La passage du temps solaire vrai au temps solaire moyen est intervenu le [5] en vertu d'un arrêté de Gilbert-Gaspard Chabrol de Volvic (-), préfet de la Seine. La date du est attestée par un article paru au Moniteur universel le [6] ainsi que par l'horloger Hartmann[3],[7].
[L. ] Loi du ayant pour objet l'adoption de l'heure temps moyen de Paris comme heure légale en France et en Algérie, dans Journal officiel de la République française, vol.23eannée, no73 du , p.1233, col.3.
[L. ] Loi du portant modification de l'heure légale française, pour la mettre en concordance avec le système universel des fuseaux horaires, dans Journal officiel de la République française, vol.43eannée, no68 du , p.1882, col.3.
Études
[Dequidt 2016] Marie-Agnès Dequidt, «Les horlogers parisiens et le temps: afficher l'heure officielle ou mesurer les durées?», Romantisme, no174: «La mesure du temps», , p.20-28 (DOI10.3917/rom.174.0020, résumé, lire en ligne).
[Gapaillard 2014] Jacques Gapaillard, «Hervé Faye et l'Heure nationale», Bulletin de la Sabix – Société des amis de la bibliothèque et de l'histoire de l'École polytechnique, no55: «Hervé Faye (-) ou l'art de la rupture», , p.65-71 (lire en ligne).
[Déberbat 1991] Suzanne Débarbat, «Le centenaire de l'heure nationale», La Recherche, vol.22, no234, , p.974-975.
Divers
«Du temps vrai et du temps moyen», L'Étoile, no5121, , p.3, col.2 (lire en ligne).
[Le Moniteur universel 1826] «On sait que les horloges publiques de la capitale...», Le Moniteur universel, no343, , p.1645, col.1-2 (lire en ligne).
«On sait que les horloges publiques de la capitale...», Gazette universelle de Lyon, no297, , p.2, col.1 (lire en ligne).