement 10,5 milliards d’euros[36], bien moins que son concurrent Altice France (qui possède SFR...) par exemple.
Fin septembre 2023, Iliad, maison mère de Free décide de prendre le tournant de l'intelligence artificielle en investissant 200 millions d'euros sur ce domaine. Un supercalculateur SuperPOD (NVIDIA) a été acheté dans cet objectif[37].
Le 30 mai 2024, Iliad annonce qu’il va investir 2,5 milliards d’euros dans les data centers en Europe au cours des dix prochaines années. Cet investissement sera opéré par Opcore, filiale d’Iliad qui gère 15 centres de données à Paris, Marseille, Amsterdam et Varsovie[38].
Le groupe Iliad détient les sociétés suivantes :
En juillet 2012, Iliad arrête l'activité de sa filiale de jeux de cercles et de paris en ligne Iliad Gaming[42].
Évolution des abonnés FTTH/ADSL du FAI Free, filiale d’Iliad[43]
Date |
Abonnés ADSL |
Abonnés FTTH | Total ADSL + FTTH | % d'abonnés ADSL | % d'abonnés FTTH | Lignes raccordables |
---|---|---|---|---|---|---|
1 064 000 | 1 064 000 | 100 % | 0 % | |||
1 595 000 | 1 595 000 | 100 % | 0 % | |||
2 278 000 | 2 278 000 | 100 % | 0 % | |||
2 904 000 | 2 904 000 | 100 % | 0 % | |||
4 224 000 | 4 224 000 | 100 % | 0 % | |||
4 452 350 | 4 452 350 | 100 % | 0 % | |||
4 534 000 | 4 534 000 | 100 % | 0 % | |||
4 849 000 | 4 849 000 | 100 % | 0 % | |||
5 364 000 | 5 364 000 | 100 % | 0 % | |||
5 640 000 | 5 640 000 | 100 % | 0 % | |||
5 868 000 | 5 868 000 | 100 % | 0 % | |||
5 979 000 | 159 000 | 6 138 000 | 97,41 % | 2,59 % | 2 500 000 | |
6 090 000 | 310 000 | 6 400 000 | 95,16 % | 4,84 % | 4 400 000 | |
5 944 000 | 556 000 | 6 500 000 | 91,45 % | 8,55 % | 6 200 000 | |
5 444 000 | 983 000 | 6 427 000 | 84,71 % | 15,29 % | 9 600 000 | |
31 décembre 2019 | 4 700 000 | 1 760 000 | 6 460 000 | 72,76 % | 27,24 % | 13 900 000 |
31 décembre 2020 | 3 919 000 | 2 803 000 | 6 722 000 | 58,30 % | 41,70 % | 19 910 000 |
31 décembre 2021 | 3 152 000 | 3 773 000 | 6 925 000 | 45,52 % | 54,85 % | 25 500 000 |
Date | Abonnés Free Mobile | Abonnés Iliad Italia |
---|---|---|
[44] | 5 205 000 | |
[44] | 8 040 000 | |
[44] | 10 105 000 | |
[45] | 11 685 000 | |
[45] | 12 700 000 | |
[45] | 13 695 000 | |
[46] | 13 441 000 | 2 837 000 |
31 décembre 2019[47] | 13 313 000 | 5 237 000 |
31 décembre 2020 | 13 376 000 | 7 235 000 |
31 décembre 2021 | 13 611 000 | 8 505 000 |
Évolution de l'actionnariat (% du capital) - Source : documents de référence [48],[49],[50],[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60] :
Années |
---|
Xavier Niel |
Rani Assaf |
Cyril Poidatz |
Antoine Levavasseur |
Autodétention |
Flottant |
Nombre total d’actions |
Valorisation (en millions) |
[61] | ||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
77,95 % | 69,45 % | 67,65 % | 66,00 % | 66,16 % | 65,82 % | 65,58 % | 63,93 % | 59,27 % | 58,65 % | 55,16 % | 54,76 % | 54,53 % | 54,20 % | 52,21 % | 53,41 % | |
2,42 % | 1,76 % | 1,76 % | 1,76 % | 1,75 % | 1,73 % | 1,72 % | 1,65 % | 1,57 % | 1,36 % | 1,30 % | 1,30 % | 1,29 % | 1,29 % | 1,29 % | ||
2,00 % | 1,33 % | 1,20 % | 1,20 % | 1,19 % | 1,23 % | 1,26 % | 1,21 % | 1,20 % | 1,19 % | 1,15 % | 1,14 % | 1,14 % | 1,14 % | 1,14 % | ||
2,42 % | 1,94 % | 1,76 % | 1,67 % | 1,35 % | 1,02 % | 1,01 % | 0,94 % | 0,93 % | 0,90 % | 0,89 % | 0,86 % | 0,86 % | 0,86 % | 0,86 % | ||
0,01 % | 0,01 % | 0,06 % | 0,15 % | 0,11 % | 0,11 % | 0,04 % | 0,05 % | 0,06 % | 0,04 % | 0,03 % | 0,19 % | 0,21 % | 0,4 % | |||
15,20 % | 22,97 % | 24,92 % | 27,44 % | 28,75 % | 29,87 % | 31,62 % | 36,72 % | 37,50 % | 41,37 % | 41,87 % | 42,13 % | 42,47 % | 44,47 % | 43,24 % | ||
47 624 230 | 53 452 230 | 54 151 550 | 54 151 550 | 54 151 550 | 54 431 275 | 54 583 440 | 54 696 740 | 57 042 092 | 57 637 805 | 58 076 797 | 58 453 935 | 58 660 640 | 58 837 338 | 59 032 661 | 59 045 555 | |
1 085,08 | 1 347,78 | 3 787,90 | 3 985,55 | 3 374,74 | 4 558,81 | 4 452,31 | 5 438,96 | 7 495,80 | 8 647,64 | 11 614,80 | 11 506,95 | 10 767,23 | 11 782,91 | 7 250,79 |
La valorisation d'Iliad avant sa cotation en bourse est, en , de 300 millions d'euros[62] (Goldman Sachs prends 4,79 % du capital[48]) et de 32 millions d’euros en [62]. Iliad est valorisé 775 millions d’euros lors de son introduction en Bourse en (Goldman Sachs sort du capital)[62],[63],[64].
Évolutions des résultats d'Iliad, en millions d'euros - Source : rapports financiers :
Années |
---|
Chiffre d'affaires du groupe |
Résultat net part du groupe |
Endettement financier net (Ratio endettement) |
Investissement du groupe (% du CA) |
1999 | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016[65] | 2017[45] | 2018[46],[66] | 2019[67] | 2020[68] | 2021[68] |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
46,6 | 41,6 | 80,8[69] | 159,4[69] | 293,1[70] | 491,4[71] | 724,2[72] | 950,3[73] | 1 212,4[74] | 1 565,0[75] | 1 954,5[76] | 2 038,3[77] | 2 122,1[78] | 3 153,3[79] | 3 747,9[80] | 4 167,6[81] | 4 414,4[82] | 4 722,1 | 4 987,5 | 4 891 | 5 332 | 5 871 | 7 590 |
6,7 | 18,1 | 10,9[69] | 23,3[69] | 33,9[70] | 40,8[71] | 68,9[72] | 123,9[73] | 150,2[74] | 100,4[75] | 175,9[76] | 313,1[77] | 251,8[78] | 186,5[79] | 265,4[80] | 278,4[81] | 335,0[82] | 402,7 | 480,3 | 323 | 1 726 | 420 | 526 |
9,5[70] (-x) | 0,0[71] (0.0x) | 38,5[72] (-x) | 114,9[74] (-x) | 881,9[75] (1.7x) | 664,9[76] (1.0x) | 691[77] (0,87x) | 969,4[78] (1,16x) | 1 064[79] (1,16x) | 1 023[80] (0,85x) | 1 084[81] (0,84x) | 1 191[82] (0,80x) | 1 643 | 2 449 | 3 983 | ||||||||
945,2[79] (29,97 %) | 905,5[80] (28,72 %) | 968,3[81] (23,23 %) | 1 219,9[82] (27,63 %) | 1 286,3 (25,12 %) | 1 524,7 (30,57 %) | 1 816 (37,12 %) |
Évolution des effectifs d’Iliad[83]
Date | Cadres | Non cadres | Total |
---|---|---|---|
177 | 1600 | 1777 | |
171 | 2241 | 2412 | |
624 | 3574 | 4198 | |
648 | 3512 | 4160 | |
--- | --- | 4355 | |
--- | --- | 5655 | |
--- | --- | 6506 | |
859 | 6017 | 7000/7200 | |
998 | 6166 | 7164 | |
10 061[66] |
Au [84] :
Administrateurs représentant les salariés
Les administrateurs indépendants ont été rémunérés 20 000 euros en 2013 et 30 000 euros en 2014.
Iliad déclare pour l'année 2017 avoir exercé des activités de lobbying pour un montant de 250 000 euros auprès de l’État français et de 37 500 euros auprès de l'Union européenne[88].
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