L'hôpital Saint-Jean-Baptiste de la ville d'Aire, dans le comté de Flandre, est placé par l'évêque de Thérouanne sous l'autorité conjointe des échevins et des chanoines de la paroisse Saint-Pierre[1],[2].
Construction de la léproserie Saint-Ladre, dépendante de l'hôpital de Saint-Pol, en Artois[3].
Les frères dominicains fondent un hospice à Gand, au lieu-dit Onderbergen, dans une maison donnée par le sieur Sohier Parys, à côté de celle déjà consacrée à l'accueil des malades par Catherine Uutenhove[5],[6].
Premier praticien hospitalier dont on ait conservé la trace[9], le chirurgien Hubert s'engage à donner gratuitement ses soins aux infirmes et aux pauvres de l'Hôtel-Dieu de Paris, ainsi qu'aux frères et aux sœurs de l'hôpital[10].
1218-1221[11]: lié depuis 1214 par ses fonctions d’archiatre, le médecin et chirurgien Hugues de Lucques(it) accompagne les troupes envoyées par Bologne en Terre sainte[12].
Vers 1221: Muhammad al-Jighmini(en) (date de naissance inconnue), astronome persan auquel on a parfois attribué le Petit Canon (Qanûnja), traité de médecine inspiré du Canon d'Avicenne[13].
Agnès Maillard-Delbende (dir.) et Alain Verhille, Nouvelles chroniques locales d'Aire-sur-la-Lys: Petite histoire d'Aire racontée à ses visiteurs, Aire-sur-la-Lys, Association historique et culturelle d'Aire-sur-la-Lys et de sa région, , 80p.
Pierrette Bègue, «L'Abbaye de Genlis à Villequier-Aumont», Mémoires de la Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie de l'Aisne, vol.28, , p.143 (lire en ligne).
Séverine Barbat-Bussière, L'Offre de soins en milieu rural: L'Exemple d'une recherche appliquée en Auvergne, Clermont-Ferrand, université Clermont Auvergne, coll.«Ceramac» (no27), , 488p. (ISBN978-2-84516-423-9, lire en ligne), p.50.
Ernest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol.1, Genève, Droz, coll.«Hautes études médiévales et modernes» (no34/1), (1reéd. 1936) (lire en ligne), «Hubert», p.299.
1218-1223 selon Arthur Bordier, La Médecine à Grenoble: Notes pour servir à l'histoire de L’École de médecine et de pharmacie, Grenoble, veuve Rigaudin, , XX-296p. (lire en ligne), p.6.
(ar) Mahmud ibn Muhammad al-Jaghmini, Qānūnja (قانونجة في الطب), manuscrit, 54 ff., 1858, copiste: Mullā Muḥammad Sāliḥ ibn Mullā Muḥammad Naẓar, bibliothèque nationale du Qatar [lire en ligne(page consultée le 15 décembre 2019)] et manuscrit, 74 ff., 1761, copiste inconnu, bibliothèque Welcome [lire en ligne(page consultée le 15 décembre 2019)].