d'un style d'abord académique, sa peinture se rattache ensuite au mouvement naturaliste.
et d'ailleurs un de ses tableaux les plus connus est un martyr. le marchand de violette
Il est nommé professeur de dessin dans une école de la Ville de Paris. Il habite à cette époque au 15, rue de la Tour-d'Auvergne à Paris. Plus tard, son atelier sera au 62, boulevard de Clichy.
À partir de 1880, sous l'influence des tableaux du peintre naturalisteJules Bastien-Lepage et d'une prise de conscience sociale, il délaisse les sujets historiques pour se tourner vers la représentation des classes populaires et se livrer à une réflexion sur la condition humaine. Ses «enfants mendiants» s'inscrivent dans une forme d'esthétique espagnole héritée de Murillo.
Émile Bellier de La Chavignerie et Louis Auvray, Dictionnaire général des artistes de l’école française depuis les origines jusqu’à nos jours, 3 vol., Paris, Librairie Renouard, 1882-1885.
André Roussard, Dictionnaire des peintres à Montmartre, peintres, sculpteurs, graveurs, dessinateurs, illustrateurs, plasticiens, au XIXeetXXesiècles, Paris, Éditions André Roussard, 1999.
Collectif, Fernand Pelez, la parade des humbles, [catalogue de l’exposition présentée au Petit Palais à Paris du au ], Éditions Paris Musées, 2009.