Trélissac
commune française du département de la Dordogne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
commune française du département de la Dordogne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Trélissac est une commune française de la banlieue est de Périgueux située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Trélissac | |||||
Vue générale du bourg de Trélissac. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Francis Colbac 2020-2026 |
||||
Code postal | 24750 | ||||
Code commune | 24557 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Trélissacois | ||||
Population municipale |
7 268 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 318 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 11′ 48″ nord, 0° 47′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 239 m |
||||
Superficie | 22,88 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Périgueux (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Trélissac (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.ville-trelissac.fr | ||||
modifier |
Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune constitue, à l'est de Périgueux, sa banlieue immédiate.
Elle est bordée par l'Isle et traversée par la route nationale 21.
Trélissac est limitrophe de six autres communes.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Trélissac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
| |||||||||||||||
Pléistocène |
| |||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
| ||||||||||||||||
Éocène | non présent | |||||||||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
| |||||||||||||||
inférieur | non présent. | |||||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
non présent | |||||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
non présent | |||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 mètres et 239 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 22,88 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 24,08 km2[3].
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Isle[14],[Carte 1].
L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[15],[16]. Elle borde la commune au sud sur huit kilomètres face à Bassillac et Auberoche, Boulazac Isle Manoire et Périgueux.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[20].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 904 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 7 km à vol d'oiseau[21], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe principalement dans sa « zone de transition », et partiellement, en vallée de l'Isle, dans sa « zone tampon »[27].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[29].
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d'après l'INPN[30].
Il s'agit de deux ZNIEFF de type 2[Note 4] :
De plus, un site sur lequel ont été observées vingt espèces différentes d'orchidées sauvages a été délimité au nord du bourg de Trélissac[34] ; il est délimité à l'est par l'avenue Jean-Jaurès, au nord par la rue du 8-Mai-1945 et au sud par la rue du 19-Mars-1962.
Au , Trélissac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[36],[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[37]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (44,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), zones urbanisées (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), prairies (6,5 %), terres arables (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
En 2012, la commune dispose de 6,11 % de logements sociaux, taux largement inférieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine, ce qui a valu à la commune de payer en 2013 des pénalités pour un montant de 100 000 euros[41].
Début 2021, la commune dispose de 11 % de logements sociaux[42]. Elle a jusqu'à 2025 pour atteindre ce quota et plusieurs projets sont en cours, notamment un dans le parc du château Magne[42].
Le territoire de la commune de Trélissac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[45]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[46]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[47],[43]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[48].
Trélissac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[49]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[50],[51].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[52]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 92 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[54].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[43].
Une occupation du site au Néolithique puis au Moyen Âge a été constatée en 2011 lors de fouilles archéologiques au niveau du parc d'activités de Borie Porte[56].
Le village est identifié sous le nom de Traillissac sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.
Au XIXe siècle, les bâtiments communaux, situés en zone humide, nécessitaient de nombreuses et couteuses réparations[57].
De 1870 à 1874, un nouveau centre bourg (église, presbytère, mairie, école, avec leurs dépendances et jardins) fut alors construit de l'autre côté de la route nationale 21, à la suite d'une proposition d'Alfred Magne et à ses frais[57].
À la fin des travaux, Alfred Magne est devenu propriétaire des anciens bâtiments et terrains situés en bordure de l'Isle et sur lesquels il fera ensuite ériger le château Magne et son parc.
La commune de Trélissac a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800. Celui-ci est scindé en trois en 1973 et Trélissac fait partie du nouveau canton de Périgueux-Nord-Est[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[58]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac, avec bureau centralisateur fixé à Trélissac.
Le , elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[59],[60].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Liste des maires avant 1945
| ||||
mai 1945 | octobre 1947 | Paul Eyraud | PCF | Employé des PTT |
octobre 1947 | 1951 | Hervé Lothaire[Note 7] | ||
mai 1951 | mars 1971 | Firmin Daudou | ||
mars 1971 | mars 1977 | Jean-Louis Soustre | UDR puis PS[62] |
Pharmacien Conseiller général de Périgueux-Nord-Est (1973 → 1979) |
mars 1977 | mars 1983 | Michel Grandou | PCF | |
mars 1983 | janvier 2009 | Francis Colbac[Note 9] | PCF[63] | Professeur d'histoire Conseiller régional d'Aquitaine Conseiller général de Périgueux-Nord-Est (1979 → 1985 et 1992 → 2015) |
janvier 2009 | mars 2009 | Délégation spéciale[Note 10] | ||
15 mars 2009[64] | En cours (au 19 janvier 2021) |
Francis Colbac[65] | PCF | Professeur d'histoire Conseiller général de Périgueux-Nord-Est (1992 → 2015) Vice-président du Grand Périgueux (2014 → 2020) Réélu en 2014 et 2020[66] |
Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[67].
En 2023, dans le domaine judiciaire, Trélissac relève[68] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[70].
En 2021, la commune comptait 7 268 habitants[Note 11], en évolution de +9,66 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2020 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
7 191 | 7 268 | - | - | - | - | - | - | - |
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de la commune ou qu'il est proposé sur le territoire de celle-ci.
En 2018[83], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 2 906 personnes, soit 42,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (316) a fortement diminué par rapport à 2013 (363) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,9 %.
En 2018, la commune offre 3 485 emplois pour une population de 6 821 habitants[84]. Le secteur tertiaire est ultra prédominant avec 69,7 % des emplois.
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 20 | 75 | 212 | 2 430 | 747 | |
Pourcentage | 0,6 % | 2,2 % | 6,1 % | 69,7 % | 21,4 % | |
Source des données[84]. |
Répartition des emplois par domaines d'activité
Fin 2018, la commune compte 324 établissements actifs employeurs[85], dont 254 au niveau des commerces, transports ou services, 40 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 17 dans la construction, 10 dans l'industrie, et 3 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[86].
Au on recense 406 entreprises — hors agriculture — dans la commune dont 158 dans le commerce, le transport, l'hébergement ou la restauration (38,9 %), 114 dans les services aux particuliers (28,1 %), 73 dans les services aux entreprises (18,0 %), 38 dans la construction (9,4 %), et 23 dans l'industrie (5,7 %)[87].
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, cinq situées à Trélissac se classent parmi les cinquante premières quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[88] :
Avec cinq entreprises parmi les cinquante premières de Dordogne, Trélissac est la deuxième commune la mieux représentée dans ce classement, derrière Boulazac Isle Manoire et ses onze entreprises.
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées selon le chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Trélissac :
En nombre total d'entreprises classées parmi les 50 premières de la Dordogne pour chaque secteur économique, la commune occupe avec 10 entreprises la quatrième place — ex aequo avec Périgueux — derrière Boulazac Isle Manoire (26), Bergerac (21) et Sarlat-la-Canéda (16).
Trélissac fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.