Le général romain Stilicon négocie la paix avec les Perses. Après le succès de sa mission, il épouse Serena, la nièce de l’empereur Théodose Ier (384)[6].
Agitation suscitée par un risque de disette à Rome[5].
Le poète et rhéteur Ausone, ancien précepteur de Gratien, se retire de la cour de Trèves à sa mort pour rejoindre la vallée de la Garonne[7].
L'usurpateur Maxime annonce son soutien à l’Église orthodoxe en attaquant les manichéens et établit le principe que les hérésies doivent être poursuivies au civil par l'État, sans doute pour se concilier l’Église officielle face à la politique pro-arienne de Justine en Italie[7].
Martin de Tours persuade le comte Avitianus, un homme de Maxime, de faire délivrer les fonctionnaires impériaux fidèles à Gratien qu'il s’apprêtait à exécuter. Plus tard il se rend à Trèves auprès de Maxime pour solliciter sa clémence notamment envers Priscillien, et son soutien à l’Église orthodoxe contre les hérésies[7].
Erik Zürcher, The Buddhist conquest of China: the spread and adaptation of Buddhism in early medieval China, vol.1, Brill Archive, (présentation en ligne)
Sylvie Crogiez-Pétrequin, Dieu(x) et hommes: histoire et iconographie des sociétés païennes et chrétiennes de l'antiquité à nos jours: mélanges en l'honneur de Françoise Thelamon, Publication Univ Rouen Havre, (ISBN978-2-87775-393-7, présentation en ligne)