Djelaleddin, médecin turc, est le premier à décrire la peste«comme une maladie contagieuse par piqûre[2]».
Fondation du jardin botanique de Pise, le premier en Europe qui soit destiné à l'enseignement universitaire et à l'acclimatation et qui, «rompant son lien avec la médecine [...] s'émancipe des jardins d'apothicaires des moines médiévaux[3]».
Deuxième édition, et première en allemand, de l'Herbier de Leonhart Fuchs, sortie à Bâle des presses de Michael Isingrin, le même qui vient d'imprimer l'originale, en latin, l'année précédente [3].
Frédérique Audoin-Rouzeau, «L'Élucidation du processus de transmission», dans Les Chemins de la peste: Le Rat, la Puce et l'Homme, Rennes, Presses universitaires de Rennes, , 372p. (ISBN978-2-7535-2657-0, lire en ligne), p.21-30 [§20 en ligne] (source: Jean-Noël Biraben, Les Hommes et la Peste en France et dans les pays européens et méditerranéens, t.2: Les Hommes face à la peste, Paris; La Haye, Mouton, , 416p. (ISBN978-2-7193-0930-8)).
Ariane Lepilliet, Le De historia stirpium de Leonhart Fuchs: Histoire d'un succès éditorial (1542-1560) (mémoire de master, sous la direction de Raphaële Mouren), Université Lumière-Lyon II, , 115p. (lire en ligne) (pour les éditions de 1542 et 1543, voir p.97, et pour le jardin botanique de Pise, p.20).
(la) Andreas Vesalius, De humani corporis fabrica libri septem [«De la structure du corps humain, en sept livres»], Bâle, Johann Oporinus, (lire en ligne).
«Heurnius ou van Heurn (Jean)», dans François-Xavier Feller et Charles Weiss, Biographie universelle: Dictionnaire historique des hommes qui se sont fait un nom par leur génie, leurs talents, leurs vertus, leurs erreurs ou leurs crimes, t.4, Paris, J. Leroux, Jouby et Cie, , 645p. (lire en ligne), p.398.
Witold Rudowski(pl), «Nicolas Copernic, médecin (1473-1543): Pour le cinquième centenaire de sa naissance», Histoire des sciences médicales, vol.8, no1, (lire en ligne).