Par une décrétale du pape Grégoire IX[1], l'Église fixe officiellement au quarante-deuxième jour, selon l'avis d'Hippocrate, le terme de l'animation de l'embryon et, reprenant l'affirmation de Gratien (1140) répétée par Innocent III en 1211, elle reconnaît que «n’est pas homicide celui qui procure l’avortement avant que l’âme ne soit infusée dans le corps[2]».
Henri III, roi d'Angleterre fonde un hôpital à Ospringe(en), paroisse de Faversham dans le Kent, établissement «voué à l'accueil des malades, des vieillards, voyageurs et pèlerins[7]».
Première mention d'une léproserie en Alsace[8], celle dite de l'Église-Rouge à Strasbourg[9].
Guy Durand, Histoire de l'éthique médicale et infirmière: Contexte socioculturel et scientifique, Montréal, Les Presses de l'université de Montréal, , 361p. (ISBN2-7606-1794-7, lire en ligne), p.91.
Marie-France Morel, «Incertitudes sur les débuts de la grossesse jusqu'au XVIIIesiècle», Réalités en gynécologie obstétrique, no76, , p.51-53 (lire en ligne).
(en) Courtney Hunt, The History of Iraq, Westport (Connecticut) et Londres, Greenwood Press, coll.«The Greenwood Histories of Modern Nations», , 127p. (ISBN0-313-33414-5, lire en ligne), p.45.
Aimé Champollion-Figeac, «Droits et usages concernant les travaux de construction publics ou privés sous la troisième race des rois de France», Revue archéologique, vol.16, no1, , p.92 (lire en ligne).
Élisabeth Clementz, ««Nus in das huß»: La Léproserie de Haguenau et ses habitants du XIIIeauXVIIesiècle», Revue d’Alsace, no132, , p.41-85 [§2 en ligne] (lire en ligne).
Anne Rauner, «Des malades marginalisés: Les Lépreux», dans Base numérique du patrimoine d'Alsace, Canopé. Académie de Strasbourg, s. d. (lire en ligne).
«L'Hôpital des pauvres de Barbentane, puis l'hôtel-Dieu, maintenant la Maison de retraite publique La Raphaële», sur le site Mon Barbentane à moi, s. n., s. d., et sans sources précisées, mais avec une bibliographie pour l'ensemble des articles [lire en ligne(page consultée le 6 septembre 2019)].
Heinrich Graetz (trad.Lazare Wogue et Moïse Bloch), Histoire des Juifs, vol.4, A. Lévy, (lire sur Wikisource), «Progrès de la bigoterie et de la Cabale (1270-1325)», p.241.