Conrad Black
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Conrad Moffat Black (né le à Montréal, Canada) est un homme d'affaires, écrivain et chroniqueur Canado-Britannique.
Membre de la Chambre des lords | |
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depuis le |
Naissance | |
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Nationalités |
canadienne (jusqu'en ) britannique (depuis ) |
Domicile | |
Formation | |
Activités | |
Rédacteur à |
National Review, RealClearPolitics (en), Epoch Times |
Père |
George Montegu Black II (en) |
Mère |
Jean Elizabeth Riley (d) |
Conjoints |
Shirley Gail Walters Hishon (d) (depuis ) Barbara Amiel (depuis ) |
Enfants |
Parti politique | |
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Condamné pour | |
Lieu de détention |
United States Penitentiary, Coleman II (en) |
Distinction |
L'honorable |
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Il est l'héritier de George Montegu Black II, un homme d'affaires présent dans le commerce et les médias via sa holding Ravelston.
En 1978, Conrad Black et son frère George Black III reprennent ensemble l'entreprise dont ils héritent.
Avec seulement 22,4% des actions et l'aide des puissants réseaux de leur père, ils contrôlent indirectement Argus Corporation, une des plus importantes holding du Canada.
En 1998, Conrad Black fonde le journal anglophone The National Post à Toronto. En 2001, il devient membre du parlement britannique comme membre de la Chambre des Lords. Critiqué par le premier ministre canadien Jean Chrétien, il annonce quitter le pays et renoncer à la citoyenneté Canadienne.
Impliqué dans un scandale criminel majeur, il est condamné par la justice en 2007 à six ans de prison.
En 2019, il reçoit une grâce présidentielle du Président Donald Trump après avoir écrit un livre lui rendant hommage[1]. Il travaille actuellement comme chroniqueur au National Post.