Chartres-de-Bretagne
commune française d'Ille-et-Vilaine De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Chartres-de-Bretagne est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
Chartres-de-Bretagne | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Rennes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Philippe Bonnin (DVG) 2020-2026 |
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Code postal | 35131 | ||||
Code commune | 35066 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chartrains | ||||
Population municipale |
8 237 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 816 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
395 710 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 02′ 22″ nord, 1° 42′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 50 m |
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Superficie | 10,1 km2 | ||||
Type | Centre urbain intermédiaire | ||||
Unité urbaine | Rennes (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bruz | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.chartresdebretagne.fr/ | ||||
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Avec 8 237 habitants, elle fait partie des communes les plus peuplées de Rennes Métropole.
Chartres-de-Bretagne se situe à 5 kilomètres au sud-sud-ouest du centre de Rennes, la préfecture départementale et régionale.
Située en plein cœur du bassin rennais, sur une structure de type « graben » issue d'un effondrement miocène, Chartres-de-Bretagne est une des rares communes bretonnes possédant des terrains calcaires, notamment des faluns.
Ceci en fait un site particulier du point de vue écologique, en Ille-et-Vilaine les plantes calcicoles sont rares et essentiellement concentrées à cet endroit.
Il y eut aussi présence de fours à chaux, ce qui là encore est unique en Haute-Bretagne. Les véhicules qui drainaient cette activité ont apporté des semences de plantes calcicoles plus méridionales comme les orchidées de Lormandière. Les fours à chaux représentent aujourd'hui une richesse écologique et pour le patrimoine industriel des XIXe et XXe siècles.
Enfin, les argiles produites par l'altération de la roche-mère font de Chartres-de-Bretagne un très ancien site de poteries et plus tardivement de briques, activités qui ont cessé dans les années 1920.
Un forage profond, piloté par le BRGM a été entrepris de juillet à septembre 2010 sur le territoire de la commune. Ce forage de 675 mètres visait deux objectifs :
Le BRGM a réalisé le suivi technique et scientifique de ce projet[1].
La Seiche constitue la frontière sud de la commune tandis qu’un de ses affluents, le ruisseau d’Orson, constitue une partie de la frontière est.
L’étang de Lormandière se situe au nord-ouest de la commune, entre le campus de Ker Lann (Bruz) et l’Usine PSA de Rennes (Chartres-de-Bretagne).
Chartres-de-Bretagne est desservie par la voie express Rennes - Nantes (route nationale 137). La ville est aussi reliée à Rennes par la départementale D 837, à Noyal Châtillon-sur-Seiche par la départementale D 34, à Pont-Péan par la départementale D 837 et à Bruz par la départementale D 44.
Elle est desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole. Il y a les lignes 72, 91 et 172ex. Le quartier de la Croix aux Potiers est aussi desservi par la ligne 59.
La gare la plus proche est celle de Ker Lann, située à environ 1,7 km de l'entrée ouest de la commune (rue du Callouët).
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 714 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 691,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Au , Chartres-de-Bretagne est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (27,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (21,8 %), terres arables (15,4 %), prairies (8,9 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Chartres-de-Bretagne et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 6],[I 7].
Chartres-de-Bretagne | Ille-et-Vilaine | |
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Parc immobilier total (en nombre d'habitations) | 3 993 | 546 440 |
Part des résidences principales (en %) | 93,6 | 86,2 |
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0,9 | 6,9 |
Part des logements vacants (en %) | 5,5 | 6,9 |
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) | 57,2 | 59,8 |
Chartres-de-Bretagne dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[10]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.
Chartres-de-Bretagne vient de la tribu gauloise des Carnutes, initialement habitants des alentours de Chartres (Eure-et-Loir) qui se serait installée sur le site[11],[12]. Plusieurs formes anciennes sont attestées : Cartres (1152), Chartres (1170)[13]. En 1920, le nom de la commune de Chartres a été modifié en Chartres-de-Bretagne. Le nom breton de la commune, donné par l'Office public de la langue bretonne, est Karnod [13]. La commune se nomme Chartr en gallo[14],[15].
L'histoire de Chartres-de-Bretagne a été marquée par la présence, dès le Moyen Âge, d'artisans potiers.
Au XIIe et au XIIIe siècle, la paroisse s’appelait Fontenay et avait vraisemblablement pour église l’antique chapelle du château de ce nom.
Le château de Fontenay que desservait une ancienne voie romaine était l'une des plus anciennes et importantes seigneuries du pays de Rennes, il était muni de deux tours et possédait un jeu de paume, un mail et une motte[16]. La puissante famille Fontenay y a accueilli des dignitaires de hauts rangs comme le duc de Bretagne François III en 1552, le roi Henri IV en 1598, Louis XIII en 1626...
Chartres était une métairie possédée par l'abbaye de Saint-Mélaine. Les Bénédictins y avaient toutefois une église ou chapelle, dont la possession leur fut confirmée en 1158 par Josse, archevêque de Tours, en 1170 par Étienne, évêque de Rennes, et en 1185 par le pape Lucius III (cartulaire de l'abbaye de Saint-Melaine).
Le culte paroissial fut transféré vers la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle, dans la chapelle de la Retenue ou de la métairie de Chartres (démolie vers 1860) qui dépendait de l'abbaye de Saint-Melaine de Rennes.
Louis-Marie Berger, instituteur normalien, relate qu'entre 1848 et 1855 le nombre de ses élèves progresse pour atteindre la soixantaine, mais en 1861 il n'en a plus qu'environ 25 en raison de l'extension de l'exploitation des carrières à chaux, du développement des activités de briqueterie, de poterie et de la reprise de l'extraction du minerai argentifère à Pont-Péan ; les élèves de onze, douze ans, abandonnent la classe pour les chantiers. « L'appât du gain, écrit l'instituteur, se substitue à l'amour des études »[17].
Vers 1860, le village de la Poterie, non loin de Fontenay, devint le centre paroissial et communal, et reçut dès lors le nom de Chartres.
Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[18] ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[19].
Le monument aux morts de Chartres-de-Bretagne situé sur la sortie face sud de l'église, sculpté par Emmanuel Guérin, a été inauguré le et porte les noms des soldats Chartrains sous l'épitaphe « Souvenir à nos Héros Morts pour la Patrie » durant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre d'Algérie et la guerre d'Indochine. Le monument originel présente une grotte factice évoquant celle de Lourdes, avec une Vierge à l'Enfant en surplomb et une femme à genoux, devant une pierre tombale et une plaque commémorative avec les noms gravés. Inauguré le 10 novembre 2018, le site est reconfiguré ; les deux statues sont conservées mais la grotte est remplacée par de grandes plaques commémoratives en format triptyque[20],[21],[22].
D'autre part, une plaque commémorative est apposée dans l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, sur le bras ouest du transept pour honorer les soldats Chartrains[23] sous l'épitaphe « Aux morts pour la France » lors de la Première Guerre mondiale. Mais aussi concernant ce conflit, un Livre d'or du Ministère des pensions est établi pour la commune de Chartres[24] suivant la loi du 25 octobre 1919. La liste de ces enfants de Chartres-de-Bretagne morts pour la France apparaît sur le site de Mémorialgenweb[25].
Depuis 1960, une usine Citroën, puis PSA (construction automobile, voir l'article la concernant) est installée sur la commune au lieu-dit La Janais. L'usine qui deviendra le premier employeur de la région est inaugurée par le général de Gaulle en 1961.
Chartres-de-Bretagne appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Bruz depuis sa création en 1982. Précédemment, la commune a appartenu aux cantons suivants : Rennes-Sud-Ouest (1833-1973) et Rennes-VIII (1973-1982).
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Frédéric Mathieu (LFI-NUPES). Sous la IIIe République, elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes, de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud) et de 1986 à 2010 à la 4e circonscription (Redon).
La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Chartres-de-Bretagne faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .
Chartres-de-Bretagne fait aussi partie du Pays de Rennes.
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[26].
Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :
Groupe | Effectif | Statut | ||||
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« Chartres éco-responsable et solidaire » (DVG) | 29 | majorité | ||||
Il est à noter que Chartres-de-Bretagne est l'une des rares communes de la métropole rennaise où aucune opposition n'est présente au conseil municipal.
Depuis 1921, seuls quatre maires se sont succédé à la tête de la commune : Antoine Chatel, qui a succédé à son père en 1956, est resté premier édile pendant quatre décennies, ce qui en fait le maire à la plus longue longévité.
En mars 2020, Philippe Bonnin est réélu maire pour la quatrième fois avec 100 % des voix.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
décembre 1919[28] | ? | M. Joubaire | Chevalier du Mérite agricole | |
1921 | 1947 | Antoine Dubos | Propriétaire | |
1947 | 1956 | Antoine Chatel père (1899-1964) |
RPF | |
Antoine Chatel fils[29] (1931-2010) |
Centre droit | Maire honoraire Vice-président du district de Rennes Chevalier de l'Ordre national du Mérite | ||
En cours (au 29 mai 2020) |
Philippe Bonnin (1954- ) |
PS puis DVG-DVC[30],[31] |
Cadre d'entreprise, ingénieur Conseiller général (2004 → 2015) puis départemental de Bruz (2015 → 2021) Vice-président du conseil général (2008 → 2015) | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Ville | Pays | Période | ||
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Călărași | Roumanie | depuis | ||
Haßmersheim[32] | Allemagne | depuis | ||
Lwówek | Pologne | depuis | ||
Mopti | Mali | |||
Newcastle West | Irlande | depuis | ||
Saint-Anthème[33] | France | depuis |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 8 237 habitants[Note 4], en évolution de +11,99 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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8 023 | 8 237 | - | - | - | - | - | - | - |
Chartres-de-Bretagne dispose de deux écoles maternelles, l'école de Brocéliande et l'école de Sainte-Marie. Elle dispose aussi de deux écoles primaires, l'école Auditoire et l'école Sainte-Marie. Il y a le collège de Fontenay pour l'enseignement secondaire.
Deux monuments historiques sont présents sur la commune :
La commune compte vingt-quatre monuments inventoriés dont :
Le site de Lormandière, espace naturel sensible du département d’Ille-et-Vilaine[48].
Dans le sud de la commune se trouve « Le parc des Loisirs ». Son contour, souvent pratiqué par les coureurs, mesure un kilomètre. Dans ce parc, paisible, très fleuri, on peut pratiquer quelques jeux réalisés par des structures en bois. Il contient également deux lacs, le "Grand" et le "Petit". Le petit se trouve juste à côté d'une structure de jeux pour enfants. Quant au grand, il se trouve près d'un terrain de cross appelé par les habitants : Les Bosses.
Les armes de Chartres-de-Bretagne se blasonnent ainsi : Écartelé, au premier et au quatrième d’argent aux trois jumelles en bande de gueules, au deuxième de sinople à un pot d’or, au troisième de sinople à une roue dentée d’argent. |
L'Espérance Chartres-de-Bretagne est une fédération de clubs sportifs et culturels. L'Espérance a été créée en 1941 par Antoine Châtel, Albert Launay et Constant Mérel[50].
Chartres-de-Bretagne a un complexe sportif Rémy-Berranger composé d'une piste d'athlétisme, de quatre terrains de football, dont un stabilisé, d'une salle de gymnastique, d'une salle de basket, d'une salle de judo, de tennis, de musculation. Une « Section Foot » est organisée le jeudi de 15 h à 16 h 30 pour les jeunes collégiens.
Une seconde salle « la Halle des sports » - située derrière le collège de Fontenay - accueille le handball, le badminton et le twirling bâton. Cette halle est également utilisée par le collège de Fontenay les jours d'école et son AS le mercredi après-midi. À cette halle des sports se trouve accolée une salle de tennis de table.
Les sports qu'accueillent l'Espérance Chartres-de-Bretagne sont :
Les équipes de jeunes sont notamment encadrées par des seniors lors des matchs et les entraînements sont assurés par un entraîneur diplômé.
Son école de handball est labellisée école de hand - école de la vie par la Fédération Française de Handball depuis la saison 2009 / 2010. Après le Label simple la 1re année et le Label de bronze pour les 2 saisons suivantes, le club vient d'obtenir le Label d'argent.
Depuis le début des années 2000, plusieurs équipes féminines se sont constituées en parallèle des équipes masculines. Plusieurs titres départementaux ont été gagnés par les jeunes filles de l'Espérance : saison 2007 / 2008 en F-16, saison 2008 / 2009 en F-14 et F-18, saison 2009 / 2010 en F-18, saison 2011 / 2012 en F-18 et saison 2012 / 2013 en F-18. En senior féminine, vainqueur de la Coupe du Conseil Général en 2011 et finaliste en 2012, demi-finaliste de la Coupe de Bretagne en 2013. En juin 2013, vainqueur du tournoi qualificatif pour accéder au championnat Honneur Régional.
Pour la saison 2013 / 2014, le club a conclu une entente avec l'équipe voisine de la JA Bruz. Ce qui a permis d'engager une équipe 1 dans le championnat Honneur Régional et une équipe 2 dans le Pré-régional. Une entente a également été conclue au niveau des jeunes filles (F-17) avec Rennes Métropole Handball, afin d'offrir à ses plus jeunes joueuses la possibilités d'évoluer au plus haut niveau régional. Une équipe F-16 / -14 est engagée dans le championnat départementale d'excellence et le club accueille les plus jeunes dans son équipe mixte. Le club référencé handball féminin accueille des jeunes filles de tout le canton, voire au-delà.
L'équipe masculine senior - qui avait à deux époques différentes évolué au niveau régional - a été reconstituée au début de la saison 2011 / 2012 par d'anciens joueurs formés au club et revenus au pays. Ils ont profité de l'émulation créée autour des féminines. Vainqueurs de leur championnat de promotion d'honneur en 2012 puis en 2013, l'équipe évolue en excellence départementale. Finaliste de la Coupe du Conseil Général et 1/4 finaliste de la Coupe de Bretagne en 2013.
Une équipe G-16 est engagée dans le championnat départementale et le club accueille les plus jeunes dans son équipe mixte.
Pour la saison 2013 / 2014, le club a conclu 2 équipes d'entente avec le club voisin de la JA Bruz chez les M-14 et M-12 / 10 ainsi qu'un partenariat pour l'accueil du mini hand.
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