Hermonville
commune française du département de la Marne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Hermonville est une commune française située dans le département de la Marne et la région Grand Est.
Hermonville | |
La mairie d'Hermonville. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Marne |
Arrondissement | Reims |
Intercommunalité | Communauté urbaine du Grand Reims |
Maire Mandat |
Katia Beaujard 2020-2026 |
Code postal | 51220 |
Code commune | 51291 |
Démographie | |
Gentilé | Hérémondois |
Population municipale |
1 398 hab. (2021 ) |
Densité | 105 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 10″ nord, 3° 54′ 34″ est |
Altitude | Min. 73 m Max. 217 m |
Superficie | 13,3 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Reims (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bourgogne-Fresne |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Hermonville est traversée par la route touristique du Champagne, le ruisseau de la Robassa et fait partie du Massif de Saint Thierry.
Les alternances d'argiles et de calcaires permettent l'existence de cultures étendues dans cette région. Une assez vaste carrière dans l'angle de la route de Bouvancourt à Hermonville, entame le plateau calcaire dans le Lutétien continental. Dans la descente vers Hermonville, sur la gauche, d'anciennes exploitations souterraines, creusées dans le calcaire grossier du Lutétien moyen. Une grande partie des matériaux extraits, le banc-royal d'Hermonville ou pierre dure d'Hermonville, fut utilisée pour la construction de la cathédrale de Reims et des églises et maisons de la région.
Carrières aussi utilisées autrefois pour la culture des champignons de couche. La superficie totale des galeries, datant de 1882, est d'environ cinquante hectares[1].
Il existe d'autre carrières dans le massif. En 1297, l'abbé et les religieux de Saint-Thierry permettent de prendre dans les carrières de leur abbaye entre Trigny et Hermonville toutes les pierres nécessaires à la construction de l'ancienne église Saint-Nicaise[2].
Les sables thanétiens qui affleurent entre Toussicourt et Marzilly ne contiennent pas de principes fertilisants et leur grande perméabilité les rend absolument stériles pendant les périodes de sécheresse
Le territoire d'Hermonville n'est traversé que par un mince ruisselet qui n'atteint pas un mètre de largeur. C'est le ruisseau de Robassa ou Rabassa qui vient des marais des Grattières et des Coquins, traverse la route de Laon, l'autoroute A26 et se jette dans La Loivre au niveau du canal de l'Aisne à la Marne[3].
Un autre, le ruisseau des Merlivats, d'importance encore plus faible draine la région comprise entre Toussicourt et Marzilly et vient se perdre au bas de Toussicourt dans un ancien marais que l'on est parvenu à dessécher en creusant un puits qui descend jusqu'à la craie ; de sorte que les eaux qui tombent sur le territoire n'ont nulle part d'écoulement, elles sont entièrement absorbées par le sol.
Les sources minérales des environs : fontaine Saint-Martin ou du Bois de l'Arbre, fontaine des Coquins, fontaine des Grattières qui faisaient tourner de nombreux moulins, sont répertoriées depuis le début du XVIIIe siècle[4].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chambrecy-Civc », sur la commune de Chambrecy à 18 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,1 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Au , Hermonville est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,8 %), forêts (32,7 %), cultures permanentes (13 %), zones urbanisées (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (2,3 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
Hermonville vient du latin Herimundi Villa, c'est-à-dire domaine d'Herimund ; Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». C'était souvent en milieu rural une ferme ou un hameau avec ses terres d'exploitation. Et il était d'usage de rattacher un nom de lieu à celui du maître du lieu. Les toponymistes y reconnaissent le nom de personne de type germanique comme Herman(n).
D'après Auguste Longnon, on trouve mention d'Hermonville[18].
Vers 1825, quand les habitants d'Hermonville tiraient de la terre pour leurs vignes, ils mettaient fréquemment au jour des tombes en pierre. Au lieu-dit la Croix de Ringlet, aux environs de l'écart de Saint-Martin, au-dessus du mont Cholet, sur un monticule qui s'élève à quelque distance à l'est du hameau disparu de Sommeville, une nécropole mérovingienne du VIIe siècle ou VIIIe siècle a été découverte[19].
Herimundi Villa est cité dans le cartulaire connu sous le nom de Polyptyque de Saint-Remi, comme une manse tributaire de Villarum Sancti Remigii, l'abbaye Saint-Remi de Reims[20].
Une charte de Philippe-Auguste autorise Hermonville à s'ériger en commune et y établit des foires et des marchés[21].
Au Moyen Âge, le terroir d'Hermonville appartenait à 8 ou 9 seigneuries distinctes, certaines aux mains de seigneurs ecclésiastiques : l'abbaye Saint-Remi de Reims, l'abbaye Saint-Pierre-les-Dames et l’abbaye de Saint-Thierry, le chapitre métropolitain de Reims, le trésorier de ce chapitre, le comte de Roucy, détenteur de la grande vicomté, et le petit vicomte, son vassal[21],[22] et la Commanderie de Reims au lieu-dit le Temple[23].
Hermonville appartenait en partie à l'abbaye de Saint-Thierry, probablement dès la fin du XIIe siècle. L'abbaye de Saint-Thierry était non seulement seigneur, mais aussi curés primitifs de l'église et patron collateur de la paroisse du village. L'autel lui avait été donné en 1093 par l'archevêque Renaud du Bellay[24]. Le droit de patronage (possibilité de présenter à l'évêque, pour qu'il l'ordonne, le desservant d'une église) lui appartenait donc, ainsi qu'une part dans les dîmes et revenus de l'autel. Les réparations de l'église incombaient en partie aux paroissiens, en partie au patron. Vers 1146, les habitants domiciliés au-delà du ruisseau, vers l'église Saint-Martin, construisirent un four, avec l'intention d'en affecter les profits aux réparations de l'église, four, qui devint alors banal et avait été donné par les habitants aux moines. Une bulle du mentionne le manse seigneurial de Toussicourt, avec le ban et la justice. En 1256, les moines de Saint-Thierry prétendaient avoir d'ancienneté en certains lieux d'Hermonville[22].
Chacune de ces seigneuries avait son maire et ses échevins nommés par le seigneur et à qui appartenait l'exercice de la haute justice. La population formait néanmoins une seule communauté, représentée par cinq jurés. En juin 1230, une charte de franchises, limitant les droits seigneuriaux, est concédée par l'abbaye Saint-Remi de Reims aux habitants d'Hermonville[25]. Un accord fut conclu en janvier 1256, les religieux de Saint-Thierry renoncèrent à réclamer la dîme des produits qui n'y avaient pas été assujettis jusqu'alors, tels que légumes, fruits, œufs, fromages[22].
Baudoin d'Avennes céda tous ses droits sur le comté de Hainaut à Jean, son frère aîné, se réservant le titre de la seigneurie d'Avennes. Il partit plusieurs fois en croisade, et accompagna Saint Louis en Palestine en 1263. À son retour de la Terre sainte, Philippe le Hardi, pour le récompenser de ses services lui donna les terres et la seigneurie d'Hermonville, Clamecy, Villers-en-Prayères, Trucy, etc. Baudoin mourut à Hermonville en 1284[26].
Un accord est passé le entre les religieux de Saint-Remi de Reims et les habitants d'Hermonville, au sujet de la nomination des jurés chargés d'administrer le village, accord reconnu et accepté aussi par le chapitre de Reims et confirmés par des lettres de Philippe V, en 1320 et en 1321[21].
Plusieurs seigneuries d'Hermonville furent possédées par des seigneurs ardennais. En 1331, on trouve Baudry de Lonny, seigneur d'Angehan sur Muese (Anchamps), et Alis de Juvincourt, sa femme, qui reconnaissent comme vicomtes les franchises d'Hermonville et en 1353, Gui de Chappes (Cheppes, commune de Contreuve), qui était seigneur pour la moitié de Sainte-Marie-sous-Bourcq et tenait un fief à Neuvizy. Les conflits étaient fréquents entre ces petites seigneuries enchevêtrées les unes dans les autres : en 1353, il y a un conflit entre Gui de Cheppes et l'abbaye Saint-Remi[27].
En 1373, pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais commandés par Jean de Gand, duc de Lancastre et Jean de Bretagne envahirent la Champagne, pillèrent et ravagèrent Hermonville pendant la chevauchée de Lancastre[28].
Un accord est passé le entre les religieux de Saint-Remi de Reims et les jurés et habitants d'Hermonville, par lequel ces derniers ont droit de tenir un ban avant la moisson de chaque année, et de fixer le jour pour l'ouverture de la moisson. Le , permission est donnée par le chapitre de Reims aux habitants d'Hermonville, d'instituer des courtiers de vin, et de faire la visite et la taxe du pain mis en vente[21].
Jean-Baptiste Blavier (1705-1775) a dressé vers le milieu du XVIIIe siècle le sommaire des propriétés, seigneuries, fiefs et bois relevant de l'ancien comté de Roucy. La partie de ce manuscrit écrit à Hermonville, le , donne les détails sur l'appartenance des seigneuries[29]:
La plus grande partie du terroir d'Hermonville et plusieurs maisons du village sont en franc-alleu, ne payant aucun droit à qui que ce soit et ces héritages, aussi tenus en franc-alleu, ne composent point des cantons particuliers, mais sont mêlés partout et dans tous les cantons avec les héritages sujets à droits de cens envers les différents seigneurs et messieurs les religieux de Saint-Rémy prétendant sur ces francs-alleus la juridiction qui leur est contestée par les autres seigneurs. La Montagne entière est du nombre des francs-alleus et les anciens titres en donnent la juridiction au comté de Roucy. Tous les bois sont aussi en francalleu.
Hermonville faisait partie, en 1789, de l'élection de Reims et suivait pour partie la coutume de Reims, pour partie celle de Vitry. Son église paroissiale, diocèse de Reims, doyenné d'Hermonville, était consacrée au Saint Sauveur ; l'archevêque de Reims en était collateur[18].
En février 1814, Hermonville est occupé par 6 000 soldats de l'Empire russe sous les ordres du prince Kowansky et en 1815 par le régiment de hussards Alexandriski (régiment de Sa Majesté Impériale Alexandra Feodorovna de Russie)[30].
Hermonville est connu pour la production de vin rouge, le vin rouge de Marzilly et d'asperges.
On y exploite d'importantes carrières de pierre à bâtir. En 1846, il y plus de 200 ouvriers carriers rattachés à la commune[31]. En 1876, la Société Châtelot-Forest et Cie exploitent les carrières[32]. En 1889, La carrière de Saint-Joseph est exploitée par Châtelot et la carrière des Rouges-Monts de Marzilly par Dufresne[33].
On y fait aussi un commerce de coutellerie.
Hermonville était sur la ligne du chemin de fer de la Banlieue de Reims (C.B.R), Reims-Cormicy, inauguré le .
L'électricité est installée dans la commune dans les années 1910[34].
Hermonville est envahie par les Allemands au début de la guerre, puis le village reste en possession des Français pendant presque toute la durée de la guerre. Il est situé à proximité immédiate du front et des combats pour la possession de Loivre et le contrôle du canal de l'Aisne à la Marne. C'est un lieu de cantonnement, très fréquenté par les soldats au repos, et une réserve pour les attaques françaises.
En 1914, le château de Marzilly sert de PC à l'état-major de la 12e brigade d'infanterie (5e et 119e régiment d'infanterie) de la 6e D.I, engagée dans la 1re bataille de l'Aisne. Le général de division Philippe Pétain, commandant la 6e D.I., est nommé au commandement du 33e C. A., après avoir été fait officier de la Légion d'honneur par le général Hache au P. C. de la tour d'Hermonville, en [35].
En 1915 est créée l'école des missions spéciales pour former dans le plus grand secret des dizaines d'espions et de les déposer derrière les lignes ennemies pour y mener des actions de sabotage et de renseignement. Il faut trouver des hommes courageux mais surtout pourvus d'une connaissance aiguë du terrain. Le commandement français se tourne alors tout naturellement vers le corps militaire des douanes de Charleville-Mézières. C'est à Hermonville que ces douaniers sont formés aux rudiments de l'espionnage[36].
Roland Dorgelès y séjourne longuement au début de 1915 avec le 39e R.I.
En avril 1917, il sert de base arrière à l’armée française, pour la bataille du Chemin des Dames, qui s’abrite notamment dans ses champignonnières.
Hermonville est re-occupée par les Allemands de la fin mai à .
244 soldats reposent dans le cimetière britannique, morts pour la plupart lors de l’offensive surprise allemande du 27 mai 1918.
Il y avait une nécropole nationale à Hermonville, la nécropole nationale du Luxembourg, qui n’existe plus. Les corps ont été transférés à la nécropole nationale de Cormicy en 2007[37].
La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le .
La commune, antérieurement membre de la communauté de communes des Deux Coteaux, était membre, depuis le , de la communauté de communes du Nord Champenois.
En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du [38], cette communauté de communes du Nord Champenois était issue de la fusion, le , de :
Dans le cadre de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe), promulguée le , qui prescrit le renforcement de la coopération intercommunale, le schéma départemental de coopération intercommunale du 30 mars 2016[41] prévoit le regroupement de 144 communes dans une nouvelle communauté urbaine centrée sur Reims, comptant environ 300 000 habitants, faisant de cette intercommunalité la deuxième de la nouvelle région Grand Est, derrière celle de Strasbourg.
C'est ainsi qu'a été créée le .la communauté urbaine du Grand Reims dont est désormais membre la commune.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
? (en fonction en 1467)[42] | Jehan Marchant | Maïeur |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
(en fonction en 1793)[30] | Jean Lombart | |||
Daubin[30] | ||||
juillet 1795 | octobre 1795[30] | Jean-Nicolas Clicquot de Toussicourt (1746-1821) | ||
octobre 1795 | juin 1800[30] | Ponce-Louis Harlaut | ||
juin 1800 | octobre 1815[30] | Jean-Nicolas Clicquot de Toussicourt (1746-1821) | ||
octobre 1815[30] | Amédée Louis Charles d’Avesnes (1785-1847) | |||
Ernest d'Avennes (1821-1892) | ||||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
(en fonction en 1842)[43] | César Adolphe Péronneau (1807-1864) | |||
1853 | Henri Raymond Victor Petit (1819-1872)[44] | |||
1874 | Jean Marie Leroux-Goumant (1802-1875)[45] | Juge, conseiller d’arrondissement | ||
(en fonction en 1879)[46] | Paul Communal (1836-1898)[47],[48] | |||
(en fonction en 1896)[49] | Lemerle | |||
(en fonction en 1908)[50] | Georges Communal (1840-1913)[51],[52] | |||
(en fonction en 1914) | Jules Chrétien | |||
Henri Forest | ||||
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
mars 2001 | mars 2008 | Marie-Annick Fressard | ||
mars 2008[53] | nov. 2012[54] | Joël Gourmand | Président de la CC des 2 Côteaux (2001 → 2011) Démissionnaire | |
1er février 2013[55] | En cours (au 11 juillet 2020) |
Katia Beaujard | Vice-présidente de la CU Grand Reims (2017 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[56],[57] |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[59].
En 2021, la commune comptait 1 398 habitants[Note 5], en évolution de −5,28 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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1 417 | 1 398 | - | - | - | - | - | - | - |
Hermonville avait plusieurs châteaux :
La ville est animée par un festival artistico-musical Art & Jazz dans ma cour qui se déroule sur trois jours et plusieurs rues du village.
Par ordre chronologique des naissances :
Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'azur à la gerbe de blé d'or posée sur une champagne cousue de sinople, au chef d'argent chargé de deux grappes de raisin de sable tigées et feuillées de sinople. |
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