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archives du département du Gard De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Les archives départementales du Gard sont l'institution de conservation culturelle, chargée de collecter les archives publiques et privées sur tous supports produites dans les territoires formant l'actuel département du Gard, de les conserver, de les classer et de les mettre à la disposition du public en tant que preuves juridiques de l'action publique et comme sources de la recherche. Placée sous l'autorité du préfet depuis leur création, les archives départementales du Gard relèvent désormais du conseil départemental du Gard.
Fondation |
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Sigle |
AD du Gard |
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Type | |
Siège |
Nîmes (365, rue du Forez, 30000) |
Pays | |
Coordonnées |
Effectif |
36 (2014)[1] |
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Directrice |
Corinne Porte (d) (depuis ) |
Budget | |
Site web |
Annuaire du service public |
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De 1911 à 2013, les archives départementales ont occupé les locaux de l'ancien grand séminaire de Nîmes, rue des Chassaintes.
Le , un nouveau bâtiment de 3 niveaux comprenant 33 magasins de stockage pour 40 kilomètres d'archives est inauguré, rue du Forez[1].
Les Archives départementales du Gard conservent de nombreux fonds d'archives d'origine publique et privée, une bibliothèque historique et administrative, des collections de presse de référence et de riches collections iconographiques.
Les dossiers et documents d'archives ne sont pas classés par sujet, mais répartis suivant le cadre de classement des Archives départementales, dans différentes séries en fonction de leur provenance (principe du respect des fonds d'archives) ou de leur support.
Outil fondamental de travail pour la gestion des archives, le cadre de classement des archives départementales permet à la fois de répartir les archives par grands ensembles cohérents et de formuler la référence officielle des documents et des dossiers conservés. Il permet aux chercheurs de formuler leur recherche et de s'orienter rapidement vers les ensembles de documents les plus pertinents.
Ce cadre de classement est appliqué dans tous les services d'archives départementaux. Il est constitué de subdivisions nommées "séries" (ex. série M : Archives de la préfecture et de ses services) et "sous-séries" (ex. Sous-série 1 M : Administration générale)
Les cadres de classement peuvent présenter des particularités liées à l'histoire propre du territoire qu'ils couvrent (séries d'archives sans objet, non constituées, limites chronologiques, archives d'organismes aujourd'hui étrangers, etc.).
Les Archives départementales du Gard ont choisi de développer leur offre en instruments de recherches en ligne et de substituer peu à peu des instruments de recherche électroniques actualisés à leur collection d'instruments de recherche papier disponibles en salle de lecture (publications imprimées et instruments de recherche dactylographiés).
Fondation |
(Société d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes) |
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Prédécesseur |
Société d'histoire et d'archéologie de Nîmes et du Gard (d) |
Sigle |
SHNG |
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Type | |
Forme juridique |
Association déclarée |
Objet social |
Susciter, encourager et diffuser les recherches portant sur l'histoire de Nîmes, de sa région et de l’ensemble du Gard du XVIe siècle au XXIe siècle |
Domaines d'activité |
Histoire, autres organisations fonctionnant par adhésion volontaire (France), enseignement supérieur |
Siège |
Archives départementales du Gard |
Pays |
Membres |
120 () |
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Fondateurs |
Armand Cosson, Raymond Huard, Robert Debant (d), Jean Roger (d), Christiane Lassalle (d), Jean-François Foucaud (d), Victor Lassalle (d) |
Président |
Sylvain Olivier (d) (depuis ) |
Publication | |
Site web |
OpenCorporates |
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La Société d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes (« et du Gard » après 1998) a son siège aux Archives.
Ayant pour ancêtre la Société d'histoire et d'archéologie de Nîmes et du Gard, active dans les années 1930 et 1940[4], elle est fondée en 1980[5] « par un groupe d’historiens de Nîmes », dont Armand Cosson[6], Raymond Huard, Robert Debant, Christiane et Victor Lassalle, Jean-François Foucaud et Jean Roger[7].
Elle devient en 2022 « Société d'histoire de Nîmes et du Gard »[8], après avoir absorbé la défunte Association Guillaume-Nogaret.
Elle a pour but de « susciter, encourager et diffuser les recherches portant sur l'histoire de Nîmes, de sa région et de l’ensemble du Gard du XVIe siècle au XXIe siècle »[9]. À cette fin, elle organise des conférences et divers colloques annuels, dont plusieurs volumes d'acte ont été publiés :
Elle édite le Bulletin de la Société d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes[28], devenu la Revue d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes et du Gard en 2002[9] — puis la Revue d'histoire de Nîmes et du Gard en 2017[29],[30],[31].
Identité | Période | Durée | |
---|---|---|---|
Début | Fin | ||
Raymond Huard (né en ) | 1 an | ||
Robert Debant (d) ( - ) | 1 an | ||
Jean Roger (d) ( - ) | 1 an | ||
Armand Cosson (né en ) | 1 an | ||
Anne-Marie Duport (née en ) | 1 an | ||
Jean-François Foucaud (d) (né en ) | |||
Robert Debant (d) ( - ) | |||
Raymond Huard (né en ) | 1 an | ||
René Bosc (d) ( - ) | 1 an | ||
Christiane Lassalle (d) ( - ) | 1 an | ||
Robert Chamboredon (d) (né en ) | 1 an | ||
Raymond Huard (né en ) | 1 an | ||
Armand Cosson (né en ) | 1 an | ||
Robert Chamboredon (d) (né en ) | 1 an | ||
François Pugnière (d) | 1 an | ||
Armand Cosson (né en ) | |||
Robert Chamboredon (d) (né en ) | 1 an | ||
François Pugnière (d) | 1 an | ||
Robert Chamboredon (d) (né en ) | 1 an | ||
François Pugnière (d) | 1 an | ||
Robert Chamboredon (d) (né en ) | 2 ans | ||
Didier Lavrut (d) (né en ) | 2 ans | ||
Sylvain Olivier (d) (né en ) |
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