Première description historique du choléra par un Européen (un officier de Vasco de Gama), qui décrit une épidémie de diarrhées cataclysmiques rapidement mortelles (en 8 heures) et ayant provoqué 20 000 morts à Calicut (Inde)[3].
Joseph Grünpeck (-), fait imprimer par Albrecht Kunne, à Memmingen, son Libellus de mentulagra alias morbo gallico (« De la mentulagre ou du mal français»), un des premiers ouvrages traitant de la syphilis[4],[5].
Adolphe Occon (né en 1447), poète et médecin originaire de Frise orientale, au service de Sigismond, archiduc d'Autriche; mort à Augsbourg, cousin d'un autre Adolphe Occon (1494-1572), également médecin, qu'il a adopté et institué son héritier universel[9].
Pere Pintor(ca) (né en ), médecin espagnol, professeur à Valence, médecin du pape Alexandre VI, auteur de l'Aggregator sententiarum et curatione () et du De morbo foedo et occulto, his temporibus affligente ([10]).
— Dans ce roman historique, dont le récit commence à l'automne 1503, une «femme experte en apothicairerie» enquête sur l'assassinat de trois alchimistes.
«Primer hospital del nuevo mundo»: (es) Raúl Álvarez Sturla, «El Hospital San Nicolás de Bari de Santo Domingo», Cirugia y cirujanos, vol.64, no3, , p.71-72 (lire en ligne).
Aloïs Heiss, «Note sur la démence de la reine Jeanne de Castille, femme de Philippe le Beau et mère de Charles Quint», Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, vol.33, no3, , p.167–168 (ISSN0065-0536, DOI10.3406/crai.1889.69628, lire en ligne, consulté le ).
Joseph GrünPeck et Auguste Corlieu (trad. et éd.), De la mentulagre ou mal français, Paris, G. Masson, coll.«Collection choisie des anciens syphiliographes», , 86p. (lire en ligne).
André Thévenet, Guy de Chauliac, père de la chirurgie (conférence 3421, , extrait du Bulletin de l'Académie des sciences et lettres de Montpellier, vol.28), Montpellier, Académie des sciences et lettres, (lire en ligne), p.22.
« Le Guidon en francoys avec que les addicions […] recueillies et assemblees par maistre Simphorien Champier. […] Les dictz Guidons ce vendront chez maistre Estienne Gueygnard. » [texte intégral].
Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t.3: L-P, Mons, H. Hoyois, , 648p. (lire en ligne), «Occon (Adolphe)», p.411.