1791.Une ordonnance du ayant supprimé les noms des régiments pour leur substituer des numéros, le régiment du Médoc devient le devient le 70erégiment d'infanterie de ligne[2], et est en garnison à Béziers
1792. Le 70e est scindé, le 1er bataillon passe à l’armée des Alpes. Le 2e bataillon est affecté à l’armée des Pyrénées…
1796. (1er nivôse an V) Formation de la 70e demi-brigade de deuxième formation.
1803. (décret du 1 Vendémiaire de l'An 12), la 70e demi-brigade redevient le 70erégiment d'infanterie de ligne. Avec un effectif (au ) de 1 700 hommes, organisés en 3 bataillons à 9 compagnies.
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1808: Mars, suivant le décret du [6], le régiment se réorganise à 5 bataillons. 4 bataillons de guerre à 6 compagnies de 140 hommes (commandement compris), dont 1 compagnie de grenadiers et 1 compagnie de voltigeurs, et 1 bataillon de dépôt à 4 compagnies, et 1 état-major de 50 hommes. Effectif théorique par régiment 3 970 hommes, dont 108 officiers et 3862 sous-officiers et soldat. Le 70e compte à cette date 3 280 hommes hors officiers.
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1814.
, suivant l’ordonnance du 12 mai 1814, 4e réorganisation, l’effectif restant du 70e de ligne (environ 840 hommes hors officiers) est intégré en totalité au nouveau 65e régiment d'infanterie de ligne.
, toujours suivant l’ordonnance du 12 mai 1814, 4e réorganisation, création du nouveau 70e régiment d'infanterie de ligne avec principalement l'effectif du 81e régiment d'infanterie de ligne.
1815.
Août: Dissolution du 70e régiment d'infanterie de ligne.
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1840: suite à ordonnance royale du , le 70e régiment d'infanterie de ligne est recrée le avec des contingents provenant des 6e, 9e, 16e, 29e, 34e, 54e, de ligne, et est cantonné à Verdun.
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1870: Le , Formation à Cherbourg du 70erégiment de marche.
1871: , Fusion du 70e régiment de marche avec le 70e régiment de ligne à Chatou (Yvelines) en garnison à Paris.
1796 à 1799: la 70e demi-brigade fait partie des armées de l’Ouest et d’Angleterre.
1800 à 1802: la 70e demi-brigade est à l’armée d’Italie. Passage du Tessin et Prise de Turbigo ( ). Bataille de Marengo ().
1803: le 70erégiment de ligne fait partie du camp de Boulogne; vers 1803. Il participe à la campagne de Prusse et d'Allemagne sous les ordres de Napoléon.
1804 à 1805: le 70e régiment d'infanterie de ligne est au camp de Brest.
1806: le 70e régiment d'infanterie de ligne, fait partie de l’armée du Nord, est sur la Flottille Impériale, et à l’armée des côtes de Brest.
1807: août, le 70e et au camp volant de Pontivy, par le décret du , Napoléon ordonne la dissolution du Camp de Pontivy pour le , et la création du «Corps d’observation de la Gironde» sous le commandement du général JUNOT qui sera basé à Bayonne. Le 70e a deux bataillons de 1 260 hommes (soit 2 520 hommes sur le papier), qui intègre la 1re division de ce corps commandée par le Général de division Henry François DELABORDE, (le 3e bataillon restant au dépôt à cette date). , La 1re division du corps d’observation de la Gironde entre en Espagne (avant la signature du traité de Fontainebleau) pour se rendre à Lisbonne en passant par Valladolid, Salamanque et Ciudad-Rodrigo. Vers le , le 3e bataillon du 70e doit se rendre à Saint-Jean-Pied-de-Port pour faire partie de «La division d’observation des Pyrénées Occidentales». Le , le 3e bataillon reçoit l’ordre de se mettre en marche pour rejoindre le 1ercorps d’observation de la Gironde (au Portugal).
En 1859, il fait la campagne d'Italie et participe aux batailles de Robechetto, Magenta, où il s'illustre lors de la prise du presbytère, et Solférino.
Au , le 70erégiment de marche faisait partie du 22ecorps (général de division Lecointe) de l'armée du Nord sous le commandement du général de division Faidherbe dans la 2edivisionDufaure du Bessol dans la 2ebrigade de Gislain avec le 18ebataillon de chasseurs de marche et le 101emobiles de Somme et Marne.
Pendant la guerre, le régiment reste affecté à la 19e division d'infanterie d' à , d'abord à la 38e brigade de la 19eDI, puis à l'infanterie divisionnaire (ID 19).
Tancrède Florestan Roger Louis Grimaldi dit «Florestan 1er de Monaco» (1785-1856), prince de Monaco. Arrivé au corps le comme Fusilier, nommé Caporal le . Passé le aux Bataillons de la Méditerranée en Corse.
Ernest Pierre-Marie Guérin (1887-1952), artiste peintre.
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À partir du Recueil d'Historiques de l'Infanterie Française (Général Andolenko - Eurimprim 1969).
Napoléon Ier (empereur des Français; 1769-1821) Auteur du texte, Correspondance de Napoléon Ier. Tome 16 / publiée par ordre de l'Empereur Napoléon III, Impr. impériale, 1858-1869, 398p. (lire en ligne).
Philippe III de Montaut-Bénac (1656-1678), marquis de Navailles, ne doit pas être confondu avec son père, Philippe II de Montaut-Bénac, duc de Navailles.
Auguste Édouard Hirschauer, «Annexe 2: Notice Historique», dans Rapport fait au nom de la Commission de l'armée, chargée d'examiner le projet de loi adopté par la chambre des députés, relatif à la constitution des cadres et effectifs de l'armée, Impressions du Sénat (no263), (lire en ligne), p.198-199.