S’appuyant sur les travaux d’Euler, l’astronome allemand Tobias Mayer produit pour la première fois une table qui donne la position de la Lune par rapport à quelques étoiles pour une période d'un an. La méthode est transmise au Board of Longitude et testée par le capitaine John Campbell entre 1757 et 1759. Les tables lunaires sont reproduites dans les The Nautical Almanac à partir de 1767[5],[6].
Roger Joseph Boscovich: De litteraria expeditione per Pontificam ditionem ad dimentiendos meridiani gradus et corrigendam mappam geographicam, iussu et auspiciis Benedicti XIV («Compte rendu de l'expédition faite sur édit papal pour mesurer le degré de méridien et corriger la carte géographique, sur ordre et sous les auspices de Benoît XIV»).
Emmanuel Kant: Allgemeine Naturgeschichte und Theorie des Himmels(de) (Histoire générale de la nature et théorie du ciel) où il propose une version de l'origine du monde fondée sur les travaux de Newton[7].
Multidimensional Particle Swarm Optimization for Machine Learning and Pattern Recognition, Springer Science & Business Media, (ISBN9783642378461, présentation en ligne)
Laurent Vigroux, L'Astronome. Du chapeau pointu à l'ordinateur: Du chapeau pointu à l'ordinateur, CNRS Editions (ISBN9782271092755, présentation en ligne)
Olivier Chapuis, A la mer comme au ciel - Beautemps-Beaupré & la naissance de l'hydrographie moderne, 1700-1850 - l'émergence de la précision en navigation et dans la cartographie marine, Presses Paris Sorbonne, (ISBN9782840501572, présentation en ligne)